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Parabole peu connue mais…

Notre manière de traiter les autres – ou de les ignorer –
en dit long sur nous-mêmes et… sur ce qui nous attend…
Comme l’évangile du jeudi de la 2è semaine du Carème le démontre (Luc 16:19-31).
Utilisant une parabole peu connue Jacques Miller
nous présente un message inspirant.

Les Mages… d’où viennent-ils?

Les Mages que nous rencontrons dans l’évangile de cette fête de l’Épiphanie ont une longue histoire aux détails colorés et divers selon les multiples légendes qui les entourent.
Alors qu’ils visitent le Nouveau-Né, ils sont reconnus comme des personnages distingués qui offrent des présent de valeur: or, encens et myrrhe.

Le texte de la bible ne dit pas qu’ils étaient trois, ni qu’ils étaient des rois, et ne mentionne pas non plus leurs noms.
Mais, au long des siècles, des légendes se sont multipliées à leur sujet.
Il semblerait que l’identité qu’ils ont assumée au cours des siècles leur provienne de la Perse (l’Iran d’aujourd’hui).
La religion de ce pays avait des prêtres renommés comme spécialistes en astrologie et c’est la personnalité qu’on a donnée aux Mages que nous connaissons.

La tradition qui leur attribue la royauté se précise vers l’an 500 AD et les identifie comme Melchior, un savant de la Perse et roi de ce pays.
Gaspard, un savant de l’Inde, lui aussi roi de son pays.
Et Balthazar un savant de Babylone et roi d’Arabie.

Les écrits qui soulignent leur statut royal pourraient trouver leur inspiration des textes bibliques comme ceux d’Isaïe 63:3 et des Psaumes 68:29 et 72:11.

Une légende voudrait qu’ils aient été baptisés par l’apôtre Thomas en route vers l’Inde.
D’autres écrits indiquent que leurs dépouilles ont été retrouvées par Sainte Hélène et apportées à Constantinople d’où ces reliques ont été acheminées vers l’Allemagne et se trouvent maintenant dans le sanctuaire des Rois dans la cathédrale de Cologne.

La propension bien humaine à vouloir des précisions additionnelles ajoute des anecdotes intéressantes différentes de celles déjà  mentionnées.

Gaspard est le plus âgé avec une barbe blanche; c’est lui qui présente l’or; il est connu comme le roi de Tarse, pays de commerçants sur la côte Méditerranéenne de la Turquie moderne. Il est le premier à s’agenouiller devant le Christ. Melchior serait d’âge moyen natif d’Arabie; il est celui qui offre l’encens. Alors que Balthazar, un jeune homme à la peau noire, viendrait de Saba (le sud du Yemen de nos jours), ou encore d’Éthiopie, et lui présenterait la myrrhe.


L’une des plus anciennes représentation
des Mages sur un sarcophage. (3è siècle)(Musée du Vatican)

                                                                                                                                                                            Mosaïque Byzantine (vers 565)                                                                            Basilique de St-Apollinaire, Ravenne         Herrad of Landsberg (12è s.) 

Source: Information (traduction par l’auteur)  Images: Wikipedia

Note: D’autres textes sont disponibles pour cette fête de l’Épiphanie à: https://image-i-nations.com/fete-de-lepiphanie-annee-b/

Mages: Savants?… Chercheurs?…

Un autre texte est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-epiphany-year-b/

 

 

 

 

 

 

 

Journée internationale de la Bible – 24 novembre

La journée internationale de la Bible est une initiative originaire des Etats-Unis et plus particulièrement de l’association de la Bible qui a souhaité promouvoir cette journée à partir du 24 novembre 2014.

Il faut bien garder à l’esprit cette origine américaine pour comprendre cette journée dont le but est d’encourager la lecture de la Bible. L’intention affirmée est clairement prosélyte et les organisateurs n’hésitent pas à affirmer qu’il s’agira également d’une occasion de réunir ceux qui aiment Dieu et veulent Le remercier.

De Saint Jérôme à la journée mondiale…

Une autre journée mondiale fait une référence explicite à la bible. Il s’agit de la Journée mondiale de la traduction fêtée le jour de la Saint Jérôme, saint patron des traducteurs et premier traducteur de la bible en latin.

 

Note: Dans une vidéo, David Minier nous partage sa découverte… de la Bible à:   https://image-i-nations.com/journee-mondiale-de-bible-oui/

 

Un site à visiter : www.christianismeaujourdhui.info. Source: Texte & Image: Journée Mondiale 

International Day of the Bible – 24 November

The First ‘International Day of the Bible’ was launched on November 24, 2014. Bible ministry groups across the country are asking people to read or promote scripture publicly or online at noon on Nov.24 in what’s been dubbed the first International Day of the Bible.

« This is a very simple act of faithfulness and honor to God about His word, » Richard Glickstein, president of the National Bible Association, told The Christian Post. « God’s word is meant to encourage us and bring us personal hope, but it is also meant to bring us together to realize that this is such a great gift … and trust that He can change our world through it. The words of God changed my life and continues to. It’s not our event, we hope it’s an event for the body of Christ and those who love God, come together and thank Him. »

The day is being sponsored by the National  Bible Association along with support from the American Bible Society and the YouVersion Bible app.

Source: Text: Amanda Casanova | Religion Today Contributing Writer | Friday, November 7, 2014. Image: American Bible Society

 

 

Une ‘Journée internationale de la Bible’, oui…

Ça peut paraître étonnant mais c’est bien vrai:

il y a une journée internationale de la Bible.

La Bible – une vraie bibliothèque – recèle des trésors de toutes sortes.

David Minier nous guide pour en faire la découverte.

Feast of the Transfiguration, Year A *

* (This feast takes the place of the 18th Sunday of Year)

The gospel of this Sunday (Feast of the Transfiguration, Year A – Mt.17:1-9) presents us with a scene that is rather unusual in the life of Jesus.
It is no wonder that the apostles are startled and even Peter is lost for words.

The sight of Moses and Elijah present with Jesus – a Jesus so resplendent with light – is already an amazing apparition.
But suddenly there is more: the apostles are covered with a bright cloud and from within comes a voice.
Their reaction is immediate: “They fell on their faces overcome with fear.”

Throughout the Bible, this seems to be the spontaneous reaction of human beings when God comes close to them.
Strange but true: the proximity of God which should be a source of comfort and security is experienced as overwhelming and frightening…

Today’s gospel text goes on saying:
“Jesus came and touched them and said, ‘Do not be afraid’.

It is said that these very words (or their equivalent: “Fear not”) is repeated 365 times in the Bible.
Yes, as many times as there are days in the year!
It appears that it is a lesson we have never finished learning – not to fear anything, and especially NOT God’s close presence!

God’s people throughout their history, God’s friends and God’s messengers – all needed to learn it:
Moses, Joshua, Isaiah, Jeremiah, Mary: Jesus’ mother herself, Jesus’ disciples, the apostle Paul, to mention but a few.

Perhaps… our own names could be listed as well for we share the same need, do we not?…

Source: Images: Pinterest, tapistryministry,org

 

 

15è dimanche de l’année, A

Les traductions des textes de l’Évangile varient et cela est souvent positif et nous enrichit.
Dans l’un des textes de l’évangile de ce dimanche (15è, année A – Mt.13 :1-23)
Jésus commence sa parabole en disant :

« Imaginez le semeur… »

Imaginez!… L’imagination peut nous être un outil précieux pour visualiser, en quelque sorte, les scènes de l’évangile.
Au temps de Jésus, un semeur n’avait pas la machinerie compliquée et précise qu’offre l’agriculture moderne.
La méthode du semeur de la Bible ne ressemblait en rien à celle d’aujourd’hui.

Muni de grains enfouis dans un sac porté en bandoulière, on peut le voir marcher à travers son champ.
D’un geste large, il jette au loin les poignées de grain qu’il a puisé dans son sac.
Et le grain tombe ici et là, tout près et au loin, dans toutes sortes de terrain – propice ou… pas!

Jésus décrit d’abord la scène, puis il semble s’arrêter.
Les apôtres ne sont pas satisfaits, ils ne sont pas certains de bien interpréter le message.
Alors ils demandent à Jésus d’expliquer davantage.
Ils pressentent que Jésus parlant de sol rocailleux ou plein de ronces fait allusion à un terrain bien différent.
Jésus explique alors le sens profond de ses paroles.

Quatre terrains, quatre groupes de gens, quatre façons d’accueillir le message de Dieu.

Et, toujours en imagination, j’ajoute une note personnelle à la scène évangélique…
J’imagine Jésus dire à ses auditeurs – ceux de son temps et… du nôtre, nous qui l’écoutons maintenant :
‘Dans quel groupe vous trouvez-vous?’

  • Le sol où le grain tombé en surface a aussitôt disparu…
  • Le sol sans profondeur où le grain est vite desséché…
  • Le sol où le grain est assailli par les épines et étouffé…
  • Le sol qui produit selon sa nature et sa mesure…

À ce moment-là, confrontée par cette question-là, je ne vois plus le semeur mais… mon cœur…

Un coeur si souvent en proie à la distraction, à l’invasion des soucis et la séduction des richesses de tous genres.
Un cœur dont la nature et mesure ont été étriquées peut-être…

Une vie dont le rendement est bien minime si on le compare aux dons reçus… en continu… par le Semeur si généreux, si prodigue, et qui attend toujours une moisson qui devrait être plus abondante…

À l’écoute du Semeur, l’imagination aidant… je perçois et je reçois le message et… je me mets à l’oeuvre!

Source: Image: Free Bible images
 

Feast of the Holy Trinity, Year A

If you mention the word ‘TRINITY’ to a group of theologians, or to some Scripture scholars, they will probably give you some lengthy explanations.
Exegetes, theology professors, spiritual authors will probably do the same.
Definitions and explanations, are their domain.
Expounding on concepts and themes is very much part of their expertise. 

Strangely enough, if you look for the word ‘TRINITY’ in the Bible, you will NOT find it!
You may think that it is amazing but it is true.
This word came to be used in the Christian language only late in the fourth century.
It was at that time that this term was used to express the faith of Christian believers.

But, you will find, yes, you will discover in the New Testament, the expression of this REALITY of a God who is one and who manifests Itself (this pronoun is not masculine or feminine) in three Persons.

It is in the chapters 14 to 17 of the gospel of John that we can perceive this most clearly.
There, we hear Jesus repeatedly speaking of the FATHER and of the SPIRIT as being one and himself being one with them.

The first reading of this feast of the Holy Trinity (Ex.34:4-6,8-9) tells us that God is “a God of tenderness and compassion, rich in kindness and faithfulness.”
So, what we celebrate on Trinity Sunday is this tenderness and compassion reaching us in a fatherly way, in the brotherly way of a Saviour, in the way of One who is our Advocate – for this is what they are to us and for us: the Father, the Son and the Spirit.

What more could be said?

Source: Image: Pinterest

Saviez-vous que?…

Le saviez-vous?…

La Bible est disponible dans 648 langues et 44 de ces traductions offrent la Bible complète en Braille.

La United Bible Societies (UBS) a des membres dans plus de 200 pays et territoires.

On estime que l’an dernier 61 traductions ont été faites pour la Bible en son entier ou pour certaines sections de ce livre; ces traductions récentes sont celles en certaines langues parlées au Burkina Faso, au Cameroun, en Ouganda et en Zambie ainsi que pour certains groupes ethniques de l’Inde et de Myanmar.

Source: Texte traduit et adapté: The Tablet, 6 May 2017  Images: Rebekah R. Jones; algarabianinos.com