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Journée internationale du nanisme – 25 octobre 2023

La journée mondiale qui nous occupe aujourd’hui est d’origine Canadienne, euh… pardon Québécoise.
C’est en effet en 2013 que l’Association québécoise des personnes de petite taille (en clair, l’AQPPT) a lancé le mouvement, en association avec d’autres regroupements de personnes de petite taille à travers le monde pour fêter et faire reconnaître le mois du nanisme et son point culminant qui est donc devenu la Journée internationale du nanisme, fixée au 25 octobre.

Depuis 2013…

En octobre 2023 a donc lieu la 11ème édition du mois du nanisme sous le thème « Visons l’autodétermination ! » et les organisateurs insistent particulièrement cette année sur la sensibilisation de la population au nanisme et aux préjugés concernant les nains.

Un site à visiter : www.aqppt.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de l’épilepsie – 13 février 2023-2024

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays. La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2023

« Épilepsie, lavons les préjugés« 
pour mieux faire disparaitre les idées fausses sur l’épilepsie et ses différentes manifestations, 
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 

 

Note de l’éditrice du site: Pas de thème disponible pour 2024…

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de l’épilepsie – 14 février 2022

Journée internationale de l'épilepsie

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2022

« L’épilepsie, parlons-en !« 
pour mieux faire connaître l’épilepsie et ses différentes manifestations
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 
 

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale des migrants – 18 décembre 2018

 

« Les migrations favorisent la croissance économique, le dynamisme des sociétés et la tolérance. Elles offrent une chance à des millions de personnes en quête d’une vie meilleure, et profitent aussi bien aux communautés d’origine et qu’à celles de destination. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

La Journée internationale des migrants est l’occasion de dissiper les préjugés et de sensibiliser l’opinion à leurs contributions dans les domaines économique, culturel et social, au profit tant de leur pays d’origine que de leur pays de destination.

Les migrations sont une réalité incontournable. De nombreuses raisons amènent les gens à se déplacer – que ce soit pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.

Les migrations volontaires comme les déplacements forcés ont toujours été le lot commun de l’humanité. La plupart des gens comptent probablement parmi leurs ancêtres des personnes ayant migré.

En ces temps de mondialisation et d’interdépendance, la migration internationale pourrait bien devenir un phénomène encore plus répandu. L’intégration croissante des marchés du travail, la baisse du prix des transports et l’existence de réseaux d’information et de communication et de réseaux sociaux bien établis sont autant de facteurs qui favorisent la mobilité.

Si la plupart des migrations internationales sont motivées par des raisons économiques, les conflits, les violences, les persécutions, la répression politique et les autres violations graves des droits de l’homme figurent parmi les principales causes des mouvements de réfugiés et de déplacés.

Le 19 septembre 2016, à l’occasion d’un Sommet de haut niveau qui a eu lieu au Siège de l’ONU, l’Assemblée générale a adopté des engagements essentiels visant à renforcer la protection de millions de personnes déplacées de force et qui se déplacent pour d’autres motifs dans le monde entier. Par ce texte, appelé la Déclaration de New York, les États Membres se sont engagés à :

  • Protéger les droits des réfugiés et des migrants;
  • Sauver des vies;
  • Partager la responsabilité du soutien et de l’accueil de ces réfugiés et migrants;
  • Entamer des négociations menant à une conférence internationale; et
  • Adopter en 2018 un pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière.

Thème 2018 : Migration avec dignité

En 2018, près de 3400 migrants et réfugiés ont perdu la vie.Traiter chaque migrant avec dignité est l’une des exigences fondamentales qui doit guider chacune de nos actions. La migration est le grand enjeu de notre époque mais elle représente également un moteur pour la dignité, car elle permet aux individus de choisir de participer plutôt que de s’isoler.

Nous devons honorer ces choix en les respectant, et nous les respectons en traitant ceux qui font de tels choix avec dignité. À l’occasion de cette Journée internationale, notre appel est que les migrations soient sûres, régulières et dignes pour tous.

Source: Texte (résumé) & Image: www.un.org

 

 

Journée mondiale de la Trisomie-21 – 21 mars

Une résolution de l’ONU en 2011 a institué la date du 21 mars comme Journée mondiale de la Trisomie-21. L’occasion se présente donc pour faire le point sur la situation actuelle de la Trisomie-21 au Québec.

Dans un premier temps, il est utile de se remémorer quelques-uns des grands titres de l’actualité en lien avec la Trisomie-21. «Saint Jude; un homme atteint de Trisomie-21 passe plusieurs jours avec le cadavre de son frère avant de mourir de faim et de soif (2010)», «Utilisation du Taser pour maîtriser un homme de 43 ans atteint de Trisomie-21 (2009)», «Un homme accusé d’avoir agressé sexuellement une dame trisomique de 47 ans (2008)», «Hôpital Sainte-Justine: un garçon de 9 ans trisomique n’est plus le bienvenu (2006)», «L’agresseur d’une jeune trisomique voit sa peine réduite (2004)», «Une fillette trisomique de 7 ans n’est pas la bienvenue dans sa classe (2004)», «Une femme trisomique de 41 ans morte de faim et de soif après le suicide de son frère aîné qui s’occupait d’elle (2004)».

Sans oublier l’actuel gouvernement du Québec qui a mis en place un programme de dépistage prénatal de la Trisomie-21, envoyant ainsi le message à la population que mieux vaut ne pas vivre du tout que de vivre avec une Trisomie-21. À l’égard de celles-ci, ce fut d’ailleurs la seule générosité dont s’est senti capable le gouvernement du Québec. Cette politique du «contentezvous» les a enfoncées brutalement, ainsi que leur famille, dans une situation de repli et dans un grand sentiment d’isolement et d’incompréhension.

Ce petit tour d’horizon nous fait constater à quel point rien n’est facile, même de nos jours, pour les personnes vivant avec une Trisomie-21. Il s’agit bien là d’une grave injustice à leur égard puisqu’elles méritent bien plus que l’abandon général à leur endroit.

En effet, les personnes vivant avec une Trisomie-21, bien qu’aux prises avec un retard sur le plan intellectuel, sont en avance sur nous tous quant à certaines qualités de coeur remarquables comme l’amour inconditionnel et leur capacité de vivre sans préjugés envers les autres. Elles nous invitent, par leur exemple, au dépassement de nos limites personnelles.

Par ailleurs, le rayonnement de la démocratie et de notre Assemblée nationale du Québec doit rejoindre l’ensemble des citoyennes et des citoyens du Québec, y compris les 10 500 Québécoises et Québécois vivant avec une Trisomie-21. Ce rayonnement doit être souligné concrètement et avec fierté à leur endroit. Ces personnes apportent par leur exemple d’aimer inconditionnellement une contribution unique, originale et majeure à la construction du Québec d’aujourd’hui et de demain. Cet exemple n’est maîtrisé que par ceux et celles qui sont sur un chemin trop peu fréquenté. Le rayonnement de la démocratie sait reconnaître l’égalité des chances et sait aussi reconnaître en chacun la capacité de fournir un apport positif à notre collectivité québécoise. Sur le plan humain, les personnes vivant avec une Trisomie-21 ont assurément beaucoup à nous apprendre.

En cette Journée mondiale de la Trisomie-21, je vous invite tous à prendre contact avec une personne ayant une Trisomie-21 de votre entourage. Ce sera son plus grand bonheur. Offrez-lui d’aller prendre une marche, d’aller manger une crème glacée, de jouer au ballon, d’aller aux quilles, etc., puis regardez doucement et attentivement dans ses yeux. Vous y verrez de l’amour à perte de vue…

Source: Texte: Sylvain Fortin, président de la Société québécoise de la Trisomie-21 www.degaulle-trisomie21.org Le Soleil 21 mars 2012 Image : jolpress.com