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Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février

Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François.

Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées
Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action
Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

Source : Texte : Journée mondiale   Image : ocarm.org

 

21è dimanche de l’année B

On évalue souvent les gens et on les compare selon différents critères.
L’un des éléments qui sert de comparaison est parfois ce que l’on nomme leur QI – leur quotient intellectuel!
Ainsi, on juge certains comme intelligents, brillants;
d’autres sont reconnus comme des génies, alors qu’on dira de d’autres qu’ils ont une intelligence moyenne.

Mais il y a un autre élément qui nous distingue, nous, les humains :
c’est cette capacité de prendre des décisions, de faire des choix.
C’est une caractéristique qui nous distingue d’une façon particulière.
Là encore, les individus se démarquent de différentes façons.
Certains analysent rapidement une situation et prennent une décision sans délai.
D’autres s’attardent à tous les aspects sans parvenir à se décider –
leur attitude change d’un moment à l’autre : oui… non… peut-être… plus tard…

Ces réflexions me sont venues à la suite de la lecture des textes de ce dimanche (21è dimanche de l’année B)
spécialement la 1ère lecture (Jos.24:1-2.15-18) et l’évangile (Jn.6:60-69).
Dans les deux cas, on est en présence de gens qui doivent justement prendre une décision.

La 1ère lecture nous met en présence du peuple d’Israël confronté par leur chef, Josué.
Il les enjoint de faire un choix – un choix décisif et d’une importance capitale :

« S’il ne vous plaît pas de servir le Seigneur,
choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir :
les dieux que vos pères servaient au-delà de l’Euphrate,
ou les dieux des Amorites dont vous habitez le pays. »

C’était là une tentation constante pour les Israelites : oublier l’Alliance qu’ils avaient faite avec Dieu.
Ils avaient fait un choix mais… ils le remettaient souvent en question par leurs infidélités répétées,
toujours prêts à suivre d’autres dieux… moins exigeants!

Exigeant, Jésus ne l’est pas moins alors qu’il demande à ceux qui le suivent de recevoir son message –
un message qui n’est pas facile à accepter :
croire que sa chair est vraiment nourriture et son sang vraiment breuvage.
Pas étonnant que nombre de ceux qui étaient présents à la multiplication des pains cessent de l’accompagner.

Plus étonnant encore, Jésus ne tente pas de les retenir – ni eux, ni le groupe de ses apôtres.
Jésus dit aux Douze : « Voulez-vous partir, vous aussi ? » 
Eux aussi doivent faire un choix – un choix libre, et un choix qui engage toute leur vie…

Et nous sommes confronté/es au même choix – non moins exigeant, non moins engageant… 
Et cela pour la vie, pour toute la vie…
Pas plus que les gens du passé, nous ne sommes obligés –
Dieu ne s’impose pas : il veut être accepté librement.
Il attend notre choix… Il nous attend…

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-b/

Source : Images : crossnews.am

 

Journée internationale Nelson Mandela – 18 juillet

Elle est plus connue sous son nom anglais, Mandela day, et existe depuis 2010.
En novembre 2009, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que le 18 juillet serait une « Journée internationale Nelson Mandela » en l’honneur du travail effectué par l’ancien président sud-africain en faveur de la paix et de la liberté.

67 minutes…
Le 18 juillet de chaque année, jour de la naissance de Nelson Mandela, l’ONU se joint à la Fondation Nelson Mandela pour exhorter le monde à consacrer 67 minutes de son temps à aider les autres, afin de commémorer la Journée internationale qui lui est consacrée.
67 minutes de son temps à passer pour servir les autres et le bien public, en souvenir des 67 années de militantisme du vieux leader Sud Africain, aujourd’hui décédé.

Célebration post-mortem ?
De nombreux internautes se sont étonnés de trouver encore cette journée dans le site… bien que le vieux sage se soit aujourd’hui éteint, les Nations Unies la maintiennent effectivement toujours dans leur calendrier.
Le monde aime les anniversaires et les célébrations, laissons aujourd’hui le monde célébrer l’Afrique !

Source : Texte & Image : Journée Mondiale Image Mandela : healthstaff.co.za

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai

Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias.

Tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de :

  • célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse;
  • d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde;
  • de défendre l’indépendance des médias; et
  • de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.

Cette année l’UNESCO célèbrera la 25e édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse sur le thème Médias, justice et état de droit : les contrepoids du pouvoir, et les célébrations porteront sur les questions des médias et de la transparence du processus politique, de l’indépendance du système judiciaire et de ses connaissances en matière de médias, et de la responsabilité des institutions de l’État vis-à-vis du public. La journée sera aussi l’occasion d’examiner les défis actuels de la liberté de la presse en ligne.

La contribution des médias à la bonne gouvernance et au développement a été reconnue dans le Programme de développement à l’horizon 2030, adopté par les États Membres des Nations Unies en septembre 2015. Alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) qui ont guidé les actions menées par la communauté internationale pour le développement entre 2000 et 2015 ne faisaient aucune référence explicite au rôle des médias, les objectifs de développement durable (ODD) reconnaissent l’importance de l’accès du public à l’information et aux libertés fondamentales, y compris la liberté d’expression.

Source : Texte & Image : ONU Image : en.unesco.org

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

« Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement », a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source : Texte & Image : Journée Mondiale

La Journée mondiale contre la traite des personnes – 8 février

En 2015, le Pape François institua le 8 février, fête de Ste Bakhita, * comme Journée internationale de prière et de sensibilisation contre la traite des êtres humains (JMPT).

La journée est célébrée chaque année le jour où nous nous souvenons de la mémoire liturgique de Sainte Bakhita, qui a connu dans sa vie les souffrances de l’esclavage.

La Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite des personnes (GMPT), qui sera célébrée le 8 février 2018, aura pour thème : « Migration sans trafic. Oui à la liberté! Non au chemin! 

Vous êtes invité à allumer une bougie pour ces frères et sœurs victimes de la traite humaine et un signal de notre engagement à lutter contre la traite. Allumons surtout nos cœurs et nos vies afin d’être une lumière accueillante qui donne de l’espérance dans nos rencontres. 

Source : Texte & Illustrations: renate-france.wordpress.com

Note: RENATE (Religious in Europe Network Against Trafficking and Exploitation) dont la traduction en français est Religieuses en Europe coNtre lA Traite et l’Exploitation présent dans plus de 20 pays. 

* Sainte Joséphine Bakhita était une Soudanaise qui a été vendue et revendue cinq fois sur les marchés comme esclave, maltraitée et fut finalement libérée. Elle a été canonisée par le Pape Jean Paul ll en 2000.

Source: Image: dowym.com

Message du Pape pour le Carême

Dans une semaine, la période du Carême débutera. Le Pape ne manque pas de nous adresser un message pour nous y préparer. Déjà le jour de la Toussaint, 1er novembre 2017, il avait rédigé son texte et celui-ci a été publié hier. Le pape dénonce ce qu’il nomme “la duperie de la vanité et la froidure de la charité”. En voici quelques extraits.

« Chers frères et soeurs, Cette année encore, à travers ce message, je souhaite inviter l’Église entière à vivre ce temps de grâce dans la joie et en vérité…

D’autres faux prophètes sont ces « charlatans » qui offrent des solutions simples et immédiates aux souffrances, des remèdes qui se révèlent cependant totalement inefficaces : à combien de jeunes a-t-on proposé le faux remède de la drogue, des relations « use et jette », des gains faciles mais malhonnêtes ! Combien d’autres encore se sont immergés dans une vie complètement virtuelle où les relations semblent plus faciles et plus rapides pour se révéler ensuite tragiquement privées de sens ! Ces escrocs, qui offrent des choses sans valeur, privent par contre de ce qui est le plus précieux : la dignité, la liberté et la capacité d’aimer (…)

Ce qui éteint la charité, c’est avant tout l’avidité de l’argent, « la racine de tous les maux » (1Tm 6:10); elle est suivie du refus de Dieu, et donc du refus de trouver en lui notre consolation, préférant notre désolation au réconfort de sa Parole et de ses sacrements. Tout cela se transforme en violence à l’encontre de ceux qui sont considérés comme une menace à nos propres « certitudes »: l’enfant à naître, la personne âgée malade, l’hôte de passage, l’étranger, mais aussi le prochain qui ne correspond pas à nos attentes.

La création, elle aussi, devient un témoin silencieux de ce refroidissement de la charité : la terre est empoisonnée par les déchets jetés par négligence et par intérêt ; les mers, elles aussi polluées, doivent malheureusement engloutir les restes de nombreux naufragés des migrations forcées ; les cieux – qui dans le dessein de Dieu chantent sa gloire – sont sillonnés par des machines qui font pleuvoir des instruments de mort (…)

Je voudrais que ma voix parvienne au-delà des confins de l’Église catholique, et vous rejoigne tous, hommes et femmes de bonne volonté, ouverts à l’écoute de Dieu. »

Source: Texte: La Croix, 06/02/2018 Illustration: Zenit

 

 

 

 

Message du Pape François aux jeunes canadiens

Message du Pape François aux jeunes canadiens

L’Église catholique prépare le prochain synode des évêques sur les jeunes qui aura lieu dans un an, en octobre 2018, au Vatican. C’est le cas notamment au Canada où, dimanche 22 octobre 2017, la chaine de TV Sel et Lumière a programmé une émission spéciale pour aider les évêques canadiens à se préparer à cet événement. Le Pape François est intervenu dans un vidéo-message.

« Je vous demande de ne pas laisser [le monde] être abîmé par ceux qui pensent seulement à en profiter et à le détruire sans scrupules. Je vous invite à inonder les lieux dans lesquels vous vivez avec la joie et l’enthousiasme typiques de votre âge, à irriguer le monde et l’histoire avec la joie qui vient de l’Évangile, d’avoir rencontré une Personne : Jésus, qui vous a fasciné et vous a attiré à ses côtés ». C’est ainsi que le Pape François s’est adressé aux jeunes Canadiens.

Il a répété un de ses thèmes favoris quand il s’adresse aux plus jeunes : « Ne vous laissez pas voler votre jeunesse ». Il les a mis en garde contre ceux qui veulent les transformer en bâtisseurs de murs et source de division. Au contraire, les jeunes sont des « tisseurs de relations marquées par la confiance, le partage, l’ouverture jusqu’aux confins du monde ». Ils doivent construire des ponts.

Le Pape espère que les jeunes ont entendu l’appel de Dieu et que, grâce « à l’accompagnement de guides experts », ils sauront entreprendre un chemin de discernement pour découvrir le projet que Dieu a pour chacun d’eux.

François a souligné le besoin que l’Église a d’avoir des « jeunes courageux, qui n’ont pas peur devant les difficultés, qui affrontent les épreuves, qui tiennent les yeux et le cœur bien ouverts sur la réalité, pour que personne ne vienne refoulé, ne soit victime d’injustice, de violence, ou soit privé de la dignité de la personne humaine ». Le Pape se veut ainsi confiant dans la jeunesse d’aujourd’hui, dans le fait qu’elle ne restera pas sourde aux cris d’aide des nombreux autres jeunes qui cherchent la liberté, du travail, des études et la possibilité de donner un sens à leur vie.

« Laissez-vous atteindre par le Christ. Laissez-le vous parler, vous embrasser, vous consoler, guérir vos blessures, dissoudre vos doutes et vos peurs et vous serez prêts pour l’aventure fascinante de la vie, don précieux et impayable que Dieu dépose chaque jour dans vos mains », a encore exhorté le Pape.

Source: Texte: RV 23 octobre 2017  Images: la-croix.com  expatforum.com

Journée Mondiale du refus de la misère – 17 octobre

Le 17 octobre 1987, à l’appel du Père Joseph Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l’Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l’ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l’humanité à s’unir pour faire respecter les Droits de l’Homme. Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l’Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. On peut y lire l’appel du père Joseph:

« Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l’homme sont violés. S’unir pour les faire respecter est un devoir sacré. »

Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l’exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées : ainsi est née la Journée Mondiale du Refus de la Misère.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l’ONU, au nom d’un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté par l’assemblée genérale des Nations Unies. Depuis, les initiatives pour célébrer cette journée n’ont cessé de se multiplier. Dans de nombreux lieux, des rassemblements se tiennent également le 17 de chaque mois.

Un site à visiter : refuserlamisere.org      Source: Texte: Journée Mondiale    Image: https://www.atdquartmonde.ca/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-17-octobre/ATD Quart Monde

Journée Internationale de la non-violence – 2 octobre

En juin 2007, l’assemblée générale de l’ONU a décidé de célébrer la Journée Internationale de la non-violence le 2 octobre de chaque année, jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi.

Elle souhaitait par ailleurs rendre hommage à l’action de son ancien secrétaire général Kurt Waldheim, décédé le 14 juin de la même année.

La culture de la non-violence et de la paix
Dans sa réflexion, l’assemblée générale de l’ONU a proposé huit grands axes de travail qui sont:

  • le renforcement d’une culture de la paix par l’éducation
  • la promotion et le développement économique et social durable
  • la promotion et le respect de tous les droits de l’homme
  • l’égalité entre les femmes et les hommes
  • la participation démocratique
  • le développement de la compréhension, la tolérance et la solidarité
  • le soutien de la communication participative et de la libre circulation de l’information et des connaissances
  • la promotion de la paix et de la sécurité internationales
Un site à visiter : www.journeedelanonviolence.org     Texte : Journée Mondiale   Image : Gandhi : Political Violence at A Glance