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Les cendres… et nous…

Les cendres … on les retrouve…

partout, ou à peu près!   

– Cendres du foyer…
– Cendres du feu de camp…
– Cendres des souvenirs qu’on a brûlés…   
– Cendres des arbres calcinés du feu de forêt…

Cendres aux multiples usages : engrais, contrôle des insectes en été, fonte accélérée de la neige en hiver.
Et, bien sûr, nos grands-mères les utilisaient pour la fabrication du savon!

Il y a aussi… il y aura… les cendres de… ce que nous avons été…
LES CENDRES… C’EST NOUS !

Alors que j’écris ces mots, mon esprit se rebelle.
Je m’arrête pour en prendre conscience et… tout mon être en nie la possibilité!

NON! On ne peut réduire en cendres une personnalité!
On ne peut détruire un être spirituel.

Les cendres ce n’est que l’écorce, la coquille, l’enveloppe – pas le moi profond,
l’identité de ce que je suis demeure à jamais indemne.

Nous ne sommes pas destiné/es au néant – nous sommes promis/es à l’immortalité!
L’ancienne légende pressentait cette réalité en présentant l’image du phoenix qui renaît de ses cendres.

Ce qui était un pressentiment confus, une croyance imprécise, sont devenus pour notre foi promesse de vie transformée,
oui, et débouchant sur… l’éternité!
Que vienne la Résurrection!

Source: Images: pexels.com (Sarah;  Vlad Bagacian; Oscar Sanchez)   www.keyword-suggestions.com

Journée Mondiale Végane – 1er novembre

  Il devient de plus en plus difficile aujourd’hui d’ignorer le mouvement Vegan tant son lobbying mediatique est puissant pour faire avancer ses positions. Mais revenons aux origines en commençant par la grammaire. Bien que d’origine anglo-saxonne le terme « végane » est utilisé comme substantif ou comme adjectif et doit en principe s’accorder…

Végane, un mode de vie

Souvent relié aux mouvements végétariens et végétaliens, le véganisme s’en distingue en tant que mode de vie fondé sur le refus de l’exploitation des animaux. Le terme « vegan » a été créé en 1944 par Donald Watson, le co-fondateur de la « Vegan Society » et premier végane historique.

Il s’agit d’une façon de vivre basée sur le refus d’exploiter, faire souffrir ou tuer les animaux. Un végane n’utilise aucun produit d’origine animale non seulement pour son alimentation mais aussi dans son habillement et dans tous les aspects de la vie courante.

Les adeptes du véganisme ne consomment pas de produits d’origine animale ou issus d’animaux : chair, fourrure, cuir, laine, soie, graisses animales… bien entendu, ils ne consomment pas non plus de produits testés sur les animaux : produits d’entretien, cosmétiques, etc…

Aurions-nous à faire à des ultras ?

Pour les véganes, l’adoption d’un régime alimentaire végétalien est un premier pas qui ne suffit pas. Le véganisme entre de plain pied dans le choix d’un mode de vie, rattaché à des choix moraux voire politiques.

Et si les plantes s’en mêlent…

Un mouvement de fond semble émerger actuellement pour accorder une personnalité juridique aux plantes et cette idée, imaginée il y a plusieurs décennies par Tolkien, ne fait plus sourire personne. Nous nous éloignons an apparence de l’objet de la journée végane, mais si les plantes acquièrent cette identité, que mangeront les véganes ? La question est posée.

En attendant, la journée mondiale végane est célébrée chaque année le 1er novembre.

Un site à visiter : www.youtube.com    Source: Texte:  Journée mondiale       Image: The Vegan Society

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

 

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La situation dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

(…)

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale 

Journée mondiale du travail – 1er mai

Certes il n’y a pas à proprement parler de « Journée Mondiale » du travail… mais si celui-ci doit être honoré, c’est bien le 1er mai… traditionnellement appelé « fête du travail » dans de très nombreux pays !

L’histoire du 1er mai

Parmi ceux qui défilent le 1er mai, combien savent qu’ils commémorent la grève sanglante du 3 mai 1886 aux usines McCormick de Chicago (USA), pour l’instauration de la journée de huit heures, et le meeting de protestation qui s’ensuivit le lendemain à Haymarket au cours duquel une bombe tua huit policiers.

Huit anarchistes furent arrêtés, quatre furent pendus, le 11 novembre 1887, avant d’être innocentés puis réhabilités publiquement en 1893.

Les martyrs de Chicago vont faire du 1er Mai un symbole de la lutte des classes et de l’identité du monde ouvrier à partir du congrès socialiste international de Paris de 1889 : il s’agissait de fonder en actes le projet d’une société émancipée, libérée du travail contraint. Alternant les hauts et les bas au fil des années, ce symbole sera tout de même à l’origine des lois sur le repos hebdomadaire en 1906 et des huit heures en 1919, avant de se banaliser après être devenu en 1947 un jour chômé et rémunéré.

De nombreux ouvrages parlent de l’histoire du premier mai et nous citerons parmi eux l’excellente « Histoire du Premier mai » de Maurice Dommanget.

Le jour du muguet

On se demande parfois quel est le lien entre la fête du travail et la traditionnelle vente de muguet. En réalité il n’y en a pas, cette tradition remonte à l’année 1561, quand le roi Charles IX décida d’en offrir à toutes les dames de la cour. Comme il en avait reçu à cette même date, l’idée lui plût et c’est lui qui lança cette [bonne] habitude. Mais revenons à la vente du muguet en ce premier jour de mai: elle bénéficie de dérogations particulières qui autorisent tout un chacun à aller vendre sa production sur le trottoir sans avoir à acquitter de taxes.

Un site à visiter : www.monde-diplomatique.fr.  Source: Texte & 2è image: Journée mondiale  1ère image: Wikipedia

21è dimanche de l’année A – 2020

Connaître quelqu’un… c’est toute une science, c’est plutôt une expérience!
On peut connaître des choses – des faits divers, des événements de l’histoire, les secrets de la science.
Mais le secret d’un être humain, c’est autre chose!
Ce qui fait l’identité, ce qui est au cœur de la personnalité de quelqu’un, c’est une connaissance particulière, vraiment.

L’évangile d’aujourd’hui (Mt.16:13-20) nous présente la scène où, justement, Jésus questionne ses apôtres sur son identité à lui.
Et, il le fait par étape, dirait-on.
Il demande d’abord ce que les gens pensent de lui.
Que dit-on dit de lui parmi ceux et celles qui écoutent son enseignement et le voient agir.

Différentes personnes ont des opinions différentes sur le sujet – on le voit comme un prophète, il fait des choses extraordinaires; pourtant on sait d’où il vient, on connaît sa famille, son village.

Mais, Jésus devient plus personnel et s’adresse directement aux apôtres, ses proches, ceux qui partagent sa vie au quotidien.
Eux, comment le connaissent-ils, ou plus exactement qui est-il pour eux?

Comme à l’ordinaire, Pierre parle au nom du groupe.
Il fait ce que nous considérons aujourd’hui une profession de foi.
Il affirme que l’identité de Jésus va bien au-delà de ce que les yeux peuvent apercevoir.
Au-delà aussi de ce qu’on perçoit en le côtoyant.

Et il y a une autre étape… celle-là n’est pas dans le texte de l’évangile –
c’est celle où Jésus nous demande, à chacun/e de nous qui il est pour nous personnellement.

Cela est au cœur, non seulement de SON identité à lui, mais de la nôtre comme chrétiens.
La réponse – personnalisée – ne peut venir que… de vous et de moi…
Elle doit s’exprimer au fil des jours, tout au long de notre expérience humaine.

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: Third Hour  

Les anonymes de l’évangile, 1er épisode

Des gens anonymes – des gens dont nous ignorons l’identité, des personnes que nous croisons mais qui nous sont inconnues – notre quotidien en est rempli.

Mais cette série de programmes nous présente un groupe différent d’anonymes… LES ANONYMES DE L’ÉVANGILE. Ils et elles nous accueilleront chaque mercredi avec un message qu’il nous sera bon de découvrir!

Bon visionnement!

 

 

10è dimanche de l’année B

L’évangile de ce dimanche est long et il touche plusieurs sujets.
Ces différentes idées pourraient être regroupées sous un thème: Une question d’identité.
N’est-ce pas de cela qu’il s’agit dans ce texte? (Mc.3:20-35)
On pourrait le penser.

La réputation de Jésus est comme déchirée, il semble, entre l’opinion de ses proches et celle de ses opposants.
Sa famille veut le ramener à la raison car, à leurs yeux, il a perdu la tête.

Pour leur part, les scribes affirment qu’il est possédé par nul autre que le chef des démons.
Mais lui, Jésus, raisonne logiquement avec ces derniers en disant que
si le chef des démons chasse l’un des siens,
sa maison et son pouvoir s’effondreront –
c’est l’évidence même!

En ce qui concerne les liens familiaux Jésus révèle une réalité inédite et…
en fait, il donne justement un sens d’identité
à ceux et celles qui le suivent et vivent selon son message :
ils sont précisément sa parenté proche comme sa mère, ses frères et sœurs.

Ne sommes-nous pas du groupe, nous qui le suivons jour après jour?

Note: Une autre réflection est offerte sur un thème different en anglais à: https://image-i-nations.com/10th-sunday-of-the-year-b/

Source : Images : lds.org   studiu-biblic.ro

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel.“

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée mondiale du diabète – 14 novembre

La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.

Le choix de la date…
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.

Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d’autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc…

Le logo de la Journée Mondiale du Diabète
En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang. Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.

Un site à visiter : www.diabete.fr  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

16è dimanche de l’année, A

Les chants religieux – comme les chants populaires et les différents genres de musique – connaissent des périodes de renom puis, parfois, disparaissent des programmations régulières.
La mode change, la renommée faiblit et… on oublie…

Mais certains se souviennent, et c’est sans doute le cas pour le beau chant de John Littleton intitulé : Je cherche le visage du Seigneur…

 

 

 

 

 

 

Être à la recherche du visage de Dieu, n’est-ce pas ce à quoi la vie chrétienne s’exerce au fil des jours?

Et voilà que les lectures de ce dimanche (16è dimanche de l’année, A) nous en donnent une description vraiment spéciale:

Il juge avec indulgence.
Il nous traite avec beaucoup de ménagement.
Il donne à ses enfants une belle espérance.
Après la faute, il accorde la pardon.   (Sa.12 :13,16-19)

Il est bon, il pardonne;
Il est plein d’amour pour ceux qui l’appellent
Il est grand, il fait des merveilles.
Il est tendresse et pitié,
Lent à la colère, plein d’amour et de vérité. (Ps.86)

Et l’évangile (Mt.13 :24-43) donne une image si claire et convaincante de ce Dieu patient,
un Dieu indulgent, clément, tolérant,
un Dieu qui sait attendre et attendre toujours notre retour.

Je cherche le visage du Seigneur… et… j’en ai trouvé une si belle expression dans ces textes !

Chaque phrase ébauche un trait,
chaque mot esquisse la figure,
chaque expression dévoile l’identité cachée,
et au plus profond de nous se révèle l’ I M A G E . . .
Mieux encore : sa P R É S E N C E !

Source: Images: Video Blocks, Wallpaper Awesome, Video Blocks