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Journée internationale de la fraternité humaine – 4 février 2022

Il s’agit d’une journée voulue et décrétée par les Nations Unies. Elle existe depuis 2019 et, lors de son lancement, le secrétaire général de l’organisme avait publié une belle déclaration :

« Je suis heureux d’accueillir la première Journée internationale de la fraternité humaine pendant la Semaine mondiale de l’harmonie interconfessionnelle.

J’applaudis tous les États Membres qui ont coparrainé la résolution par laquelle l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 4 février Journée internationale de la fraternité humaine, en particulier les Émirats arabes unis et l’Égypte qui ont cofacilité le processus.

Je suis également conscient de l’importance de la publication, en 2019, du « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune ».

Co-signée par Sa Sainteté le Pape François et Son Éminence le Grand Imam d’Al-Azhar, le cheik Ahmad Al-Tayyeb, cette déclaration est un modèle d’harmonie interconfessionnelle et de solidarité humaine.

Je remercie ces deux chefs religieux d’avoir utilisé leur voix pour promouvoir le dialogue interconfessionnel et le respect et la compréhension mutuels entre toutes les nuances de foi.

En ces temps éprouvant, nous avons plus que jamais besoin de cet esprit. »

Quand l’ONU le dit…

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Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante – 24 janvier

C’est à l’occasion de sa 40ème session en 2019 que L’UNESCO a proclamé que le 24 janvier serait désormais une Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante. Cette date coïncide avec l’adoption de la Charte de la renaissance culturelle africaine, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine en 2006.

La Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante célèbre les nombreuses cultures vivantes du continent africain et des diasporas africaines dans le monde entier, et les promeut comme un levier efficace au service du développement durable, du dialogue et de la paix.

Un site à visiter : fr.unesco.org   Source: Texte: Journée Mondiale    Image: unsplash.com

Journée mondiale de la paix – 1er janvier 2022

L’église catholique propose au monde entier de célèbrer la Journée Mondiale de la Paix le 1er janvier depuis 1968, à l’instigation du Pape de l’époque, Paul VI. Ses successeurs ont poursuivi cette célébration et, aussi bien Jean-Paul II que Benoît XVI, ont tenu à marquer d’une manière solenelle l’entrée dans la nouvelle année. Le Pape François a, avec son style propre, repris le flambeau.

Source : Texte: Journée Mondiale Image: Sunday Express

Chaque année un thème différent est proposé et, pour 2022, le Pape a choisi pour thème : « Dialogue entre générations, éducation et travail : des outils pour construire une paix durable ».  

Le Pape affirme: « À chaque époque, la paix est à la fois un don du ciel et le fruit d’un engagement commun. Il y a, en effet, une “architecture” de la paix, dans laquelle interviennent les différentes institutions de la société, et il y a un “artisanat” de la paix qui implique chacun de nous personnellement. Chacun peut collaborer à la construction d’un monde plus pacifique : à partir de son propre cœur et des relations au sein de la famille, dans la société et avec l’environnement, jusqu’aux relations entre les peuples et entre les États. »

Le Pape suggère « trois voies pour construire une paix durable. Tout d’abord, le dialogue entre les générations comme base pour la réalisation de projets communs. Deuxièmement, l’éducation en tant que facteur de liberté, de responsabilité et de développement. Enfin, le travail pour une pleine réalisation de la dignité humaine. Ces trois éléments sont essentiels pour “l’élaboration d’un pacte social”, sans lequel tout projet de paix est inconsistant ».

 

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien – 29 novembre

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien

En 1977, l’Assemblée générale de l’ONU a demandé que soit célébrée chaque année, le 29 novembre, la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Car c’est le 29 novembre 1947 qu’elle avait adopté la résolution sur le partage de la Palestine.

Des droits inaliénables 

L’Assemblée, le 3 décembre 2001, a autorisé le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien à continuer à promouvoir l’exercice de ces droits, à apporter à son programme de travail les aménagements qu’il jugerait nécessaires compte tenu de l’évolution de la situation et à mettre l’accent sur la nécessité de mobiliser aide et appui en faveur du peuple palestinien.

Terre contre paix

Le 3 décembre 2003, l’Assemblée a souligné la nécessité de s’attacher à la vision de la solution de deux États et au principe de la terre contre la paix, et d’appliquer les résolutions du Conseil de sécurité. Elle a également souligné la nécessité d’assurer le retrait d’Israël du territoire palestinien occupé depuis 1967 et d’assurer la réalisation des droits inaliénables du peuple palestinien dont, au premier rang, le droit à l’autodétermination et le droit de créer un État indépendant.

Un site à visiter : www.france-palestine.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de l’olivier – 26 novembre

L’Unesco consacre une journée mondiale à l’olivier. Mais de quoi parlons-nous ? Un arbre ou un symbôle… en fait tout est lié !

La Journée mondiale de l’olivier, proclamée lors de la 40ème session de la Conférence générale de l’UNESCO en 2019, est célébrée le 18 novembre de chaque année. 

Le rameau d’olivier

L’olivier, et plus particulièrement, le rameau d’olivier, occupe une place importante dans l’esprit des hommes et des femmes. Depuis les temps les plus reculés, il symbolise la paix, la sagesse et l’harmonie. Son importance dépasse les pays d’origine de cet arbre pour atteindre les peuples et les communautés du monde entier. 

Face au changement climatique

La nécessité de conserver et de cultiver l’olivier devient un impératif grandissant à mesure que le monde est confronté au changement climatique. La protection du patrimoine culturel et naturel, y compris les paysages, est au cœur de la mission de l’UNESCO et la célébration de la Journée mondiale de l’Olivier vient renforcer ses efforts en faveur de la durabilité de l’environnement.

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Journée Mondiale des sourds – 25 septembre 2021

Journée Mondiale des sourdsLa Fédération Mondiale des Sourds recommande à toutes les associations nationales membres (123 pays) d’organiser la journée mondiale des sourds et de la surdité dans la dernière semaine ou le dernier samedi du mois de septembre. La Journée Mondiale des Sourds est donc célébrée le samedi de la semaine internationale des sourds dans de nombreux pays du monde, soit le samedi 26 septembre en 2020. Le but est de sensibiliser la population à la reconnaissance de la culture sourde et la langue des signes.

Un peu d’histoire

L’Institution Nationale de Jeunes Sourds de Paris est un lieu riche d’histoire. A l’origine, l’Institution des Sourds de naissance fut créée sous la Constituante, par la loi du 21 et 29 juillet 1791. Elle avait pour finalité la poursuite de l’œuvre philanthropique de l’abbé Charles-Michel de l’Epée (1712-1789). Cette loi honorait ce bienfaiteur en portant son nom au rang des citoyens ayant mérité de la Patrie.

L’abbé de l’Épée qui était avocat au Parlement de Paris, s’était dévoué pour les pauvres et les indigents. Il dispensait à l’occasion des enseignements à des étudiants entendants. Il advint qu’une rencontre fortuite changea le cours de sa destinée, lorsqu’en 1760 il fut mis en présence de sœurs jumelles sourdes et muettes. Leur précepteur, le Père Vanin venait de décéder fin 1759. Jacob Rodrigues Péreire, précepteur oraliste d’enfants sourds, ayant acquis une notoriété à la cour du roi, n’enseignait alors qu’à quelques sourds et sourdes privilégiés par leur rang social. L’abbé de l’Epée venait de découvrir deux nouvelles élèves, pour lesquelles les voies traditionnelles de l’enseignement restaient lettre morte.

Sa philosophie augustinienne l’autorisait à voir dans les gestes de ses deux protégées des signes représentant directement les idées. Il imagina donc une langue de signes gestuels naturels, ordonnés selon la syntaxe française, cette syntaxe étant aperçue comme la représentation de la logique universelle humaine.

Connaissez-vous la langue des sourds ?

L’abbé de l’Epée comprit les enjeux de la langue gestuelle. Il ignorait la langue des signes que pratiquait la communauté des sourds parisiens. Cette langue existait bien, ainsi qu’en témoigne un « devenu sourd », Pierre Desloges, dans le livre qu’il fit éditer en 1779. Le projet de l’abbé de l’Epée portait bien au-delà de la classe qu’il ouvrit au 14 rue des Moulins à Paris. Ayant réuni les enfants sourds de plusieurs pensions de son quartier il conçut de développer une langue gestuelle universelle que les entendants de toutes les nations pourraient apprendre dans des collèges.

Par l’instruction dispensée, l’abbé de l’Epée rendait ses élèves sourds de tout âge non seulement à la citoyenneté, mais les intégrait aussi à un projet de paix, les gestes avaient la faculté de traverser des frontières que les langues orales franchissent difficilement. À son décès, l’abbé de l’Epée instruisait près d’une centaine d’élèves.

La reconnaissance des sourds envers leur maître reste indissociable de leur histoire associative : en créant une école publique et gratuite, ouverte à toutes les classes sociales, l’abbé de l’Epée réunissait une population abandonnée jusqu’alors. Celle-ci sut se constituer des modèles, avec ses propres maîtres sourds. Les silencieux prirent en charge la défense de leurs droits à la citoyenneté, et de leurs intérêts les plus légitimes : se marier librement, converser selon leur langue, s’associer afin d’assurer des fonctions déficitaires dans les domaines les plus diversités, de la mutualité, de la formation adulte, de l’interprétariat des tribunaux.

Citoyens à part entière

Controverses et disputes furent pour l’abbé de l’Epée des sujets de réflexion : devait-on préférer la dactylologie, l’alphabet manuel espagnol, aux signes gestuels, pour permettre une meilleure appropriation de la langue française ? Péreire était un dactylologiste avisé ; il avait conçu un alphabet phonétique plus expéditif que l’alphabet manuel figurant les lettres traditionnelles : deux représentations visuelles de la langue française s’affrontaient donc en France, à la fin du 18 ème siècle ; l’une représentait les idées par des signes, et l’autre ne figurait manuellement que la forme des mots par l’épellation alphabétique. Ainsi commençait la querelle des dactylologistes : l’abbé de l’Epée leur opposait une représentation des entités spirituelles, préférable à la simple restitution d’une enveloppe vide de sens.

Ailleurs, en Prusse, Samuel Heinicke fut le promoteur d’une méthode fondée sur l’enseignement de la parole aux muets. Heinicke reprenant la tradition de la méthode orale pure, développée en Hollande en 1700 par jean Conrad Amman. Heinicke soutînt contre l’abbé de l’Epée, que les signes gestuels ne pouvaient se graver dans la mémoire. L’écriture elle-même ne pouvait s’acquérir sans un apprentissage préalable de la parole ou de l’articulation. Ceci reposait une question fondamentale de puis l’antiquité : l’homme privé de parole possédait-il une raison ? Les sourds sans l’écriture possédaient-ils seulement une mémoire visuelle ? Les signes suffisaient-ils à vaincre les obstacles du silence ?

L’abbé de l’Epée soutenait l’importance des gestes pour l’essor de l’intelligence et l’existence d’une mémoire visuelle suppléant la mémoire auditive. Son action prouva l’éducabilité des sourds dans différents domaines, car ses traités pédagogiques, publiés anonymement en 1776 et 17843, abordaient déjà la lecture sur les lèvres et l’apprentissage de l’articulation chez le petit enfant sourd. Il mettait en garde contre les préjugés tenaces qui assuraient l’indigence des signes gestuels, et la supériorité de la parole comme unique moyen d’enseignement des sourds. L’abbé de l’Epée rappelait que trop souvent, dans une éducation strictement orale, le temps dispensé, les difficultés rencontrés et les résultats obtenus, devaient inviter les précepteurs et les pédagogues à réfléchir sur la priorité accordée soit à la possession d’une langue orale purement mécanique, dépourvue de spontanéité, soit à la culture de l’intelligence par d’autres moyens de communication, dont les signes, l’écriture et la lecture, qui permettraient à chacun de se cultiver bien au-delà de l’école.

L’abbé de l’Epée proposait une méthode ouverte, dans la mesure où il sut tenir compte des critiques de ses concurrents. il invitait d’ailleurs tout instituteur à perfectionner la voie qu’il ouvrit. Il forma de nombreux maîtres qui portèrent sa méthode en Espagne, en Autriche, en Italie, en Hollande… Sa langue universelle se constituait de signes naturels assujettis à des signes de son invention, à savoir, les signes méthodiques traduisant les désinences et les flexions verbales, les catégories du discours, les conjonctions… Elle fut pratiquée dans de nombreux pays jusqu’en 1830. Mais n’oublions pas que cette technique de visualisation gestuelle des langues orales connaît périodiquement de nouvelles versions, avec des anglais signés divers et de nouvelles versions du français signé.

Vers la même époque, la langue des signes, celle des sourds, langue à part entière, avec une syntaxe et une grammaire indépendantes des langues orales, s’était considérablement perfectionnée sous l’action conjuguée d’un pédagogue entendant, Augustin Bébian (1789-1839), et des premiers enseignants sourds. Bébian avait appris le langage naturel des Sourds-et-Muets dans son enfance : c’était le filleul de l’abbé Sicard, qui succédera à l’abbé de l’Épée. Bébian fut l’auteur d’ouvrages remarquables sur la gestualité. Il publia en 1824 une Mimographie, essai d’écriture des signes naturels.

Un site à visiter : www.sourds.netContributions    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la paix – 21 septembre 2021

Journée Internationale de la paix

L’Assemblée générale des Nations Unies, dans sa résolution 55/282 , en date du 7 septembre 2001, a décidé que la Journée internationale de la paix serait observée chaque année le 21 septembre.

L’Assemblée générale a déclaré que la Journée internationale de la paix serait une journée mondiale de cessez-le-feu et de non-violence, pendant la durée de laquelle toutes les nations et tous les peuples seraient invités à cesser les hostilités. Elle a engagé les États Membres, les organismes des Nations Unies, les organisations régionales et non gouvernementales et les particuliers à célébrer comme il convient la Journée internationale de la paix, y compris au moyen d’activités d’éducation et de sensibilisation, et à oeuvrer, de concert avec l’Organisation des Nations Unies, à l’établissement d’un cessez-le-feu mondial.

Chaque année, l’ONU propose un thème et pour 2021, l’instance mondiale nous invite à réfléchir sur le projet d’un monde durable et équitable…

Se relever, pour un monde plus équitable et durable

En 2021, alors que nous essayons de guérir de la pandémie de COVID-19, nous sommes invités à réfléchir de manière créative sur la meilleure façon d’aider tout le monde à mieux se rétablir, à devenir plus résilient et sur comment transformer notre monde en un monde plus égalitaire, plus juste, équitable, inclusif, durable et plus sain.

La pandémie est connue pour avoir frappé le plus durement les groupes défavorisés et marginalisés. Jusqu’à présent (avril 2021), plus de 687 millions de doses de vaccin de COVID-19 ont été administrées dans le monde, mais plus de 100 pays n’ont pas encore reçu une seule dose. Les personnes en zones de conflit sont particulièrement vulnérables en termes de manque d’accès aux soins de santé.

[…] Nous vous invitons à vous joindre aux efforts des Nations Unies alors que nous nous efforçons de mieux nous redresser pour un monde plus équitable et plus pacifique. Célébrez la paix en luttant contre les actes de haine, y compris ceux en ligne, et en répandant la compassion, la gentillesse et l’espoir, afin de combattre cette pandémie et de guérir, ensemble.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Jeux Olympiques d’été, Tokyo 2021

Les Jeux Olympique d’été 2020 – on les attendait, on les espérait, mais… la pandémie de Covid-19 n’a pas permis qu’ils aient lieu.

Mais aujourd’hui, 23 juillet 2021, a eu lieu l’inauguration officielle de cet événement tant attendu. L’ouverture des 32è Jeux Olympiques d’été offre une une occasion de célébration unique pour le monde des athlètes et pour nous tous qui pendant les 15 jours qui suivent pourront apprécier leur performance.

On a dit que le but des Jeux Olympiques est de: “RENDRE LE MONDE MEILLEUR GRÂCE AU SPORT.”

Il s’agit d’un événement auquel ont participé 205 comités d’organisation de différents pays et, un ajout positif et bienvenu, un comité pour les réfugié/es qui pourront, eux/elles aussi, faire montre de leurs talents respectifs.

C’est sous le signe de la ‘solidarité’ et du ‘respect’ que veulent se dérouler les différentes performances.
Le Président du comité olympique pour l’organisation, T. Back, a précisé que la solidarité implique davantage que la simple non-discrimination mais requiert le ‘partage’ et le ‘prendre soin’.

L’inclusion et l’égalité sont essentielles pour que cette aventure réalise ce qu’elle se propose: unir le monde. L’idéal des Jeux Olympiques, vieux de 3000 ans, est de promouvoir la PAIX pour tous les membres de la communauté humaine.

Les athlètes s’engagent à poursuivre l’unité dans la diversité en visant:

      PLUS VITE – PLUS HAUT – PLUS FORT – ENSEMBLE !

 

Source: Images: dreamstime.com    Swimming World     Insidesport    Orange County Register
 

 

Journée mondiale de lutte contre la violence sexuelle en temps de conflit – 19 juin

La création de cette journée est récente. 2015 pour être plus précis. En effet, c’est le 19 juin 2015 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’a instituée.

Un cri éthique !
Cette Journée n’est certes associée à aucun conflit en particulier mais fait référence à « une tragédie pour l’humanité ».  Le Président de l’assemblée a insisté pour que la priorité soit accordée à la prévention et à l’attention aux victimes. Elles ont besoin d’une aide globale et dr débarrasser les de leur honte qui doit rejaillir sur les criminels.

La violence sexuelle [en temps de conflit] n’est pas un phénomène nouveau et nous pouvons notamment nous souvenir que les atrocités commises en Ouganda ont fini par par la révolte du peuple qui s’est finalement levé contre le Gouvernement qui perpétuait ces atrocités.  L’utilisation du viol comme arme de guerre doit être combattue par tous les moyens et les violeurs et leurs supérieurs traduits en justice.

Une journée « pas comme les autres »
Selon les représentants de l’ONU, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit ne peut pas être considérée comme une journée qui s’ajoute simplement à 120 autres, elle doit être une source d’inspiration pour des normes internationales de reddition de comptes. Tout un programme.

L’assemblée a par ailleurs souligné le rôle que pourrait jouer la Cour pénale internationale (CPI) dans la lutte contre la violence sexuelle et a appelé à la sensibilisation des dirigeants politiques, des Casques Bleus et des policiers en service dans les missions de maintien de la paix de l’ONU.

Un site à visiter : www.un.org            Source : Texte : Journée Mondiale   Image: zakweli    
 

Journée Internationale des musées – 18 mai 2021

Journée Internationale des musées
Chaque année depuis 1977 se célèbre une journée internationale des musées, avec un thème particulier chaque année.Cette journée est l’occasion pour les professionnels des musées d’aller à la rencontre du grand public et de le sensibiliser aux défis auxquels les musées doivent faire face pour être des institutions au service de la société et de son développement.Cette journée internationale se déroule tous les ans le 18 mai et porte haut sa devise : « Les musées, moyen important d’échanges culturels, d’enrichissement des cultures, du développement de la compréhension mutuelle, de la coopération et de la paix entre les peuples ».

Nuit européenne des musées

Dans l’esprit du grand public, la nuit des musées a largement détrôné la journée des musées. Rançon du film éponyme ? On ne le sait…

Quoiqu’il en soit, en 2021 on célèbre la 17ème édition de la Nuit des musées. Le principe est simple, le musée que vous fréquentez assidument en journée le reste de l’année se trouve ouvert toute la nuit, pour découvrir les oeuvres mais également pour voir des animations, des concerts, et toutes sortes d’autres événements…

Date retenue, le flou artistique

En 2020, année exceptionnelle, la journée avait décalée au 14 novembre. En 2021, la date annoncée varie suivant les sources. L’ICOM (conseil international des musées) confirme toujours la date du 18 mai alors que plusieurs autres sources indiquent le 16 mai pour la journée et la nuit du 15 au 16 pour la nuit des musées. Profitez-en pour y aller, ce sera l’occasion de célébrer leur réouverture !

Un site à visiter : icom.museum    Source: Texte & Image: Journée Mondiale