33è dimanche de l’année B
Les découvertes enrichissantes, les relations gratifiantes, les moments de vrai bonheur –
toutes ces expériences précieuses et bien d’autres – on voudrait qu’elles ne finissent pas.
On voudrait que tout cela dure, perdure!
Que ce qui nous est bon persiste, sans interruption, sans faille, sans défaut.
Que tout le positif de la vie demeure avec nous en permanence, que tout cela… s’éternise!
Voilà! C’est la bonne expression!
Que ne soient pas détruit, aboli, effacé à jamais, tout ce qui nous est bénéfique.
Mais, tous et toutes, nous faisons à différents moments l’expérience de…
l’usure, de la rupture.
Les brisures et les coupures viennent gâcher ce que l’on voulait conserver à tout prix.
On cherche désespérément quelque chose – quelqu’un? – qui ne nous manque pas un jour,
qui ne nous abandonne pas en nous laissant à nous-mêmes.
Et le texte de l’évangile d’aujourd’hui nous offre précisément cela
(33è dimanche de l’année B – Mc.13:24-32) :
« Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
L’affirmation de Jésus – une parole – celle même de Dieu – sans condition, infaillible,
habitée de l’assurance que seul Dieu peut donner.
Parole pour l’éternité s’il en est une !
Source toujours offerte de sécurité et de sérénité.
Il suffit… d’y puiser.
Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/33rd-sunday-of-year-b/
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