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Journée internationale de l’éducation – 7 août

A l’heure actuelle, on estime qu’environ 61 millions d’enfants dans le monde n’ont toujours pas accès à l’éducation, tandis que 796 millions d’adultes sont analphabètes. Sur ces 796 millions d’individus, deux tiers sont des femmes. L’accès universel à l’éducation primaire est un des Objectifs du Millénaire à atteindre pour 2015, mais il reste encore beaucoup de chemin à faire pour que l’éducation pour tous devienne une réalité. Certaines régions du monde ont réalisé ces dernières années d’importants progrès concernant l’accès à l’éducation, comme c’est le cas du continent asiatique. A l’inverse, l’Afrique subsaharienne reste la région où le problème se pose avec le plus d’acuité : en 2010, 31 millions d’enfants étaient encore non scolarisés, et la situation stagne.

En donnant accès à l’eau potable, nous contribuons indirectement à améliorer l’accès à l’éducation : en effet, l’accès à des structures d’assainissement et de distribution d’eau de proximité permet aux bénéficiaires des projets de réinvestir le temps consacré aux corvées d’eau, que ce soit dans une scolarité régulière ou dans une activité économique.

Cette journée internationale de l’éducation est également l’occasion de souligner l’importance que nous accordons à l’éducation au développement au sein de l’association : éclairer les jeunes sur les problèmes d’accès à l’eau potable que connaissent nombre de pays en développement, mais également les conscientiser à l’importance  de la préservation de cette ressource limitée qu’est l’eau constituent des enjeux essentiels à l’heure actuelle et pour l’avenir.

Source: Texte & Image: objectifo.org

 

 

9ème Conférence scientifique sur le VIH

Thème : Tous les deux ans, l’IAS, la plus importante conférence scientifique sur le VIH/sida et sur les sujets associés à cette pathologie, réunit une communauté de plus de 6000 professionnels du monde entier qui débattent des progrès les plus récents de la recherche sur le VIH/sida tout en portant une attention particulière à ce que cette recherche se traduise concrètement dans la pratique et dans l’action politique.

Dates : du dimanche 23 au mardi 26 Juillet 2017    Lieu : Palais des Congrès – Paris

Source : Texte & Image : Sida Info Service.org

Journée Mondiale des donneurs de sang – 14 juin

Tantôt appelée Journée Mondiale des donneurs de sang, tantôt Journée mondiale du don de sang, elle a pour objectif de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang. Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès à la sécurité transfusionnelle.

Le monde a besoin de sang neuf
Grâce aux dons de sang anonymes et sécurisés de millions de personnes, des milliers de vies sont sauvées chaque jour. Mais la possibilité de recevoir une transfusion de sang, qu’elle soit sécurisée ou non, varie énormément d’un pays à l’autre. Les besoins de 18 % de la population mondiale monopolisent 60 % de l’offre mondiale, ce qui laisse les 82 % restant sans couverture satisfaisante.

Comme le reconnaît le Dr LEE Jong-wook, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : « La sécurité transfusionnelle est un besoin fondamental dans les systèmes de santé de tous les pays. Les 192 États Membres ont récemment convenu de célébrer officiellement chaque année la Journée mondiale du don de sang. On contribuera ainsi à sensibiliser les populations au besoin permanent d’avoir du sang sécurisé et des donneurs sûrs. »

L’OMS et d’autres organisations ont préconisé des stratégies claires pour développer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle. Celles-ci reposent sur la promotion du don de sang régulier, volontaire et non rémunéré et sur la coordination nationale des services de transfusion sanguine.

Des dons volontaires, non rémunérés et sécurisés
Des progrés ont été enregistrés sur la question de la sécurité. Pourtant, il reste encore bien des efforts à accomplir à l’échelle mondiale. Jusqu’à présent, seuls 40 pays ont mis en place un système basé exclusivement sur le don de sang volontaire. Malgré certaines améliorations récentes dans ce domaine important, moins de 30 % des pays ont un service de transfusion coordonné au niveau national. Trop de pays, y compris parmi les pays émergents, continuent de dépendre des dons de compensation (c’est-à-dire des dons faits par la famille du malade) ou des dons rémunérés.

Le sang contaminé par le VIH continue d’être à l’origine d’environ 5 % des infections à VIH en Afrique. Alors que dans de nombreux pays, on pratique de plus en plus de tests pour sécuriser le sang, la plupart des pays en développement ne recherchent ni le VIH, ni l’hépatite B ou C. Chaque année, six millions de recherches d’infections qui auraient dû être pratiquées ne sont pas effectuées.

La Journée mondiale du don de sang rend hommage à tous ceux qui ont permis directement de sauver ou d’améliorer la vie de millions de patients en donnant régulièrement et volontairement leur sang. C’est aussi une demande pressante faite à tous les pays du monde pour qu’ils valorisent les donneurs sûrs et ne ménagent aucun effort pour garantir la sécurité transfusionnelle et ainsi sauvegarder la vie des patients.

Quatre organisations internationales travaillant à promouvoir les dons de sang volontaires et non rémunérés pour assurer la sécurité transfusionnelle, parrainent la Journée mondiale du don de sang : l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Fédération internationale des organisations de donneurs de sang et la Société internationale de transfusion sanguine. Cette année, les principaux événements sont organisés par le service national de transfusion d’Angleterre et du pays de Galles.

Source: Texte: Journée Mondiale  Image: Askideas.com

 

Journée internationale des femmes – 8 mars

Une date unique dans le monde entier
La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire
La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques
1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies
Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée Mondiale Image: Tahiti, La Journée des Femmes Démocrates

Journée Mondiale des Télécommunications – 17 mai

telecommunicationsLa Journée mondiale des télécommunications marque la célébration de deux événements importants pour l’UIT (Union Inernationale des Télécommunications). De la naissance du télégraphe aux communications par satellite et à l’Internet, en passant par la radiodiffusion sonore et télévisuelle, les travaux de l’Union ont contribué à tirer parti des potentialités scientifiques et technologiques pour répondre à un besoin fondamental de l’homme, celui de communiquer.

Le chainon manquant
Toutefois, nous nous sommes rendu compte que tout le monde ne profitait pas des retombées socio-économiques des télécommunications. En 1985, l’UIT publiait le fameux rapport Maitland, intitulé « le Chaînon manquant », dans lequel, pour la première fois, était clairement définie la fracture numérique. Depuis lors, l’Union oeuvre résolument à mettre les avantages des technologies de l’information et de la communication (TIC) à la portée de toute l’humanité.

Créer une société de l’information équitable: il est temps d’agir
En 2003, l’UIT a tenu le tout premier Sommet mondial sur la société de l’information, à Genève. A l’issue de la première phase de cette rencontre, 175 pays ont approuvé une Déclaration de principes et un Plan d’action qui préconisent un accès universel et abordable aux TIC. La seconde phase du Sommet, qui aura lieu en novembre prochain à Tunis, permettra de mesurer les progrès réalisés pour atteindre les objectifs précis fixés à Genève. Ce sera également l’occasion d’appeler les parties prenantes à transformer la volonté politique exprimée lors de la première phase en engagements à long terme. Pour contribuer à attirer l’attention du monde entier sur l’importance de cette mission, les Membres de l’Union ont choisi cette année le thème suivant: Créer une société de l’information équitable: il est temps d’agir.

Un site à visiter : www.itu.int   Source: Texte & image: Journée mondiale

Semaine nationale de lutte contre le cancer 2016 – 14 – 22 mars

IDC1Le 4 février est la journée consacrée à la lutte contre le cancer. Mais il y a aussi une semaine de sensibilisation à cette cause. La ligue nationale contre le cancer est l’organisatrice de cette semaine nationale qui se déroule du 14 au 22 mars 2016.

Les origines de la ligue et de la lutte
Le Dr Sonia Fabre assistante du Pr Hartmann de l’Hôtel Dieu est la première à envisager  » une ligue pour la lutte scientifique et sociale contre le cancer « . Le 14 mars 1918 Justin odart, Secrétaire d’Etat fonde la « Ligue Franco-Anglo-Américaine Contre le Cancer « . Elle est déclarée le 6 avril 1918 et le 23 janvier 1919, autorisée à faire appel à la générosité du public dès le 21 juin de la même année. Elle est reconnue d’utilité publique en 1920. C’est une Association sans but lucratif régie par la loi de 1901.

En 1934 Justin Godart organise à Paris une réunion préparatoire en vue de fonder ce qui devait devenir dès 1935 l’Union Internationale Contre le Cancer. La Ligue, par son aide financière, à permis à l’UICC de faire ses premiers pas. J. Godart en sera président de 1935 à 1953.

Les précurseurs
La lutte contre le cancer, aussi bien dans le domaine de la recherche et des thérapeutiques, que de celui des progrès accomplis sur le plan social et humain est une préoccupation relativement récente. Dans un passé encore proche de nous, le cancer était considéré comme une maladie incurable et les malades qui en étaient atteints se voyaient refuser l’accès aux hôpitaux, car on les considérait comme contagieux.

Ce furent des œuvres charitables religieuses, parfois aussi laïques, qui prirent l’initiative de faire quelque chose pour les cancéreux. Elles se contentaient de les héberger, de les nourrir et de les panser, puisqu’il n’existait pratiquement pas de traitement ; mais cela était déjà beaucoup pour ces malheureux abandonnés et rejetés par tous.

En France, c’est le chanoine Jean Godinot, vicaire général de l’Abbaye Saint Nicaise de Reims, qui eut l’idée d’ouvrir en 1740 un établissement spécialisé pour les « cancérés ». Ce fut l’ancêtre des centres anticancéreux modernes. Puis en 1842, Madame Jeanne Garnier-Chabot fonde à Lyon une association mi-laïque, mi-religieuse, composée de veuves et de femmes charitables appelée « Calvaire », pour donner des soins dans un hospice à des cancéreuses avancées. Un « Calvaire » analogue s’est ouvert ensuite à Paris, rue de Lourmel. Des fondations semblables se créent par la suite pour les hommes sous les auspices de Saint Jean de la Croix.

Ces exemples porteront leurs fruits puisqu’en 1846, on admit les cancéreux dans les hôpitaux et les hospices généraux. L’Assistance Publique fit une première tentative dans deux services dits « d’incurables » à la Salpétrière et à Bicêtre. En 1897 l’Assistance publique ouvre un pavillon spécialisé à Brévannes.

Une histoire du cancer
Les traces les plus anciennes du cancer se trouvent dans des fragments de squelettes humains datant de la préhistoire. On le rencontre aussi sur des momies découvertes dans des pyramides égyptiennes. On parle également du cancer sur des tablettes recouvertes de caractères cunéiformes de la bibliothèque de Ninive. On le rencontre encore lors de la découverte de monuments funéraires étrusques ou sur des momies péruviennes.

Le plus ancien texte connu à ce jour semble être le papyrus chirurgical dit de Edwin Smith qui daterait de l’ancien empire égyptien et qui serait attribué à Imouthes, grand prêtre d’ Héliopolis et Premier ministre du roi Djoser vers 2800 avant J-C. Hérodote nous apprend qu’Atossa, fille de Cyrus et femme de Darius, fit appeler vers 525 (avant J-C) Democedes, le fameux médecin grec, pour une tumeur ulcérée du sein qu’il réussit à guérir sans que le traitement employé ne soit connu. Quelques temps plus tard, en Grèce, Hippocrate, dans les nombreux écrits qui lui sont attribués, fait plusieurs fois allusions au cancer, dont le nom vient de l’aspect de sa propagation, ressemblant à des pattes de crabe.

Les anciens hindous, 2000 ans avant notre ère, essayèrent de détruire les cancers en y appliquant des cataplasmes de pâte corrosive contenant de l’arsenic. Pour le petite histoire, les personnes qui ne mourraient pas du cancer mourraient empoisonnées par l’arsenic. Au Moyen-âge, en France, Henri de Mondeville écrivait en 1320 : « Aucun cancer ne guérit, à moins d’être radicalement extirpé tout entier. En effet, si peu qu’il en reste, la malignité augmente dans la racine. « 

Au XVIIè siècle Gendron, médecin du frère de Louis XIV, conçoit le cancer comme une modification tissulaire localisée qui s’étend par prolifération, curable si elle est extirpée dans sa totalité , il jette un pont de deux siècles et demi entre lui et nous. Anne d’Autriche, reine de France et mère des précédents, fut atteinte d’un cancer du sein, elle supporta très courageusement la maladie mais ne put en être guérie. C’est à Bichat et Laënnec que l’on doit la conception anatomique de la maladie cancéreuse. Puis vient la notion de tissu avec l’allemand Muller en 1826. Rudolph Virchow prouve quant à lui que la cellule cancéreuse naît toujours d’autres cellules. La seconde moitié du XIXè siècle verra s’accélérer les progrès de la médecine.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net   Source: Texte: Journée mondiale     Image: breast cancer (Infiltrating ductal carcinoma of the breast) dyed with H&E  Wikimedia commons