image-i-nations trésor

Journée mondiale du travail invisible – 2 avril 2024

Donner de la visibilité à de l’invisible, tel est le challenge relevé par cette journée mondiale d’origine canadienne, célébrée depuis quelques années déjà*.

Mais qu’est-ce que le travail invisible ?

Si vous cherchez quelquechose de louche, de glauque, de honteux… vous n’y êtes pas du tout !

On parle habituellement du travail invisible dans le cadre familial avec le travail des mères de familles, essentiel et pourtant toujours aussi méconnu. Son qualificatif d’invisible lui vient du fait que sa valeur n’est pas reconnue ni comptabilisée dans les comptes nationaux comme par exemple le PIB (produit intérieur brut).

D’après l’association canadienne Afeas à l’origine de cette réflexion, on estimait déjà, en 1995, à 11 000 milliards de dollars américains la valeur annuelle du travail invisible et non rémunéré des femmes à travers le monde (source ONU).

Une journée pour donner de la visibilité

Difficile de changer le cours des choses en la matière… espérons tout de même qu’une telle journée permettra à tous de mieux comprendre et apprécier la valeur de ce travail « invisible ».

* la date retenue par l’Afeas est en principe le premier mardi de chaque mois d’avril. Ce qui fait que pour 2023 la journée est célébrée le 4 avril

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la radio – 13 février 2024

 In 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement

a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec  des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté

Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source: Texte: Journée mondiale     Image: Unsplash

À une époque marquée par la vitesse vertigineuse de l’innovation technologique et l’obsolescence rapide d’une nouvelle plate-forme brillante après l’autre, la radio entame son deuxième siècle de service en tant que l’une des formes de média les plus fiables et les plus utilisées au monde.

Proclamée en 2011 par les États membres de l’UNESCO et adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2012 comme Journée internationale des Nations Unies, le 13 février est devenue la Journée mondiale de la radio (JMR). La radio, en tant que technologie, science, moyen de communication et système de programmation d’éléments audio, remonte aux années 1800… on peut donc affirmer avec certitude que ce média en est déjà à son deuxième siècle.

Le thème de la Journée mondiale de la radio en 2024 met en lumière le passé remarquable, le présent pertinent et la promesse d’un avenir dynamique de la radio.

Source: Texte & Image: https://www.unesco.org/fr/days/world-radio

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La situation dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

(…)

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source: Texte (abrégé): Journée mondiale    Image: https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/journee-nationale-enfant

Journée mondiale des écrivains en prison – 15 novembre

Cette journée est organisée depuis 1981 afin d’attirer l’attention mondiale sur des écrivains et des journalistes dont le travail leur attire des représailles.

Il n’y a pas si longtemps, le 10 novembre 1995 très exactement, l’écrivain nigérian Ken SaroWiwa a été pendu pour avoir défendu les droits de son ethnie minoritaire dans une région d’agriculture et de pêche spoliée et dévastée par l’exploitation pétrolière. Ses convictions l’avaient amené à plaider jusque devant la Commission des Droits de l’Homme.

Ecrivain en danger

Le 15 novembre a lieu la Journée pour les Écrivains en prison, organisée par une dizaine de milliers de membres du P.E.N. International. Pour mémoire, fondée en 1921, l’association mondiale de poètes, de romanciers et de journalistes s’engage à défendre la libre circulation des idées entre toutes les nations, à promouvoir une littérature sans frontières et à s’opposer à toute restriction de la liberté d’expression. Au siège du P.E.N. International à Londres, le Comité des Ecrivains emprisonnés a recensé 775 cas de femmes et d’hommes de lettres persécutés et réprimés pour délit d’opinion pendant le premier semestre de l’an 2003. Nombre d’entre eux ont été arrêtés, torturés, emprisonnés ou contraints à l’exil. 22 personnes ont été tuées ou assassinées, 13 portées disparues. Le Comité a établi une liste non exhaustive des Etats à haut risque: Algérie, Bangladesh, Chine, Cuba, Iran, Birmanie, Syrie, Turquie, Vietnam…

Aussi, cette Journée pour les Ecrivains en prison, s’est-elle manifestée sous le signe de solidarité et de soutien envers tous les écrivains victimes de l’intolérance et de la dictature, sans oublier leurs familles harcelées, intimidées ou menacées.

Quelques chiffres…

Depuis novembre 2004, d’après le Comité de PEN International pour les écrivains en prison (WIPC), pas moins de 699 écrivains ou journalistes ont été attaqués, harcelés, enlevés, jetés en prison ou menacés de mort, 12 ont disparu, 28 ont été tués.

Pensons aux prisonniers d’opinion et de conscience qui n’ont pas le droit de chanter la Liberté de Paul Eluard, l’Espoir d’André Malraux, les Eloges – Exil, Pluies, Neiges, Vents… de Saint John Perse, entre sang et souffrance. Réduire les gens de lettres au silence, briser leur plume, confisquer et brûler leurs œuvres, c’est la pire des tortures.

Un site à visiter : pen-international.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale de commémoration des personnes victimes de violences en raison de leur religion ou convictions – 22 août

Journée internationale de commémoration des personnes victimes de violences en raison de leur religion ou convictions

En ce jour, nous réaffirmons notre soutien indéfectible aux victimes des violences fondées sur la religion et les convictions, et manifestons ce soutien en faisant tout ce qui est en notre pouvoir pour prévenir de telles attaques et en exigeant que les responsables soient amenés à répondre de leurs actes.

António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

Liberté, liberté chérie, combats avec tes défenseurs !*

La liberté de religion, la liberté de conviction, la liberté d’opinion, la liberté d’expression, sont inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. Ce n’est manifestement pas suffisant et ils sont très régulièrement bafoués, provoquant de par le monde leur cohorte de victimes. C’est pour cette raison que l’Assemblée générale de l’ONU a institué cette journée du 22 août dans sa résolution A/RES/73/296.

L’ONU souligne qu’il est essentiel de mener une action préventive globale au niveau local, en y associant l’ensemble des parties concernées, y compris la société civile et les communautés religieuses, fussent-elles représentantes de minorités.

Communautés persecutées

Suivant les pays, ce sont chacune des grandes religions qui se trouvent persécutées : Rohingyas birmans (musulmans), Coptes égyptiens (chrétiens) ou juifs irakiens en voie de disparition totale.

Malgré tout, ce sont les communautés chrétiennes qui sont le plus souvent maltraitées et persécutées dans de très nombreus régions du globe. Une prise de conscience semble cependant s’opérer autour des drames vécus par ces communautés et qui ont été longtemps passés sous silence.

* Claude Rouget de Lisle dans « la Marseillaise »

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2021

Journée Mondiale de la liberté de la presse

La Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste.

Ce séminaire s’est déroulé à Windhoek (Namibie) en 1991, et a conduit à l’adoption de la Déclaration de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes.La Déclaration de Windhoek exigeait l’établissement, le maintien et la promotion d’une presse pluraliste, libre et indépendante et mettait l’accent sur l’importance d’une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d’un État, ainsi que pour le développement économique. La Journée mondiale de la liberté de presse est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la Déclaration de Windhoek a été adoptée.

L’histoire

Même si l’on célèbre depuis 1993 la Journée mondiale de la liberté de presse, celle-ci s’enracine encore plus loin dans l’histoire des Nations Unies. En effet, il est stipulé, dans l’Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 que : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Aujourd’hui, dans le monde entier, le 3 mai est devenu l’occasion d’informer le public à propos des violations du droit à la liberté d’expression et le moment de se rappeler que plusieurs journalistes risquent la mort ou la prison en transmettant la nouvelle aux gens.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), qui coordonne chaque année les activités qui soulignent le 3 mai, la Journée mondiale de la liberté de presse, c’est :

  • une journée d’action, qui favorise et permet de mettre sur pied des initiatives qui visent la défense de la liberté de la presse.
  • une journée d’évaluation, afin de dresser le portrait de la liberté de la presse à travers le monde.
  • une journée de rappel, qui permet de rappeler aux États le respect des engagements qu’ils ont pris envers la liberté de la presse.
  • une journée d’alerte, pour alerter le public et accroître la sensibilisation à la cause de la liberté de la presse.
  • une journée de réflexion, pour stimuler le débat parmi les professionnels des médias sur les problèmes qui touchent la liberté de la presse et l’éthique professionnelle.
  • une journée commémorative en mémoire des journalistes qui ont perdu la vie pendant qu’ils exerçaient leur profession.
  • une journée d’appui envers les médias qui sont victimes de mesures qui entravent la liberté de la presse ou qui visent à l’abolir.

Une seul arme… la presse

La liberté de la presse est considérée comme une pierre angulaire des droits de la personne et comme une assurance que les autres droits seront respectés. Elle favorise la transparence et une bonne gouvernance et représente, pour la société, la garantie que régnera une véritable justice. La liberté de la presse est le pont qui relie la compréhension et le savoir. Elle est essentielle à l’échange d’idées entre les nations et les cultures, qui est lui-même une condition menant à une compréhension et à une coopération durables.

Un site à visiter : www.rsf.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale   2è image: L’Écho du Mardi

Journée internationale de la conscience – 5 avril

 Nous n’en avons pas toujours conscience (sic) mais cette journée, d’origine onusienne, devrait faire partie des incontournables du calendrier des journées mondiales.

Conscience de l’humanité

Dans son préambule, la déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité ».

Ou encore, dans l’article 1 de la même déclaration : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

Et l’objection du même nom ?

De plus en plus de tentatives de restreindre l’objection de conscience et empêcher les individus d’agir selon la leur (de conscience) se font jour. Une alerte que nous lançons, et pas seulement pour se donner bonne conscience, soyez-en certains !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Promouvoir une culture de la paix ancrée dans l’amour et la conscience

Dans son préambule, la Déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme ». L’article premier de la Déclaration vient encore renforcer cet argument en affirmant : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

La tâche assignée à l’Organisation des Nations Unies est de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Cette tâche appelle à une transition vers une culture de la paix, consistant en des valeurs, des attitudes et des comportements qui reflètent et favorisent la convivialité et le partage fondés sur les principes de liberté, de justice et de démocratie, tous les droits de l’homme, la tolérance et la solidarité, qui rejettent la violence et inclinent à prévenir les conflits en s’attaquant à leurs causes profondes et à résoudre les problèmes par la voie du dialogue et de la négociation et qui garantissent à tous la pleine jouissance de tous les droits et les moyens de participer pleinement au processus de développement de leur société.

Consciente de la nécessité de créer des conditions de stabilité et de bien-être et des relations pacifiques et amicales fondées sur le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, l’Assemblée générale a proclamé le 5 avril Journée internationale de la conscience (A/RES/73/329).

 

Source: Texte: https://www.un.org/fr/observances/conscience-day

Journée mondiale de la radio – 13 février 2021

Journée mondiale de la radio

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement

a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté

Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février 2020

 Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François.
Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées
Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action
Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

 

Source : Texte : Journée mondiale Image : Religious of the Sacred Heart

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Pape François… un journaliste?

Avant-hier, 2 juin, nous avons souligné la Journée mondiale des Communications Sociales – journée initiée par l’Église catholique à l’issue du Concile Vatican ll.
On se rappelle que l’an dernier le thème choisi par le Pape était : ‘les fausses nouvelles’ – nouvelles erronées inventées de toute pièce pour capter l’attention d’un public avide de sensation.

À la fin de mai cette année, le Pape a reçu en audience un groupe de journalistes de Rome appartenant à la Foreign Press Association.
Le Pape a alors déclaré : « La liberté de la presse et liberté d’expression est un indice important de la santé d’un pays.

Le Pape compte des journalistes parmi ses amis et il a donné un nombre exceptionnel d’entrevues à des groupes de ces professionnels.
Lors de sa rencontre avec eux la semaine dernière, il a assuré ses visiteurs qu’il considère leur travail comme étant très important puisqu’il contribue à la recherche de la vérité
et que « la vérité vous rendra libres (Jn.8:32).

De leur côté, les journalistes ont fait le Pape un membre de leur Association et lui ont donné une carte d’identité de journaliste dont le numéro est 5313!
 

Source : Information : The Tablet, 25 mai 2019   Image : comshalom.org