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16th Sunday of Year A

There is so much that is wrong in our world today, is it not so?
The powerful bring suffering to the weak.
The selfish – legions of them – grab all they can.
The rich keep adding to their share while the poor have to manage on what they can scrape together.

It seems that evil spreads far and wide, and goodness has a hard time existing at all.
Examples we see every day are only too many and too easy to find.

Poverty, sickness, injustice, suffering – evil under all its forms – everywhere we turn it seems that we see only more of that!
Some people mutter to themselves: “Not much sign of God in a world like this…”
Others get really angry, and yes, angry with God: Why does he not do something to right all that is wrong?
They whisper under their breath: “If I were God, things would be different!”

We have to admit it: we are troubled by the presence of evil in our world, in people…
Perhaps today’s gospel (16th Sunday of Year A – Mt.13:24-43) can bring light to this situation.
At first sight, some would think: ‘More of the same!’
Good seed has been planted and there comes an enemy who spoils the whole thing as the weeds in plenty show.
The workers question the owner of the field about it and they are ready to put things right.

The owner shows wisdom: removing the weeds may destroy the good plants as well.
So, his advice is… to wait.
WAIT – waiting… till the harvest, waiting till all has grown and then… then will be the time to sort out and to separate.

For many of us, this is not our preferred mode of operating.
Yet, surprisingly perhaps, this is the way… of God!
He waits, and waits… for us!
He waits that we change…

The 1st reading (Wis.12:13,16-19) says it beautifully:
“Your sovereignty makes you lenient to all…
You are mild in judgement,
You govern us with great leniency.”

He waits that we recognize him, accept his ways, see him as REAL – really present in our lives.
How much longer will he have to wait for this to happen?…

Source: Images: Wikipedia, Experimental Theology – blogger

 

 

Journée mondiale de prière – 3 mars

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays. La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887
On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis. D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent
Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée. En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

Un site à visiter : www.wgt.ch  Source: Texte: Journée mondiale

Célébration de la Journée mondiale de prière le 3 mars 2017 préparée par les femmes philippines sur le thème: « Suis-je injuste envers vous? »

L’image de couverture de la liturgie, conçue par la jeune artiste Rowena « Apol » Laxamana-Sta Rosa, nous donne un aperçu des mondes existentiels typiques des Philippines qui sont très divers .

Des femmes irlandaises nous ont offert une croix comme symbole de la Journée mondiale de prière. En 1982, le symbole a été adoptée par l’ensemble du mouvement.

Source: Texte & Images: Journée de prière mondiale suisse

Journée Internationale des personnes disparues – 30 août

personnes-disparuesL’ONU s’inquiète de l’augmentation des cas de disparition forcée et le groupe de travail sur les disparitions involontaires de la commission des droits de l’homme des Nations Unies exprime son inquiétude sur le nombre croissant de cas de disparitions forcées dans le monde.

« Les victimes de disparition forcée, dont on ignore où elles se trouvent et quel est leur sort, ne devraient pas être rappelées à notre souvenir seulement une fois par an. Chaque jour devrait être une Journée des personnes disparues », a déclaré le groupe de travail. De son coté, le Comité international de la Croix-Rouge basé à Genève déplore le manque de volonté politique de s’attaquer à ce problème.

Une tragédie oubliée
Dans un rapport intitulé: Personnes portées disparues – une tragédie oubliée, l’organisation attire l’attention sur le drame trop souvent ignoré que vivent des dizaines de milliers de familles, de la Bosnie au Népal, de la Géorgie au Sri Lanka.

« Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles de disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches. Ne pas savoir si un être cher est mort ou vivant provoque une angoisse indicible, de la colère et un profond sentiment d’injustice, et empêche les proches de faire le deuil et de tourner la page », constate Pierre Krähenbühl, directeur du CICR

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale