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Journée des grands parents – 4 octobre

Journée des grands parents
Bien qu’elle ne se nomme pas elle-même « journée mondiale des grands parents’, cette journée mérite d’être citée dans le site des journées mondiales de par sa dimension internationale.

Made in USA

C’est Marian Mc Quade, une femme au foyer de Virginie Occidentale (USA) qui a lancé une campagne d’opinion afin qu’on consacre une journée spéciale aux grands-parents dans le but de reconnaître leurs droits auprès de leur progéniture.

National Grandparents Day

Cette initiative aurait pu rester isolée mais le mouvement a au contraire pris de l’ampleur et le gouverneur de Virgine Occidentale, Arch Moore, a proclamé officiellement la première « Journée des grands-parents » en 1973. C’est en 1978 que le Congrès des États-Unis a adopté le décret proclamant le premier dimanche après la Fête du travail (Labour’s Day) « Journée nationale des grands-parents« . Cette initiative a été reprise également au Québec dans les années 90.

Sachant qu’aux USA le Labour’s Day est fêté le 1er lundi du mois de septembre, nous devrions célébrer la journée des grands parents le lundi 7 septembre pour l’année 2020. Mais la suite va nous prouver qu’il n’en est rien.

Une difficile traversée de l’atlantique 

L’europe semblait jusqu’à présent rester à l’écart du mouvement si ce n’est l’initiative d’une marque de café qui avait souhaité instaurer une fête des grands mères…

La journée des grands-parents suscite décidément la convoitise des entreprises et, en 2018, une nouvelle initiative se fait jour, parrainée par de nombreuses marques commerciales qui (elles le disent elles-même) veulent « mettre la famille et l’intergénérationnel au centre de leur mission » ! 

Acceptons-en l’augure et souhaitant bon vent à cette nouvelle venue dans le calendrier français.

La date retenue, le 4 octobre, choisie au début de l’automne semble être un clin d’oeil à l’automne de la vie que représente l’âge des grands-parents.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

21è dimanche de l’année A – 2020

Connaître quelqu’un… c’est toute une science, c’est plutôt une expérience!
On peut connaître des choses – des faits divers, des événements de l’histoire, les secrets de la science.
Mais le secret d’un être humain, c’est autre chose!
Ce qui fait l’identité, ce qui est au cœur de la personnalité de quelqu’un, c’est une connaissance particulière, vraiment.

L’évangile d’aujourd’hui (Mt.16:13-20) nous présente la scène où, justement, Jésus questionne ses apôtres sur son identité à lui.
Et, il le fait par étape, dirait-on.
Il demande d’abord ce que les gens pensent de lui.
Que dit-on dit de lui parmi ceux et celles qui écoutent son enseignement et le voient agir.

Différentes personnes ont des opinions différentes sur le sujet – on le voit comme un prophète, il fait des choses extraordinaires; pourtant on sait d’où il vient, on connaît sa famille, son village.

Mais, Jésus devient plus personnel et s’adresse directement aux apôtres, ses proches, ceux qui partagent sa vie au quotidien.
Eux, comment le connaissent-ils, ou plus exactement qui est-il pour eux?

Comme à l’ordinaire, Pierre parle au nom du groupe.
Il fait ce que nous considérons aujourd’hui une profession de foi.
Il affirme que l’identité de Jésus va bien au-delà de ce que les yeux peuvent apercevoir.
Au-delà aussi de ce qu’on perçoit en le côtoyant.

Et il y a une autre étape… celle-là n’est pas dans le texte de l’évangile –
c’est celle où Jésus nous demande, à chacun/e de nous qui il est pour nous personnellement.

Cela est au cœur, non seulement de SON identité à lui, mais de la nôtre comme chrétiens.
La réponse – personnalisée – ne peut venir que… de vous et de moi…
Elle doit s’exprimer au fil des jours, tout au long de notre expérience humaine.

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: Third Hour  

5è dimanche de Pâques, année A – 2020

À la lecture d’un texte de l’évangile, il vous arrive peut-être, comme à plusieurs,
en notant une opinion ou une question de quelqu’un dans l’entourage de Jésus,
de vous dire à vous même: ‘J’aurais dit la même chose! J’aurais posé la même question!’

C’est bien normal: les gens du temps de Jésus, les apôtres eux-mêmes, étaient différents de nous,
mais ils /elles partageaient bien des caractéristiques de notre humanité!

La scène de l’évangile de ce dimanche nous les présentent (Jn.14:1-12)
partageant avec Jésus le repas de la pâque juive.
L’occasion semble plus solennelle que d’ordinaire, Jésus paraît triste…
Il parle longuement, il dit des choses qui, à certains moments, leur paraissent bien mystérieuses.

Il faut se rappeler que ces disciples de Jésus n’étaient pas des maîtres en théologie,
pas d’exégètes parmi eux, ou de professeurs de doctrine,
mais des gens du peuple, remplis de bonne volonté, fidèles à suivre Jésus,
mais souvent perplexes en entendant ses propos.
L’évangile le mentionne à plusieurs reprises: ils voulaient souvent l’interroger
n’ayant pas compris ce qu’il voulait dire à un moment ou l’autre (Mc.4:13;

Mc.9:32; Lc.8:9; Jn.16:19).

Et voilà que pendant ce dernier repas avant sa Passion,
Jésus parle à plusieurs reprises du Père, de SON Père.
Dans l’une des traductions des chapîtres 13 à 16 de l’évangile de Jean (Bible de Jérusalem),
Jésus répète le mot ‘Père’ 45 fois!
Et le chapitre 17 est le texte de la prière de Jésus à son Père.

Dieu: Yahweh/Jéhovah-l’Éternel, Elohim-Créateur, Adonai-Seigneur éternel,
tous ces titres étaient des noms familiers aux apôtres mais… Père ?

Messager de Dieu, le prophète Osée avait dit en son nom:
“Quand Israël était jeune, je l’aimais, et j’appelai mon fils hors d’Égypte.” (Osée 11:1)
Mais Jésus parle de Dieu-Père avec un accent nouveau, il mentionne ce nom avec un tel respect…

Philippe parle sûrement au nom de tous les apôtres – et possiblement du nôtre aussi – en disant:
Seigneur, montre-nous le Père; cela nous suffit.

Ces paroles lui obtiennent une réponse bien énigmatique de la part de Jésus:
Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas, Philippe !
Celui qui m’a vu a vu le Père.
Comment peux-tu dire : ‘Montre-nous le Père’ ?
Tu ne crois donc pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi !”

“Je suis dans le Père et le Père est en moi.”
Mystère? Oui, celui d’une identité partagée, d’une intimité unique.

Philippe a-t-il compris? Seul LE FILS peut vraiment comprendre…
Et nous? Nous sommes invité/es à en vivre dans la foi: PÈRE!

Note: Une courte vidéo offre une réflexion sur un autre aspect de ce texte de l’évangile à: https://youtu.be/Pw2twpSRmt8
Et une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/5th-sunday-of-easter-year-a-2020/

 

Source: Image: Pinterest

Les anonymes de l’évangile, 8è épisode

On rencontre toutes sortes de gens –
certains changent d’idée pour un Oui ou pour un Non;
d’autres sont ancrés dans leurs convictions.
Certain/es n’afficheront pas ouvertement ce qu’ils ou elles croient;
par contre, d’autres en témoigneront sans honte.
Dans la vidéo qui suit, Lise Massé nous présente
des anonymes, encore une fois, et qui nous sont
des exemples vivants d’un tel témoignage.

World Environment Day – 5 June

« On World Environment Day, the message is simple: reject single-use plastic. Refuse what you can’t re-use. Together, we can chart a path to a cleaner, greener world. »Secretary-General, António Guterres

Humans are both creatures and moulders of their environment, which gives them physical sustenance and affords them the opportunity for intellectual, moral, social and spiritual growth. In the long and tortuous evolution of the human race on this planet a stage has been reached when, through the rapid acceleration of science and technology, humans have acquired the power to transform their environment in countless ways and on an unprecedented scale.

The United Nations, aware that the protection and improvement of the human environment is a major issue, which affects the well-being of peoples and economic development throughout the world, designated 5 June as World Environment Day. The celebration of this day provides us with an opportunity to broaden the basis for an enlightened opinion and responsible conduct by individuals, enterprises and communities in preserving and enhancing the environment. Since it began in 1974, it has grown to become a global platform for public outreach that is widely celebrated in more than 100 countries.

“Beat Plastic Pollution”
Each World Environment Day is organized around a theme that focuses attention on a particularly pressing environmental concern. The theme for 2018, “Beat Plastic Pollution,” is a call to action for all of us to come together to combat one of the great environmental challenges of our time. The theme invites us all to consider how we can make changes in our everyday lives to reduce the heavy burden of plastic pollution on our natural places, our wildlife – and our own health. While plastic has many valuable uses, we have become over-reliant on single-use or disposable plastic – with severe environmental consequences.

India, the host country
Every World Environment Day has a different global host country, where the official celebrations take place. This year it is India.

Source: Text & Image: www.un.org   1st Image:AllEvents.org

Journée mondiale du diabète – 14 novembre

La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.

Le choix de la date…
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.

Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d’autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc…

Le logo de la Journée Mondiale du Diabète
En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang. Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.

Un site à visiter : www.diabete.fr  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

26è dimanche de l’année, A

« J’ai changé d’idée… »
On entend souvent ces paroles et il se peut que nous les ayons prononcées nous-mêmes à un moment ou un autre.
Que veut-on exprimer en parlant ainsi?

On veut dire qu’on s’était engagé sur une voie et on décide de changer de direction.
Il se peut qu’on ait d’abord émis une opinion et on voit maintenant les choses d’une autre manière.
On avait peut-être pris une décision – possiblement à la hâte – on se ravise et on opte pour une autre prise de position.

Sagesse ou manque de persévérance?
Ne pas le faire serait-il fidélité ou entêtement, endurance ou insouciance des valeurs en cause?

L’évangile de ce dimanche (26è de l’année A – Mt. 21 :28-32) nous offre une bonne occasion de… revoir nos positions, justement.  
Comme il le fait bien souvent, Jésus propose une parabole à ses auditeurs.
Nous le savons bien : ce que certains qualifieraient de ‘petites histoires’ ont toujours un but précis : celle d’inviter les gens à se questionner.

Le but du questionnement en cause aujourd’hui est de s’assurer que notre agir est ajusté à ce que Dieu attend de nous au quotidien – rien de moins!
Pas toujours facile cet ajustement… un ajustement qui touche à nos façons de penser, de parler, d’agir et de réagir…

Mais n’est-ce pas là l’essence même de notre vie à la suite du Christ?
C’est ce qui définissait sa vie comme il l’affirmait lui-même : « Ma nourriture c’est de faire la volonté de mon Père » (Jn.4:34 ).

Et c’est la question de la parabole d’aujourd’hui : « Lequel des deux a fait la volonté du père ? »
La question demeure : En ferons-nous autant ?…

Source: Image: Free Bible Images