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Journée mondiale « merci » – 11 janvier 2021

Journée mondiale

L’ONU n’en parle pas, ni l’OMS, ni aucune ONG, aucune église, aucun groupement… on en trouve quelques traces éparses en effecutant une recherche sur son moteur de recherche favori.

De quoi s’agit-il ?
Simplement de la journée du Merci. Selon certaines sources (non identifiées), la Journée mondiale du «merci» aurait été inventée par des employés zélés, pour augmenter les ventes de leur enseigne de cartes postales. Il nous sera difficile de tirer le vrai du faux mais en tous cas,  quelle bonne idée !

Dire merci, pour soi, pour les autres, pour le plaisir

La tradition de dire des mots de remerciement est apparue il y a longtemps dans le langage et cette marque de gratitude a permis de marquer toute l’attention qui nous est accordée et que nous accordons aux autres.

Les mots magiques

Les psychologues croient que les mots de gratitude mettent les gens en harmonie et favorisent les relations positives. En exprimant sa gratitude envers les gens, on améliore sa santé physique et on crée un état émotionnel positif qui aide à faire face au stress.

En ces temps troublés où chacun a tendance à marcher en regardant le bout de ses chaussures, caché derrière son masque et en se méfiant du contaminateur potentiel, cela peut être utile.

Cela me donne une idée, il faudra qu’on crée une journée du bonjour

Un site à visiter : www.ukrinform.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des solitudes – 23 janvier

On estime que 12% de la population française vit aujourd’hui dans une grande solitude. Plus grave, on observe que la solitude est en forte augmentation dans de nombreux secteurs de la population. Elle est souvent invisible mais toucherait 1 français sur 3. Il n’en fallait pas plus pour que ce mal devienne le sujet d’une nouvelle journée mondiale.

Source : Texte : Journée Mondiale

La solitude ce n’est pas seulement le fait de n’avoir personne autour de soi; c’est le sentiment d’être seul et isolé mais aussi tous les sentiments de tristesse qui s’en suivent. Pour de nombreuses personnes, ce sentiment s’explique par le fait de ne pas avoir trouvé l’amour; pour d’autres, le fait de faire de nouvelles rencontres, ou même entretenir un lien quelconque, relève de l’impossible.

Des études récentes ont démontré que la solitude pouvait avoir des répercussions non seulement sur le mental, mais aussi sur la santé physique. En effet, les personnes qui se sentent vides, seules et qui ont le sentiment de ne pas être aimées, auraient plus de chance de contracter des maladies cardiovasculaires, sont plus stressées et présentent une diminution de la mémoire et de la capacité à apprendre.

Les sentiments de solitude peuvent même mener jusqu’à la dépression et au suicide. La véritable solution est d’apprendre tant l’art d’être seul que l’art d’être accompagné.

L’art d’être seul
Servez vous de cette étape pour mieux vous connaître. C’est l’occasion d’acquérir de nouvelles connaissances et de tester de nouvelles choses, d’apprendre à gérer son budget ou réparer la fuite du robinet. Découvrez l’emploi du temps qui vous convient le mieux.

Savoir que vous pouvez prendre soin de vous et que vous êtes capable de le faire correctement vous procurera un sentiment de satisfaction incomparable.

En définitive, c’est un moment d’épanouissement et de maturité. Si vous ne savez pas comment être heureux en étant seul, vous ne saurez pas être heureux dans une relation. Personne ne pourra faire office de baguette magique et faire disparaitre vos problèmes.

En conclusion, rappelez-vous que le sentiment de solitude ne vient pas du fait d’être seul, mais de la façon de percevoir une situation. Ne subissez pas la solitude, ne soyez pas une victime. Tirez-en du positif et apprenez à rebondir.

 

Source : Texte (extraits) : https://nospensées/fr   Images : Pexels Freepik

14th Sunday of the Year, A

The conversations overheard at a bus shelter or in the waiting-room of a clinic can be quite revealing.
A woman may tell another: “You look tired…”
To which the other replies: “Tired is not the word I am exhausted! It seems I get up in the morning as tired as when I went to bed the night before…”

The man waiting for his medical appointment may whisper to a neighbour: “I want the doctor to give me tablets to sleep. I can’t cope any more.
The stress at work is more than I can bear, I am at the end of my tether, I am afraid I’m heading for a breakdown…”

Modern life can indeed be very stressful with its many tasks and its multiple demands made on our time and energy.
It seems that our agendas are always full of things to be done, people to meet, engagements to keep, commitments to honour –
and the list of them all is tiring even to look at!

And then… today’s gospel message (14th Sunday, Year A – Mt.11:25-30) finds its way to our attention and the words slowly sink in:

“Come to me all you who labour and are overburdened,
and I will give you rest.
Shoulder my yoke and learn from me,
for I am gentle and humble in heart,
and you will find rest for your souls.”

It sounds nearly too good to be true!
REST! Relief from the burdens we carry from day to day.
Some time to breathe, to stop running here and there.
A moment to look around and notice the green of the new leaves and the sun shining through them.

Reading the words of this text of the gospel, taking in each word slowly and letting it reach our worried minds and anxious hearts…
Of the many people who can speak like the two mentioned above, I ask myself: ‘How many would take Jesus at his word? 

How many would come to him and tell him what they spontaneously admit to a friend or neighbour?…’
“Lord, I can’t cope any longer, it’s too much for me.
I am so t i r e d , my burdens are too many and too heavy their weight…”
How many would heed his call: “Come to me… you will find rest.”
 
It has been said that God does not necessarily take away from us those burdens we find heavy and painful but he will carry them with us.
Shouldering his yoke means: to take on his ways, walking and working at his rhythm.
And yes, accepting to learn from him the meaning of life and its many tasks – those we take on willingly and those imposed on us…
And – amazingly – finding with him an unexpected and so welcome REST!

Source: Image: Pinterest

World Alzheimer’s Day – 21 September

World Alzheimer’s Day, September 21st of each year, is a day on which Alzheimer’s organizations around the world concentrate their efforts on raising awareness about Alzheimer’s and dementia. Alzheimer’s disease is the most common form of dementia, a group of disorders that impairs mental functioning.

Every 68 seconds, someone develops Alzheimer’s disease. At current rates, experts believe the number of Americans living with Alzheimer’s will quadruple to as many as 16 million by the year 2050.

Alzheimer’s disease is often called a family disease, because the chronic stress of watching a loved one slowly decline affects everyone. 5.4 million Americans are living with Alzheimer’s. Alzheimer’s disease is the sixth-leading cause of death in the United States and the only cause of death among the top 10 in the United States that cannot be prevented, cured or even slowed. With the increases in life spans and baby boomers coming of age, support for Alzheimer’s research is more critical to our families than ever.

Source: Text: www.alzinfo.org   Image: NDTV.com

Journée Mondiale de la fibromyalgie – 12 mai

fibromyalgieLa Fibromyalgie est reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé depuis 1992. L’objectif de cette journée est de sensibiliser les gouvernements, les institutions et les media sur la situation des personnes qui souffrent de ces maladies orphelines (c’est à dire, sans traitement, ni prise en charge, et incurable dans l’état actuel des connaissances et des moyens). Cet événement est mené dans 29 pays.

Historique
Née le 12 mai 1820 en Grande-Bretagne, Florence Nightingale exerçait le métier d’infirmière lorsqu’elle a contracté une forme grave du Syndrome de Fatigue Chronique et de Fibromyalgie vers l’âge de 35 ans. Elle a passé quasiment les cinquante dernières années de sa vie clouée au lit. Malgré sa maladie, Florence Nightingale est à l’origine de la Fondation de la Croix Rouge Internationale, et elle a également fondé la première école d’infirmières. Elle représente un symbole fort de résistance et de lutte contre la maladie. C’est pourquoi cette date symbole du 12 mai.

Qu’est-ce que la fibromyalgie ?
Maladie chronique, caractérisée par une sensation de douleur générale diffuse ou de brûlure de la tête aux pieds, avec un sentiment de fatigue profonde, sans lésion. Une condition douloureuse pouvant devenir invalidante.
Cette maladie affecte 3% de la population.

Elle atteint surtout les femmes, 9 malades sur 10 sont des femmes principalement entre 35 et 45 ans, touchées en pleine période professionnelle.
On retrouve souvent:
Un sommeil non reposant ; fatigue et raideur au lever ;
Des maux de tête  » ordinaires  » ou fortes migraines ;
Des troubles digestifs, diarrhées et/ou constipation, ballonnements et/ou nausées ;
Des troubles génito-urinaires ;
Des états dépressifs ou d’anxiété (plus souvent la conséquence que la cause de la fibromyalgie).

Ces symptômes sont aggravés par le stress, les émotions, par un manque ou excès d’activité physique ou par un travail trop contraignant ou des tâches répétitives.

Un site à visiter : www.fibromyalgiesos.fr   Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée Internationale des enfants soldats – 12 février

Ces dernières décennies, la proportion des victimes civiles des conflits armés a augmenté de façon spectaculaire; elle dépasserait à présent les 90 %. La moitié environ de ces victimes sont des enfants. Vingt millions d’enfants peut-être ont été contraints de fuir de chez eux en raison des conflits et des violations des droits fondamentaux, et vivent comme réfugiés dans les pays voisins ou sont déplacés dans leur propre pays.

Au cours de la décennie écoulée, les conflits armés ont directement tué plus de 2 millions d’enfants. Ils sont plus de trois fois plus nombreux – au moins 6 millions – à avoir été frappés d’une invalidité permanente ou grièvement blessés. Plus d’un million d’enfants ont été rendus orphelins ou ont été séparés de leur famille. Entre 8’000 et 10’000 enfants sont tués ou mutilés par des mines terrestres chaque année.

soldat-enfantOn estime que 300 000 enfants soldats – des garçons et des filles de moins de 18 ans – sont mêlés à plus de 30 conflits dans le monde. Ils sont utilisés comme combattants, coursiers, porteurs ou cuisiniers, et pour fournir des services sexuels. Certains sont recrutés de force ou enlevés, d’autres s’enrôlent pour fuir la pauvreté, la maltraitance et la discrimination, ou pour se venger des auteurs d’actes de violence commis à leur encontre ou contre leur famille.

Pendant les conflits armés, les filles et les femmes sont menacées de viol, de violence, d’exploitation sexuelle, de traite, et d’humiliation et de mutilation sexuelles. L’utilisation du viol et d’autres formes de violence contre les femmes est devenue une stratégie dont se prévalent toutes les parties aux conflits. Les rapports d’enquête établis à la suite du génocide commis en 1994 au Rwanda ont conclu que presque toutes les femmes de plus de 12 ans ayant survécu au génocide avaient été violées. Pendant le conflit dans l’ex-Yougoslavie, on a calculé que plus de 20’000 femmes avaient été victimes de violences sexuelles. Par ailleurs, les conflits désintègrent les familles, alourdissant encore le fardeau économique et psychologique pesant sur les femmes.

Environ un tiers des 25 pays où vivent la plus forte proportion d’enfants rendus orphelins par le SIDA ont été touchés ces dernières années par des conflits armés. Sept des dix pays à plus fort taux de décés parmi les moins de cinq ans sont touchés par des conflits de ce type.

Les enfants mêlés à des conflits armés sont régulièrement confrontés à des événements émotionnellement et psychologiquement douloureux, tels que la mort violente d’un parent ou d’un proche, la séparation d’avec leur famille, le fait d’avoir vu des êtres chers tués ou torturés, l’éloignement de leur foyer et de leur communauté, l’exposition aux combats, aux bombardements et à d’autres situations mettant leur vie en danger; les mauvais traitements, tels que l’enlèvement, l’arrestation, la détention, le viol ou la torture, la perturbation des études et de la vie communautaire, le dénuement et un avenir incertain. Certains prennent même part à des actions violentes. De plus, les enfants, quel que soit leur âge, sont profondément affectés par le niveau de stress que connaissent les adultes qui s’occupent d’eux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale