
L’évangile de l’omission, du manque d’attention et de compassion.
On pourrait le nommer: l’évangile de… l’absentéisme.

Les questions qu’il pose nous accusent:
Où étions-nous?
Comment n’avons-nous pas vu?
Pourquoi n’avons-nous pas secouru?
Est-il possible que nous ne l’ayons PAS reconnu, LUI?…
En ces jours qui sont les nôtres, il dit encore:
« J’ai eu faim… J’ai eu soif… J’étais un étranger… nu… malade… prisonnier’…
L’un de ces plus petits, c’est moi… » (Matthieu 25:35-46).
On a pu longtemps méconnaître… il faut maintenant apprendre à… re – connaître…
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