Il y a des textes qui parlent,
oui, des mots qui nous rejoignent
là où ils apportent la lumière attendue…
Un verset de l’évangile de ce 5è dimanche de Pâques
parle à Maxim Brais
et il nous partage sa réflexion.
Il y a des textes qui parlent,
oui, des mots qui nous rejoignent
là où ils apportent la lumière attendue…
Un verset de l’évangile de ce 5è dimanche de Pâques
parle à Maxim Brais
et il nous partage sa réflexion.
Les questions et… les réponses – elles font partie de notre quotidien.
Elles nous rejoignent de bien des manières et dans les circonstances les plus diverses.
Où? Quand? Comment? Pourquoi?…
Elles surgissent de la curiosité peut-être, ou du désir d’apprendre.
Elles nous surprennent parfois et souvent nous interpellent.
Il est intéressant d’observer Jésus quand on lui pose une question.
On l’interroge parfois sur les traditions de son peuple.
Il se peut aussi qu’on le questionne sur son attitude dans telle ou telle situation.
Il arrive qu’on lui demande une information sur un sujet en particulier.
C’est le cas dans le texte de l’évangile d’aujourd’hui (Luc 13:22-30).
« Jésus traversait villes et villages en enseignant.
Quelqu’un lui demanda :
‘Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ?’ »
Une question d’importance… vous vous la posez peut-être vous-même?
Il s’agit de notre vie maintenant et… de l’autre vie – celle qui nous attend après la mort.
Être sauvé, n’est-ce pas ce que tous et toutes nous désirons?
J’imagine que les gens qui, ce jour-là, écoutaient l’enseignement de Jésus désiraient bien connaître la réponse qu’il allait donner à cette question.
Mais… selon son habitude, Jésus n’a pas répondu!
Ou plutôt, il a répondu… comme il le fait souvent:
par une parabole, un récit, une autre question, ou un conseil…
C’est le cas du texte d’aujourd’hui qui est un rappel à ce qui est essentiel:
non pas le nombre des élus mais bien… si NOUS pourrons, nous, être de ce groupe !
Jésus nous en donne le secret – un secret assez mystérieux:
« Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite. »
Mais il nous laisse le soin d’interpréter ses paroles.
À nous d’identifier – au fil des jours – ce que représente cette ‘porte étroite’…
Chacun, chacune doit personnaliser ses réactions, évaluer ses choix, assumer ses engagements…
Se garder de la facilité: ‘Ç’est assez bien comme ça…’
alors qu’on pourrait faire bien mieux!
Se méfier du laisser-aller: ‘Tout l’monde le fait…’
alors que la discipline serait de rigueur dans cette situation.
Vaincre l’apathie: ‘J’ai toujours fait ainsi, à quoi bon changer…’
alors qu’un effort conduirait à une vie plus riche de sens.
Surmonter l’égoïsme: ‘J’me débrouille, que les autres en fassent autant’…
alors qu’on pourrait donner un coup de main à quelqu’un dans le besoin.
Jésus ne répond pas aux questions mais…
les réponses que son Esprit nous suggère au plus secret de nous-mêmes sont la piste qu’il nous faut suivre pour « prendre place au festin dans le royaume de Dieu ».
Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-c-2022/
La question posée mérite qu’on s’y arrête. Faut-il, oui ou non, permettre aux enfants nés sous x de retrouver leurs parents biologiques alors même que l’accouchement sous X était censé rompre tout lien.
Le législateur s’est lui aussi penché sur cette question et s’est posé la question de modifier la loi en créant le Conseil National pour l’Accès aux Origines Personnelles (CNAOP) et envisagerait la possibilité que le père puisse reconnaitre l’enfant, même si la mère accouche sous X.
Les questions sont posées, les réponses pas toujours aussi simples qu’on pourrait le souhaiter. L’intérêt de cette journée sera a minima d’inciter tout un chacun à y réfléchir !
Dans l’évangile, il y a des scènes auxquelles on aime revenir,
des personnages qui nous attirent et nous inspirent davantage.
Jean Roch Boivin a le sien, bien sûr.
Il nous le présente dans la vidéo qui suit.
Le cancer constitue encore aujourd’hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l’intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l’utilité d’un dépistage précoce permettant d’arriver à une guérison.
L’OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure n’est prise. C’est pour cette raison que des moyens importants sont mis en oeuvre dans le but de faire reculer le poids de cette maladie partout dans le monde.
Une initiative intéressante a été prise par l’ARC récemment, à savoir la création d’un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net
Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l’hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le traitement des cancers, les pays du sud, comme à l’accoutumé ne bénéficient pas de telles attentions. Un dossier très documenté est disponible dans le site Notre Planète Info (lien ci-dessous).
En parlant avec quelqu’un, on demande parfois une question avec une intention… qu’on ne révèle pas à prime abord.
On peut demander à un voisin : « Où vas-tu? » alors que nous aimerions dire : « J’aurais besoin de ton aide… »
Ou encore, on peut dire : « As-tu acheté tel produit? » alors qu’en fait on voudrait en connaître le coût.
C’était peut-être un peu le cas quand Jean et André ont demandé à Jésus : « Rabbi, où demeures-tu? »
La formulation de leur question cachait peut-être bien davantage…
Et j’ose croire que, ce jour-là, ils ont appris bien plus que l’endroit où Jésus résidait!
D’ordinaire, quand on vérifie l’heure à laquelle tel ou tel événement se produit, c’est qu’il s’agit là de quelque chose d’important pour nous.
Il est intéressant de noter que le texte de l’évangile d’aujourd’hui, l’évangile de Jean – précisément l’un des deux personnages qui ont vécu l’expérience relatée – dit :
« Ils restèrent avec lui ce jour-là.
C’était vers la dixième heure (environ quatre heures de l’après-midi) »
(2è dimanche de l’année B : (Jn.1:35-42).
De quoi ont-ils parlé ?
Qu’est-ce que Jésus leur a dit ?
Leur a-t-il demandé, déjà à ce moment-là, de se joindre à lui ?
(Avant même l’appel dans un autre contexte que l’on trouve dans Mt.4:18-22).
La réponse à ces questions se trouve dans ce que je nomme : ‘Tout ce que j’aimerais savoir de Jésus et que l’évangile ne dit pas !’
J’Image que vous avez aussi tout un répertoire de questions que vous aimeriez lui adresser !
Quand il m’arrive de m’arrêter sur ce sujet, je me dis qu’il me faudrait peut-être faire comme Jean et André ont fait : RESTER AVEC LUI…
tout simplement et… attendre ses réponses, celles qu’il me donnera.
A son heure, à sa manière, non pas à Nazareth ou Capharnaüm mais tout aussi réellement.
Et alors, oui, je noterai l’heure et je garderai le souvenir de cette révélation… personnalisée…
Note: Un autre texte de réflexion pour ce dimanche est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-year-b/
La Journée Internationale de la diversité Biologique, organisée chaque année par la Vague Verte, est l’occasion de sensibiliser le grand public et d’apporter des réponses à ses questions sur la biodiversité. En 2009, l’accent avait été mis sur les espèces exotiques envahissantes, dites EEE, qui constituent une des plus grandes menaces à la biodiversité et à l’écologie.
Pour faire simple, une EEE est un organisme vivant, animal ou végétal, qui s’installe dans un milieu naturel qui n’est pas le sien, le colonise, déréglant ainsi l’équilibre naturel du milieu concerné. L’exemple de l’algue Caulerpa taxifolia est célèbre: implantée accidentellement aux abords du musée océano- algue, prévention, stratégie, collbgraphique de Monaco, elle envahit les fonds marins, détruisant toutes les autres espèces sur son passage.
« La méthode de contrôle la plus efficace et réalisable est la prévention. Pour réussir, cette stratégie exige une collaboration entre les gouvernements (…), et les organisations internationales. » Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon
Les touristes ramenant des animaux exotiques sur leur lieu de vie sont l’une des principales causes d’invasion de ces espèces envahissantes. Pour contrer cette invasion, Ban Ki-Moon annonce une règle simple: « laissez les organismes vivants dans leur habitat naturel et ramenez à la maison seulement des souvenirs. »
Toute l’année 2010 sera consacrée à la biodiversité, ce qui augure bien d’une journée mondiale exceptionnelle. Le thème de cette prochaine journée sera la diversité biologique pour le développement et la réduction de la pauvreté.
Biodiversité : combien d’espèces connaît-on aujourd’hui dans le Monde ?
La biodiversité englobe l’ensemble des espèces animales et végétales vivantes sur terre (et dans les mers). La biosphère abriterait entre 5 et 30 millions d’espèces (estimation).
Environ 1,7 million d’espèces animales sont répertoriées, et chaque année de nouvelles espèces sont répertoriées. Malheureusement, de nombreuses espèces disparaissent également, souvent à cause des actions irresponsables de la société humaine.
De nombreux sites internet sont consacrés à ce sujet et on pourra utilement visiter le site des Nations Unies sur la Convention sur la diversité biologique. Il sera peut-être plus facile de vous documenter en visitant le site proposé par le ministère (français) de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire.