image-i-nations trésor

Journée Internationale de la jeunesse – 12 août

jeunesse(1)L’objectif de la Journée internationale de la jeunesse est de promouvoir, tout particulièrement auprès des jeunes, le Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000 et au-delà.

« La jeunesse est l’avenir de l’homme »
Ce programme encourage l’action en faveur des jeunes dans dix domaines prioritaires : éducation, emploi, malnutrition et pauvreté, santé, environnement, toxicomanie, délinquance juvénile, loisirs, petites filles et jeunes femmes et pleine et entière participation des jeunes à la vie de la société et à la prise de décisions. Une action de mise en oeuvre du Programme aux niveaux national, régional et mondial y est également recommandée.

Les jeunes, qui selon les critères des Nations Unies correspondent à la tranche d’âge 15 à 24 ans, représentent un sixième de la population mondiale. La majorité de ces jeunes hommes et femmes vit dans des pays en développement et leur nombre devrait augmenter substantiellement au XXIè siècle.

C’est en 1991 que les jeunes réunis à Vienne (Autriche) pour le premier Forum mondial de la jeunesse organisé par le système des Nations Unies ont proposé d’instaurer une Journée internationale de la jeunesse. Le Forum recommandait qu’une telle Journée soit célébrée en partenariat avec des associations de jeunes dans l’objectif plus particulier d’organiser des activités promotionnelles et d’appels de fonds pour soutenir le Fonds des Nations Unies pour la jeunesse. En 1998, par une résolution adoptée lors de la première Conférence mondiale des ministres de la jeunesse – tenue par le Gouvernement portugais en collaboration avec les Nations Unies à Lisbonne du 8 au 12 août 1998 – le 12 août a été déclaré Journée internationale de la jeunesse. Cette recommandation a ensuite été entérinée lors de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale par l’adoption de la résolution A/RES/54/120, en date du 17 décembre 1999 et intitulée « Politiques et programmes mobilisant les jeunes.

Voir aussi les Journées Mondiales de la Jeunesse

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte & Image: Journée Mondiale Photo UNICEF/Pirozzi – www.un.org

Journée Internationale des Populations autochtones – 9 août

En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire du 9 août la Journée internationale des populations autochtones (résolution 49/214), chaque année pendant la Décennie internationale des populations population-autochtoneautochtones. Cette date marque le jour de la première réunion du Groupe de travail sur les populations autochtones de la Sous-Commission de la promotion et de la protection des droits de l’homme en 1982.

Le but de cette Décennie est de renforcer la coopération internationale pour résoudre les problèmes rencontrés par les populations autochtones dans des domaines tels que les droits de l’homme, l’environnement, le développement, l’éducation et la santé. Le coordonnateur de la Décennie est le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

En avril 2000, la Commission des droits de l’homme a adopté une résolution sur l’établissement de l’Instance permanente sur les questions autochtones qui a été approuvée par le Conseil économique et social le 28 juillet 2000. (E/RES/2000/22). L’Instance permanente devra fournir des conseils sur les questions touchant au développement social et économique, aux droits de l’homme, à l’éducation, à la santé et à l’environnement.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains – 30 juillet

traite-etre-humain« Cette première Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains est un appel à l’action pour faire cesser ce crime et donner de l’espoir aux victimes, qui vivent souvent autour de nous alors que nous ignorons tout de leur sort. Pour arrêter les trafiquants, il nous faut couper leurs voies de financement et saisir leurs avoirs. J’exhorte tous les pays à ratifier et à appliquer intégralement la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole additionnel relatif à la traite d’êtres humains » M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Une urgence planétaire
L’ONU nous invite à nous interroger sur la question de l’esclavage moderne et il est vrai que cette question concerne au moins 2,5 millions de personnes réparties sur la planète. Il s’agit aussi bien d’hommes, de femmes que d’enfants qui tombent aux mains de trafiquants dans leur pays et à l’étranger. L’esclavage dit « moderne » n’a rien à envier à ce que l’humanité a pu connaître par le passé et il est non seulement honteux dans son principe que par les maltraitances qu’il engendre.

L’escalavage, quelle que soit sa forme, n’a pas sa place dans ce monde !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale Nelson Mandela – 18 juillet

mandela-dayElle est plus connue sous son nom anglais, Mandela day, et existe depuis 2010. En novembre 2009, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que le 18 juillet serait une « Journée internationale Nelson Mandela » en l’honneur du travail effectué par l’ancien président sud-africain en faveur de la paix et de la liberté.

67 minutes…
Le 18 juillet de chaque année, jour de la naissance de Nelson Mandela, l’ONU se joint à la Fondation Nelson Mandela pour exhorter le monde à consacrer 67 minutes de son temps à aider les autres, afin de commémorer la Journée internationale qui lui est consacrée. 67 minutes de son temps à passer pour servir les autres et le bien public, en souvenir des 67 années de militantisme du vieux leader Sud Africain, aujourd’hui décédé.

Célebration post-mortem ?
De nombreux internautes se sont étonnés de trouver encore cette journée dans le site… bien que le vieux sage se soit aujourd’hui éteint, les Nations Unies la maintiennent effectivement toujours dans leur calendrier. Le monde aime les anniversaires et les célébrations, laissons aujourd’hui le monde célébrer l’Afrique !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la population – 11 juillet

population

En 1989, le Conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a recommandé de faire du 11 juillet la Journée mondiale de la population. Cette journée, issue de la Journée des cinq milliards, célébrée le 11 juillet 1987, a pour objet d’appeler l’attention sur l’urgence et l’importance des questions de population, notamment dans le cadre des plans et programmes généraux de développement et sur la nécessité de trouver des solutions.(Source : ONU)

« Chaque femme et chaque fille est un être humain unique et précieux qui a droit à jouir de chances égales et des droits de la personne universellement reconnus, où qu’elle soit née et où qu’elle vive. Le moment est venu de redoubler d’efforts pour placer l’égalité entre les sexes au sommet de l’agenda international de la paix et du développement. » Thoraya Obaid, Directrice exécutive de l’UNFPA

Un site à visiter : www.planetevivante.wordpress.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale pour le soutien aux victimes de la torture – 26 juin

tortureAfin d’éliminer totalement la torture et d’assurer l’application de la convention du 10.12.1984, l’Assemblée Générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin « Journée Mondiale de Soutien aux Victimes de Torture ». Cette journée est révélatrice d’une prise de conscience généralisée que la torture, honteuse pratique couramment utilisée dans plus de 150 pays est bien une atteinte à un droit inaliénable de la personne humaine : la dignité. Il convient dès lors de se mobiliser pour cette journée afin de poursuivre ensemble la lutte contre l’impunité des tortionnaires car il est nécessaire de ne pas oublier que si le Droit International de protection devient peu à peu aujourd’hui un élément d’espoir, son effectivité sera toujours le produit de notre vigilance.

Aucune cause ne peut justifier la torture
Malheureusement, il reste beaucoup à faire, il nous arrive d’entendre le témoignage de ceux qui ont été torturés par des régimes brutaux et de voir les salles dans lesquelles les actes de torture ont été commis, nous ne devons pas oublier pour autant que la plupart des victimes n’ont jamais l’occasion de raconter leur histoire et que la torture n’est pas limitée à une région particulière, à un système politique particulier ou à quelques pays. »

« Quinze ans après l’entrée en vigueur de la Convention des Nations unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements sont toujours signalés dans au moins 111 pays du monde, et la Convention demeure le moins ratifié des six traités internationaux relatifs aux droits humains actuellement en vigueur », a déclaré ce jour (mercredi 26 juin 2002) Amnesty International.

Un moyen encore trop souvent utilisé
« Seuls 129 des 189 États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU) sont partis à la Convention. En outre, nombre d’entre eux persistent à ne pas prendre les mesures nécessaires pour garantir pleinement son application, et restent passifs face à la pratique de la torture », a ajouté l’organisation de défense des droits humains.

« Des États partis à la Convention – le Brésil, l’Arabie saoudite, la Russie, l’Indonésie, les États-Unis ou encore le Cameroun, pour ne citer qu’eux – manquent à leurs obligations en omettant de prendre les mesures nécessaires pour empêcher et sanctionner les actes de torture, a déploré Amnesty International. La torture ne devrait plus exister que dans les livres d’histoire. Or, elle est encore largement utilisée pour extorquer des « aveux », pour intimider des opposants et pour humilier ou punir des prisonniers, notamment à titre de sanction disciplinaire », a ajouté l’organisation.

Un site à visiter : www.acatfrance.fr   Source: Texte & image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde. Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a desertl’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuis et le climat impitoyable fait le reste. Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards).

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des océans – 8 juin

150416_Logo_ocean-climate.org

La Journée des océans, célébrée le 8 juin, vise à nous rappeler le rôle des océans comme source de vie partout dans le monde. Il s’agit d’une célébration internationale proclamée il y a dix ans à l’occasion du Sommet de la Terre et des Nations Unies tenu à Rio de Janeiro. Après des débuts timides, cet événement a aujourd’hui une grande ampleur dans le domaine de la sensibilisation à la santé des océans et celui d’une meilleure gestion de l’Océan et de ses ressources.

Un évènement international
Simultanément sur les 5 continents, les Aquariums, Centres de Sciences, Musées, Associations et Institutions d’éducation à l’environnement marin du RESEAU OCEAN MONDIAL proposent à leur public des festivités pleines d’animations ludiques et d’actions concrètes, les petits et grands. Des opérations sont prévues sur les cinq continents, aussi bien en France qu’en Mauritanie, Italie, Etats-Unis Australie ou Danemark.

Ce que nous faisons au sein de notre communauté peut avoir des effets positifs ou négatifs sur nos océans. L’eau passe de nos océans à l’atmosphère puis aux terres avant de retourner dans les océans. Les ressources en eau sont limitées et nous ne disposons que des quantités existantes sur Terre. La protection de nos océans commence par celle de nos bassins hydrographiques, et nous comptons sur vous pour l’assurer !

Quatre objectifs principaux
L’adoption d’une nouvelle perspective en encourageant les individus à réfléchir à ce que l’eau signifie pour eux et aux raisons de lui attacher une grande valeur;
La sensibilisation un grand nombre de gens ne réalisent pas la profusion de créatures vivantes et d’habitats dont la beauté n’a d’égale que la diversité, que renferment nos rivières et nos océans, ni l’impact de nos actions sur ces ressources;

Le changement de nos habitudes les citoyens doivent être encouragés à devenir les gardiens de nos eaux afin de les préserver pour les générations futures;
La célébration que vous habitiez à l’intérieur des terres ou sur la côte, vous pouvez organiser des événements sur le thème de l’eau ou y participer.

Les océans en quelques chiffres
Plus de 90% des 10 espèces de poissons les plus pêchés sont en voie de disparition et près de 50% des autres espèces commerciales sont menacées par l’industrie de la pêche, par ailleurs 80% de la pollution des océans provient des terres.

Par ailleurs, une pétition a été mise en place conjointement avec THE OCEAN PROJECT pour faire du 8 juin la Journée Mondiale de l’Océan officiellement reconnue par l’ONU. Proposée au Sommet de la Terre de Rio en 1992 par le Canada, la Journée Mondiale de l’Océan a, jusqu’à présent, était peu suivie. Or l’Océan recouvre plus des deux tiers de la Terre. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des climats, la qualité de l’air et de l’eau.

Un site à visiter : www.worldoceannetwork.org  Source: Texte: Journée mondiale   Image: Ocean and Climate Platform

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

diversite-culturelle

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel. »

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de la sensibilisation au problème des mines et de l’assistance à la lutte antimines – 4 avril

mine« L’ONU est fermement résolue à mieux faire connaître le problème des mines et à lancer des initiatives visant à les éliminer, et ce, dans le monde entier. En cette Journée internationale, nous réaffirmons notre engagement en faveur d’un monde exempt du danger que représentent les mines et les autres restes de guerre. » Message de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, le 4 avril 2013

Depuis 2005
Cette journée a été proclamée par l’ONU suite à la déclaration prononcée le 8 décembre 2005 et qui prévoyait que la date du 4 avril serait désormais celle à laquelle serait commémorée cette journée. [ndlr: La symbolique liée au choix de cette date du 4 avril ne nous est pas connue pour le moment.]

Les mines anti-personnel sont des engins explosifs généralement placés sous le sol ou au niveau du sol et qui explosent au passage d’un véhicule ou un piéton. Elles ont la particularité de rester actives même après la résolution des conflits et constituent à ce titre des menaces pendant de très longues années. En savoir plus sur Handicap International.

Un traité d’interdiction trop souvent ignoré
La situation a-t-elle évolué depuis cette époque ? Il est à craindre que non et, même si un « Traité d’interdiction des mines » a été signé en 1997, il n’a pas été ratifié par tous les pays du monde loin s’en faut. Savoir que ni les Etats-Unis d’Amérique, ni la Russie, ni la Chine, ni l’Inde ne font partie des états signataires fait froid dans le dos. On pourra parcourir avec intérêt la liste des états signataires.

A ce propos, les états membres sont régulièrement encouragés à ratifier tous les instruments relatifs au désarmement, au droit humanitaire et aux droits de l’homme qui concernent les mines antipersonnel, les restes explosifs de guerre et les personnes ayant survécu aux effets dévastateurs de ces engins. Vaste programme…

 

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée Mondiale