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Journée mondiale de la justice sociale – 20 février

S’il est bien une notion aussi peu et mal partagée sur les différents continents, c’est bien celle de la justice sociale. Et quand l’assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 20 février, Journée mondiale de la justice sociale, elle a certainement mesuré la distance qui séparait le voeu de certaines réalités…

Elle invite les États Membres à célébrer cette journée mondiale en menant à l’échelon de leur pays des activités concrètes visant à promouvoir les buts et les objectifs proclamés lors du sommet mondial pour le développement social.

Cette journée existe depuis 2009 et doit rappeler à tous que les gouvernements se sont engagés à faire de l’élimination de la pauvreté et du chômage une de leurs priorités. Le renforcement de la justice, la promotion de l’équité, la démocratie, la participation et la transparence sont les axes de travail proposés par l’assemblée.

Mais d’où nous vient-elle ?
Parler de justice sociale nous amène invariablement à nous interroger sur l’origine de cette notion. Habituellement, les historiens nous situent l’émergence de ce combat au début du 20° siècle, à l’époque des premières réactions organisées contre la société industrielle toute puissante et son étalage insolent de richesse côtoyant l’extrême pauvreté de la classe ouvrière.

Les combats menés alors ont permis d’une part une réelle prise de conscience et, pratiquement, des avancées notables dans le droit du travail, au moins dans les pays développés. Les uns y ont vu l’influence directe de la pensée marxiste, les autres ont d’avantage reconnu l’affirmation d’un courant de pensée humaniste en lien avec l’émergence de la doctrine sociale de l’église promue par le Pape Léon XIII.

Il ne nous revient pas d’arbitrer ce débat. L’important ait qu’il ait eu lieu et que la prise de conscience des uns et des autres ait pu faire avancer les choses. Les raisons de se réjouir existent, celles de s’alarmer aussi car, dans de trop nombreux pays, la notion de justice sociale reste un voeu pieu et n’entre pas en compte dans les réflexions gouvernementales.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée Mondiale  Image : ENTRÉE LIBRE, Journal communautaire de Sherbrooke

 

 

Journée Internationale de La Solidarité Humaine – 20 décembre

L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre.

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale des nations unies en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté.

La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.

Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

Solidarnosc a profondément transformé la Pologne, la solidarité peut aider à transformer le monde.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 11 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes : Femmes et en enfant d’abord (FSMF) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant (20 novembre), a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Une attention accrue ainsi que des mesures efficaces et soutenues de prévention et de protection sont nécessaires, que ce soit au niveau familial, local, national ou international.

Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont souvent victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place éminente sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et les organisations de la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année
Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale du refus de la misère – 17 octobre

Le 17 octobre 1987, à l’appel du Père Joseph Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l’Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l’ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l’humanité à s’unir pour faire respecter les Droits de l’Homme. Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l’Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. On peut y lire l’appel du père Joseph:

« Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l’homme sont violés. S’unir pour les faire respecter est un devoir sacré. »

Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l’exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées : ainsi est née la Journée Mondiale du Refus de la Misère.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l’ONU, au nom d’un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté par l’assemblée genérale des Nations Unies. Depuis, les initiatives pour célébrer cette journée n’ont cessé de se multiplier. Dans de nombreux lieux, des rassemblements se tiennent également le 17 de chaque mois.

Un site à visiter : refuserlamisere.org      Source: Texte: Journée Mondiale    Image: https://www.atdquartmonde.ca/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-17-octobre/ATD Quart Monde

Journée mondiale d’action pour le travail décent – 7 octobre

A l’initiative du mouvement syndical, la journée du 7 octobre est devenue, en 2008, la Journée mondiale d’action pour le travail décent.

Les syndicats et toutes les organisations œuvrant pour le travail décent dans le monde entier y voient une occasion sans précédent de se rallier à une large mobilisation mondiale plaçant l’homme au centre de la réflexion sur le travail. Une nouvelle mondialisation à inventer qui prônerait d’abord le respect de la dignité humaine en commençant par le droit de chacun d’accéder à un travail décent.

Qu’est-ce qu’un travail décent ?
Tout individu, partout dans le monde, devrait pouvoir exercer un métier qui lui permette de mener une vie digne et répondant à ses besoins essentiels ainsi qu’à ceux de sa famille.

Pourtant, dans de nombreuses régions du monde, on constate qu’il n’y a ni salaire équitable ni conditions de travail dignes… au profit d’une vision de l’économie uniquement basée sur les profits. Le combat pour un travail décent reste pourtant la meilleure manière de lutter contre la pauvreté mondiale et le but de cette journée mondiale est de favoriser les actions qui permettront d’y parvenir.

Rendons à César ce qui revient à César…
Au fait, nous avons signalé au démarrage de ce billet que l’origine de cette journée était le mouvement syndical… il faut se souvenir de ceux qui se sont battus depuis plus d’un siècle sont d’horizons philosophiques très diversifiés et que c’est l’Eglise Catholique elle-même qui a œuvré la première dans cette direction avec sa Doctrine Sociale, élaborée au temps du Pape Léon XIII.

Dans un souci d’équilibre, il nous est difficile de ne pas mentionner l’action de la CGT en faveur du travail décent et inciter nos internautes à visiter leur site internet: www.cgt.fr

Un site à visiter : 2015.wddw.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Internationale de la jeunesse – 12 août

L’objectif de la Journée internationale de la jeunesse est de promouvoir, tout particulièrement auprès des jeunes, le Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000 et au-delà.

« La jeunesse est l’avenir de l’homme »

Ce programme encourage l’action en faveur des jeunes dans dix domaines prioritaires : éducation, emploi, malnutrition et pauvreté, santé, environnement, toxicomanie, délinquance juvénile, loisirs, petites filles et jeunes femmes et pleine et entière participation des jeunes à la vie de la société et à la prise de décisions. Une action de mise en oeuvre du Programme aux niveaux national, régional et mondial y est également recommandée.

Les jeunes, qui selon les critères des Nations Unies correspondent à la tranche d’âge 15 à 24 ans, représentent un sixième de la population mondiale. La majorité de ces jeunes hommes et femmes vit dans des pays en développement et leur nombre devrait augmenter substantiellement au XXIè siècle.

C’est en 1991 que les jeunes réunis à Vienne (Autriche) pour le premier Forum mondial de la jeunesse organisé par le système des Nations Unies ont proposé d’instaurer une Journée internationale de la jeunesse. Le Forum recommandait qu’une telle Journée soit célébrée en partenariat avec des associations de jeunes dans l’objectif plus particulier d’organiser des activités promotionnelles et d’appels de fonds pour soutenir le Fonds des Nations Unies pour la jeunesse. En 1998, par une résolution adoptée lors de la première Conférence mondiale des ministres de la jeunesse – tenue par le Gouvernement portugais en collaboration avec les Nations Unies à Lisbonne du 8 au 12 août 1998 – le 12 août a été déclaré Journée internationale de la jeunesse.

Cette recommandation a ensuite été entérinée lors de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale par l’adoption de la résolution A/RES/54/120, en date du 17 décembre 1999 et intitulée « Politiques et programmes mobilisant les jeunes. »

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté – 1er juillet

A l’occasion de la journée mondiale du bandeau blanc, vendredi 1er juillet, la coalition « 2005 : plus d’excuses ! » vous invite à porter un bracelet blanc à votre poignet la semaine précédent le 1er juillet et le jour même, en signe de soutien à l’action mondiale contre la pauvreté. Le Secours Catholique et le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD) sont membres de l’opération.

Cette coalition mondiale a pour objectif d’interpeller les Etats, qui ont signé les Objectifs du Millénaire en 2000, pour qu’ils respectent leurs engagements et prennent dès maintenant des mesures concrètes pour réduire de moitié la pauvreté dans le monde d’ici 2015.

Le Secours Catholique / Caritas France est fortement engagé dans cette campagne. Il est une des 6 organisations du comité de pilotage, avec Agir Ici, le CCFD, le CRID, Coordination Sud et la CFDT. En France, ce sont plus de soixante organisations et syndicats réunis au sein de « 2005 : plus d’excuses ! » qui portent cette campagne.

Le bandeau blanc est le symbole de l’Action Mondiale contre la pauvreté qui regroupe des centaines d’organisations et de citoyens à travers le monde.

Un site à visiter : www.inxl6.org      Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace.

Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards).

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de sécheresse, climat, er les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info   Source : Texte et Image : Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de l’enfant Africain – 16 juin

Le 16 juin, les coalitions africaines de l’action mondiale contre la pauvreté organisent des actions simultanées pour la Journée de l’Enfant Africain.

Cette Journée de l’Enfant Africain est un événement annuel qui commémore le massacre des enfants de Soweto de 1976 par le régime de l’apartheid. Les coalitions de l’action mondiale contre la pauvreté ont choisi cette occasion pour en faire la Journée Africaine du Bandeau Blanc et pour faire une demande régionale auprès des dirigeants des pays concernés afin qu’ils agissent immédiatement pour éradiquer la pauvreté extrême qui cause la mort d’un enfant toutes les 3 secondes en moyenne.

De l’afrique du Sud au continent africain…
En Afrique du Sud, des enfants et des adultes viendront à Soweto pour exiger des dirigeants africains qu’ils aident les orphelins et les enfants vulnérables. Loise Bwambale, membre du parlement pan-africain, dirigera les opérations.

Au Kenya, une mobilisation immense, avec près de 5000 enfants, se rassemblera à Thika. L’événement aura lieu au Kiandutu Slum, dont le pourcentage d’enfants orphelins est le plus élevé. Le vice président sera présent, mais l’invité d’honneur sera un enfant.

Au Sénégal, une manifestation énorme impliquant 500 enfants est prévue. Une réunion géante de lobbying avec le président du Sénégal et des enfants est prévue pendant l’événement. Des célébrités telles que Youssou NDour, Baaba Maal, Coumba Gawlo, Viviane Ndour, Mada Ba, Oumar Pene, Coumba Gawlo, Abdou Djite ont aussi été invitées.

En Tanzanie, des mobilisations et une conférence de presse marqueront la Journée de l’Enfant Africain.

Un site à visiter : www.unicef.fr     Source: Texte: Journée Mondiale Image: Wits University

Journée Internationale des enfants victimes innocentes d’agression – 4 juin

Les enfants, partout à travers la planète, n’ont pas tous la même chance. Il arrive que certains d’entre eux soient victimes d’agression(s), c’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies a choisi la date du 4 juin qui, depuis 1992, rappelle les violences que subissent des milliers de jeunes.

La majorité des jeunes pratiquant la mendicité risque d’être exploitée de différentes façons par les adultes et, bien que les droits des enfants soient aujourd’hui des droits  » sacrés « , la pauvreté, le travail et les conflits les amènent souvent à accomplir des actes qui les mènent à leur perte.

Comment agir ?
Il est important de penser à ceux qui – au-delà de nos frontières – souffrent, en particulier les enfants. Mais lutter pour que ces enfants du monde entier puissent vivre sans craindre diverses agressions est encore plus important: diverses institutions nationales et internationales ainsi que des Organisations Non Gouvernementales (ONG), mènent des activités de prise en charge et d’encadrement de ces enfants. Chacun, à son niveau, peut décider de parrainer, d’effectuer des dons, de faire du bénévolat.

Source: Texte: Journée Mondiale Image: notihoy.com