image-i-nations trésor

22è dimanche de l’année B – 2021

On entend parfois l’expression : « C’est une affaire de cœur! »
Il arrive que l’attitude de quelqu’un nous étonne à un point tel que l’on en vient à croire que cette personne est engagée dans une relation romantique –
il n’y a que cela qui puisse expliquer son comportement!

Cette expression m’est venue à l’esprit en lisant le texte de l’évangile de ce dimanche (Mc.7:1-8,14-15,21-23)
et, pour moi, la conclusion s’impose : entre Dieu et nous, c’est une affaire de cœur –
ou du moins, il devrait en être ainsi!

J’ose croire que c’est ce que Dieu lui-même désire puisqu’il regrette que ce ne soit pas le cas!
Jésus lui-même répète les paroles du prophète Isaïe à ce sujet:

« Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. »

Jésus insiste en affirmant :
« C’est du dedans, du cœur de l’homme, que sort… tout le mal. »
 
Ce qui n’est qu’extérieur, apparent, n’engage pas la personne vraiment.
Mais les désirs profonds, les aspirations secrètes, les espoirs audacieux –
ce qui touche à la racine de l’être –
c’est cela qui tisse une relation vraie.

Et c’est là que Dieu est en attente!…
En attente d’une prière… ‘cœur à cœur’ peut-être…

 

Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/22nd-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: Neat   Dreamstime

12è dimanche de l’année B – 2021

Chacun/e de nous a sa propre conception de ce qu’est la prière.
Si on nous le demande, nous pouvons en donner une définition que nous avons faite nôtre au fil des ans.
Elle s’est sans doute développée se basant sur les enseignements que nous avons reçus et les réflexions que nous avons faites.

En lisant le texte de l’évangile d’aujourd’hui (Mc.4:35-41), je me demande combien d’entre nous oserions qualifier l’exclamation des apôtres de… prière ?!
« Maître, nous sommes perdus; cela ne te fait rien? »
 
Peu d’entre nous auraient, je pense, l’audace de s’adresser à Dieu avec une telle véhémence!
Et pourtant, la prière des disciples, d’un ton qui n’est pas loin du reproche, leur a obtenu une intervention assez spectaculaire.

L’approche des disciples est sans détour, ils expriment avec impatience la peur qui les habite.
Sans doute, ils connaissent d’expérience une mer en furie, mais cette fois la situation est désespérée – ils se sentent « perdus ».
Mais Jésus est là, endormi – étonnamment dans un tel déchaînement de la nature, il dort – mais il est présent.

Je quitte un moment la scène de l’évangile et je revois mes propres situations de tempête intérieure…
L’impuissance, l’angoisse, le désespoir – cela ne m’est pas inconnu.
Mais je me demande: la prière audacieuse, même jaillie d’une foi tremblante, m’est-elle aussi familière?

J’ose croire que si Jésus a réussi à calmer la tempête sur la mer de Galilée, il ne sera pas vaincu par les tempêtes qui font rage en moi…
Même s’il semble profondément endormi…
Même s’il me faut… élever la voix et… peut-être répéter ma demande avec insistance…

Il est toujours présent – c’est tout ce qui importe.

 

Note: Dans la vidéo qui suit, Teresa Penafiel nous partage son expérience personnelle et sa réflexion sur ce texte de l’évangile.

Et une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/12th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Image: Espace pour mieux Chercher

Journée mondiale de prière – 5 mars 2021

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.

La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

2021, dans les îles Vanuatu

Face au contexte sanitaire actuel, c’est une vidéo de la célébration qui est proposée via Youtube, Vous pouvez y accéder à partir du 2 mars

Un site à visiter : journeemondialedepriere.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

LE VANUATU , 5 mars 2021 ,

Ce vendredi 5 mars, pour permettre à toutes et tous d’être en communion de prière avec les femmes du Vanuatu et du monde entier, malgré le confinement imposé chez nous en France, le comité JMP-France vous invite à vous joindre à la célébration via zoom à 20h  , le lien de connexion est le suivant:

Lien pour accéder à la vidéo de la célébration  Youtube  en français ( vidéo visible à partir du 2 mars)        https://youtu.be/LXHDOIVPw5E

BATIR  SUR LE ROC (MAT 7, 24-27)

illustation Vanuaut

illustration de la célébration

L’une des premières choses que nous apprenons avec les femmes de Vanuatu est que «la terre pour un Ni-Vanuatu est ce qu’une mère est pour un bébé,

C’est avec la terre qu’il définit son identité et c’est avec la terre qu’il maintient sa force spirituelle ».

La photo choisie pour illustrer la célébration reflète le lien des femmes du Vanuatu avec la terre, la culture et la foi.

Les vanuataises nous invitent à méditer le texte de Matthieu 7, 24-27. Jésus termine son sermon sur la montagne et l’entrée au royaume des cieux en utilisant l’image d’une maison et la terre sur laquelle la maison est construite. Pour les habitants du Vanuatu, la prise en compte du terrain et du climat est cruciale pour construire sa maison dans cet archipel tropical situé dans l’océan Pacifique Sud, sujet aux tremblements de terre, aux cyclones, aux éruptions volcaniques et à l’élévation du niveau de la mer. Dans ce passage biblique, la sagesse du constructeur de la maison vient d’entendre et d’agir sur la parole de Dieu, qui est une parole d’amour. C’est le fondement sur lequel nos sœurs nous appellent pour construire nos maisons, nos nations et le monde.

« Quelle est la maison que nous voulons construire ? »

Les Ni-Vanuatu louent Dieu pour la terre fertile, la douce mélodie des oiseaux et les cris des enfants. Tous ensembles reflètent leur mode de vie et leurs luttes quotidiennes pour la production de nourriture, le respect de l’environnement et l’éducation des enfants. Ces défis sont des raisons de louer Dieu pour être la source de leur force. En recevant leur voix comme un don de sagesse, nous partageons leur espoir et nous engageons de manière créative nos communautés dans une «prière informée».

Source: Texte & Image: JMP-FRANCE JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE  « S’informer, prier, agir »

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février 2021

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains
Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François. Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées

Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action

Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

 

https://gallery.mailchimp.com/8d871d8272fe1798b9fab76e5/images/9a193ce8-bfb0-4e09-ab05-3df005e9db8b.png

https://mcusercontent.com/8d871d8272fe1798b9fab76e5/images/22fd12cf-e5db-44d6-a73c-f206717e7df1.png

https://mcusercontent.com/8d871d8272fe1798b9fab76e5/images/729b40fb-079d-461e-ab29-1f8985a394c6.jpg

À la fin d’une année difficile (2020)… un cocktail…

Il ne reste que quelques heures à cette denière journée d’une année, oui, plus que difficile!
2020 avec l’arrivée de l’intrus nommé Coronavirus nous a surpris et a chamboulé bien des choses dans notre quotidien.

Nous avons connu et nous vivons encore avec les effets de la Covid-19: complications, restrictions, distanciation.

Alors, que vienne 2021 – nous l’anticipons avec grand espoir et nous saluons cette Nouvelle Année avec un cocktail assez spécial!

31 décembre

La veille du Jour de l’An – il faut bien déguster… un cocktail !

En voici un… plutôt original – il vous faut goûter cet élixir.

Sa concoction exige deux ingrédients essentiels :

Le 1er, une chanson de Jacques Brel et, le 2è, une vieille prière de Thomas More que le Pape François aime bien. Et voici…

À la bonne vôtre !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Donne-moi une bonne digestion, Seigneur, et aussi quelque chose à digérer.
Donne-moi la santé du corps, avec la bonne humeur pour la garder au mieux.
Donne-moi une âme sainte, Seigneur, qui ait les yeux sur la beauté et la pureté, afin qu’elle ne s’épouvante pas en voyant le péché, mais qu’elle trouve dans Ta présence la voie pour redresser la situation.
Donne-moi une âme qui ignore l’ennui, le gémissement et le soupir, et ne permets pas que je me fasse trop de souci pour cette chose encombrante que j’appelle « moi ».
Seigneur, donne-moi l’humour, concède-moi la grâce de comprendre la plaisanterie, pour que je tire quelque bonheur de cette vie et que j’en fasse profiter les autres. Ainsi soit-il ».

Source: Images: The Chutney Life   la-croix.com   es.wikipedia.org

17è dimanche de l’année A – 2020

Il arrive qu’en lisant l’un ou l’autre des textes de la célébration, je m’arrête sans compléter la lecture.
Un verset retient mon attention à un point tel que je ne peux passer au verset suivant.

Ce fut le cas pour la 1ère lecture de ce dimanche (1 R 3:5,7-12) qui dit :

« Pendant la nuit, le Seigneur apparut en songe à Salomon.
Dieu lui dit : ‘Demande ce que je dois te donner’. »

 
J’ai alors donné libre cours à… mon imagination…

Si Dieu me demandait, à moi, ce que je désire qu’il me donne…
Que demanderais-je?…
Me faudrait-il un long moment avant de décider ce que je veux vraiment?
Est-ce que j’hésiterais entre ceci et cela?
Aurais-je un doute que… Dieu a vraiment l’intention de me donner ce que je souhaite?

Si, finalement, je formulais ma demande et répondais à Dieu…
Dieu serait-il satisfait de ma requête et donnerait-il au-delà de ma prière comme il l’a fait pour Salomon?…

Je poursuis ma réflexion… que demander?…

 

Note: Une réflexion sur le texte de la 2è lecture est offerte en format vidéo à: https://image-i-nations.com/rencontre-inattendue/

Et une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/17th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: Bible Encyclopedia

Les Psaumes… toujours actuels, toujours, ponctuels – 4è épisode

Quand on va rencontrer quelqu’un, on s’habille…
pour la circonstance!
Et quand on va rencontrer Dieu?
Teresa Penafiel nous dit ce qu’elle en pense et…
ce que Dieu en pense!

Fête de la Sainte Trinité, année A – 2020

Vous arrive-t-il de… questionner Dieu?
Pas directement, pas ouvertement, mais secrètement.
Au fond de chacun/e de nous, il y a souvent une petite question lancinante…
Elle apparaît parfois soudainement et, d’une façon inquiétante, elle murmure :
‘POURQUOI?’

Notre quotidien offre souvent des événements qui poussent à poser cette question.
Nous nous trouvons parfois dans des situations qui nous bouleversent et, évidemment,
nous nous demandons POURQUOI Dieu permet de telles choses.
Nous regrettons que Dieu demeure silencieux au sujet de… ses motivations!

Peut-être n’avons-nous jamais posé la question…
mais, en cette fête de la Sainte Trinité, dans le texte de l’évangile d’aujourd’hui (Jn.3:16-20),
Dieu donne une réponse précise à un sujet bien important.
Il nous dit clairement POURQUOI il est venu dans notre monde comme l’un de nous.
C’est une réponse qui peut nous surprendre – elle devrait nous étonner, oui, et nous réjouir!

« Dieu a envoyé son Fils dans le monde,  SUNSET
non pas pour juger le monde,
mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. »

Peut-être est-ce la réponse la plus… importante à la question… qui ne l’est pas moins!
Et… si elle pouvait susciter la prière de Moïse que nous retrouvons dans la 1ère lecture (Ex.34:4-6,8-9)…

« S’il est vrai, mon Seigneur, que j’ai trouvé grâce à tes yeux,
daigne marcher au milieu de nous. »

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-holy-trinity-year-a-2020/

 
Source: Images: Jésus mon sauveur – Centerblog,   Unsplash

 

7è dimanche de l’année A – 2020

Le dicton nous est familier: “À l’impossible, nul n’est tenu.”
Il se pourrait qu’en lisant la 1ère lecture et l’évangile de ce dimanche (Lv.19:1-2,17-18) (Mt.5:38-48),
certains soient tentés de prononcer les paroles de ce dicton populaire.
Oserait-on le dire à… Dieu?

Il nous demande – n’est-ce pas plutôt un commandement?
“Soyez saints, car moi, le Seigneur votre Dieu, je suis saint.”
 
Et Jésus nous le rappelle:
“Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait.”
Être saint, être parfait – c’est bien au-delà de nos forces humaines, c’est évident.
On peut le désirer, on peut s’efforcer d’atteindre cet idéal, mais on reste toujours… en chemin.

Et si cela suffisait?
Des auteurs spirituels affirment: “Vouloir plaire à Dieu, c’est déjà lui plaire!”
Ne peut-on pas en dire autant du désir de devenir saint, parfait comme le Père?

Et quand on y pense bien, la sainteté, c’est le domaine de l’Esprit Saint lui-même.
Ce que l’apôtre Paul écrit aux chrétiens de Corinthe (2è lecture: 1 Co.3:16-23) s’adresse aussi à nous:

Ne savez-vous pas que vous êtes un sanctuaire de Dieu,
et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?…
Le sanctuaire de Dieu est saint, et ce sanctuaire, c’est vous.”
 
Paroles encourageates s’il en est!
Une prière suppliante, continue, incessante, à cet Esprit de sainteté est sûrement un bon premier pas…

Note: Une video est offerte sur ce theme à: https://image-i-nations.com/images-de-dieu-4e-episode/(La 2è partie de la video est celle qui concerne ce texte de l’évangile).

Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/7th-sunday-of-year-a-2020/

Source: Image: www.la-tente.org

29è dimanche de l’année C – 2019

Prier – nous prions, évidemment… chaque jour… ou du moins, assez souvent!
Mais… ‘prier sans se décourager’… c’est quelque chose d’autre!

Il faut croire que les gens du temps de Jésus n’étaient pas différents de nous à ce sujet 
puisque l’évangile de ce dimanche (Lc.18:1-8) nous dit :

« Jésus disait à ses disciples une parabole
sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager. »

 
Ils, et elles, étaient des disciples de Jésus, le suivaient et écoutaient son enseignement.
Sans doute, ces gens étaient fidèles à la prière régulière à la synagogue et aux célébrations juives traditionnelles.
Mais Jésus insiste sur ce point : « prier sans se décourager. »
 
Une autre traduction dit : «prier sans se lasser. »
Se lasser, se décourager – il est facile de tomber dans ce piège…

Persévérer dans cette activité ne va pas de soi.
On ne voit pas, on n’entend pas, on ne perçoit d’aucune manière ce Dieu que nous adressons…
On n’a pas le goût, on est fatigué, on s’ennuie et… ça ne donne pas de résultat, croit-on !

La tentation est bien présente de croire que:
Dieu doit se préoccuper d’autres situations dans le monde bien plus urgentes que nos requêtes…
Dieu peut considérer nos demandes comme insignifiantes comparées aux problèmes d’autres personnes…
et… évidemment , nous ne sommes pas dignes de ses faveurs…

Et pourtant, Jésus assure :

« Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ?
Les fait-il attendre ?

Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. »

C’est une promesse et de Jésus lui-même, mais… voilà : il y a parfois une attente qui s’impose…
C’est là que la persévérance doit se manifester… durer, ne pas lâcher, ne pas abandonner…
Dieu s’engage à faire le reste !

Note : Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à : https://image-i-nations.com/29th-sunday-of-year-c-2019/

 
Source : Image : pinterest.com