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13th Sunday of Year B

The world of cinema production and that of the theater allow us to witness human experiences that often depict our own personal emotions.
Watching a film, or seeing the actors evolve on the scene, can be powerful means of… introspection and self-knowledge.

For my part, I feel that the same can be said of… some texts of the gospel!
You are surprised at this statement?
Today’s gospel (13th Sunday of Year B – Mk.5:21-43) is a good example of this.
The woman we meet there – interrupting Jesus’ walk to Jairus’ house – is a fascinating study in human experience.

Suffering, shame, faith, hope, courage – you can find all of these in her.
For years, 12 years in fact, she has been spending her money going from one doctor to another in search of help.
But her condition, far from improving, has got worse.
She is at a loss as to what to do to find some relief.

The cause of her affliction is a source of shame and she does not want to reveal it.
She decides on a course of action all at once daring and discrete:
she will try to touch the hem of Jesus’ cloak.
Only that – she is convinced that it is enough.

And it is! For her touch is born out of FAITH in the power of Jesus to make her well.

Then, Jesus asks a question that his disciples judge pointless:
how can he ask who touched him when a crowd is surrounding him on all sides?
But Jesus wants something more than healing for the woman –
he wants everyone to know of her faith and courage.
That the source of her shame may become source of joy.
Her desolation may become exultation!

This is God’s way, God’s overwhelming compassion and true understanding of our human suffering.

Source : Images : aishamydaughter.org   cisphil.org  

Note: Another reflection on a different theme is available in English at: https://image-i-nations.com/13e-dimanche-de-lannee-b/

Journée Mondiale des troubles bipolaires – 30 mars

Certaines journées mondiales semblent avoir bien du mal à se faire une place dans notre environnement médiatique surchargé. La journée consacrée aux troubles bipolaires, lancée en France en 2014, en fait partie.

Vous, je sais pas, mais moi, cela me déprime…

Une [tentative de] définition
Ils ont longtemps été connus sous le nom de troubles maniaco-dépressifs. Cette pathologie reste cependant très méconnue et souvent tabou. Tabou parce que beaucoup de personnes atteintes n’osent pas avouer à leurs proches que leurs émotions sont « démesurées », qu’elles passent alternativement d’un état d’excitation anormale (proche de l’euphorie) à un état léthargique (complètement dépressif!).

1 à 2 % de la population souffrirait de la forme majeure de la maladie.
Dans la moitié des cas, ces troubles seraient associés à des pratiques addictives et ils seraient à l’origine du quart des tentatives de suicide.

Une cause avérée de suicide
Le corps médical semble tomber d’accord pour affirmer que ces troubles ne surviennent que si trois facteurs de risque sont réunis:

  • une terrain génétique propice,
  • une hypersensibilité générale,
  • l’existence d’événements graves comme facteur déclenchant.

La recherche progresse
Les chercheurs ont pu établir que l’apparition de la maladie était favorisée par la présence d’un certain nombre de gènes (une quinzaine ont déjà été identifiés).

La mise au point de traitements progresse de son coté, et même si les médicaments ne peuvent pas tout, ils permettent de stabiliser de nombreux malades. Par contre, les antidépresseurs sont à manier avec précaution, car ils risquent d’aggraver le mal.

La journée mondiale des troubles bi-polaires fournit une occasion réver de parler un peu plus de cette maladie et sensibiliser les instances concernées par son traitement. En 2015, l’association France Dépression y a largement apporté son concours. Les choses bougent.

Un site à visiter : www.clubhousefrance.org.
Source: Texte: http://www.journee-mondiale.com/430/journee-mondiale-des-troubles-bipolaires. Image: fr.fotolia.com

 

Journée mondiale de la Schizophrénie – 17 mars

En 2018, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 15ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! La « journée » se déroulera donc du 17 mars au 24 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure. De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.
La schizophrénie perturbe souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
Etre submergée par des idées étranges
Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Mais la Schizophrénie n’est pas :

Un dédoublement de la personnalité
Causée par des parents négligents ou dominateurs
La conséquence d’une expérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : www.info-schizophrenie.ch    Source : Texte & Image : http://www.journee-mondiale.com

Sauver les apparences… ou…

Sauver les apparences…
Certains y mettent beaucoup d’énergie et les Pharisiens étaient de ceux-là.
L’évangile du mardi de la 2è semaine de Carême (Mt.23:1-12)
a des paroles sévères à ce sujet.
Quant à Francine Robillard, elle a découvert une autre voie.
Elle nous la partage dans cette courte vidéo.
 

World Bipolar Day – 30 March

Like many mental illnesses, bipolar has become a flippant by-word to describe an unpredictable, emotional person. But for the millions of people who deal with themisunderstood condition, bipolar is not a joke.

On World Bipolar Day, those living with the disease, as well as the health experts and charities who help them help to cope, raise awareness of the disease.

Nia Charpentier from Rethink Mental Illness told The Independent: “Bipolar disorder causes your mood to swing from high (mania) to low (depression). Everyone experiences changes in mood but when you have bipolar, the symptoms are severe, affecting all areas of life.

“Bipolar disorder is often misunderstood. Awareness raising is absolutely crucial to reduce the stigma that surrounds it, we know many people with mental illness say the discrimination and prejudice they face can be worse than the illness itself.

“Alongside this, people with Bipolar need a mental health service that’s fit for purpose. For too long support for mental ill health has been the Cinderella service, neglected and underfunded.”

Source: Text: Independent  Image: Pinterest

Journée Mondiale des troubles bipolaires – 30 mars

Certaines journées mondiales semblent avoir bien du mal à se faire une place dans notre environnement médiatique surchargé. La journée consacrée aux troubles bipolaires, lancée en France en 2014, en fait partie.

Vous, je sais pas, mais moi, cela ma déprime…

Une [tentative de] définition
Ils ont longtemps été connus sous le nom de troubles maniaco-dépressifs. Cette pathologie reste cependant très méconnue et souvent tabou. Tabou parce que beaucoup de personnes atteintes n’osent pas avouer à leurs proches que leurs émotions sont « démesurées », qu’elles passent alternativement d’un état d’excitation anormale (proche de l’euphorie) à un état léthargique (complètement dépressif !).

1 à 2 % de la population souffrirait de la forme majeure de la maladie.
Dans la moitié des cas, ces troubles seraient associés à des pratiques addictives et ils seraient à l’origine du quart des tentatives de suicide.

Une cause avérée de suicide
Le corps médical semble tomber d’accord pour affirmer que ces troubles ne surviennent que si trois facteurs de risque sont réunis:

– une terrain génétique propice,
– une hypersensibilité générale,
– l’existence d’événements graves comme facteur déclenchant.

La recherche progresse
Les chercheurs ont pu établir que l’apparition de la maladie était favorisée par la présence d’un certain nombre de gènes (une quinzaine ont déjà été identifiés).
La mise au point de traitements progresse de son coté, et même si les médicaments ne peuvent pas tout, ils permettent de stabiliser de nombreux malades. Par contre, les antidépresseurs sont à manier avec précaution, car ils risquent d’aggraver le mal.

La journée mondiale des troubles bi-polaires fournit une occasion réver de parler un peu plus de cette maladie et sensibiliser les instances concernées par son traitement.

Un site à visiter : www.clubhousefrance.org   Source: Texte: Journée Mondiale   Image: Health.com

Journée Mondiale de la fibromyalgie – 12 mai

fibromyalgieLa Fibromyalgie est reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé depuis 1992. L’objectif de cette journée est de sensibiliser les gouvernements, les institutions et les media sur la situation des personnes qui souffrent de ces maladies orphelines (c’est à dire, sans traitement, ni prise en charge, et incurable dans l’état actuel des connaissances et des moyens). Cet événement est mené dans 29 pays.

Historique
Née le 12 mai 1820 en Grande-Bretagne, Florence Nightingale exerçait le métier d’infirmière lorsqu’elle a contracté une forme grave du Syndrome de Fatigue Chronique et de Fibromyalgie vers l’âge de 35 ans. Elle a passé quasiment les cinquante dernières années de sa vie clouée au lit. Malgré sa maladie, Florence Nightingale est à l’origine de la Fondation de la Croix Rouge Internationale, et elle a également fondé la première école d’infirmières. Elle représente un symbole fort de résistance et de lutte contre la maladie. C’est pourquoi cette date symbole du 12 mai.

Qu’est-ce que la fibromyalgie ?
Maladie chronique, caractérisée par une sensation de douleur générale diffuse ou de brûlure de la tête aux pieds, avec un sentiment de fatigue profonde, sans lésion. Une condition douloureuse pouvant devenir invalidante.
Cette maladie affecte 3% de la population.

Elle atteint surtout les femmes, 9 malades sur 10 sont des femmes principalement entre 35 et 45 ans, touchées en pleine période professionnelle.
On retrouve souvent:
Un sommeil non reposant ; fatigue et raideur au lever ;
Des maux de tête  » ordinaires  » ou fortes migraines ;
Des troubles digestifs, diarrhées et/ou constipation, ballonnements et/ou nausées ;
Des troubles génito-urinaires ;
Des états dépressifs ou d’anxiété (plus souvent la conséquence que la cause de la fibromyalgie).

Ces symptômes sont aggravés par le stress, les émotions, par un manque ou excès d’activité physique ou par un travail trop contraignant ou des tâches répétitives.

Un site à visiter : www.fibromyalgiesos.fr   Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée Mondiale des troubles bipolaires – 30 mars

ImpressionCertaines journées mondiales semblent avoir bien du mal à se faire une place dans notre environnement médiatique surchargé. La journée consacrée aux troubles bipolaires, lancée en France en 2014, en fait partie. Vous, je sais pas, mais moi, cela ma déprime…

Une [tentative de] définition
Ils ont longtemps été connus sous le nom de troubles maniaco-dépressifs. Cette pathologie reste cependant très méconnue et souvent tabou. Tabou parce que beaucoup de personnes atteintes n’osent pas avouer à leurs proches que leurs émotions sont « démesurées », qu’elles passent alternativement d’un état d’excitation anormale (proche de l’euphorie) à un état léthargique (complètement dépressif !).

1 à 2 % de la population souffrirait de la forme majeure de la maladie. Dans la moitié des cas, ces troubles seraient associés à des pratiques addictives et ils seraient à l’origine du quart des tentatives de suicide.

Une cause avérée de suicide
Le corps médical semble tomber d’accord pour affirmer que ces troubles ne surviennent que si trois facteurs de risque sont réunis:
– une terrain génétique propice,

une hypersensibilité générale,
l’existence d’événements graves comme facteur déclenchant.

La recherche progresse
Les chercheurs ont pu établir que l’apparition de la maladie était favorisée par la présence d’un certain nombre de gènes (une quinzaine ont déjà été identifiés). La mise au point de traitements progresse de son coté, et même si les médicaments ne peuvent pas tout, ils permettent de stabiliser de nombreux malades. Par contre, les antidépresseurs sont à manier avec précaution, car ils risquent d’aggraver le mal.

La journée mondiale des troubles bi-polaires fournit une occasion rêvée de parler un peu plus de cette maladie et sensibiliser les instances concernées par son traitement. En 2015, l’association France Dépression y a largement apporté son concours. Les choses bougent.

Un site à visiter : www.clubhousefrance.org   Source: Texte: Journée mondiale  Image: Journée mondiale troubles bipolaires

NOËL, parlons-en un peu

Noël, en cette période, tout le monde en parle! Les magasins font une publicité parfois agressive! Les annonces à la radio et à la télévision nous invitent aussi à nous procurer et à offrir un tas de choses qui nous attirent, il faut bien l’avouer. On pense aux choses à préparer pour les repas, la liste des gens qu’il ne faut pas manquer d’inviter, les décorations à compléter, et quoi encore?

Dans la vidéo qui suit, un groupe d’ami/es parlent aussi de Noël mais… d’une manière différente. Écoutons-les.