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Journée mondiale de l’arthrite 12 – octobre

La Polyarthrite Rhumatoïde est une maladie auto-immune (c’est à dire qu’elle est le résultat d’un dysfonctionnement du système immunitaire), évolutive et chronique. Elle se caractérise par une inflammation puis une destruction du cartilage de l’os et des tendons. Chaque crise est susceptible de générer des lésions articulaires. La répartition par sexe fait ressortir 75% de femmes.

Une journée pour améliorer la connaissance

Améliorer la connaissance et la prise en charge des arthrites et plus spécialement de la polyarthrite rhumatoïde, tel est l’objectif de cette journée mondiale autour de cette maladie chronique invalidante dont le diagnostic est souvent trop tardif.

 

Un site à visiter : www.worldarthritisday.org   Source:  Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de l’asthme – 7 mai 2024

L’asthme, une maladie qui peut être mortelle
Malgré les progrès médicaux et la disponibilité d’inhalateurs d’urgence, trop de personnes meurent encore des conséquences d’un asthme mal contrôlé. En effet, chaque année au Canada, plus de 500 personnes décèdent de complications liées à l’asthme. Également, l’asthme est une maladie qui touche en moyenne un enfant sur cinq et constitue la première raison pour laquelle les enfants canadiens sont admis à l’urgence.

Connaître les déclencheurs
Certains facteurs, irritants ou inflammatoires, peuvent venir déclencher les symptômes d’asthme. Par exemple, les changements brusques de température, la fumée de tabac, la poussière et la pollution de l’air peuvent causer une crise d’asthme. Il est cependant possible d’exercer un certain contrôle sur ces éléments en étant attentif à son environnement. Il en est de même pour les déclencheurs de l’asthme allergique, comme par exemple les acariens, le pollen ou les spores de moisissure.

Un bon suivi médical, la clé d’une qualité de vie optimale
Pour la personne atteinte d’asthme, il est primordial de pouvoir vivre une vie normale en étant affecté le moins possible par les symptômes. Pour ce faire, la Fondation Québécoise en Santé Respiratoire recommande :

  • une consultation médicale rapide en cas de doute sur son état de santé respiratoire;
  • l’obtention de diagnostic précoce et précis;
  • l’élaboration, avec son médecin traitant, d’un plan d’action basé sur l’évolution des symptômes;
  • la prise de médication selon les directives du médecin traitant.

Comme toute maladie chronique, l’asthme nécessite un suivi professionnel et régulier afin d’assurer une bonne qualité de vie.

Source: Texte: https://pq.poumon.ca          Image: Medscape

 

Journée internationale de l’épilepsie – 8 février

épilepsie, amazon.rLa journée « européenne » de l’épilepsie est devenue « internationale » en 2015. Elle est traditionnellement célébrée le 2ème lundi de février. Son but est de promouvoir les droits des malades épileptiques dans le monde entier.

Organisée par le Bureau international pour l’épilepsie (IBE) et la Ligue internationale contre l’épilepsie (LICE), la Journée internationale de l’épilepsie, lancée le 9 février 2015 doit permettre aux 65 millions de personnes atteintes dans le monde de rompre leur isolement et d’échapper stigmatisation. En leur permettant, ainsi qu’à leurs proches, de partager leurs expériences et histoires, la Journée veut sensibiliser à la prévalence de la maladie, garantir des droits identiques aux patients et permettre ainsi aux personnes vivant avec l’épilepsie d’accéder à la même qualité de vie. En bref, l’épilepsie ne doit pas être résumée aux crises.

L’épilepsie, une maladie mal traitée : Car en dépit de sa prévalence élevée, l’épilepsie reste une maladie cachée, mal traitée alors que traitable, entraînant un lourd fardeau pour la majorité des patients et des systèmes de santé, et synonyme de qualité de vie dégradée pour la majorité des personnes touchées. Alors que l’épilepsie n’est pas une maladie rare, que des centaines de milliers de patients vivent avec la menace de crise, à tout moment et, pour certains de récurrences plusieurs fois par 24 heures, alors que c’est aussi la maladie chronique la plus fréquente en neurologie pédiatrique, avec une incidence d’environ 0,5 à 1%, l’épilepsie reste encore insuffisamment traitée. Un enfant épileptique sur 3 va développer une épilepsie réfractaire aux antiépileptiques et avec cette épilepsie réfractaire toute une variété de pathologies physiques, psychologiques et sociales.

Source: Texte: http://blog.santelog.com/2015/02/09/journee-mondiale-de-lepilepsie   Image: amazon.fr