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Fête mondiale du jeu – 28 mai 2022

Ce n’est pas encore tout à fait une Journée Mondiale, mais nous lui avons tout de même fait une place dans le site. Peut-être un reste de notre esprit d’enfance…

L’objectif de cette journée nationale du jeu est de faire reconnaître l’activité ludique comme un outil d’apprentissage et de transmission du savoir, une expression d’échange culturel entre les peuples et les générations, une occupation de loisir et enfin (et surtout) une source de plaisir. La date « officielle » est fixée au dernier samedi du mois de mai. La 23ème édition aura donc lieu le samedi 28 mai 2022.

Universel et gratuit

La journée consacrée à la fête du jeu est libre dans sa forme mais s’inscrit dans le respect d’une « charte » :

  • La gratuité : La participation à la fête du jeu est gratuite pour tous.
  • L’universalité : Le jeu est pour tous, de tout age, de toute origine, de toute culture.
  • La diversité : La fête du jeu rend hommage au jeu sous toutes ses formes, des jouets aux jeux de société, qu’ils s’exercent en intérieur ou en plein air, qu’ils soient traditionnels ou qu’ils utilisent des supports informatiques ou vidéo.
  • Elle se pratique partout : La fête du jeu ne saurait se cantonner à la maison et pourra investir les lieux publics, les institutions, les familles, les rues.

De nombreux événements sont organisés dans le cadre de la fête du jeu et on trouve sur internet de nombreux sites consacrés aux activités ludiques pratiquées dans l’esprit de la fête du jeu. Ne souhaitant en privilégier aucun, nous laissons à nos internautes effectuer leurs propres recherches !

Nous terminerons cependant cette présentation par un cri d’alerte: L’activité ludique se situe, on le voit bien, aux antipodes du monde des « jeux d’argent » avec leur cortège de dépendances et risques en tous genres. Une information plus complète sur ces sujets est proposée dans le site Information jeux d’argent. A lire et à faire connaître.

Bon jeu à tous !

Source: Texte: Journée Mondiale    Image: allerjou.com

Journée des grands parents – 4 octobre

Journée des grands parents
Bien qu’elle ne se nomme pas elle-même « journée mondiale des grands parents’, cette journée mérite d’être citée dans le site des journées mondiales de par sa dimension internationale.

Made in USA

C’est Marian Mc Quade, une femme au foyer de Virginie Occidentale (USA) qui a lancé une campagne d’opinion afin qu’on consacre une journée spéciale aux grands-parents dans le but de reconnaître leurs droits auprès de leur progéniture.

National Grandparents Day

Cette initiative aurait pu rester isolée mais le mouvement a au contraire pris de l’ampleur et le gouverneur de Virgine Occidentale, Arch Moore, a proclamé officiellement la première « Journée des grands-parents » en 1973. C’est en 1978 que le Congrès des États-Unis a adopté le décret proclamant le premier dimanche après la Fête du travail (Labour’s Day) « Journée nationale des grands-parents« . Cette initiative a été reprise également au Québec dans les années 90.

Sachant qu’aux USA le Labour’s Day est fêté le 1er lundi du mois de septembre, nous devrions célébrer la journée des grands parents le lundi 7 septembre pour l’année 2020. Mais la suite va nous prouver qu’il n’en est rien.

Une difficile traversée de l’atlantique 

L’europe semblait jusqu’à présent rester à l’écart du mouvement si ce n’est l’initiative d’une marque de café qui avait souhaité instaurer une fête des grands mères…

La journée des grands-parents suscite décidément la convoitise des entreprises et, en 2018, une nouvelle initiative se fait jour, parrainée par de nombreuses marques commerciales qui (elles le disent elles-même) veulent « mettre la famille et l’intergénérationnel au centre de leur mission » ! 

Acceptons-en l’augure et souhaitant bon vent à cette nouvelle venue dans le calendrier français.

La date retenue, le 4 octobre, choisie au début de l’automne semble être un clin d’oeil à l’automne de la vie que représente l’âge des grands-parents.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

On m’a dit… 26è jour

Un mariage, c’est toujours quelque chose de spécial, n’est-ce pas?
On se réjouit, parfois… on sent aussi l’émotion nous gagner.
Les responsables de la fête veulent s’assurer que
tout se passe parfaitement, sans complication…
Mais il arrive parfois que justement… un problème surgit.
Nadia Labrecque évoque une telle situation…
 

Carnaval de Rio – 21 février 2020

L’excitation s’accumule alors que le Carnaval de Rio est proche. Le spectacle annuel célébré dans le pur style brésilien mène au mercredi des Cendres, le début du Carême, qui est une période de jeûne et de repentance pratiquée par des millions de chrétiens dans le monde entier. Le Carnaval de Rio attirera près d’un million de personnes du monde entier dans la ville plage où la samba donne le tempo. Une des principales caractéristiques qui font du Carnaval une fête si vivante est l’ensemble des costumes créatifs et colorés portés par les fêtards dans les bals masqués et les fêtes de rue qui rendent le véritable esprit du Carnaval. 

Un peu d’histoire du Carnaval
Le terme Carnaval est probablement dérivé du portugais Carne Vale, qui signifie « Adieu à la viande. » Ce devait être une fête qui précède la privation de viande, d’alcool, et d’autres plaisirs mondains pendant les 40 jours qui précèdent Pâques et la résurrection de Jésus-Christ. Alors que le Carnaval de Rio commence officiellement une semaine avant le mercredi des Cendres, les fêtes débutent dès le mois de décembre. En savoir plus sur l’histoire du Carnaval.

Influences européennes et africaines
Le premier Carnaval remonte à l’année 1640 où les célébrations de masse eurent lieu en l’honneur du dieu grec du vin. Les réjouissances d’ivresse faisaient partie des célébrations que les Romains tenaient en l’honneur de Bacchus et des Saturnales. Les soldats et les maîtres échangeaient leurs vêtements alors qu’ils se livraient à des nuits d’ivresse et de débauche sauvage. L’Église catholique romaine plus tard donna le ton pour les fêtes de carnaval qui précédèrent alors le mercredi des Cendres, premier jour du Carême dans le calendrier chrétien.

Les Portugais introduisirent le carnaval au Brésil avec un festival appelé « Entrudo » qui est considéré comme la principale origine du carnaval brésilien contemporain. Le premier bal masqué à Rio eut lieu en 1840, où la polka et la valse étaient les principales formes de danse. Les Africains plus tard eurent une forte influence sur le Carnaval avec l’introduction de la samba en 1917, qui est aujourd’hui considérée comme le style musical national brésilien.

 

Source: Texte & Image: riocarnaval.org

 

 

28è dimanche de l’année, A

Je commence à lire l’évangile de ce dimanche (28è de l’année A – Mt.22 :1-14) et je me dis : ‘C’est l’évangile des invitations.’

Et voilà que mon esprit s’envole rappelant à ma mémoire les invitations multiples qui me sont parvenues récemment.
Elles se rangent dans différentes catégories :

  • invitations pour des sorties avec des amies,
  • invitations à des fonctions officielles,
  • invitations pour des rencontres de famille,
  • invitations à des événements sportifs,
  • Invitations pour des activités de bénévolat,
  • Invitations pour des sessions de ressourcement,
  • Invitations……..

Je m’arrête et je prends soudain conscience : ‘Invitations de… Dieu…’
 
Voilà une catégorie assez spéciale et, en fait, c’est justement le thème de l’évangile de ce dimanche.
Parce qu’on ne peut pas le nier : Dieu nous rejoint avec ses invitations à lui.
Elles ne sont évidemment pas imprimées ni publiées sur les plateformes des médias sociaux.
Elles ne sont pas prononcées d’une manière qui soit audible.
Mais elles sont tout de même bien réelles… discrètes, peut-être, mais insistantes toujours.

Elles prennent bien des formes, nous atteignent à des moments inattendus et elles nous posent souvent un défi.
On voudrait parfois ‘faire comme si’ – ‘comme si’ on ne l’avait pas remarquée cette invitation, ‘comme si’ elle ne nous concernait pas vraiment, ‘comme si’ ce n’était pas si urgent après tout de… répondre à Dieu!

Dieu est patient et il attend, mais il sait répéter ses convocations…
Il revient à la charge, supplie même… mais il n’abandonne pas, il renouvelle ses appels.
On dirait presqu’il nous poursuit…
Oui, son désir nous poursuit tant il veut nous voir joindre la fête qu’il nous a préparée.

Peut-on refuser les invitations de Dieu?
Évader une réponse? Se soustraire à la rencontre qu’il propose?
Certains le font pensant se libérer…
Plusieurs font la sourde oreille prétendant qu’ils n’entendent par de ‘voix’…
D’autres remettent à plus tard la décision de répondre ou non…

Des excuses, des prétextes, des raisons justifiant une absence, on peut s’en fabriquer de bien des sortes.
Mais l’invitation demeure… jusqu’à notre dernier jour, jusqu’au dernier moment de notre existence…
Pourtant le vêtement de fête est là pour nous.
Notre dernière réflexion consciente sur cette terre sera-t-elle – enfin – un ‘Oui’ ou… ?

Mais, au fait… pourquoi attendre si longtemps alors qu’on pourrait répondre sur le champ et… goûter toute la JOIE qui s’attache à une telle réponse!

Source: Images: La cour des petits,  Youtube,  LinkedIn,  farwestcourier.com,  parablesblog,blogspot.com

3è dimanche de l’année C

Dimanche dernier – 2è dimanche de l’année C – nous étions à Cana en Galilée pour une noce bien célèbre! À la fin du texte de cette scène évangélique, on aurait pu ajouter une note disant : À suivre la semaine prochaine…

feast study`biblicaljewishcalendar, yaiy.orgEt nous voici – en ce 3è dimanche – où la note nous amène en effet à… une autre célébration. Il s’agit de la célébration de la Fête des Tentes. Le peuple est en proie à une grande émotion qui va jusqu’aux larmes! (Néhémie 8 :1-4a,5-6,8-10). Les chefs religieux du people d’Israël leur disent : « Allez mangez des viandes savoureuses, buvez des boissons aromatisées, et envoyez une part à celui qui n’a rien de prêt. Car ce jour est consacré à notre Dieu! Ne vous affligez pas : la joie du Seigneur est votre rempart. »

Depuis quelques jours, on peut entendre les gens dire : « La saison des Fêtes est finie. » On veut dire par là que les célébrations de Noël, du Jour de l’An et de l’Épiphanie sont maintenant terminées. Mais la saison de FÊTE n’est PAS conclue. Il y a toujours une raison de célébrer ce Dieu qui s’est lui-même choisi le nom de « Dieu-avec-nous » et qui le demeure en permanence. À nous aussi on peut dire en toute vérité : « La joie du Seigneur est votre rempart. » Protection. Sécurité.

Est-ce vraiment vrai?… Vrai, malgré les difficultés, les obstacles, les épreuves, les espoirs déçus, les défaites humiliantes, et tout ce qui a le goût amer du négatif et de l’échec dans ma vie? Si je suis attentif à ‘l’envers’ de tout cela, j’y trouve le courage devant une décision à prendre, l’inspiration subite pour un choix important, le succès inattendu, les paroles réconfortantes d’une amie, les gestes d’entraide d’un voisin, et… parfois, insoupçonnée mais tellement réelle, la présence de celui qui a dit: « Je vous dis cela pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » (Jn.15:11). N’y a t-il pas là raison de célébrer?!