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International Day of Persons with Disabilities – 3 December 2017

The annual observance of the International Day of Persons with Disabilities was proclaimed by the United Nations General Assembly resolution 47/3 in 1992. It aims to promote the rights and well-being of persons with disabilities in all spheres of society and development, and to increase awareness of on the situation of persons with disabilities in every aspect of political, social, economic and cultural life.

Building on many decades of UN’s work in the field of disability,  the Convention on the Rights of Persons with Disabilities, adopted in 2006, has further advanced the rights and well-being of persons with disabilities in the implementation of the 2030 Agenda for Sustainable Development and other international development frameworks, such as the Sendai Framework for Disaster Risk Reduction, the Charter on Inclusion of Persons with Disabilities in Humanitarian Action, the New Urban Agenda, and  the Addis Ababa Action Agenda on Financing for Development.

The theme for this year’s IDPD is “Transformation towards sustainable and resilient society for all”.

The 2030 Agenda pledges to “leave no one behind”. Persons with disabilities, as both beneficiaries and  agents of change, can fast track the process towards inclusive and sustainable development and promote resilient society for all, including in the context of disaster risk reduction and humanitarian action, and urban development. Governments, persons with disabilities and their representative organisations, academic institutions and the private sector need to work as a “team” to achieve the Sustainable Development Goals (SDGs).

Source: Text: UN Image: idpwd.com.au

Pentecost, Year A

“The doors were closed (‘locked’, says another translation) in the room where the disciples were for fear of the Jews.”      

Have you ever been really afraid?
If so, you surely remember the experience!
In a threatening situation, it seems we can’t think straight!
We try to figure out the best course of action but it eludes us.
We may sweat profusely while debating whether fight or flight is the best option.

Fear can be a very powerful inhibiting element.
It can paralyze us in a strange way.
It can prevent us from doing or saying what we would want to do or say.

While the disciples were hiding behind closed doors, Jesus comes to them and we are told:
“The disciples were filled with joy when they saw the Lord.”
The situation is completely transformed: fear has given place to joy – the joy of feeling secure.
This security is given by the presence of the Lord now with them.

Then, Jesus breathing over them says: “Receive the Holy Spirit…” (Jn.20:22).

On today’s feast of Pentecost we, too, are meant to welcome God’s own Spirit. 
He is the one who will enable us to overcome our fears of all kinds.
He is the one who will free us from paralyzing anxieties and crippling worries.

The security and peace we long for, he is the one who can give them to us.
We need only ask, as Jesus has told us repeatedly in the texts of the Easter season.
Indeed, we need only ask… it is that simple!

Source: Image: Discerning Hearts

2è dimanche de Pâques, année A

Crainte, joie, présence, absence, incrédulité, défi, adoration – certains penseront : ‘Tous les éléments sont là pour… une excellente pièce de théâtre!’
Mais justement, ce n’est pas du théâtre – la scène dont nous sommes les témoins est bien réelle!
Elle nous présente des ‘acteurs’ humains en chair et en os et un autre… en chair, en os, ressuscité…

C’est à cause de lui que surgissent tous ces sentiments chez les apôtres – ceux qui sont présents et… celui qui le sera après… une absence!

La crainte fait place à la joie.
Le doute se transforme en foi.
Lui seul peut opérer une telle transformation –

  • il l’a fait pour eux
  • Il est prêt à le faire pour nous…

Oui, Dieu est prêt à relever nos défis.
Nos doutes et nos hésitations ne le gardent pas à distance.
Il prend l’initiative.
Il invite Thomas : Avance – Regarde – Touche – Crois.

Une invitation en quatre volets :

  • S’APPROCHER
  • Regarder pour VOIR
  • TOUCHER pas uniquement avec la main mais avec le coeur…
  • la FOI surgit alors, vivante et vibrante – offerte depuis toujours et enfin reçue…

Cette invitation s’adresse à chacun et chacune de nous – invitation à une proximité qui devient connaissance, peut-être devrait-on dire : re-connaissance!
« Mon Seigneur et mon Dieu! »

Source: Images: YouTube, UB David

2è dimanche du Carême, année A

Nos conversations quotidiennes font un usage répété du petit mot TRANS – nous parlons de TRANSit, de TRANSfer, de TRANSition, de TRANSaction, et…de traité TRANSatlantique – pour ne nommer que les plus courants.
Nous décrivons ainsi un passage d’un endroit à un autre, d’une situation à une autre, d’une condition à une condition différente.

C’est justement ce que l’évangile de ce 2è dimanche du Carême nous propose (Mt.17 :1-9).
S’il fallait en formuler le thème, je l’exprimerais ainsi : ‘Une transfiguration pour une transformation.’
La transfiguration de Jésus qui appelle, inspire, suscite notre propre transformation.

Ce Jésus de tous les jours, familier pour ces hommes bien ancrés dans le réel que sont les apôtres, ce Jésus à qui, lors de la tempête, ils osent dire : « Cela ne te fait donc rien que nous périssions! » (Mc.4 :38).
Ou encore, lors du miracle de la femme qui perdait du sang, expriment l’évidence : « Une foule t’entoure qui te touche et tu demandes ‘Qui m’a touché’? » (Mc.5 :31).
Ce Jésus a fait place à un autre, un autre à peine reconnaissable, un autre dans une lumière éclatante, une gloire resplendissante.

Devant ce changement soudain, ce renversement du quotidien, les apôtres sont ébahis, un peu perdus, Pierre, d’ordinaire plutôt loquace, ne sait plus quoi dire!
Et voilà que la scène disparaît déjà, il faut redescendre si tôt de la montagne où… tout était différent et… tellement plus encourageant que l’ordinaire trop connu et parfois hostile.
Mais, désormais… les choses, les situations, les événements ne seront plus les mêmes.

Il y a désormais la possibilité de la transformation pour nous, en nous, que propose le Carême : passer de l’indifférence à l’engagement, de la peur à l’audace, du doute à la foi, du désespoir à l’espérance, de l’oubli à la fidélité, de la distraction à la contemplation, le passage de… tant de réalités négatives à tant d’autres positives et ‘TRANSformantes’!

Mais il faut faire ce ‘passage’ où se trouvant sur le seuil du familier il faut oser faire ce pas vers l’inconnu… qui effraye mais qui est prometteur, non, plutôt porteur, de tout ce que l’on peut désirer!

CARÊME : période de TRANSit? Pourquoi pas?!

Source: Images: Pinterest; ravepad.com