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2nd Sunday of Easter, Year B

Beatitudes – there are 8 which are best known to us in the text entitled: ‘The Sermon on the Mount’ (Mt.5:1-10).
There is another one, less known and prompted by a woman who said to Jesus:
Happy (or, blessed) the woman who gave you birth and nursed you” (Lk.11:27).
To which Jesus replied: Happier (or, blessed) still are those who hear the word of God and obey it” (Lk.11:28).

And there is the beatitude in today’s gospel (2nd Sunday of Easter, Year B – Jn.20:19-31) where Jesus says:
“Happy (or, blessed) are those who believe without seeing.”
 
This one can speak especially to us because it concerns us in a very immediate fashion.
It reaches us precisely where we are – in our ‘here and now’ condition…
It describes the situation which is ours:
that of people who cannot see, cannot hear, cannot touch the Risen Lord.

Many of us to whom this beatitude, this blessedness, is addressed, will not say they experience it!…
Many people will say they do not ‘feel’ any special happiness at not seeing Jesus with their own eyes nor hearing him as they do the voice of their loved ones.

I can truly say I share in their predicament.
I sympathize with their experience of ‘absence’ more than that of presence…
No cozy feeling of closeness, of immediacy, of rewarding intimacy.

Yet… as I write this, I recall the words of Jesus saying:
Heaven and earth will pass away, but my words will never pass away” (Mt.24:35).
So, his assurance that we are happy and blessed remains, it cannot go away…

And what remains also, on our part, is this need to… believe –
a gift, yes, a blessing, given to those who dare ask for it, again, and again, and again…

Note: Another reflection is available in French on a different theme at: https://image-i-nations.com/2e-dimanche-de-paques-annee-b/

Source: Image: purplelovesorange – WordPress.com
                                                                   

 

Précieux à ses yeux…

On dit que Dieu est tout-puissant – rien ne lui est impossible!
Et pourtant… il semble qu’il y ait une chose qui ne soit pas possible pour lui:
c’est d’oublier ceux/celles qu’il aime – chacun/e de nous.
C’est le message de la 1ère lecture de ce mercredi de la 4è semaine du carême (Is.49:8-15).
Louis-Philippe Provost a choisi de nous partager un texte sur le même thème (Is.43:4).

 

Journée mondiale des malades – 11 février

Historique
Célébrée le 11 février de chaque année, la Journée mondiale des malades (JMM) nous invite à la solidarité avec les personnes qui, autour de nous, expérimentent la dure réalité de la maladie et de la souffrance. Sous l’inspiration de Jean-Paul II, cette journée rappelle la dignité de toute personne, malade ou âgée.

JE SUIS LÀ
Quel réconfort et quel  soulagement avons-nous lorsqu’un proche, un ami nous dit « Je suis là ».  Quelle consolation lorsque ces mots deviennent une expérience de vie, une conviction intérieure que quelqu’un est là pour nous.

La Journée mondiale des malades du 11 février 2018 propose une réflexion sur la confiance qui peut se tisser dans le parcours d’une vie. Au fil du quotidien de nos joies, de nos peines, de nos maladies, il est possible de s’appuyer sur une présence bienveillante qui nous dit : Je suis là. 

Les images et le texte de la carte veulent rendre compte de la richesse de cette réflexion.

Source: Texte & Illustration: CHU de Québec, Université Laval

La mer… la marée…

Un sage a dit :
« Il y a la marée haute,
il y a la marée basse,
mais la mer reste toujours la mer… »

Et il en est ainsi… de la présence dans notre vie
du Créateur de la mer…

Dans notre vie il y a…
les jours de joie intense et les jours de peine profonde;
les jours de succès inespéré et les jours d’échec décourageant;
les jours d’espérance audacieuse et les jours de désespoir lancinant;
les jours de rencontre surprenante et les jours d’adieu déchirant.

Tout cela et bien plus encore…
Mais Sa présence demeure en permanence… inlassable, indéfectible, au plus intime…

Source : Image : Riithink Digital Marketing Agency

16th Sunday of Year A

There is so much that is wrong in our world today, is it not so?
The powerful bring suffering to the weak.
The selfish – legions of them – grab all they can.
The rich keep adding to their share while the poor have to manage on what they can scrape together.

It seems that evil spreads far and wide, and goodness has a hard time existing at all.
Examples we see every day are only too many and too easy to find.

Poverty, sickness, injustice, suffering – evil under all its forms – everywhere we turn it seems that we see only more of that!
Some people mutter to themselves: “Not much sign of God in a world like this…”
Others get really angry, and yes, angry with God: Why does he not do something to right all that is wrong?
They whisper under their breath: “If I were God, things would be different!”

We have to admit it: we are troubled by the presence of evil in our world, in people…
Perhaps today’s gospel (16th Sunday of Year A – Mt.13:24-43) can bring light to this situation.
At first sight, some would think: ‘More of the same!’
Good seed has been planted and there comes an enemy who spoils the whole thing as the weeds in plenty show.
The workers question the owner of the field about it and they are ready to put things right.

The owner shows wisdom: removing the weeds may destroy the good plants as well.
So, his advice is… to wait.
WAIT – waiting… till the harvest, waiting till all has grown and then… then will be the time to sort out and to separate.

For many of us, this is not our preferred mode of operating.
Yet, surprisingly perhaps, this is the way… of God!
He waits, and waits… for us!
He waits that we change…

The 1st reading (Wis.12:13,16-19) says it beautifully:
“Your sovereignty makes you lenient to all…
You are mild in judgement,
You govern us with great leniency.”

He waits that we recognize him, accept his ways, see him as REAL – really present in our lives.
How much longer will he have to wait for this to happen?…

Source: Images: Wikipedia, Experimental Theology – blogger

 

 

16è dimanche de l’année, A

Les chants religieux – comme les chants populaires et les différents genres de musique – connaissent des périodes de renom puis, parfois, disparaissent des programmations régulières.
La mode change, la renommée faiblit et… on oublie…

Mais certains se souviennent, et c’est sans doute le cas pour le beau chant de John Littleton intitulé : Je cherche le visage du Seigneur…

 

 

 

 

 

 

Être à la recherche du visage de Dieu, n’est-ce pas ce à quoi la vie chrétienne s’exerce au fil des jours?

Et voilà que les lectures de ce dimanche (16è dimanche de l’année, A) nous en donnent une description vraiment spéciale:

Il juge avec indulgence.
Il nous traite avec beaucoup de ménagement.
Il donne à ses enfants une belle espérance.
Après la faute, il accorde la pardon.   (Sa.12 :13,16-19)

Il est bon, il pardonne;
Il est plein d’amour pour ceux qui l’appellent
Il est grand, il fait des merveilles.
Il est tendresse et pitié,
Lent à la colère, plein d’amour et de vérité. (Ps.86)

Et l’évangile (Mt.13 :24-43) donne une image si claire et convaincante de ce Dieu patient,
un Dieu indulgent, clément, tolérant,
un Dieu qui sait attendre et attendre toujours notre retour.

Je cherche le visage du Seigneur… et… j’en ai trouvé une si belle expression dans ces textes !

Chaque phrase ébauche un trait,
chaque mot esquisse la figure,
chaque expression dévoile l’identité cachée,
et au plus profond de nous se révèle l’ I M A G E . . .
Mieux encore : sa P R É S E N C E !

Source: Images: Video Blocks, Wallpaper Awesome, Video Blocks

2è dimanche de Pâques, année A

Crainte, joie, présence, absence, incrédulité, défi, adoration – certains penseront : ‘Tous les éléments sont là pour… une excellente pièce de théâtre!’
Mais justement, ce n’est pas du théâtre – la scène dont nous sommes les témoins est bien réelle!
Elle nous présente des ‘acteurs’ humains en chair et en os et un autre… en chair, en os, ressuscité…

C’est à cause de lui que surgissent tous ces sentiments chez les apôtres – ceux qui sont présents et… celui qui le sera après… une absence!

La crainte fait place à la joie.
Le doute se transforme en foi.
Lui seul peut opérer une telle transformation –

  • il l’a fait pour eux
  • Il est prêt à le faire pour nous…

Oui, Dieu est prêt à relever nos défis.
Nos doutes et nos hésitations ne le gardent pas à distance.
Il prend l’initiative.
Il invite Thomas : Avance – Regarde – Touche – Crois.

Une invitation en quatre volets :

  • S’APPROCHER
  • Regarder pour VOIR
  • TOUCHER pas uniquement avec la main mais avec le coeur…
  • la FOI surgit alors, vivante et vibrante – offerte depuis toujours et enfin reçue…

Cette invitation s’adresse à chacun et chacune de nous – invitation à une proximité qui devient connaissance, peut-être devrait-on dire : re-connaissance!
« Mon Seigneur et mon Dieu! »

Source: Images: YouTube, UB David

Un pique -nique au bord du lac…

faithbrightfuture.blogspot.com

 

Un pique-nique au bord du lac –

pique-nique devenu célèbre,

on en parle encore!  (Jn.21:1-17)

 

people_at_picnic_table www.oocities.org


Il y a aussi nos piques-niques à nous… au bord du lac, ou autour du BBQ…

Ils peuvent avoir la même fonction – nous réunir, nous faire découvrir une présence, nous donner l’occasion de dire ce que l’on voulait dire, nous offrir l’opportunité d’entendre ce que l’on avait besoin d’entendre…

Source: Images: faithbrightfuture.blogspot.com; www.oovities.org