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Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années.

La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes

Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants

Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Le paradoxe COVID19

Quand cela ne va pas, il faut dénoncer. Mais quand cela va bien il faut le dire également. La situation très particulière liée au Covid19 a mis en lumière des trésors d’ingéniosité et de dévouement dans les Ephad et dans tous les lieux d’accueils des personnes agées. Les personnels ont fait preuve d’une volonté et d’une abnégation sans égales pour maintenir la qualité d’accueil dans les établissement ainsi que les liens avec les familles. Merci à eux !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale sans tabac – 31 mai 2021

Journée Mondiale sans tabac

L‘Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’en 2020, le tabac était la principale cause de décès et d’incapacité, avec plus de 10 millions de victimes par an. Le tabagisme entraine plus de décès à travers le monde que le Sida, la turberculose, la mortalité maternelle, les accidents de voiture, les suicides et les homicides combinés…

C’est décidé : j’arrête !

La Journée mondiale sans tabac vise à mettre l’accent sur le rôle décisif joué par les professionnels de la santé dans la lutte antitabac. Ces derniers sont en effet en contact avec un pourcentage élevé de la population cible et ils ont l’occasion d’aider les fumeurs à modifier leur comportement. Ils peuvent aussi donner des conseils et des réponses aux questions relatives aux conséquences du tabagisme et donner l’exemple en s’abstenant de fumer.

Des alternatives ?

S’arrêter de fumer est parfois un véritable parcours du combattant et des alternatives au sevrage total de tabac font régulièrement leur apparition. Acupuncture, homéopathie, sophrologie, médecines douces voire cigarette électronique, les méthodes sont nombreuses et proposent une aide à ceux qui souhaitent arrêter de fumer. Leur efficacité est dans la plupart des cas encore à valider et au final et c’est votre médecin qui vous apportera le conseil adapté. Le dossier réalisé par Doctissimo permettra de se faire une idée générale.

Un thème volontariste pour 2021

Le thème pour la Journée mondiale sans tabac de cette année est court et percutant : « S’engager à abandonner » (Commit to quit). Peu de mots, des actes. Espérons que les moyens suivront.

Un site à visiter : www.who.int    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale des infirmières – 12 mai 2021

La Journée internationale de l’infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l’art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d’infirmiers et d’infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

Qui est Florence Nightingale ?
Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l’infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l’importance d’une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu’ « une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d’études, d’enseignement, d’entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients. »

Objectif
Durant la Journée internationale de l’infirmière, la FSSS-CSN (Fédération de la santé et des services sociaux de la Confédération des syndicats nationaux), qui représente près de 100 000 syndiqué(es) du réseau de la santé et des services sociaux, souhaite qu’une meilleure organisation du travail dans les soins infirmiers diminue les surcharges de travail et les burn-out dont sont victimes, entre autres, les infirmières. Ces femmes représentent plus du tiers de la main-d’œuvre du réseau de la santé et travaillent dans des conditions difficiles en raison de la pénurie de main-d’œuvre.

Note de l’éditrice: En cette période de pandémie elles ont été – et elles demeurent – nos héroïnes et nous leur sont bien reconnaissant/es. Et bien que le texte mette l’accent plutôt au féminin, notre appréciation va également à tous les infirmiers généreux et dévoués.

Un site à visiter : www.infirmiers.com      Source : Texte: Journée Mondiale   Image: convergenceinfirmière.com

 

 

Journées du souvenir et de la réconciliation en l’honneur des morts de la Seconde Guerre mondiale – 8-9 mai

Journées du souvenir et de la réconciliation en l'honneur des morts de la Seconde Guerre mondiale

Il ne s’agit pas d’une mais de deux journées voulues par les Nations Unies et consacrées au souvenir des victimes de la seconde gurerre mondiale. On n’en attendait pas moins, venant justement de l’organisation créée après le second conflit mondial pour permettre au monde de vivre désormais en paix

Colombe de la paix

Dans le hall d’honneur du siège des Nations Unies, se trouve une belle fresque murale représentant une colombe tenant en son bec un rameau d’olivier. Puisse-t-elle inspirer tous ceux qui ne voient que la violence pour tenter de résoudre les conflits !

Source: Texte & Image: Journée mondiale
 

Journée internationale pour le droit à la vérité – 24 mars

Journée internationale pour le droit à la vérité
L’intitulé intégral de cette journée proposée par les Nations Unies est : « Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes ». Les résolutions votées par cette organisation à cette occasion précisent qu’elles concernent essentiellement les guerres déclarées depuis la création de l’ONU, la protection des victimes, la fin de l’impunité pour les crimes commis.

Protéger ceux qui recherchent la vérité

« Alors que nous célébrons ensemble aujourd’hui le courage des défenseuses et défenseurs des droits humains partout dans le monde, nous devons nous engager à protéger toutes celles et ceux qui recherchent la vérité et la justice et proposer aux victimes des recours efficaces, en leur rendant leur dignité. » António Guterres, secrétaire général des Nations Unies

Une date symbolique

Cette célébration annuelle rend hommage à la mémoire de Monseigneur Óscar Arnulfo Romero (photo), assassiné le 24 mars 1980. Monseigneur Romero s’était activement engagé à dénoncer les violations des droits de l’homme des personnes les plus vulnérables au Salvador.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains – 30 juillet

« Cette première Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains (en 2013) est un appel à l’action pour faire cesser ce crime et donner de l’espoir aux victimes, qui vivent souvent autour de nous alors que nous ignorons tout de leur sort. Pour arrêter les trafiquants, il nous faut couper leurs voies de financement et saisir leurs avoirs. J’exhorte tous les pays à ratifier et à appliquer intégralement la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole additionnel relatif à la traite d’êtres humains ».
Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Une urgence planétaire
L’ONU nous invite à nous interroger sur la question de l’esclavage moderne et il est vrai que cette question concerne au moins 2,5 millions de personnes réparties sur la planète. Il s’agit aussi bien d’hommes, de femmes que d’enfants qui tombent aux mains de trafiquants dans leur pays et à l’étranger. L’esclavage dit « moderne » n’a rien à envier à ce que l’humanité a pu connaître par le passé et il est non seulement honteux dans son principe que par les maltraitances qu’il engendre.

L’escalavage, quelle que soit sa forme, n’a pas sa place dans ce monde !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Images : Journée mondiale

En vue de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains, célébrée le 30 juillet prochain, Caritas Internationalis demande aux gouvernements d’intensif-ier leurs efforts pour identifier les victimes de la traite et de l’exploitation. En cette période de pandémie de Covid-19, le nombre de victimes de ce phénomène augmente de façon alarmante.

Caritas Internationalis et Coatnet, un réseau de 46 organisations chrétiennes engagées dans la lutte contre la traite des êtres humains, élèvent la voix à l’approche de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains.

«En ce temps de propagation de la Covid-19, déclare le Secrétaire général de Caritas Internationalis Aloysius John dans ce communiqué commun, nous dénonçons une réalité inquiétante pour les personnes vulnérables qui risquent davantage de devenir victimes de la traite». En effet, l’attention portée à la pandémie «ne doit pas nous empêcher de prendre soin des personnes les plus exposées à l’exploitation», en leur fournissant des «filets de sécurité» et un «soutien matériel, médical, juridique et psychologique» pour «les accompagner dans leurs difficultés». Les gouvernements devraient donc davantage tenir compte des «dommages collatéraux de la pandémie mondiale, en particulier sur les migrants et les travailleurs informels, désormais plus vulnérables à la traite».

Source: Texte: Vatican News Service, 28 juillet 2020

 

Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit – 19 juin 2020

Il ne faut pas manquer de souligner que cette réalité a malheureusement été présente during la période que nous traversons – une période non de conflit mais de pandémie… (Note de l’éditrice)

La création de cette journée est récente. 2015 pour être plus précis. En effet, c’est le 19 juin 2015 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’a instituée.

Un cri éthique !
Cette Journée n’est certes associée à aucun conflit en particulier mais fait référence à « une tragédie pour l’humanité ».  Le Président de l’assemblée a insisté pour que la priorité soit accordée à la prévention et à l’attention aux victimes. Elles ont besoin d’une aide globale et dr débarrasser les de leur honte qui doit rejaillir sur les criminels.

La violence sexuelle [en temps de conflit] n’est pas un phénomène nouveau et nous pouvons notamment nous souvenir que les atrocités commises en Ouganda ont fini par par la révolte du peuple qui s’est finalement levé contre le Gouvernement qui perpétuait ces atrocités.  L’utilisation du viol comme arme de guerre doit être combattue par tous les moyens et les violeurs et leurs supérieurs traduits en justice.

Une journée « pas comme les autres »
Selon les représentants de l’ONU, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit ne peut pas être considérée comme une journée qui s’ajoute simplement à 120 autres, elle doit être une source d’inspiration pour des normes internationales de reddition de comptes. Tout un programme.

L’assemblée a par ailleurs souligné le rôle que pourrait jouer la Cour pénale internationale (CPI) dans la lutte contre la violence sexuelle et a appelé à la sensibilisation des dirigeants politiques, des Casques Bleus et des policiers en service dans les missions de maintien de la paix de l’ONU.

Un site à visiter : www.un.org            Source : Texte : Journée Mondiale   Images : zakweli    Journée mondiale
 
 

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin 2020

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années.
La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes
Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants
Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Le paradoxe COVID19
Quand cela ne va pas, il faut déoncer. Mais quand cela va bien il faut le dire également. La situation très particulière liée au Covid19 a mis en lumière des trésors d’ingéniosité et de dévouement dans les Ephad et dans tous les lieux d’accueils des personnes agées. Les personnels ont fait preuve d’une volonté et d’une abnégation sans égales pour maintenir la qualité d’accueil dans les établissement ainsi que les liens avec les familles. Merci à eux !

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale pour le droit à la vérité – 24 mars

L’intitulé intégral de cette journée proposée par les Nations Unies est : « Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes ».
Les résolutions votées par cet organisation à cette occasion précisent qu’elles concernent essentiellement les guerres déclarées depuis la création de l’ONU, la protection des victimes, la fin de l’impunité pour les crimes commis.
Source: Texte: Journée mondiale

Le droit à la vérité est souvent invoqué dans le contexte de violations flagrantes des droits de l’homme et de violations graves du droit humanitaire. En cas d’exécutions sommaires, de disparitions forcées ou non, d’enlèvements d’enfants, de tortures, les victimes ou leurs proches exigent de savoir ce qui s’est passé. Le droit à la vérité signifie le droit de connaître la vérité absolue et complète quant aux événements qui ont eu lieu, aux circonstances spécifiques qui les ont entourés, et aux individus qui y ont participé, y compris les circonstances dans lesquelles les violations ont été commises et les raisons qui les ont motivées.

Le 21 décembre 2010, l’Assemblée générale de l’ONU a proclamé le 24 mars Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes.

L’objectif de la Journée est :

  • d’honorer la mémoire des victimes de violations flagrantes et systématiques des droits humains et promouvoir l’importance du droit à la vérité et la justice;
  • de rendre hommage à ceux qui ont consacré leur vie à, et ont perdu la vie dans la lutte pour promouvoir et protéger les droits de l’homme pour tous;
  • de reconnaître, en particulier, l’importance du travail et des valeurs de l’archevêque Oscar Arnulfo Romero, du Salvador, qui a été assassiné le 24 mars 1980, après avoir dénoncé les violations des droits de l’homme des populations les plus vulnérables et défendu les principes de protection de la vie, promotion de la dignité humaine et d’opposition à toutes les formes de violence.

Dans sa résolution l’Assemblée générale invite tous les États Membres, les organisations internationales et organisations de la société civile et les particuliers, à célébrer la Journée internationale de manière appropriée.

 

Source: Texte: http://www.un.org/fr/events/righttotruthday/documents.shtml   Image: Archbishop Romero Trust

Le Pape François au Japon

Prière au mémorial du bombardement atomique de Nagasaki

Nagasaki : « Un monde sans armes nucléaires, possible et nécessaire », pressant appel du pape François

La longue prière silencieuse sous la pluie

Avant de prendre la parole, le pape François a déposé une grande couronne de fleurs blanches au mémorial et il s’est longuement recueilli, la tête baissée, comme agrippé à la couronne de fleurs, sous une pluie battante, qui ajoutait à la gravité désolée du moment, seul, sans aucun abri, à 82 ans: ni parapluie, ni imperméable, ni auvent. Devant lui, l’immense pilier de marbre noir dressé à l’épicentre de l’explosion nucléaire.

Sur un candélabre orné du mot paix, en latin, « Pax », cadeau qu’il a offert au mémorial, le pape a ensuite allumé une flamme du souvenir, fragile sous la pluie et le vent, mais tenace, qui apportait une lumière d’espérance au coeur de la mémoire de la tragédie de Nagasaki.

Ce candélabre, conçu pour ce voyage au Japon, est en fonte de laiton argenté, de 1,20 m de haut: sa base s’appuie sur trois bandes où s’inscrit le mot paix, « PAX ». Sa tige cylindrique est marquée à mi hauteur par un médaillon doré frappé aux armes du pape François. Au sommet, la veilleuse en cire est maintenue comme par trois voiles métalliques.

Le pape a prononcé son discours devant la photo du jeune garçon qui porte sur son dos son petit frère, mort du fait du bombardement atomique de 1945, et qu’il porte au crématorium de Nagasaki. Le pape a choisi cette photo pour ses voeux à l’occasion de la Journée mondiale de la paix 2018 et il a inscrit cette légende: « le fruit de la guerre ». Comme pour secouer l’indifférence et rappeler que les enfants sont les victimes les plus vulnérables dans les conflits d’hier et d’aujourd’hui.

L’indifférence est impossible: « Personne ne peut être indifférent face à la souffrance de millions d’hommes et de femmes qui continuent aujourd’hui à interpeller notre conscience ; personne ne peut rester sourd face au cri du frère blessé qui appelle ; personne ne peut fermer les yeux face aux ruines d’une culture incapable de dialogue ».

 

Source : Texte : Anita Bourdin : Pape François, Voyages pontificaux; 24 novembre, 2019 Image : Vatican News