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Fête de la Nativité du Seigneur, année A – 2022-2023

Tellement ordinaire…

La naissance d’un enfant…
Un nouveau-né dans les bras de sa mère…
Un petit être dépendant…
Un tout-petit emmailloté, attendant sa   tétée…

 

 

Tellement extraordinaire…

Dieu-Enfant…
Dieu dans les bras d’une mère humaine…
Dieu dépendant…
Dieu attendant…

C’est Lui le Dieu de Noël…

À l’aube des temps, il avait donné une nature humaine à un être créé par lui.
Il l’avait revêtu de chair et lui avait insufflé son propre souffle.

 

Et voilà qu’il s’approprie maintenant cette nature humaine et se revêt de chair.
L’apôtre Jean résume en ces mots cette aventure divine – cette RÉALITÉ invraisemblable mais VRAIE:

« Le Verbe était Dieu…
Le Verbe s’est fait chair. »    (Jean 1:1,14)

Et l’invraisemblable se continue…

« À tous ceux qui l’ont accueilli,
Il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu. »   (Jean 1:13)

Les mots sont impuissants à traduire

  • ce que Dieu était
  • ce que Dieu est devenu
  • ce que Dieu a fait
  • ce que nous sommes, en devenir…

Contemplation, adoration…
Silence dans la présence à Sa Présence…
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-nativity-of-the-lord-year-a-2022-2023/

 

Source: Images: Unsplash     123RF

2nd Sunday of Easter, Year B – 2021

Thomas, the apostle, has been blamed and praised probably in equal measure!
We meet him in the second part of today’s gospel (Jn.20:19-31).
It is obvious that he could speak his mind and was not easily influenced by other people.

His companions tell him that they have seen Jesus, yes, the Lord who is risen.
To Thomas, what the other apostles claim is simply impossible, it cannot be.
He will not accept such a thing, they are dreaming.
To him, his friends are mistaken, they take their hopes for reality.
Thomas tells them clearly:

“Unless I see the mark of the nails in his hands,
and put my finger in the mark of the nails,
and my hand in his side,
I will not believe.”
 
One week goes by…
One week of denying… questioning himself… weighing possibilities…
Recognizing the impossibility… and then…

Recognizing the Lord himself!
A recognition that expresses itself in words that Christians have been repeating for centuries.
“My Lord and my God!”
 
From disbelief to adoration!

Thomas’ journey… which could be mine…

 

Note: Another reflection on a different theme is available in French at: https://image-i-nations.com/2e-dimanche-de-paques-annee-b-2021/

Thomas introduces himself in the following video at: https://youtu.be/kp1eb-oBH6w

  

Source: Image: Twitter St. Mary’s School

Fête de l’Épiphanie, année C

« C’est la fête des Rois » dit-on. C’est ainsi que l’on désigne parfois la célébration d’aujourd’hui – la fête de l’Épiphanie.

Il faut dire que le récit offre quelque chose d’exotique, de féérique, de magique même – ne parle-t’on pas des ‘Mages’ ?!

Sans oublier, évidemment, son aspect biblique et théologique.

Et… le symbolique, alors… au cœur de cette fête si riche en couleur et en splendeur !

La légende qui présente ces nobles personnages affirme qu’ils étaient rois et nous les présente tous les trois les nommant : Gaspar, Melchior et Balthasar.

Ni statut royal, ni nom, ni nombre, n’apparaît dans le texte de l’évangile de Matthieu (Mt.2:1-12).

Qu’est ce donc qui les caractérise ?

Ce sont des gens… en recherche. Ils ont découvert une étoile inconnue jusqu’alors.

Ils l’ont reconnu comme un signe qui leur a servi de guide mais… ce signe a soudain disparu.

Les Mages s’adressent donc à l’autorité qui devrait avoir connaissance et sagesse… et pourtant !

Ils se mettent de nouveau en route et découvrent avec joie leur guide étoilé revenu et les précédant comme à leur départ.

Ayant atteint leur destination ils reconnaissent celui qu’ils cherchaient.

Ils le reconnaissent jusqu’à… l’adoration – peut-on offrir un présent plus précieux ?

Mais ils y ajoutent les autres choses apportées : l’or, l’encens et la myrrhe, choses bien précieuses aux yeux de leurs contemporains.

 
La découverte… la route… le guide… la marche… la recherche… la reconnaissance… l’offrande…

Les repères pour cette nouvelle année qui vient de s’ouvrir devant nous.

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à :

Feast of the Epiphany, Year C

 

Source : Image : shutterstock.com   amazon.co.uk

 

29th Sunday of Year A

The last verse of this Sunday’s gospel text (29th of Year A – Mt.22 :15-21) is so well-know to us that we sometimes use it ourselves… for our own purposes!
“Give back to Caesar what belongs to Caesar and to God what belongs to God.”

The meaning of the words is obvious and we do not question what the saying aims at as far as Caesar is concerned.
People will immediately think of such duties as: obeying the law, paying taxes, selecting just leaders by voting and… paying fines (if one is guilty of an offence involving such returns).
And what belongs to God? What are we expected to ‘render’ him?
Some will say: respect, adoration, obedience, prayer, thanksgiving, etc.
And much more…

All in all, it is plain, clear, simple, obvious!
But as I reflect on this gospel text I tell myself that, perhaps, yes perhaps… I should add something.
Not to the list of items to ‘give back’ but to the… beneficiaries!
Somehow, I feel that there are a number of people to whom I should return something for what they have done, and keep doing, for me.

My mind brings back to me the memory of:

– The good teachers who have provided me with sound knowledge.
– The skilled surgeon who operated on me and the medical staff who assisted him in bringing me back to health.
– The lawyer who wisely defended me when I had been wrongfully accused of a misdeed.
– The kind neighbour always ready to help me with this or that.
– The faithful friend always there when I need her assistance.
– The dynamic fellow coaching my children in their sport activities.
– The ever-smiling garage mechanic on whom I can safely rely.

This is my list… and you surely have yours…
I feel I should give back something to them for their kindness, their assistance, their good-humour, the wisdom they share with me, and their presence when I am in need.

Yes, I SHALL give back to Caesar, to God, and… to all those kind-hearted people who make life so much lighter and enjoyable!

Image: stjohspr.org

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2è dimanche de Pâques, année A

Crainte, joie, présence, absence, incrédulité, défi, adoration – certains penseront : ‘Tous les éléments sont là pour… une excellente pièce de théâtre!’
Mais justement, ce n’est pas du théâtre – la scène dont nous sommes les témoins est bien réelle!
Elle nous présente des ‘acteurs’ humains en chair et en os et un autre… en chair, en os, ressuscité…

C’est à cause de lui que surgissent tous ces sentiments chez les apôtres – ceux qui sont présents et… celui qui le sera après… une absence!

La crainte fait place à la joie.
Le doute se transforme en foi.
Lui seul peut opérer une telle transformation –

  • il l’a fait pour eux
  • Il est prêt à le faire pour nous…

Oui, Dieu est prêt à relever nos défis.
Nos doutes et nos hésitations ne le gardent pas à distance.
Il prend l’initiative.
Il invite Thomas : Avance – Regarde – Touche – Crois.

Une invitation en quatre volets :

  • S’APPROCHER
  • Regarder pour VOIR
  • TOUCHER pas uniquement avec la main mais avec le coeur…
  • la FOI surgit alors, vivante et vibrante – offerte depuis toujours et enfin reçue…

Cette invitation s’adresse à chacun et chacune de nous – invitation à une proximité qui devient connaissance, peut-être devrait-on dire : re-connaissance!
« Mon Seigneur et mon Dieu! »

Source: Images: YouTube, UB David

NOËL, parlons-en un peu

Noël, en cette période, tout le monde en parle! Les magasins font une publicité parfois agressive! Les annonces à la radio et à la télévision nous invitent aussi à nous procurer et à offrir un tas de choses qui nous attirent, il faut bien l’avouer. On pense aux choses à préparer pour les repas, la liste des gens qu’il ne faut pas manquer d’inviter, les décorations à compléter, et quoi encore?

Dans la vidéo qui suit, un groupe d’ami/es parlent aussi de Noël mais… d’une manière différente. Écoutons-les.