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Journée Mondiale des enseignantes et des enseignants – 5 octobre

Les enseignant(e)s ouvrent les portes vers un monde meilleur
Sans les enseignantes et les enseignants, l’éducation ne remplirait pas le rôle qui lui est assigné, car enseigner ne signifie pas uniquement apprendre à l’ élève une série de faits et nombres. C’est inspirer, libérer le potentiel de l’enfant, lui offrir de nouvelles perspectives. Enseigner c’est aider les enfants à concrétiser leurs rêves d’un monde meilleur.

C’est pourquoi l’Internationale de l’Education insiste tellement sur le droit de chaque enfant dans le monde de bénéficier de l’attention de personnels qualifiés.

Guider les élèves et les encourager

Tout au long des différentes étapes de la scolarité, du jardin d’enfants à l’éducation supérieure, il faut des enseignantes et des enseignants qualifiés pour guider les élèves et les encourager à cultiver des valeurs fondamentales telles que la paix, la tolérance, l’égalité, le respect et la compréhension. Les enseignantes et les enseignants qualifiés aident les enfants, les jeunes et les adultes à devenir des citoyens critiques, responsables, capables d’agir sur le monde qui les entoure. Ils éveillent aussi leur sens du dialogue et leur sentiment de confiance en eux et envers les autres. Les enseignantes et les enseignants constituent les piliers de l’éducation. Enseigner c’est ouvrir les portes d’un monde meilleur.

« De la qualité de l’enseignement dépend la qualité du monde de demain. »

Un site à visiter : fr.unesco.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de l’eau – 22 mars 2020

L’eau est un élément essentiel de la vie. Essentielle pour étancher la soif ou protéger la santé; l’eau est également vitale pour créer des emplois et soutenir le développement économique, social et humain. La Journée mondiale de l’eau célébrée par l’UNESCO se tient chaque année le 22 mars pour attirer l’attention sur l’importance de l’eau douce et plaider en faveur de la gestion durable des ressources en eau douce. Cette journée est l’occasion d’en apprendre davantage sur les questions liées à l’eau, d’inspirer les autres et de prendre des mesures pour faire la différence.

Source: Texte & Image: Unesco

A l’heure où, partout dans le monde, les hommes, les femmes et les enfants sont engagés dans une lutte sans merci contre un adversaire invisible nommé COVID-19, n’oublions pas ceux qui doivent continuer à se battre pour disposer d’eau potable et de meilleures conditions sanitaires. Aujourd’hui encore le manque d’eau potable tue 5 personnes chaque minute dans le monde.

A l’occasion de la journée mondiale de l’eau 2020, l’ONU invite à se concentrer sur l’eau, le changement climatique et les liens indéniables entre eux.

L’eau et le changement climatique sont depuis de nombreuses années au cœur de l’action d’Eau Vive Internationale et de ses associations membres. À travers divers projets et initiatives en Afrique, elle développe de nouvelles dynamiques afin que les populations soient en mesure de s’adapter face au changement climatique et d’agir pour préserver la ressource en eau.

(…)

La mobilisation actuelle pour vaincre la pandémie de COVID-19, nous rappelle l’importance de l’eau dans cette lutte. Si ce virus est un adversaire invisible, le manque d’eau est un tueur silencieux qui aura un bel avenir faute de mobilisation, d’engagement et d’action de tous.

En ce jour du 22 mars 2020, Eau Vive Internationale invite à la mobilisation générale pour l’eau : pour la vie.

Source: Texte: Burkina 24   Image: United Nations

2è dimanche de Pâques, année B

Les lectures bibliques proposées pour les célébrations du temps pascal sont riches de thèmes pouvant soutenir notre réflexion.
Les personnages des récits bibliques apparaissent tour à tour et leur expérience personnelle a beaucoup pour nous inspirer.
Leur rencontre avec le Ressuscité peut susciter de nombreuses questions ainsi que de l’émerveillement spontané.

En ce qui me concerne, l’évangile du 2è dimanche de Pâques (année B – Jn.20:19-31)
réveille en moi une… sagesse humaine autant que spirituelle!
Et c’est le personnage de l’apôtre Thomas qui contribue à cet éveil.
À la fin de la première partie du texte de l’évangile il est dit :

« Or, l’un des Douze, Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
n’était pas avec eux quand Jésus était venu. »

 
Thomas n’était pas là – affirmation simple, factuelle, ordinaire : il était absent !
On peut facilement spéculer sur toutes les raisons possibles de cette absence – ce ne seront toujours que des spéculations.
Le fait est que Thomas a manqué une occasion bien spéciale : la visite de Jésus ressuscité, rien de moins !
Et, fait encore plus intéressant, Thomas ne veut absolument pas y croire.
Il exprime son refus et son incrédulité en termes qui ne laissent aucun doute sur sa position :

« Il déclara :
« Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous,
si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous,
si je ne mets pas la main dans son côté,
non, je ne croirai pas ! »

Des auteurs spirituels se hâteront d’affirmer que Thomas met des conditions pour croire,
oui, il met… des conditions à Dieu !
Avouons qu’il n’est pas le seul !
Et ce qui en découle est tout simplement merveilleux !

Car, il était bien présent la fois suivante et…
Il obtient une révélation personnalisée et nous laisse une proclamation de foi inédite !
« Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Une proclamation de foi qui dure depuis 20 siècles – il n’y en a pas beaucoup – elle devrait nous être précieuse…
 
Cette scène représente ce que je considère ‘une occasion manquée transformée en expérience absolument unique’.
Sagesse humaine ? Oui, et sagesse spirituelle authentique.
Une attitude à s’approprier et à répéter personnellement !

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-easter-year-b/

Source : Image : rezaconmigo.com