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Journée Mondiale du migrant et du réfugié – 14 janvier

Après le mois de décembre (Journée internationale des migrants) et le mois de juin (Journée Mondiale des réfugiés), c’est la troisième journée consacrée à cette problématique. Pour 2018, c’est la date du dimanche 14 janvier qui a été retenue.

Au delà de ce téléscopage de dates, la Journée Mondiale du migrant et du réfugié est célébrée chaque 2° dimanche après le 6 janvier, à l’initiative de l’église catholique.

L’engagement de l’Eglise n’est pas nouveau et de nombreux prêtres et évêques prennent position dans le débat, au nom des droits de l’homme et du respect de la dignité humaine.
Les droits élémentaires de la personne humaine

« Le fait d’être en situation irrégulière ne fait pas perdre ses droits élémentaires à quelque personne que ce soit. (…) Nous voulons dire notre admiration et notre soutien aux chrétiens qui se mettent au service de leurs frères déplacés, avec un grand désintéressement personnel et associatif… »  Mgr Vingt-Trois, archevêque de Paris.

   Sourrce: Texte: Journée Mondiale Image: en.radiovaticana.va

NOTE: Entrevue disponible sur ce sujet à: https://image-i-nations.com/banc-james-marchant/

Journée Mondiale des orphelins de guerre – 6 janvier

5 jours après la Journée Mondiale de la Paix, on parle des orphelins de guerre. Leur journée mondiale est d’origine Onusienne et c’est d’ailleurs la convention relative aux droits de l’enfant qui affirme que les droits des enfants doivent être respectés même en période de guerre ou de conflit armé.

Les enfants ne sont pas responsables…
… et ne doivent pas devenir les victimes de la bêtise de leurs parents. Les enfants ont le droit d’être protégés dans toutes les circonstances et de vivre dans un environnement pacifique, même si les adultes n’ont pas été capables de régler leurs conflits de façon intelligente.

Orphelins de guerre de par le monde
La situation matérielle des orphelins de guerre dans les zones touchées par les conflits reste extrêmement problématique et l’appel aux états pour remédier à cet état de fait toujours aussi nécessaire…

Une initiative du musée virtuel canadien mérite d’être relayée dans ce site: elle trouve sa source dans le sort d’un groupe d’orphelins juifs de la deuxième guerre mondiale qui a émigré au Canada. Cette histoire (vraie) appartient autant au passé qu’au présent et peut constituer un appel et une mise en garde contre l’indifférence et la passivité de ceux qui ne sont pas touchés par ces questions.

Il y a actuellement de très nombreux réfugiés pour cause de guerre dans le monde; plus de la moitié sont des enfants et parmi eux les orphelins sont très nombreux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com  Source: Texte: Journée Mondiale  Image: kurfarooq3blog.wordpress.com

 

 

Journée internationale de la Paix – 1er janvier

Le 1er janvier est la journée tout spécialement dédiée à la PAIX – on la désire, on la demande, on la partage…
Mais il faut avant tout la recevoir et… continuer de la bâtir… 

Ci-dessous, un court extrait du Message du Pape François pour cette journée internationale. 

Meilleurs vœux de paix
Que la paix soit sur toutes les personnes et toutes les nations de la terre ! Cette paix, que les anges annoncent aux bergers la nuit de Noël, est une aspiration profonde de tout le monde et de tous les peuples, surtout de ceux qui souffrent le plus de son absence. Parmi ceux-ci, que je porte dans mes pensées et dans ma prière, je veux une fois encore rappeler les plus de 250 millions de migrants dans le monde, dont 22 millions et demi sont des réfugiés.

Tous les éléments dont dispose la communauté internationale indiquent que les migrations globales continueront à caractériser notre avenir. Certains les considèrent comme une menace. Moi, au contraire, je vous invite à les regarder avec un regard rempli de confiance, comme une occasion de construire un avenir de paix…

Avec un regard contemplatif
La sagesse de la foi nourrit ce regard, capable de prendre conscience que nous appartenons tous « à une unique famille, migrants et populations locales qui les accueillent, et tous ont le même droit de bénéficier des biens de la terre…

Il nous faut également porter ce regard contemplatif sur la ville où nous vivons, « c’est-à-dire un regard de foi qui découvre ce Dieu qui habite dans ses maisons, dans ses rues, sur ses places [… en promouvant] la solidarité, la fraternité, le désir du bien, de vérité, de justice »; en d’autres termes, en réalisant la promesse de la paix.

Source : Texte : https://w2.vatican.va  Image : mamoni9.blogspot.com

Un autre article disponible à: https://image-i-nations.com/fete-de-marie-mere-de-dieu-1er-janvier-annee-b/

 

Journée Internationale de la paix – 27 septembre

Chaque année à travers le monde, nous célébrons la Journée internationale de la paix le 21 septembre. Cette journée a été déclarée par l’Assemblée générale des Nations Unies en vue de renforcer l’idéal de paix, tant au sein des pays et qu’entre les pays eux-mêmes.

Le thème de la Journée en 2017 est : « Ensemble pour la paix : Respect, dignité et sécurité pour tous ».

Ce thème a été choisi pour mettre à l’honneur la Campagne ENSEMBLE, une initiative mondiale des Nations Unies qui favorise le respect, la sécurité et la dignité pour toute personne forcée par les circonstances à fuir son domicile à la recherche d’une vie meilleure.

ENSEMBLE réunit les organismes du système des Nations Unies, les 193 États Membres de l’Organisation des Nations Unies, des entités du secteur privé et de la société civile, des établissements universitaires et des citoyens dans le cadre d’un partenariat mondial en vue de soutenir la diversité, la non-discrimination et l’acceptation des réfugiés et des migrants. La campagne a été lancée le 19 septembre 2016 à l’occasion du Sommet des Nations Unies pour les réfugiés et les migrants.

« En période d’insécurité, les groupes dont la différence est visible, sont pris pour boucs émissaires, par facilité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres. C’est la raison pour laquelle il faut résister aux forces cyniques qui cherchent à diviser les communautés et à diaboliser autrui. « La discrimination nous avilit tous. Elle empêche les personnes et les sociétés de réaliser tout leur potentiel », a-t-il déclaré en janvier 2017, lors d’un Forum de haut niveau sur la lutte contre la discrimination et la haine envers les musulmans.

Cette année, la Journée internationale de la paix mettra donc en évidence l’engagement et la mobilisation d’individus issus des quatre coins du monde en faveur des réfugiés et des migrants. Nous partagerons les expériences vécues par les communautés qui accueillent celles et ceux forcés de fuir leur foyer, ainsi que des récits de réfugiés et de migrants.

Notre objectif est de mettre en lumière les bénéfices mutuels de la migration mais aussi d’aborder les craintes et les questions qui surgissent au sein des communautés d’accueil. L’initiative vise à réfléchir ensemble à toutes ces questions et défis, tout en rappelant l’un de nos fondements commun : notre humanité.

Source: Texte: ONU Image: Journée Mondiale

Le flot de réfugiés continue…

Le bulletin de nouvelles internationales (BBC World, 1er juillet 2017) nous informe que le mois dernier près de 11000 réfugiés sont arrivés sur les rives de l’Italie en seulement cinq jours…

Et combien d’autres ont été engloutis par la mer?…

C’est l’actualité en continu…
Oui, vraiment une actualité qui INTERPELLE!

Que faire? Comment faire?…
Les instances gouvernementales des différents pays d’Europe discutent et cherchent une solution.
Il n’est pas facile de réconcilier les équations économiques et… la compassion.

Source: Image: cdn.images.express.co.uk

Si c’était moi…

Des messages, il nous en vient d’un peu partout.
Chaque jour, des voix nous rejoignent, d’ici, de là, qui apportent une vérité, suggèrent un questionnement, invitent à la réflexion.
Il suffit de prêter l’oreille, et de donner… l’attention du cœur!

Récemment, un message m’est parvenu par l’entremise de… ma voisine.
Elle serait surprise de l’apprendre, mais ses paroles ont suscité en moi une réflexion qui se poursuit.
Lors de nos rencontres occasionnelles, souvent je l’entends dire : « Si c’était moi… »
Et ces mots ont encore un écho en moi.

La semaine dernière, elle me racontait une visite qu’elle avait faite à une dame âgée qui se sent bien seule.
Ma voisine me racontait sa sortie et ajoutait : « Tu sais, je n’avais vraiment pas le goût de me préparer, me maquiller, prendre l’autobus et me rendre chez cette dame, mais je me suis dit : ‘Si c’était moi…’ moi qui me sens seule, qui n’ai jamais de visite… si c’était moi… alors, j’ai fait un effort et je suis allée. »

Ma voisine n’en est pas consciente mais, pendant nos conversations, elle utilise cette expression assez souvent.
Chaque fois, je me sens interpelée et, de retour chez moi, je continue à imaginer des situations en me répétant : ‘Si c’était moi…’

  • Si c’était moi qui suis prisonnier de mon fauteuil roulant et ne peut sortir que rarement…
  • Si c’était moi qui n’ai plus de famille et me sens inutile et souvent ‘déprimée’…
  • Si c’était moi qui me répète toujours les mêmes choses et… qui en oublie tant d’autres…
  • Si c’était moi qui suis lente à comprendre et… gauche pour m’exprimer…
  • Si c’était moi le jeune qui cherche… qui se cherche…
  • Si c’était moi la mère monoparentale encore enceinte sans le vouloir…
  • Si c’était moi le réfugié qui balbutie avec peine les mots d’une langue difficile…
  • Si c’était moi le prisonnier condamné injustement… (ça arrive parfois, vous savez!…)

SI C’ÉTAIT MOI…

Oui, si c’était moi, j’aimerais, oh combien j’aimerais une visite amicale, une parole encourageante, un regard qui dit qu’on comprend, une taquinerie qui me fasse sourire – alors que j’ai presque oublié ce que c’est que de sourire!
J’aimerais tellement qu’on pense un peu à moi, qu’on réalise que je suis là et que j’ai besoin d’un peu de chaleur humaine.

Évidemment, on ne peut pas dire ces choses-là, mendier ouvertement, ça ne se fait pas… mais… peut-être qu’un jour quelqu’un se dira : ‘Si c’était moi…’ et… et fera quelque chose…

Source: Images: dissolve   thegioiamxuc.vn, psst.ph

Journée Mondiale des réfugiés – 20 juin

Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une parmi les plus connues, c’est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays.

Solidarité africaine
En témoignage de solidarité avec l’Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.

Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin. L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.

A noter qu’une seconde journée est consacrée aux réfugiés : la journée mondiale du migrant et du réfugié, instituée par l’église catholique et célébrée le 17 janvier.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

 

Rapport de l’ONU…

La photo de la bannière ci-dessus est celle d’une femme de la tribu Rohingya. La photo date d’octobre 2015 alors que ce groupe ethnique faisait les manchettes de l’actualité. À regret, il faut dire que c’est encore le cas aujourd’hui. En effet, l’ONU vient de publier un rapport (février 2017) qui affirme qu’il s’agit là de la population la plus persécutée du monde!…

Habitant le pays du Myanmar, autrefois connu sous le nom de Birmanie, on leur a enlevé leur citoyenneté et on les prive de tous leurs droits.

Dans ce pays de 54 millions d’habitants, plus de 90% sont bouddhistes. Les Rohingyas musulmans font l’objet de discrimination sans précédent : leurs maisons sont brûlées, ils sont torturés et leurs enfants égorgés. Le harcèlement qu’ils subissent a été jugé par l’ONU comme une « oppression systématique ». On estime que 45,000 d’entre eux ont été obligés de chercher refuge au pays voisin, le Bangladesh, et 22,000 ont dû fuir dans des régions autres que la leur au Myanmar.

La tyrannie dont ils font l’objet fait craindre que ce peuple soit voué à la disparition. Il semble que le but de la politique birmane à leur endroit soit leur élimination pure et simple. Un livre publié récemment a pour titre : Nous, les innommables.

 Triste actualité, terrible réalité, où en est… l’humanité?…

Source: Images: BBC, The Huffington Post

Migrants sit on their boat as they wait to be rescued by Acehnese fishermen on the sea off East Aceh, Indonesia. (AP Photo/S. Yulinnas)