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Hier et aujourd'hui . . .

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Ce que cette page vous réserve . . .

     

Les lectures bibliques des dimanches et jours de fête de l'année liturgique offrent un trésor dont la richesse est toujours actuelle.

De semaine en semaine, elles nous donnent l'occasion de faire de nouvelles découvertes.

La parole de Dieu devient alors signifiante et active dans nos vies et nous permet de rencontrer celui qui est lui-même Parole de Vie.

15è dimanche de l’année, A

Les traductions des textes de l’Évangile varient et cela est souvent positif et nous enrichit.
Dans l’un des textes de l’évangile de ce dimanche (15è, année A – Mt.13 :1-23)
Jésus commence sa parabole en disant :

« Imaginez le semeur… »

Imaginez!… L’imagination peut nous être un outil précieux pour visualiser, en quelque sorte, les scènes de l’évangile.
Au temps de Jésus, un semeur n’avait pas la machinerie compliquée et précise qu’offre l’agriculture moderne.
La méthode du semeur de la Bible ne ressemblait en rien à celle d’aujourd’hui.

Muni de grains enfouis dans un sac porté en bandoulière, on peut le voir marcher à travers son champ.
D’un geste large, il jette au loin les poignées de grain qu’il a puisé dans son sac.
Et le grain tombe ici et là, tout près et au loin, dans toutes sortes de terrain – propice ou… pas!

Jésus décrit d’abord la scène, puis il semble s’arrêter.
Les apôtres ne sont pas satisfaits, ils ne sont pas certains de bien interpréter le message.
Alors ils demandent à Jésus d’expliquer davantage.
Ils pressentent que Jésus parlant de sol rocailleux ou plein de ronces fait allusion à un terrain bien différent.
Jésus explique alors le sens profond de ses paroles.

Quatre terrains, quatre groupes de gens, quatre façons d’accueillir le message de Dieu.

Et, toujours en imagination, j’ajoute une note personnelle à la scène évangélique…
J’imagine Jésus dire à ses auditeurs – ceux de son temps et… du nôtre, nous qui l’écoutons maintenant :
‘Dans quel groupe vous trouvez-vous?’

  • Le sol où le grain tombé en surface a aussitôt disparu…
  • Le sol sans profondeur où le grain est vite desséché…
  • Le sol où le grain est assailli par les épines et étouffé…
  • Le sol qui produit selon sa nature et sa mesure…

À ce moment-là, confrontée par cette question-là, je ne vois plus le semeur mais… mon cœur…

Un coeur si souvent en proie à la distraction, à l’invasion des soucis et la séduction des richesses de tous genres.
Un cœur dont la nature et mesure ont été étriquées peut-être…

Une vie dont le rendement est bien minime si on le compare aux dons reçus… en continu… par le Semeur si généreux, si prodigue, et qui attend toujours une moisson qui devrait être plus abondante…

À l’écoute du Semeur, l’imagination aidant… je perçois et je reçois le message et… je me mets à l’oeuvre!

Source: Image: Free Bible images
 

14è dimanche de l’année, A

Des enfants théologiens? Ça n’existe pas! Vraiment?
Mais… les enfants ont peut-être ce que les théologiens désirent :
Une compréhension spontanée, non théorique mais qui leur vient tout naturellement.

L’ouverture à tout – au possible et… au rêve, au présent et… à tout ce qui n’est pas encore.
Est-ce ce à quoi Jésus fait allusion dans l’évangile de ce dimanche ? (14è de l’année A – Mt.11 :25-30).
Il dit ouvertement :

« Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange :
ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits.
Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. »

Nicodème, le sage Pharisien s’était exclamé :
« Comment étant vieux peut-on entrer dans le sein de sa mère et naître ? » (Jn.3 :4).
Évidemment ce n’est pas ce que Dieu attend de nous.

Ce qu’il nous faut chercher c’est une compréhension par l’intérieur, pour ainsi dire.
La com-préhension, à sa racine, peut exprimer : Prendre avec soi.
Prendre avec soi tous les aspects du réel et surtout – selon l’expression folklorique : ‘Ne pas couper un cheveu en quatre !’

Il y a les sages et les savants authentiques, oui, ce sont ceux qui sont imprégnés de la mentalité d’un enfant.
Ils sont sans préjugés, sans parti pris, sans entêtement à défendre leur position.
Et surtout ils savent – et combien ! – qu’ils ne savent pas tout.
Ils sont conscients de leurs limites et acceptent volontiers d’écouter, d’apprendre, de s’approprier de nouveaux aspects d’une réalité qui dépassera toujours l’intelligence humaine.

Pourrions-nous faire partie de ce groupe de ‘sages’ ?…
Ce sont ceux dont la théologie – la réflexion et la conversation sur Dieu – est celle que l’Esprit de sagesse inspire.
Puisse-t-il nous guider dans toutes nos explorations !
 

Source: Images: twitrer.com, commons.wikimedia.org

13è dimanche de l’année, A

Les textes de l’évangile nous donnent de multiples paroles de Jésus.
Certaines sont encourageantes et réconfortantes.
D’autres sont inspirantes et stimulantes.
Mais il y en a qui sont positivement… dérangeantes – dérangeantes parce que terriblement exigeantes!

C’est le cas du texte de l’évangile de ce dimanche (13è, année A – Mt.16 :37-42) où Jésus affirme :
« Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. »

PRENDRE SA CROIX, ça n’a rien d’emballant !
Faire face à ce qui est difficile, pénible, ce qui demande des efforts répétés et souvent sans succès…
Aller à l’encontre de ce qui plaît et ce qui attire spontanément.
Ne pas suivre la loi du moindre effort mais mettre toute son énergie à vaincre les obstacles et surmonter les difficultés.
Maîtriser sa lâcheté, mettre en échec son hésitation à reprendre le chemin que l’on sait être le meilleur.

Et pourquoi ? Parce que c’est là la mesure d’un vrai disciple du Seigneur.
C’est la manière d’être digne de lui: marcher dans ses pas, suivre la voie que lui-même a tracée.
Il n’est pas question de jouer au héro, ou de prouver sa valeur.
Il ne s’agit pas d’une compétition où l’on se mérite des honneurs et les applaudissements des admirateurs.
Rien de cela – simplement suivre le Maître.

Porter sa croix… Pas la traîner…
Pas se plaindre qu’elle est trop lourde, trop encombrante, si peu adaptée à ma personnalité…

À ce sujet, quelqu’un a écrit un texte riche de sagesse.
C’est le récit d’une personne qui se plaignait constamment à Dieu que sa croix était trop lourde, impossible à porter, et qu’il était vraiment injuste de lui imposer un tel fardeau.
Alors, Dieu accepta de lui offrir un choix et il mit devant cette personne tout un échantillonnage de croix avec la possibilité d’essayer chacune.

Avec un soupir de soulagement, l’inconnu commença à soupeser une croix après l’autre, toujours insatisfait après chaque essai: l’une était trop longue, l’autre trop large, celle-ci était d’un bois trop rugueux, celle-là d’un métal trop lourd, et ainsi de suite jusqu’à la fin.
C’est là que, soulevant la dernière croix, la personne s’exclama joyeusement : « Ah, celle-ci est parfaite, tout à fait à ma mesure et selon mes forces ! Je veux celle-ci!»

L’auteur termine son récit en disant que Dieu ne put réprimer un sourire car la croix choisie était justement celle qui avait été abandonnée au début ayant été jugée absolument… au-delà des forces du plaignant !

Tant il est vrai que Dieu sait si bien ajuster les croix… aux épaules qui les porteront…

N.B On peut lire un article intéressant sur WIKIPEDIA au sujet de La colline des croix en Lituanie – Hill of Crosses, Lithuania.
Source : Images : x-dragons-x.exteen.com  Nighttime : Mindaugas Macaitis

12è dimanche de l’année, A

L’été est là – on l’annonce, officiellement!
Nos pensées s’envolent déjà vers les randonnées, les visites, les pique-niques, qui agrémenteront cette saison.
Évidemment, chaque excursion requiert des préparatifs – on pense spécialement à ce qui nous soutiendra en voyage…

Et cette longue ‘expédition’ – le voyage de la vie, lui?…
Avez-vous déjà… répertorié ce qui…

– vous soutient dans la vie?
– vous donne énergie et enthousiasme?
– vous donne la force de surmonter les obstacles?
– vous donne courage dans les difficultés?
– vous redonne espoir après un échec?

Quelques phrases des lectures de ce dimanche (12è dimanche de l’année, A)  me sont précieuses dans toutes ces situations.
Je vous les partage.

« Le Seigneur est avec moi… » (1ère lecture : Jr.20 :10-13)
 
« Ne craignez pas… Ne craignez pas…
Même les cheveux de votre tête sont tous comptés.
Soyez sans crainte… » (Évangile : Mt.10 :26-33)
 
Cela me suffit pour la vie, pour toute la vie!…

Source: Image: freepik

Fête du Corps et du Sang du Christ, année A

Certaines méthodes de prière nous invitent à utiliser notre imagination tout spécialement pour la méditation de l’évangile,
Aujourd’hui, je me mêle à la foule qui écoute Jésus enseigner (Jn.6 :51-58 – fête du Corps et du Sang du Christ, année A) .
Je l’entends affirmer :

« Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
et si vous ne buvez pas son sang,
vous n’avez pas la vie en vous. »

 Si je n’avais jamais entendu d’homélie sur ces paroles, si je n’étais pas baptisée,
si je ne connaissais pas de théologie et n’avais jamais étudié les évangiles –
bref, si ces paroles me rejoignaient pour la toute première fois,
quelle serait ma réaction ?…

Je dirais sans doute en moi-même : ‘Pas possible, manger la chair de cet homme ;
il ne veut sûrement pas dire cela, je dois mal comprendre…’

Et voilà qu’il insiste :
« Ma chair est la vraie nourriture,
et mon sang est la vraie boisson. »

 Ma voix intérieure insisterait sans doute elle aussi :
‘Mais ça n’a pas de sens !
On ne va quand même pas le tailler en pièces et laisser couler son sang –
LE manger, LE boire, LUI !…’

Pas étonnant que je comprenne si bien cette foule entourant Jésus et qui s’exclame avec indignation:
« Ce langage-là est trop fort !
Qui peut l’écouter ? » (Jn.6 :60)
 
Seulement celui, celle, qui acceptent Son Esprit à Lui et reçoivent le don de Lui-même…
À sa manière…

Source: Images: pubtheologian.com, jesus-story.net

Fête de la Sainte Trinité, année A

Depuis l’aube de l’humanité consciente d’elle-même, les humains ont aussi pris conscience d’un Être au-delà de leur existence.
Un être qui soit le plus grand, le plus fort, le plus élevé, le meilleur en tout quoi!
Les humains pressentaient que Dieu était tout cela mais ils voulaient que ce pressentiment devienne connaissance – oui, ils voulaient vraiment connaître Dieu. 

Et depuis cette aube si lointaine dans le temps, ce désir est né et… il est toujours avec nous, en nous.
Connaître Dieu ! Est-ce possible?
Il est déjà si difficile de connaître ceux et celles qui nous entourent, partageant la même humanité.
Il est même parfois si compliqué de… se connaître soi-même!
Peut-on oser prétendre connaître Dieu? 

La merveilleuse réalité est qu’il s’est fait connaître, il s’est révélé lui-même nous apprenant qui il est.
Dans la 1ère lecture de cette fête de la Sainte Trinité (Ex 34, 4b-6.8-9), c’est lui qui nous dit :
« Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de vérité. » 

Et l’évangile (Jn.3 :16-18) continue cette révélation en affirmant :
« Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique,
afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. »
 

Que peut-on ajouter à cette révélation de Dieu qui nous introduit à ce point à son être même?!

Source: Image: Pinterest

 

Pentecôte, année A

La vie quotidienne nous emporte souvent dans une course effrénée.
Des engagements, des activités, des responsabilités, tant de courses à faire justement.
Il arrive qu’une personne s’exclame : « Je suis à bout de souffle! »

Il me semble entendre cette expression alors que je parcours les textes de cette fête de la Pentecôte (année A).
On y parle précisément de ‘souffle’!

Le psaume (104) d’abord qui dit à Dieu :
Tu reprends leur souffle, ils expirent…
Tu envoies ton souffle : ils sont créés. »

 Son souffle… et le nôtre…
C’est ce qui nous porte : le souffle de Dieu.
Le deuxième chapitre de la Genèse nous l’avait révélé : Dieu a mis en nous son souffle de vie (Gn.2:7).
C’est ainsi que nous sommes créés nous rappelle le psalmiste.

Et l’évangile nous montre Jésus soufflant sur les apôtres :
« Il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint » (Jn.20:22).
Il leur donne ainsi le pouvoir de pardonner les péchés –
C’est le souffle pour une re-création, une création nouvelle.

Oui, son souffle… et le nôtre…
On dit parfois qu’on a besoin de reprendre son souffle.
Peut-être la célébration de la Pentecôte est-elle un moment de grâce où l’on reprend son souffle –
le nôtre et le sien !
Un temps où l’on apprend à respirer au rythme de Dieu…
Jusqu’à ce jour où, selon l’expression populaire, nous rendrons notre dernier souffle… 

Source: Images: www.igrejanossasenhoradabrasil.com.br   www.mulhermagnetica.com.br

 

 

 

 

Ascension du Seigneur, année A

Je me souviens d’un livre de psychologie que l’éditeur présentait en affirmant que le voyage au plus profond de nous-mêmes est plus extraordinaire que les expéditions spatiales vers les planètes de notre galaxie. Affirmation audacieuse et pourtant…

Ce texte me revient à la mémoire en cette célébration de la fête de l’Ascension de Jésus.
Une phrase – c’est en fait une question – de la 1ère lecture (Actes 1 :1-11) en a réveillé en moi le souvenir.

« Pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel ? »

Jésus vient de disparaître aux yeux des apôtres comme s’il avait été ‘englouti’ par les nuages.
Ils ne peuvent cesser de regarder là-haut. Fascinés ? Intrigués ? Anxieux ?

C’est alors qu’ils reçoivent un message sans équivoque : ils cherchent ce qu’ils désirent là où ils ne peuvent le trouver.
Ce qu’ils désirent, évidemment, c’est la présence réelle, visible, tangible, de Jésus telle qu’ils en font fait l’expérience pendant trois ans.
Cette présence est devenue invisible, intangible mais non moins réelle.

Il leur faut en faire l’expérience autrement, dans un ‘ailleurs’, ou un ‘autrement’, avec lequel ils doivent devenir familiers.
Dans sa lettre aux Éphésiens (2è lecture: Éphésiens 1:17-23), Paul l’exprime ainsi :

« Que le Père dans sa gloire, vous donne un esprit de sagesse
qui vous le révèle et vous le fasse vraiment connaître.
Qu’il ouvre à sa lumière les yeux de votre cœur. »

‘Les yeux du coeur’ : Voilà comment rejoindre ‘l’ailleurs’ ou ‘l’autrement’ de ce nouveau mode de présence du Christ.
Et, faut-il le dire, il est plus profond que les profondeurs auxquelles faisait allusion l’éditeur du livre de psychologie !
Pendant son dernier repas avec ses apôtres, la veille de sa mort, Jésus en avait parlé :

« Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole,
et mon Père l’aimera et nous viendrons vers lui.
et nous ferons notre demeure chez lui. »   (Jn.14 :23)
 
Le temps est venu mais… il faut se laisser ‘apprivoiser’ pour le reconnaître et… s’ajuster à cette présence différente mais indéfectible!…

Source: Image: christianitymy.com

6è dimanche de Pâques, année A

Dans la vie quotidienne, nous nous retrouvons souvent dans des situations de… manque et de besoin.
Et souvent aussi, nous ne savons pas où nous tourner pour obtenir de l’aide.
Nous nous demandons à qui nous adresser pour une assistance qui soulagera nos divers besoins.

On pense à quelqu’un de la famille mais… eux aussi se retrouvent avec des obligations de toutes sortes et des contraintes qui ne leur permettent pas toujours de venir à notre secours.
Nous avons des ami/es, certes, et on peut parfois faire appel à eux et obtenir une réponse favorable, mais ce n’est pas toujours le cas.
Et les voisin/es ne sont pas toujours disponibles ou disposé/es…

Il est rare, oui, bien rare, que quelqu’un nous fasse la promesse d’être là avec nous, pour nous, quoiqu’il arrive…
Une promesse sans condition ni restriction, ce n’est pas quelque chose qui nous est offert bien souvent.
Et pourtant… elle est là !

Oui, mentionnée très clairement dans l’évangile de ce dimanche (6è dimanche de Pâques, année A – Jn.14 :15-21).
Elle est formulée dans des expressions sans équivoque et des termes qui nous sont familiers.

« Moi, je prierai le Père,
Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviens vers vous.

Celui qui m’aime, moi aussi, je l’aimerai, et je me manifesterai à lui. »

Le Père… vous donnera un autre Défenseur
(Ce) Défenseur sera pour toujours avec vous : l’Esprit de vérité,
il sera en vous. »

Je relis chaque phrase et je me dis : ‘Est-ce possible ?’
Je me redis : ‘C’est une promesse et une promesse de Jésus lui-même…’
Alors…

Les difficultés ne disparaîtront pas, les obstacles ne se dissiperont pas comme la rosée du matin…
Des contrariétés, des contretemps et des contradictions, il y en aura toujours…
Des tragédies inexplicables se produiront…

MAIS, désormais nous ne serons plus seuls pour y faire face.
C’est là toute la différence…

Source: Image: You Tube

5è dimanche de Pâques, année A

J’avoue que j’ai beaucoup de sympathie pour Thomas et Philippe.
Ils ont osé poser les questions… difficiles et les réponses reçues n’étaient pas faciles à comprendre!
Plus de vingt siècles plus tard les professeurs et prédicateurs s’efforcent encore de nous éclairer sur le sens des paroles de Jésus dans l’évangile de ce 5è dimanche de Pâques (année A – Jn.14 :7-14).

Connaître Jésus, c’est connaître le Père.
Voir Jésus, c’est voir le Père.
Jésus qui agit, c’est le Père qui est à l’œuvre en lui.
Jésus est dans le Père et le Père est en lui.

Nous connaissons les textes, nous pourrions les citer, mais pour en pénétrer la réalité…
nous sommes toujours en chemin…
Chemin de recherche de sens, chemin de découverte…

Mais justement, il nous assure : « Je suis le Chemin… » le Chemin qui mène au Père.
Et chez lui, une place est préparée pour chacun de nous.
Le chemin de recherche devient… chemin de communion.

Source: Image: lds.org