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Journée internationale du vol spatial habité – 12 avril

 Le 12 avril 1961, le cosmonaute soviétique Youri Gagarine réalisait pour la première fois au monde un vol spatial habité. Cet exploit technique et humain ouvrait alors la porte à une aventure spatiale mondiale qui allait permettre (et permet encore) de nombreuses découvertes scientifiques.

50 ans de conquête spatiale

Le 12 avril 2011, on célébrait le cinquantième anniversaire du premier vol spatial habité et l’ONU a souhaité faire de ce jour une commémoration internationale de l’événement.

« J’ai la conviction que la Journée internationale du vol spatial habité nous rappellera notre humanité commune et la nécessité de travailler ensemble pour vaincre nos problèmes communs. J’espère qu’elle incitera aussi les jeunes en particulier à tout mettre en œuvre pour réaliser leurs rêves et faire que le monde découvre des espaces inexplorés de savoir et de compréhension. »

M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU (le 7 avril 2011)

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Urgence-santé… la Planète en danger!

Le mouvement Youth For Climate appelle à la grève mondiale pour l’écologie, ce vendredi 24 mai.
Leur voix se fait insistante : « On va continuer de mettre de la pression. » 

C’est un appel URGENT que lancent les jeunes à leur manière – avec forte conviction.
Ils invitent – non ils demandent impérieusement:

  • un réveil déjà en retard,
  • une réaction globale,
  • un revirement des politiques inefficaces.

Les jeunes de différents pays se mobilisent et lancent un défi aux dirigeants des nations à l’échelle de la Planète car c’est de sa survie à elle – la Planète –
dont il s’agit et donc… de la nôtre !

 

Source : Image : La Croix: ©Julien Mattia / Le Pictorium/MAXPPP – Julien Mattia / Le Pictorium – 15/03/2019 – France / Ile-de-France / Paris – Manifestation des jeunes et appel a la greve pour le climat a l’initiative de La militante suedoise Greta Thunberg, 16 ans, figure de proue des jeunes pour le climat, pour alerter les politiques sur l’urgence climatique.

 

Actualité… actuelle!

« Trash challenge », le nouveau défi écolo qui fait bouger les jeunes. 
Ce nouveau défi écolo permet, sous forme de challenge, de donner un coup de propre à des lieux défigurés par les ordures en tous genres.

Le défi tendance du moment, c’est le « #Trashchallenge », expression qui signifie littéralement « défi poubelle ». Lancé au début du mois de mars, il invite ceux qui le souhaitent à photographier un lieu public nécessitant une opération de nettoyage (plage, bordure de chemin, bois…), puis à donner un coup de propre avant d’immortaliser le geste avec une nouvelle photo. Une façon parmi d’autres de prendre soin de « la maison commune ».

Le concept, lancé par un jeune homme nommé Byron Romàn, a manifestement plu à un grand nombre et les actions se sont répandues comme une traînée de poudre, ainsi qu’en témoignent les publications qui abondent sur les réseaux sociaux. De Beaulieu-sur-mer (Alpes-Maritimes) aux quatre coins du monde, de nombreuses personnes se mobilisent. Un engagement largement bénéfique pour l’environnement.

On pourrait d’ailleurs souffler cette bonne idée aux mères de famille qui rêveraient que leurs ouailles en fassent autant avec leurs propres chambres…

Source : Texte : ALETEIA Domitille Farret d’Astiès | 14 mars 2019   Images : The Park Catalogue   MBR

 

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Synode des jeunes

Discours du pape aux jeunes

« Soyez des jeunes en marche, qui regardent l’horizon, pas le miroir… »

« Soyez des jeunes en marche, qui regardent l’horizon, pas le miroir », exhorte le pape François devant 7000 jeunes qui ont rencontré les Pères synodaux le 6 octobre 2018, dans le cadre du Synode des évêques qui a lieu à Rome.

Un message qui nous convient à tous et à toutes!…

Source : Texte : Océanne Le Gall, Synode des évêques, 8 octobre 2018 Images : Pixabay Steemit

 

Un synode… pour les jeunes

Le pape François a présidé, mercredi matin 3 octobre sur la place Saint-Pierre, la messe d’ouverture du Synode sur les jeunes dont les travaux commenceront dans l’après-midi.

« Élargir les horizons, dilater le cœur et transformer ces structures qui, aujourd’hui, nous paralysent, nous séparent et nous éloignent des jeunes, les laissant exposés aux intempéries et orphelins d’une communauté de foi qui les soutienne, d’un horizon de sens et de vie. »

En quelques mots, mercredi matin 3 octobre, le pape François a exposé l’objectif du Synode des jeunes dont il présidait, sur la place Saint-Pierre, la messe d’ouverture.

Dans une homélie courte et directe, il a appelé chacun des 267 pères synodaux, qu’il a longuement pris le temps de saluer un à un à la fin de messe, à ne pas être « préoccupé de ses propres intérêts » et à penser « aussi à ceux des autres ».

« Élargir le regard »

« Avec cet esprit, nous chercherons à nous mettre à l’écoute les uns des autres pour discerner ensemble ce que le Seigneur demande à son Église », a-t-il souligné. Il les a exhortés à ce « que ne prévale pas la logique de l’auto-préservation et de l’autoréférentialité, qui finit par faire devenir important ce qui est secondaire et secondaire ce qui est important ».

« Sans cette attitude, tous nos efforts seront vains », a-t-il insisté, demandant aussi d’éviter « la tentation de tomber dans une position moralisante ou élitiste, comme aussi de l’attraction pour des idéologies abstraites qui ne correspondent jamais à la réalité des gens ».

« Ne laissons pas les jeunes seuls »

Demandant de « rompre avec le conformisme du “on a toujours fait ainsi” » et de « regarder directement le visage des jeunes et les situations dans lesquelles ils se trouvent », il a espéré des pères synodaux « un dévouement créatif, une dynamique intelligente, enthousiaste et pleine d’espérance, et que nous ne les laissions pas seuls aux mains de tant de marchands de mort qui oppriment leur vie et obscurcissent leur vision ».

Une exigence qu’il a rattachée à Vatican II dont, à la fin de son homélie, il a lu un long extrait du Message aux jeunes, l’ultime texte  conciliaire. Une sorte de passage de témoin, en quelque sorte, entre la génération de ceux qui étaient jeunes pendant le concile et la jeunesse actuelle, appelée, elle aussi, à « allumer une lumière qui éclaire l’avenir ».

Voici un événement qui se veut: UN SYNODE POUR RAJEUNIR L’ÉGLISE.

 Source: Texte: Messe d’ouverture du synode des jeunes, Vatican le 3 octobre 2018. / Alessandro Di Meo/EPA/MaxPPP publié dans LA CROIX, 3 octobre 2018
Photo: Conférence à l’Institut catholique de Paris, samedi 29 septembre, lors de la 4e édition du Congrès Mission sur le thème « Par amour il nous a relevés, pour l’amour il nous a envoyés ». / Corinne

Un cheminement assez spécial…

En cette Journée internationale de la Jeunesse (12 août) le récit intéressant d’un cheminement assez spécial… (note de l’éditrice)

Pour éviter la prison, il accepte de faire les chemins de Compostelle  

Le 25 juillet dernier, un tribunal italien à Venise s’est abstenu de prononcer la condamnation d’un jeune accusé. La cause de cette clémence ? Le jeune homme a accepté de faire un pèlerinage de pénitence à Saint-Jacques de Compostelle.

Âgé de 22 ans, un jeune italien avait été arrêté après avoir commis quelques délits sous l’effet de drogues. Fait rare voire unique, le juge n’a pas envoyé ce jeune homme derrière les barreaux… « Au lieu de t’envoyer en prison, je préfère que tu ailles en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle », a proposé le juge de Venise au jeune délinquant, quelques mois avant qu’il ne comparaisse devant un tribunal. L’accusé a accepté et a pris la route. Résultat : parce qu’il a effectué un pèlerinage à pied de 1.500 kilomètres au sanctuaire espagnol de Saint-Jacques de Compostelle, le juge a considéré que le jeune homme avait fidèlement appliqué une peine de réinsertion originale et unique. Une étonnante histoire de réinsertion et de cheminement personnel.

Le pèlerinage ou la prison
On sait peu de choses sur le jeune pénitent. Originaire d’Afrique du Nord et de nationalité italienne, le jeune homme vient d’une famille défavorisée. Rapidement, il tombe dans l’addiction à la drogue. Il multiplie très tôt les soucis avec la justice. Quand il comparaît une nouvelle fois pour une affaire plus grave que les autres, le juge a l’idée de le confier à Lunghi Cammini (longues marches, ndlr), une association italienne fraîchement créée à Mestre (Nord de l’Italie) et qui propose aux jeunes en difficulté la marche comme moyen de réinsertion sociale.

Dans un premier temps, le jeune homme a dû suivre un stage d’adaptation à l’univers du travail professionnel. Il a également effectué différentes tâches bénévoles au sein de l’association, avec des résultats probants. Au bout de quelques mois, en collaboration avec le département d’assistance sociale du Tribunal de Venise, l’association décide de lui préparer un programme spécial pour qu’il puisse purger sa peine d’une manière inattendue.

Une marche éducative
Suivant les conseils de Lunghi Cammini, le juge lui propose donc le pèlerinage en lui imposant des conditions bien précisées. Le jeune homme  doit s’engager à faire tout le chemin à pied. Il lui est interdit de consommer drogue, alcool et tabac. De même, il s’engage à n’utiliser son portable en aucun cas. Si l’une de ces conditions n’est pas respectée, le jeune condamné sera renvoyé immédiatement derrière les barreaux.

Le contrat dans la poche, le condamné pénitent est parti accompagné d’un « ange gardien », Fabrizio, un professeur retraité bénévole de 68 ans. C’est lui qui a été chargé de témoigner du bon respect de l’exécution de la peine selon les conditions requises. Les deux pèlerins ont eu un budget de 40 euros par jour pour se nourrir, se loger et cheminer tout le long des 1.500 kilomètres à parcourir.

Entre dispute et prière
Et le chemin n’a pas toujours été aisé. Le jeune homme s’est mis régulièrement en colère et a connu de nombreux moments de doute. Le long du chemin, le temps a égrené les disputes et les prières. Peu à peu, un lien plus fort s’est finalement créé entre les deux hommes. Surmontant de nombreux moments de découragement, ils sont finalement parvenus à Saint Jacques de Compostelle.

À leur retour à Venise, ils ont témoigné chacun du cheminement bouleversant qu’ils ont vécu et de l’amitié qui est née entre eux. Fabrizio a ainsi décrit un pèlerinage qui a été pour lui un véritable « apprentissage d’ouverture, de compréhension et d’acceptation de l’autre ». Quant au jeune condamné, la marche lui a permis de « réfléchir sur sa vie ». Il a exprimé son immense gratitude envers Fabrizio : « Sa présence était pour moi comme une épine qui me piquait en permanence. Mais c’était une épine douloureuse et bonne à la fois : elle m’a montré une vraie vie et les vraies valeurs. En plus j’ai trouvé un grand père ! ».

Pour Isabella Zuliani, directrice de l’association, ces marches de réinsertion sont une solution qui permet d’éviter les risques liés à l’emprisonnement. Leur force : être marquées par la difficulté et le renoncement. C’est, selon elle, un excellent moyen d’aider les jeunes à trouver le bon chemin dans leur vie.

Source : Texte : zbieta zajaczkowska, 04 août 2018, Aleteia.fr   Image: pxhere.com
 
 

 

Ça, ça m’interpelle – 4è épisode

Les choses interpellantes, et les situations qui le sont également,
peuvent beaucoup nous apprendre et nous aider à découvrir
le BEAU et le BIEN dans notre quotidien et notre environnement.
C’est important pour tous – les jeunes et les moins jeunes.
Dans la vidéo qui suit, Lucie Chicoine nous invite à une découverte intéressante.

 

Journée Mondiale du Scoutisme – 22 février

En 2007, la journée mondiale du scoutisme a coïncidé avec le centenaire du scoutisme… une occasion de jeter un oeil neuf sur les « boy scouts » et leur fondateur Lord Robert Baden-Powell…

Un peu d’histoire…
Le fondateur, B.P., convaincu que l’on pouvait apporter énormement à des jeunes en leur proposant de devenir « acteurs » de leur propre éducation, a jeté les bases du scoutisme lors d’un premier camp devenu célèbre dans l’île de Brownsea… faire vivre des jeunes en autonomie, avec un jeune à leur tête, les amener à se prendre en charge dans le respect d’un code commun, la « loi scoute »…

De ce premier camp réunissant au maximum une dizaine de personnes sont nés en quelques années de très nombreux mouvements scouts dans tous les pays (sauf totalitaires…) représentant au niveau mondial plusieurs centaines de milliers de scouts, guides, éclaireurs, louveteaux, etc…

Le scoutisme aujourd’hui
Même si les effectifs ne sont plus ceux de l’immédiat après seconde guerre mondiale, le scoutisme fait toujours vibrer de nombreux jeunes, que ce soit en France, dans toute l’Europe ou dans le reste du monde… Des rassemblements internationaux sont organisés périodiquement (jamborée, eurojam) et chaque été de très nombreux camps s’installent dans les campagnes, généralement en dehors des sentiers battus !

Source : Texte & Image : journee-mondiale.com  

 

Message du Pape pour le Carême

Dans une semaine, la période du Carême débutera. Le Pape ne manque pas de nous adresser un message pour nous y préparer. Déjà le jour de la Toussaint, 1er novembre 2017, il avait rédigé son texte et celui-ci a été publié hier. Le pape dénonce ce qu’il nomme “la duperie de la vanité et la froidure de la charité”. En voici quelques extraits.

« Chers frères et soeurs, Cette année encore, à travers ce message, je souhaite inviter l’Église entière à vivre ce temps de grâce dans la joie et en vérité…

D’autres faux prophètes sont ces « charlatans » qui offrent des solutions simples et immédiates aux souffrances, des remèdes qui se révèlent cependant totalement inefficaces : à combien de jeunes a-t-on proposé le faux remède de la drogue, des relations « use et jette », des gains faciles mais malhonnêtes ! Combien d’autres encore se sont immergés dans une vie complètement virtuelle où les relations semblent plus faciles et plus rapides pour se révéler ensuite tragiquement privées de sens ! Ces escrocs, qui offrent des choses sans valeur, privent par contre de ce qui est le plus précieux : la dignité, la liberté et la capacité d’aimer (…)

Ce qui éteint la charité, c’est avant tout l’avidité de l’argent, « la racine de tous les maux » (1Tm 6:10); elle est suivie du refus de Dieu, et donc du refus de trouver en lui notre consolation, préférant notre désolation au réconfort de sa Parole et de ses sacrements. Tout cela se transforme en violence à l’encontre de ceux qui sont considérés comme une menace à nos propres « certitudes »: l’enfant à naître, la personne âgée malade, l’hôte de passage, l’étranger, mais aussi le prochain qui ne correspond pas à nos attentes.

La création, elle aussi, devient un témoin silencieux de ce refroidissement de la charité : la terre est empoisonnée par les déchets jetés par négligence et par intérêt ; les mers, elles aussi polluées, doivent malheureusement engloutir les restes de nombreux naufragés des migrations forcées ; les cieux – qui dans le dessein de Dieu chantent sa gloire – sont sillonnés par des machines qui font pleuvoir des instruments de mort (…)

Je voudrais que ma voix parvienne au-delà des confins de l’Église catholique, et vous rejoigne tous, hommes et femmes de bonne volonté, ouverts à l’écoute de Dieu. »

Source: Texte: La Croix, 06/02/2018 Illustration: Zenit