image-i-nations trésor

Journée Mondiale de la ménopause – 18 octobre

L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’en 2030, 1,2 milliard de femmes seront âgées de 50 ans ou plus et qu’un nombre croissant de ces femmes peut s’attendre à vivre plusieurs décennies après la ménopause.
Malheureusement, une durée de vie plus longue entraîne aussi une augmentation spectaculaire de l’incidence des maladies et des affections qui peuvent être associées à la perte d’œstrogènes au milieu de la vie. Ce jour, qui est la Journée Mondiale de la Ménopause, l’International Menopause Society (IMS) presse les nations de prendre des mesures actives pour éduquer les femmes concernant les implications de la ménopause pour la santé.

Honorer les femmes

La Journée Mondiale de la Ménopause a pour objectif d’honorer toutes les femmes. Elle vise les millions de femmes qui, partout dans le monde, arrivent chaque jour à ce stade vital de leur vie, même si bon nombre d’entre elles ne comprennent pas bien ce qu’est la ménopause et quels sont ses impacts sur leur santé.

Favoriser la recherche

Le défi que lance la Journée Mondiale de la Ménopause appelle toutes les nations à donner à la santé après la ménopause une place primordiale dans la recherche et la santé publique, afin d’aider les femmes à éviter les symptômes désagréables susceptibles d’affecter la productivité et la qualité de vie, et afin de réduire les taux d’ostéoporose, de maladies cardiaques, de cancer du côlon et autres maladies du vieillissement liées aux œstrogènes.

Un site à visiter : www.sante-sur-le-net.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de l’X fragile – 10 octobre

Le syndrome de l’X fragile est une maladie génétique de l’intelligence. C’est la deuxième cause la plus courante du retard mental héréditaire, après la trisomie 21.

Une maladie rare

Méconnue, cette maladie se caractérise par une atteinte (de légère à sévère), associée à des troubles du comportement, du langage et de l’humeur, et à des difficultés à gérer ses émotions.

Elle concerne 1 garçon sur 5000 et 1 fille sur 9000. Elle touche environ 10 000 personnes en France.
A l’heure actuelle, il n’existe pas de traitement curatif.

La prise en charge médico-sociale proposée consiste généralement à un aménagement du lieu de scolarité, à des thérapies sur le langage, à des séances de physiothérapie ou de kinésithérapie, et à des programmes éducationnels et comportementaux personnalisés.

La journée internationnale de l’X fragile

À l’occasion de la journée internationale de l’X fragile de nombreuses associations se mobilisent et organisent des conférences afin d’informer le public et les familles, et aider au financement de la recherche.

Mais peut-être vous êtes vous demandé pourquoi cette date ? C’est tout simplement parce qu’en latin le 10.10 (10 octobre) s’écrit « X.X ».

Un site à visiter : www.fondationlejeune.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Les jeunes… en recherche…

Au début de ce mois (1-6 août 2023) le Pape François s’est rendu au Portugal
pour y rencontrer les jeunes rassemblés pour les JMJ –
Jounées Mondiales de la Jeunesse.
Il en est revenu joyeux et il a affirmé que
cette expérience l’a convaincu que, grâce aux jeunes,
un monde différent est possible.

Dans la courte vidéo qui suit, nous rencontrons Anouk qui nous partage
sa recherche… sa découverte… et sa joie!

Journée mondiale de la myopathie FSH – 20 juin

Journée mondiale de la myopathie FSH

Le myopathie FSH ou myopathie de Landouzie-Dejerine est une maladie à part, à ne pas confondre avec la myopathie de Duchêne également relayée dans ce site.

Facio Scapulo Humérale

La dystrophie facio-scapulo-humérale (ou dystrophie FSH) est une maladie musculaire d’origine génétique. Son nom (FSH) lui vient du fait qu’elle atteint principalement les muscles du visage, ceux des épaules et ceux des bras.

L’atteinte musculaire est très variable d’une personne à l’autre, y compris au sein d’une même famille. Les premières manifestations concernent généralement les bras et apparaissent le plus souvent à l’adolescence ou à l’âge adulte. L’évolution est lente, avec des périodes plus ou moins longues durant lesquelles la maladie ne progresse pas. La myopathie FSH s’accompagne parfois d’atteintes de la rétine ou de l’organe de l’audition (la cochlée), pouvant entraîner une diminution de l’acuité visuelle et une surdité modérée ou sévère.

Vers un traitement ?

Pour le moment elle ne bénéficie d’aucun traitement connu et c’est justement le but de cette journée mondiale, faire connaître la maladie et susciter des dons pour soutenir la recherche.

Un site à visiter : fsh.afm-telethon.fr        Source: Texte & Image *: Journée mondiale     ( * Image: la couleur orange a été choisie en lien avec l’AFM au moment du Téléthon)

Semaine de prière pour l’unité des chrétiens – 18-25 janvier 2022

 

«Nous avons vu son astre à l’Orient et nous sommes venus lui rendre hommage.»  Matthieu 2:2

Le Conseil des Églises du Moyen-Orient, basé à Beyrouth, au Liban, a organisé le groupe de rédaction de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens 2022.

Les réflexions explorent la manière dont les chrétiens sont appelés à être un signe pour le monde de Dieu et à apporter l’unité. Issus de cultures, de races et de langues différentes, les chrétiens partagent une même recherche du Christ et un même désir de l’adorer.

Bien que les Églises et le peuple libanais aient été accablés par les conséquences quotidiennes d’une crise politique et économique persistante, et confrontés à la tragédie de l’explosion d’août 2020 à Beyrouth, qui a fait des centaines de morts et laissé des centaines de milliers de blessés ou de sans-abri, les chrétiens de différentes Églises du Liban et des pays voisins ont trouvé la force spirituelle de se rassembler et de préparer des ressources pour la prière, a déclaré le pasteur Odair Pedroso Mateus, secrétaire général adjoint par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) et directeur de sa Commission Foi et Constitution.

«Ils nous invitent à nous tourner vers l’étoile de l’Orient et à adorer ensemble le Fils de Dieu incarné», a déclaré M. Mateus. «Pour ce précieux don spirituel, nous sommes reconnaissants à Dieu et à eux.»

Des chrétiens du Liban, de Syrie et d’Égypte ont préparé localement des ressources pour la prière. (…)

L’une des méditations note que, dans ce monde fragile et incertain, nous cherchons une lumière, un rayon d’espoir au loin. «Quand le mal nous entoure, nous aspirons au bien», peut-on lire dans cette méditation. «Nous le cherchons en nous, mais nous sommes si souvent accablés par notre faiblesse que nous perdons espoir. Notre confiance repose dans le Dieu que nous adorons.»

 

Voir aussi: www.oikoumene.org/semaine-de-priere

Source: Texte (abrégé): Conseil oecuménique des Églises   Image: iStock

 

Fête de l’Épiphanie, année C – 2022

   

   

Un signe, une étoile.
Des Mages, des astrologues, en mode ‘recherche’.
Un roi à l’esprit tortueux élaborant un plan malicieux.
Le signe, soudain disparu, cause le désarroi des chercheurs bien intentionnés.
La réapparition du signe-étoile suscite une grande joie.
Et, enfin, la découverte inédite, absolument exceptionnelle, qui dépasse toute attente.

Avez-vous reconnu le texte de l’Évangile de cette fête de l’Épiphanie (Matthieu 2:1-12)?
C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit!

Et il y a davantage: l’offrande de cadeaux princiers, symboliques.
Et un songe, une mise en garde qui met en échec la ruse d’un roi cruel.

Ainsi ‘décodé’, le texte de l’évangile revêt des aspects assez… contemporains!
Des signes, des recherches assidues, des plans sadiques de persécution, des mises en garde –
tout cela, le quotidien en fournit à tant de gens sous toutes les latitudes.

Mais… qu’en est-il de la joie intense de la découverte –
découverte de celui qui nous attend, qui nous rejoint,
s’étant fait l’un-de-nous, Dieu-avec-nous?

Cela aussi devrait devenir contemporain!
Que manque-t-il donc pour que cela devienne réalité pour NOUS?

La lassitude nous gagne-t-elle en route?
La crainte surmonte-t-elle notre courage?
Manquons-nous de suivre NOTRE étoile?

Peut-être suffit-il simplement de nous tourner vers LUI, lui, qui a promis :
“Je t’instruirai, je t’apprendrai la route à suivre,
Les yeux sur toi, je serai ton conseil.” (Psaume 32:8)

Promesse de sa présence, source de joie indicible,
à notre portée sur la route, où que nous mène notre cheminement…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-year-c-2022/

 

Source: Images: istockphotos.com   Church of Jesus Christ

Fête de l’Épiphanie, année B – 2021

« La Fête de Rois, » dit-on et, après un moment de silence une question surgit:
« Est-ce bien vrai, cette histoire-là? 
Est-ce que ce n’est pas une légende, tout simplement?»

Et d’autres questions s’ajoutent à la première:
« Les choses se sont-elles passées vraiment comme on le raconte?
Et, il y avait bien trois Rois, pas quatre?
On dit que c’était ‘des Mages’, des gens qui étudiaient les étoiles, vous croyez à tout cela? »
vous demande-t-on?

Plusieurs affirmeront avec conviction qu’il s’agit là d’un conte pour les enfants,
libre à vous d’y croire si cela a un sens pour vous.

Voilà ce qu’il fallait considérer depuis le début:
le sens de ce que l’on présente comme un événement.

L’apparition d’une étoile,
la recherche,
la quête d’information,
la découverte d’un nouveau-né,
l’offrande de trésors –

tous ces éléments doivent être perçus et reçus comme des symboles –
des symboles dont la signification se manifeste à quiconque est prêt à s’ouvrir à une révélation –
la révélations que:

Dieu éclaire ceux/celles qui le cherchent,
il guide leur marche et leur désir de le connaître,
il se manifeste à eux
il accepte ce qu’ils/elles offrent – pour Lui toute offrande est un trésor
et lui-même se donne alors à chacun/e – quelles que soient leur origine, nationalité, langue ou situation.

Un conte? Il n’y en a pas de plus vrai!
Une légende? Nulle n’est plus signifiante!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-year-b-2021/

 

Source : Image : Vector4free

32è dimanche de l’année A – 2020

Le mot ‘recherche’ revient souvent dans les conversations, les publications, et les médias sociaux ne manquent pas de le mentionner aussi.
Il semble que la recherche est à l’ordre du jour – recherche d’information, de nouvelles techniques de production, de nouvelles méthodes d’enseignement, de nouveaux médicaments pour des maladies rares, et j’en passe.

Ne sommes-nous pas tous et toutes en recherche?
Recherche du conjoint idéal, recherche d’un emploi bien rémunéré, recherche… du bonheur, évidemment!

Certains, plusieurs – oui, plusieurs – sont à la recherche de… Dieu!
Toute une aventure que cette recherche de ce quelqu’Un qui fascine, qui attire, qui invite mais…
qui semble se dérober sans cesse.
Alors que nous tentons de le connaître, de comprendre son message, de découvrir ce qu’il désire,
de percevoir qui il est vraiment – nous avons l’impression que nos efforts n’aboutissent pas.
Nous demeurons toujours… à sa recherche.

Pourtant…
La 1ère lecture de ce dimanche (Sa.6:12-16) offre un message bien réconfortant en affirmant :

« La Sagesse se laisse trouver par ceux qui la cherchent.
Elle devance leurs désirs en se faisant connaître la première.
Celui qui la cherche dès l’aurore ne se fatiguera pas :
il la trouvera assise à sa porte. »

Dans l’Ancien Testament, la Sagesse représente Dieu lui-même.
Alors… il devient évident que notre recherche de Dieu n’est pas en vain –
en fait, c’est même lui qui est en attente de nous assis à notre porte, semble-t-il!

Le texte poursuit avec des paroles encore plus extraordinaires :

« La Sagesse va et vient à la recherche de ceux qui sont dignes d’elle ;
au détour des sentiers, elle leur apparaît avec un visage souriant ;
dans chacune de leurs pensées, elle vient à leur rencontre. »

Dieu, Dieu lui-même se fait présent et… nous sourit!
Encore une fois, il nous faut changer notre image de Dieu !

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/32nd-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Soleil de Lumière – Canalblog

3è dimanche du Carême, année A – 2020

Il semble qu’être à la recherche de quelque chose ou de quelqu’un, cela fait partie de… notre ADN.
Nous cherchons ceci et cela,
toujours en quête d’un nouvel objet,
tentant d’obtenir de nouvelles connaissances,
nous efforçant découvrir de nouveaux horizons.

Et, caractéristique de nos efforts, il y a, évidemment, la recherche du bonheur!
La Samaritaine aux cinq maris et avec un cinquième compagnon de vie,
elle s’y connaissait en recherche de bonheur!

Mais se pourrait-il que Dieu soit aussi en recherche?
On objecte bien vite que Dieu sait tout et peut tout –
il se suffit à lui-même et il n’a besoin de rien ni de personne!
Comment pourrait-on imaginer qu’il recherche quelque chose… ou quelqu’un?!…
Pourtant, c’est bien ce que Jésus dit dans l’évangile de ce dimanche (Jn.4:5-42).

Dans sa conversation avec la Samaritaine, Jésus affirme:

“L’heure vient – et c’est maintenant
où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité:
tels sont les adorateurs que recherche le Père.”

On se pose bien vite la question: ‘Comment peut-on le devenir?’
Pas de technique spéciale requise,
pas de pratique ésotérique à suivre,
pas de guru attitré à imiter.

Ou plutôt, il y en a un: l’Esprit, que l’on nomme: le Conseiller (Jn.14:26) –
oui, l’esprit de Dieu lui-même qui seul peut faire de nous
“les adorateurs en esprit et vérité que recherche le Père.”

 
Il est encourageant de se rappeler que ce devenir est déjà… dans nos ‘gènes’ de baptisé/es!
Le Carême est un temps privilégié pour s’en souvenir!

Note: Cette scène de la rencontre de la Samaritaine avec Jésus est offerte dans une vidéo à: https://youtu.be/FMqM5c6dLKs
Et une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-lent-year-a-2020/

  

Source: Image: Pinterest