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Journée Mondiale de la ménopause – 18 octobre

Journée Mondiale de la ménopause

L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’en 2030, 1,2 milliard de femmes seront âgées de 50 ans ou plus et qu’un nombre croissant de ces femmes peut s’attendre à vivre plusieurs décennies après la ménopause.

Malheureusement, une durée de vie plus longue entraîne aussi une augmentation spectaculaire de l’incidence des maladies et des affections qui peuvent être associées à la perte d’œstrogènes au milieu de la vie. Ce jour, qui est la Journée Mondiale de la Ménopause, l’International Menopause Society (IMS) presse les nations de prendre des mesures actives pour éduquer les femmes concernant les implications de la ménopause pour la santé.

Honorer les femmes

La Journée Mondiale de la Ménopause a pour objectif d’honorer toutes les femmes. Elle vise les millions de femmes qui, partout dans le monde, arrivent chaque jour à ce stade vital de leur vie, même si bon nombre d’entre elles ne comprennent pas bien ce qu’est la ménopause et quels sont ses impacts sur leur santé.

Favoriser la recherche

Le défi que lance la Journée Mondiale de la Ménopause appelle toutes les nations à donner à la santé après la ménopause une place primordiale dans la recherche et la santé publique, afin d’aider les femmes à éviter les symptômes désagréables susceptibles d’affecter la productivité et la qualité de vie, et afin de réduire les taux d’ostéoporose, de maladies cardiaques, de cancer du côlon et autres maladies du vieillissement liées aux œstrogènes.

Un site à visiter : www.sante-sur-le-net.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale des femmes – 8 mars 2024

Dans un monde confronté à de multiples crises qui exercent une pression énorme sur les communautés, la réalisation de l’égalité entre les femmes et les hommes n’a jamais été aussi cruciale. Garantir les droits des femmes et des filles dans tous les aspects de la vie est le seul moyen de bâtir des économies justes et prospères et de préserver une planète saine pour les générations de demain.

L’un des principaux obstacles à la réalisation de l’égalité des sexes d’ici 2030 est le manque alarmant de financement, avec un déficit annuel vertigineux de 360 milliards de dollars US pour les dépenses consacrées aux mesures en faveur de l’égalité des sexes.

L’heure du changement a sonné ! Rejoignez-nous le 8 mars 2024 pour la Journée internationale des femmes et mobilisez-vous autour du thème « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme ».

Journée internationale des femmes 2024 : ‘Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme’

Prenez position et participez au débat avec le hashtag #InvestirDanslesFemmes. Voici cinq axes clés qui nécessitent une action commune pour éviter que les femmes ne soient laissées pour compte :

Investir en faveur des femmes : une question de droits humains

Le temps presse. La réalisation de l’égalité des sexes reste le principal défi en matière de droits humains. Investir en faveur des femmes est un impératif pour les droits humains et la clé de voûte d’une société inclusive. Les progrès en faveur des femmes profitent à tous.

Mettre fin à la pauvreté

La pandémie de COVID, les conflits géopolitiques, les catastrophes climatiques et les bouleversements économiques ont plongé 75 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté depuis 2020. Plus de 342 millions de femmes et de filles pourraient ainsi vivre sous le seuil de pauvreté d’ici à 2030, d’où l’importance d’une action immédiate.

Mettre en œuvre un financement tenant compte du genre

Du fait des conflits et de la hausse des prix des carburants et des denrées alimentaires, des estimations récentes indiquent que 75 % des pays réduiront leurs dépenses publiques d’ici 2025. L’austérité a des répercussions négatives sur la situation des femmes et affaiblit les dépenses publiques consacrées aux services publics essentiels et à la protection sociale.

Passer à une économie verte et une société de soins 

Le système économique actuel exacerbe la pauvreté, les inégalités et la dégradation de l’environnement, autant de phénomènes qui affectent de façon disproportionnée les femmes et les groupes marginalisés. Les défenseurs de modèles économiques alternatifs proposent de passer à une économie verte et une société de soins, qui fait davantage entendre la voix des femmes.

Soutenir les agents de changement féministes

Les organisations féministes prennent la tête de la lutte contre les inégalités et la pauvreté des femmes. Malheureusement, elles tournent à vide, puisqu’elles ne perçoivent que 0,13 pour cent du total de l’aide publique au développement.

 

Source: Texte: https://www.unwomen.org/fr     Image: https://www.hautsdefrance.fr/

Journée internationale des femmes – 8 mars

Commençons par l’intitulé de cette journée. L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. Bien entendu la différence n’est pas anodine et nous laissons chacun (et chacune) se positionner selon ses préférences. Nous avons choisi de garder l’intitulé des Nations Unies mais nous n’en faisons ni une prise de position politique ni un casus belli avec les militantes les plus virulentes…

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis  des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde  industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitaleA découvrir !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte:  Journée Mondiale    Images: www2.gnb.ca   Bonnes Images   

Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA – 1 décembre 2022

« Notre stratégie pour l’avenir doit être de donner aux femmes les moyens d’agir dans ce combat. Les véritables héros de cette guerre, c’est parmi elles qu’il faut les chercher, et il nous appartient de leur fournir l’arme de l’espoir. » Extrait du message de M. Kofi Annan, Secrétaire général de l’ONUEn 1988, l’Assemblée générale avait exprimé sa vive préoccupation devant la pandémie de sida. Notant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi la date du 1er décembre 1988 comme Journée mondiale du sida, l’Assemblée a souligné l’importance de cette manifestation (résolution 43/15). Aujourd’hui, plus de 36 millions de personnes sont séropositives et sidéennes. La journée mondiale de lutte contre le SIDA n’est pas la seule occasion de revenir sur ce dossier brûlant, mais en insistant sur le fait que nous devons être tous ensemble contre le SIDA, elle a toute sa place dans le calendrier des journées internationales.

La mobilisation doit rester entière

En 2022, la journée a pour thème « Poussons pour l’égalité ». Cette année, lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida, l’ONUSIDA nous enjoint à agir. Il nous incite toutes et tous à œuvrer en faveur des actions concrètes qui ont fait leurs preuves et qui sont nécessaires pour lutter contre les inégalités et aider à mettre fin au sida.

La menace du sida plane toujours sur l’humanité 40 ans après le signalement des premiers cas de sida. Aujourd’hui, l’engagement de mettre fin au sida à l’horizon 2030 a pris du retard, retard essntiellement lié à des inégalités structurelles qui entravent les solutions efficaces de prévention et de traitement du VIH.

De son coté, l’église catholique s’investit depuis de nombreuses années auprès des personnes atteintes par cette maladie.
« J’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais malade, et vous m’avez visité ». En cette journée mondiale de lutte contre le sida, l’évangile selon saint Matthieu prend une résonance toute particulière. Mais de quelle réalité parle-t-on ? Près de trois séropositifs sur cinq dans le monde (21,7 millions sur 36,9 millions au total) prennent désormais des traitements antirétroviraux, soit la plus haute proportion jamais atteinte, d’après le dernier rapport de de l’Onusida.

Combler l’écart

En 2017, 940.000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au sida. À titre de comparaison, au pic de l’épidémie en 2005, 1,9 million de décès dans le monde étaient liés au sida. Continuons la lutte.

Un site à visiter : www.unaids.org    Source: Texte: Journée mondiale   Image: Réseau In-Terre-Actif

Journée internationale des femmes – 8 mars 2022

Commençons par l’intitulé de cette journée. L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. Bien entendu la différence n’est pas anodine et nous laissons chacun (et chacune) se positionner selon ses préférences. Nous avons choisi de garder l’intitulé des Nations Unies mais nous n’en faisons ni une prise de position politique ni un casus belli avec les militantes les plus virulentes…

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis  des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitaleA découvrir !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte:  Journée Mondiale   Images: www2.gnb.ca   abidjan.net

Journée mondiale de prière – 4 mars 2022

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.

La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

2022, en lien avec tous les éxilés

La célébration 2022 est basé sur la lettre que le prophète Jérémie a écrite aux exilés en Babylonie. Les exilés se trouvaient dans un contexte de souffrance, d’incertitude et de points de vue opposés sur la façon de réagir au moment présent.

Un site à visiter : journeemondialedepriere.fr   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février 2022

Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François.

Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées

Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action

Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

Source: Texte: Journée Mondiale

 

La huitième journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite des personnes, du 8 février 2022, a pour thème « Le pouvoir de la sollicitude – les femmes, l’économie et la traite des personnes ».

Le thème est choisi dans la continuité de l’année précédente où nous avons commencé à réfléchir sur le lien entre l’économie et la traite des personnes. L’édition 2022 propose de mettre l’accent sur les femmes. Ce sont elles qui sont les plus touchées par la violence de la traite. En même temps, elles ont un rôle fondamental et important dans le processus de transformation de l’économie d’exploitation en une économie de soins.

 

Source: Texte & 1ère image: preghieracontratratta.org    2è image: Conférence religieuse canadienne

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

 

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La situation dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

(…)

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale 

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 19 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes (www.woman.ch) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant, célébrée – elle – le 20 novembre. Elle a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place plus grande sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • Art. 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • Art. 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année sur tous les continents

Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Faisons oeuvre de pédagogie

De nombreuses associations défendent aujourd’hui la cause des enfants un peu partout dans le monde et nous ne pouvons les citer toutes. Notre attention a cependant été attirée par l’une d’elle, misant sur la pédagogie et la capacité des enfants eux-mêmes à réagir contre les abus : Grandir en sécurité (avec Sima le chien). Savoir / Agir / Aider, tel est le chemin proposé dans leur site, que nous vous invitons à découvrir.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Images: Journée mondiale

Journée mondiale des compétences des jeunes – 15 juillet 2021

Journée mondiale des compétences des jeunes

En 2014, l’Assemblée générale des Nations Unies proclamait que le 15 juillet serait désormais célébrée la Journée mondiale des compétences des jeunes. L’idée était de mettre en lumière l’importance de la transmission aux jeunes générations des compétences nécessaires à l’emploi, à l’obtention d’un travail décent et à l’entrepreneuriat.

Réimaginer les compétences des jeunes après la pandémie

La Journée mondiale des compétences des jeunes 2021 va se dérouler dans un contexte plus que difficile, du à la persistance de la pandémie de COVID-19 et les bouleversements qu’elle implique dans le monde de l’enseeignement technique et professionnel.

Une journée essentielle pour les jeunes du monde entier

La hausse du chômage chez les jeunes est une donnée incontournable de nos économies, que ce soit dans les pays dits développés ou dans les pays en développement.

Le nombre de jeunes actuellement non scolarisés, sans emploi ni formation* augmente, et les jeunes femmes sont deux fois plus susceptibles d’être concernées que leurs homologues masculins, souligne le dernier rapport publié en 2020 par l’Organisation internationale du Travail.

* on les appelle parfois les NEET, acronyme directement issu du terme anglais utilisé : Not in Employment, Education or Training.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale