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Journée Mondiale contre la Faim – 15 juin

La Journée mondiale de l’alimentation commémore la création de la FAO le 16 octobre 1945 et ce sont chaque année, pas loin de 150 pays de par le monde qui participent à cette manifestation.

Rappelons que la FAO est une organisation dépendante des Nations Unies et particulièrement chargée des questions de l’alimentation et de nourriture.

Quand on sait que la population mondiale a plus que doublé depuis la création de la FAO, on imagine aisément l’importance des enjeux et la lutte contre la faim reste encore une préoccupation quotidienne dans de nombreux pays.

Les grandes cultures exportatrices ont joué un rôle important dans l’appauvrissement de territoires entiers en prenant la place des cultures vivrières seules capables de nourrir les populations locales. Une prise de conscience dans les pays touchés par la faim, mais aussi dans les pays industrialisés qui profitent de cet état de fait, peut seule enrayer le phénomène et jeter les bases d’un développement raisonné de l’agriculture à vocation « nourricière ».

La FAO estime que plus d’un milliard de personnes étaient encore sous-alimentées en 2009 sur la planète. Un être humain sur 6 !

Un site à visiter : www.fao.org  Source: Texte: Journée Mondiale  Image: ACF Portail humanitaire

4è dimanche de l’année, A

Si on vous demandait quel est le mot le plus souvent utilisé… sans doute plusieurs penseraient au mot : AMOUR.
D’autres affirmeraient que c’est le mot BONHEUR qui a la première place dans nos conversations.

Personnellement, je n’ai pas de peine à le croire.
Nous venons de conclure la période de Noël avec ses échanges multiples de bons souhaits.
Le mot BONHEUR était rarement absent de nos vœux; oui, on désire tous et pour tous : une ‘Bonne et HEUREUSE année.’
Santé, Succès et, certainement BONHEUR se retrouvaient dans les cartes – virtuelles où réelles!

La grande toile de l’internet semble donner raison à la théorie du bonheur comme concept… primordial. Demandez à Google ce qu’il a à vous offrir et vous serez littéralement inondé de suggestions. On vous recommande les Recettes du bonheur, les Défis du bonheur, les Étapes vers le bonheur. Il y a même une Avenue du bonheur, ou un Boulevard du bonheur. Et ne manquez surtout pas : La clé du bonheur – elle y est aussi! Oh, on vous offre évidemment une Bulle de bonheur d’où seront absents, bien sûr, les mauvais moments, les difficultés, les problèmes, et les troubles de toutes sortes. Bien au chaud dans votre ‘bulle’, vous serez à l’abri des misères de l’humanité, vous serez ‘bienheureux’.

On associe le bonheur à la joie, le plaisir, la satisfaction, l’accomplissement, le succès, la réalisation de soi, et quoi encore? En parcourant tout ce panorama, je serais tentée de demander à l’un et à l’autre de ces internautes enthousiastes si eux sont… heureux, vraiment heureux!

L’évangile d’aujourd’hui (4è dimanche, année A – Mt.5 :1-12) nous présente ce que certains nommeraient : ‘La charte du bonheur’. Elle est proclamée par Jésus lui-même au début des années de sa vie consacrées à l’enseignement des foules. Mais, à vrai dire, pour des oreilles modernes, le vocabulaire de ce texte est assez rébarbatif et la perspective plutôt rebutante…

La pauvreté, les larmes, l’injustice, la calomnie des autres, la misère, la faim et la soif (de la justice bien sûr), la lutte pour la paix, la persécution – c’est ça le bonheur?
C’est ça… si on ose s’en remettre à… la deuxième partie de chaque phrase – c’est ce qui fait toute la différence!

Mais il s’agit d’une différence que l’on peut appréhender seulement dans la foi… l’espérance… et la confiance dans celui qui a prononcé ces paroles.
Et certains seront tentés de dire : ‘C’est le monde à l’envers!’
Mais peut-être est-ce justement à l’envers que l’on peut découvrir le vrai bonheur – là où se trouve la compassion, la justice, la consolation, la paix qui sont l’essence même de la ‘béatitude’.

Autrement… autrement il ne reste que des paroles et des promesses aussi peu tangibles et aussi éphémères que le vent qui les emporte!

Source: Images: www.clker.com;   Pinterest;    www.lds.org

Journée Internationale de La Solidarité Humaine – 20 décembre

L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre.

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale des nations unies en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté.

La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.

Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

Solidarnosc a profondément transformé la Pologne, la solidarité peut aider à transformer le monde.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale contre la Faim – 15 juin

La Journée mondiale de l’alimentation commémore la création de la FAO le 16 octobre 1945 et ce sont chaque année, pas loin de 150 pays de par le monde qui participent à cette manifestation.
Rappelons que la FAO est une organisation dépendante des Nations Unies et particulièrement chargée des questions de l’alimentation et de nourriture. Quand on sait que la population mondiale a plus que doublé depuis la création de la FAO, on imagine aisément l’importance des enjeux et la lutte contre la faim reste encore une préoccupation quotidienne dans de nombreux pays.4654411_6_3ec1_penurie-alimentaire-dans-le-grand-sud-de_af8a14804a71730f1367fdcc50a71076

Les grandes cultures exportatrices ont joué un rôle important dans l’appauvrissement de territoires entiers en prenant la place des cultures vivrières seules capables de nourrir les populations locales.  Une prise de conscience dans les pays touchés par la faim, mais aussi dans les pays industrialisés qui profitent de cet état de fait, peut seule enrayer le phénomène et jeter les bases d’un développement raisonné de l’agriculture à vocation « nourricière ». La FAO estime que plus d’un milliard de personnes étaient encore sous-alimentées en 2009 sur la planète. Un être humain sur 6 !

Un site à visiter : www.fao.org     Source: Texte: Journée mondiale   Image: M Planète, www.lemonde.fr

Et pourtant, la journée mondiale contre la faim touche encore aujourd’hui (2015) 10% des habitants de notre Planète. 795 millions de personnes. 57 pays sur 129 suivis par la FAO n’ont toujours pas atteint l’objectif premier des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) (réduire de moitié la pauvreté et la proportion de personnes souffrant de la faim ndlr). Les régions de l’Afrique Subsaharienne et de l’Asie du Sud sont les deux régions les plus touchées par la faim.

De nombreuses causes peuvent provoquer la sous-alimentation : volatilité inexpliquée des prix et mauvaise information sur les cours des biens alimentaires, guerres, instabilité politiques, catastrophes naturelles, dérèglements climatiques, migrations… La sous-alimentation est « l’état, se prolongeant au moins un an, durant lequel une personne ne parvient pas à se procurer assez de nourriture pour satisfaire les besoins énergitiques alimentaires quotidiens » (FAO). Un autre facteur de la faim après la rareté des produits alimentaires est celui de la malnutrition : carences, quantités mangées par personne… Si rien n’est fait et si la tendance se maintient, 600 millions de personnes risqueraient de souffrir de la fin d’içi 2080 !

Source: Texte: www.oneheart.fr