Voir à travers…c’est voir, évidemment,
mais ce n’est pas comme voir directement.
Et voilà que Ginette Boivin s’est surprise
à rêver… un BEAU rêve!
Elle nous le partage.
Voir à travers…c’est voir, évidemment,
mais ce n’est pas comme voir directement.
Et voilà que Ginette Boivin s’est surprise
à rêver… un BEAU rêve!
Elle nous le partage.
Quand on y prête attention, les textes de l’Écriture nous réservent parfois, souvent même, des surprises.
C’est le cas de la 1ère lecture (Joël 2:12-18) en ce Mercredi des Cendres.
Dès la première ligne du texte, le prophète Joël nous transmet le message de Dieu qui nous dit :
« Revenez à moi de tout votre cœur…
Le prophète insiste et répète :
Revenez au Seigneur votre Dieu.»
Mais à peine quelques lignes plus tard Joël ajoute :
« Qui sait, il pourrait revenir… et laisser sa bénédiction. »
Voilà que c’est Dieu qui revient, cette fois!
Ce mot ‘revenir’ exprime l’essence même de la conversion :
se retourner, oui, désormais… faire face à Dieu –
lui qui déjà est tourné vers nous,
oser le regarder en face malgré nos faiblesses et nos manquements.
Cette journée marque le début du Carême –
cette période où justement la conversion est à l’ordre du jour.
Et si, au cœur de notre démarche, il suffisait de s’ouvrir à un face-à-face avec Dieu?
On a depuis longtemps recommandé le jeûne, l’aumône et la prière comme moyens privilégiés.
Mais il y en a d’autres…
À chacun/e le choix du chemin où le Seigneur l’attend…
Fermer une porte… fermer les yeux… ouvrir sa main… ouvrir son cœur…
chemins multiples de rencontre promise.
« Le Seigneur s’est ému… » assure Joël.
Il est toujours tourné vers nous… et nous?…
Il nous faut peut-être nous RE-tourner et RE-venir vers lui…
Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème different en anglais à: https://image-i-nations.com/ash-wednesday-year-c-2019/
La semaine du 18 au 24 novembre est dédiée à la Justice réparatrice.
Elle nous permet de rencontrer ceux qui en sont les sujets de part et d’autre –
ceux qui ont été victimes et ceux qui ont commis les actes de violence.
Henriette Doré Mainville a oeuvré dans ce secteur pendant plusieurs années.
Dans cette vidéo, elle nous partage son expérience.