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Journée internationale de la diversité biologique – 22 mai 2024

« Faites partie du Plan », le thème de la Journée internationale de la diversité biologique 2024, est un appel à l’action pour toutes les parties prenantes afin d’arrêter et d’inverser la perte de biodiversité en soutenant la mise en œuvre du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal, également appelé Plan pour la biodiversité

Le plan pour la biodiversité offre des possibilités de coopération et de partenariat entre divers acteurs. 

Les gouvernements, les peuples Autochtones et les communautés locales, les organisations non gouvernementales, les législateurs, les entreprises et les particuliers sont encouragés à souligner la manière dont ils soutiennent la mise en œuvre du plan en faveur de la diversité biologique. Chacun a un rôle à jouer et peut donc faire partie du plan.

La journée de la diversité biologique 2024 devrait renforcer l’élan de visibilité à l’approche de la seizième réunion de la Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (COP 16), qui se tiendra en Colombie du 21 octobre au 1er novembre 2024. 

Contexte

La diversité biologique est souvent comprise comme la grande variété de plantes, d’animaux et de micro-organismes, mais elle comprend également les différences génétiques au sein de chaque espèce, par exemple, entre les variétés de cultures et les races de bétail, et la variété des écosystèmes (lacs, forêts, déserts, paysages agricoles) qui accueillent de multiples types d’interactions entre leurs membres (humains, plantes, animaux).

Les ressources de la diversité biologique sont les piliers sur lesquels nous bâtissons nos civilisations. Le poisson constitue 20 % des protéines animales pour environ 3 milliards de personnes. Plus de 80 % du régime alimentaire humain est constitué de plantes. Jusqu’à 80 % des personnes vivant dans les zones rurales des pays en développement dépendent des médicaments traditionnels à base de plantes pour leurs soins de santé de base.

Mais la perte de biodiversité menace tout le monde, y compris notre santé. Il a été prouvé que l’appauvrissement de la biodiversité pouvait favoriser l’expansion des zoonoses, des maladies transmises de l’animal à l’être humain, alors qu’à l’inverse, si nous conservons la biodiversité intacte, elle offre d’excellents outils pour lutter contre des pandémies telles que celles causées par les coronavirus.

Alors qu’il est de plus en plus reconnu que la diversité biologique est un atout mondial d’une valeur considérable pour les générations futures, le nombre d’espèces est considérablement réduit par certaines activités humaines. Compte tenu de l’importance de l’éducation et de la sensibilisation du public à cette question, les Nations unies ont décidé de célébrer chaque année la Journée internationale de la diversité biologique.

 

Source: Texte: https://www.unep.org/fr/events/un-day/journee-internationale-de-la-diversite-biologique-2024     Image: https://www.faunesauvage.fr/events/journee-internationale-de-la-diversite-biologique

23rd Sunday of Year C – 2022

We could say that the 1st reading of this Sunday (Wisdom 9:13-18) and the gospel (Luke 14:25-33) show us how to become wise.
They teach us to SEE and to FORESEE.

The first text tells us to
“discern what the Lord wills.”

While the gospel warns us that we should look ahead and plan for what we want to achieve –
whatever be our aim, we must prepare for what is ahead:
“sit down and estimate… consider” what is involved in our venture.

Of course, this concerns more than our daily activities – the construction of a building, or waging a war, are only two examples.
The words of Jesus go on to make it clear that he speaks of our lives as followers of his.

To ‘take up our cross’ will mean different things at different moments of our lives.
But it will involve being detached of certain things and people,
and being attached, committed, wholeheartedly to Christ and the way of life shown in the gospel.

That’s all – ALL of ourselves given to ALL that Christ asks of us!

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/23e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

Source: Image: gotquestions.org

 

Journée Internationale des Nations-Unies pour la coopération Sud-Sud – 12 septembre

Journée Internationale des Nations-Unies pour la coopération Sud-Sud

Par la résolution du 23 décembre 2003, l’assemblée générale des Nations Unies avait décidé de proclamer le 19 décembre Journée pour la coopération Sud-Sud.

Le plan d’action de Buenos Aires

Le choix de la date du 19 décembre pour commémorer cette journée revêtait une signification toute particulière, car elle venait en complément au « Plan d’action de Buenos Aires » adopté le 19 décembre 1978 pour promouvoir la coopération technique entre les pays en voie de développement. Cette date du 19 décembre, consacrée à la coopération Sud-Sud, devait donc s’inscrire en dur dans les annales de notre institution internationale.

L’assemblée générale a demandé à tous les organismes compétents des Nations Unies et aux institutions multilatérales de redoubler d’efforts en vue d’intégrer effectivement la coopération Sud-Sud dans la conception, l’élaboration et l’exécution de leurs programmes ordinaires et d’envisager d’accroître les ressources humaines, techniques et financières allouées aux initiatives relatives à la coopération Sud-Sud.

Depuis 2012, une nouvelle date

Selon la décision 66/550 de l’ONU, la date de cette Journée des Nations Unies a été modifiée et est célébrée non plus le 19 décembre mais le 12 septembre de chaque année à compter de 2012. Vous suivez ?

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

4è dimanche de l’Avent, année B – 2020

Un vieux dicton, que l’on n’entend plus souvent, affirme:
« L’homme propose et Dieu dispose. »
Nos ancêtres le mentionnaient quand leurs plans ne se réalisaient pas.

Ces paroles de sagesse me sont revenues à la mémoire en lisant la 1ère lecture de ce dimanche (2 S.7:1-5,8-12,14-16).
Le roi David prend conscience qu’il vit dans un palais alors que l’Arche de l’Alliance – le lieu symbolique de la présence de Dieu – est dans « un abri de toile ».
David veut remédier à cette situation – il se propose de construire un temple digne de la majesté de Dieu.

Il fait part de son idée au prophète Nathan qui l’encourage à réaliser son plan.
Mais la nuit même, Dieu intervient en commandant à Nathan d’informer David qu’il ne doit pas mettre son plan à exécution.
Mais pourquoi? Il s’agissait d’une initiative généreuse de la part du roi et le prophète l’avait d’abord approuvée.

Voilà que Dieu justifie sa position en mentionnant une longue liste de tout ce que lui, Dieu, a fait pour David tout au long de sa vie.
Et Dieu ajoute tout ce qu’il fera encore pour sa descendance dans l’avenir.
La perspective est tout d’un coup changée – ce qui est important, ce ne sont pas les plans et les réalisations des humains
mais les plans et les réalisations de Dieu.

Je m’arrête et je regarde le déroulement de ma vie et… tous mes plans écroulés, toutes mes belles initiatives qui n’ont pas abouti…
Et soudain, je réalise que tant d’autres choses se sont matérialisées, tant de projets ont été achevés… presqu’à mon insu parce que…
Dieu s’en était mêlé, dirait-on dans le langage courant!

Avec émerveillement, je peux affirmer qu’elle est vraie pour moi aussi cette parole de Dieu :
« J’ai été avec toi partout où tu es allé. »
 
Cela devrait me suffire pour que je m’en remette à lui pour tout ce qui n’est pas encore mais qui sera!…

 

Note: Une vidéo sur les thèmes de ce dimanche est disponible à : https://youtu.be/SWTkogV5Jws

Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/4th-sunday-of-advent-year-b-2020/

 

 Source: Image: citation-celebre.leparisien.fr

27è dimanche de l’année, A

Il y a plusieurs manières de parler de Dieu.
Il faut admettre que nos explications et nos évocations ne sont toujours que des balbutiements.

Il y a une méthode que l’on nomme ‘anthropomorphisme’ – un mot savant qui veut simplement dire que l’on prête à Dieu des comportements et des sentiments humains.
On peut le comparer à un semeur, à un potier, à un juge, ou toute autre occupation qui est nôtre.

C’est le cas en ce dimanche (27è de l’année A) alors que dans la 1ère lecture (Is.5 :1-7) Dieu est présenté comme le propriétaire d’une vigne.
Ce propriétaire prend grand soin de son vignoble –
il l’a planté sur « un coteau fertile ayant retourné la terre et retiré les pierres;
Il a choisi un plant de qualité et bâti une tour de garde;
Il a aussi creusé un pressoir. »
 
Tant de précautions et de soins attentifs devraient porter le meilleur des fruits.
Et voilà que le résultat n’est pas du tout à la hauteur de la minutie du maître du vignoble.
Quelle déception, beaucoup de regret et… de questionnement!

« Pouvais-je faire pour ma vigne
plus que je n’ai fait ?
J’attendais de beaux raisins,
pourquoi en a-t-elle donné de mauvais ? »

Par son prophète, Isaïe, Dieu exprime sa désillusion, pourrait-on dire, et ses paroles ont le ton d’une lamentation.
Il attendait… il anticipait… il espérait… et son rêve ne s’est pas réalisé, son plan a échoué.
Tous les préparatifs et les prévisions étaient donc en vain… pour RIEN ?

Mais ici doit prendre fin la comparaison entre Dieu et le maître du vignoble humain.
Le désappointement qui donne lieu à la colère et à la punition n’a pas de place chez Dieu.

Ces images de Dieu dans le Premier Testament (Ancien Testament) ont été corrigées par Jésus dans la parabole de l’enfant prodigue (Lc.15 :11-32).
Dieu continue d’attendre le retour du fils et ce ‘Père prodigue’ en pardon ne peut que réserver un accueil riche de tendresse et de miséricorde.

Mais le questionnement de Dieu : « Pouvais-je faire pour ma vigne plus que je n’ai fait ? » devrait conduire… au nôtre !
Que devrais-je encore faire pour répondre à cette tendresse toujours en attente de MON retour ?…

Source: Image: St. Mary Magdalene, Gilbert, AZ

Journée Mondiale de la maladie d’Alzheimer -27 septembre

Près de 800 000 personnes sont actuellement touchées par la maladie d’Alzheimer en France. Malgré les progrès accomplis, plus de la moitié des malades ne sont
toujours pas diagnostiqués et 2/3 ne sont pas traités. Compte tenu de l’accroissement de la durée de vie, le nombre de patients atteints par cette affection aura doublé en 2020 et chaque famille sera touchée.

Ces données statistiques sont suffisamment alarmantes pour mobiliser toutes les énergies et faire de la prise en charge des malades une priorité de santé publique.

Un plan d’action plus que nécessaire
Les plans présentés par les autorités de l’Etat au fil des années ont permis d’améliorer les choses mais il reste encore beaucoup à faire. Les progrès accomplis par les chercheurs d’une part sont encourageants et les efforts effectués pour améliorer la prise en charge des malades d’autre part méritent d’être soulignés.

Un site à visiter : journeemondialealzheimer.org