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Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté – 1er juillet 2023-2024

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté

La Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté, observée annuellement, incarne un puissant symbole de la lutte contre la précarité économique. Cette initiative globale vise à sensibiliser le public et à inciter les décideurs à agir pour éradiquer la misère.
Source: Texte: Google
Il y a des journées mondiales qu’on aimerait ne plus célébrer… celle-ci en fait partie. Elle tire son origine de l’opération « 2005 : plus d’excuses ! » dont la première édition remonte à… 2005 ! Mais chaque 1er juillet, la journée revient, les bonnes intentions sont affichées, et bien peu de progrès concrets sont enregistrés.Le port du bracelet blanc à votre poignet est un signe de soutien à l’action mondiale contre la pauvreté. De nombreuses associations sont partie prenante dans de nombreux pays.

Réduire la pauvreté de moitié d’ici… 2015

Vous n’avez pas révé, nous sommes bien en 2023, * le site a bien été mis à jour !

La coalition à l’origine de cette journée a pour objectif d’interpeller les Etats, qui ont signé les Objectifs du Millénaire en 2000, pour qu’ils respectent leurs engagements et prennent dès maintenant des mesures concrètes pour réduire de moitié la pauvreté dans le monde. Le Secours Catholique / Caritas France est fortement engagé dans cette campagne. Il est une des 6 organisations du comité de pilotage, avec Agir Ici, le CCFD, le CRID, Coordination Sud et la CFDT.

En France, ce sont plus de soixante organisations et syndicats réunis au sein de « 2005 : plus d’excuses ! » qui portent la campagne. Le bandeau blanc est le symbole de l’Action Mondiale contre la pauvreté qui regroupe des centaines d’organisations et de citoyens à travers le monde.

Un site à visiter : www.fondationcaritasfrance.org           Source: Texte & 1ère Image: Journée mondiale    2è image: ZAKWELI

* Note de l’Éditrice: Il n’y a pas de texte disponible pour 2024…

21st Sunday of Year C – 2022

Pretexts and excuses – we must admit that such claims are often used in many situations nowadays !
It would seem that our 21st century is quite similar to the 1st century where we meet Jesus and the people surrounding him.

The gospel text of this Sunday (Luke 13:22-30) shows us people trying to make themselves acceptable.
They justify themselves in what appears to be convincing words:

“We once ate and drank in your company;
you taught in our streets.”

In the eyes of God (represented by the master of the house) this is not sufficient.
Such justification is not a valid representation of a true relationship.
This is what God expects of us: a life lived in a genuine relationship with him.

External conformity to traditions, faithfulness to rituals, observance of certain religious prescriptions –
these may have some merit, but they are not the essential.
They may obtain the response:

 

I do not know where you come from…”

The essential, for God, lies deeper, much deeper.
It is found in a personal relationship with God our Father, our Brother, our Counsellor.
A relationship lived from day to day, walking in the steps of Christ, under the guidance of his Spirit.

From day to day, step by step…
until the day when we will, indeed, share in the feast he has prepared for us:

“the feast in the kingdom of God.”
 

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/21e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

Source: Images: SlidePlayer  Scripture Images

 

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté – 1er juillet 2022

Il y a des journées mondiales qu’on aimerait ne plus célébrer… celle-ci en fait partie. Elle tire son origine de l’opération « 2005 : plus d’excuses ! » dont la première édition remonte à… 2005 !

Mais chaque 1er juillet, la journée revient, les bonnes intentions sont affichées, et bien peu de progrés concrets sont enregistrés.

Le port du bracelet blanc à votre poignet est un signe de soutien à l’action mondiale contre la pauvreté. De nombreuses associations sont partie prenante dans de nombreux pays.

Réduire la pauvreté de moitié d’ici… 2015

Vous n’avez pas révé, nous sommes bien en 2022, le site a bien été mis à jour !

La coalition à l’origine de cette journée a pour objectif d’interpeller les Etats, qui ont signé les Objectifs du Millénaire en 2000, pour qu’ils respectent leurs engagements et prennent dès maintenant des mesures concrètes pour réduire de moitié la pauvreté dans le monde. Le Secours Catholique / Caritas France est fortement engagé dans cette campagne. Il est une des 6 organisations du comité de pilotage, avec Agir Ici, le CCFD, le CRID, Coordination Sud et la CFDT.

En France, ce sont plus de soixante organisations et syndicats réunis au sein de « 2005 : plus d’excuses ! » qui portent la campagne. Le bandeau blanc est le symbole de l’Action Mondiale contre la pauvreté qui regroupe des centaines d’organisations et de citoyens à travers le monde.

Un site à visiter : www.fondationcaritasfrance.org       Source: Texte:  Journée Mondiale   Image: Petite République.com

28è dimanche de l’année, A

Je commence à lire l’évangile de ce dimanche (28è de l’année A – Mt.22 :1-14) et je me dis : ‘C’est l’évangile des invitations.’

Et voilà que mon esprit s’envole rappelant à ma mémoire les invitations multiples qui me sont parvenues récemment.
Elles se rangent dans différentes catégories :

  • invitations pour des sorties avec des amies,
  • invitations à des fonctions officielles,
  • invitations pour des rencontres de famille,
  • invitations à des événements sportifs,
  • Invitations pour des activités de bénévolat,
  • Invitations pour des sessions de ressourcement,
  • Invitations……..

Je m’arrête et je prends soudain conscience : ‘Invitations de… Dieu…’
 
Voilà une catégorie assez spéciale et, en fait, c’est justement le thème de l’évangile de ce dimanche.
Parce qu’on ne peut pas le nier : Dieu nous rejoint avec ses invitations à lui.
Elles ne sont évidemment pas imprimées ni publiées sur les plateformes des médias sociaux.
Elles ne sont pas prononcées d’une manière qui soit audible.
Mais elles sont tout de même bien réelles… discrètes, peut-être, mais insistantes toujours.

Elles prennent bien des formes, nous atteignent à des moments inattendus et elles nous posent souvent un défi.
On voudrait parfois ‘faire comme si’ – ‘comme si’ on ne l’avait pas remarquée cette invitation, ‘comme si’ elle ne nous concernait pas vraiment, ‘comme si’ ce n’était pas si urgent après tout de… répondre à Dieu!

Dieu est patient et il attend, mais il sait répéter ses convocations…
Il revient à la charge, supplie même… mais il n’abandonne pas, il renouvelle ses appels.
On dirait presqu’il nous poursuit…
Oui, son désir nous poursuit tant il veut nous voir joindre la fête qu’il nous a préparée.

Peut-on refuser les invitations de Dieu?
Évader une réponse? Se soustraire à la rencontre qu’il propose?
Certains le font pensant se libérer…
Plusieurs font la sourde oreille prétendant qu’ils n’entendent par de ‘voix’…
D’autres remettent à plus tard la décision de répondre ou non…

Des excuses, des prétextes, des raisons justifiant une absence, on peut s’en fabriquer de bien des sortes.
Mais l’invitation demeure… jusqu’à notre dernier jour, jusqu’au dernier moment de notre existence…
Pourtant le vêtement de fête est là pour nous.
Notre dernière réflexion consciente sur cette terre sera-t-elle – enfin – un ‘Oui’ ou… ?

Mais, au fait… pourquoi attendre si longtemps alors qu’on pourrait répondre sur le champ et… goûter toute la JOIE qui s’attache à une telle réponse!

Source: Images: La cour des petits,  Youtube,  LinkedIn,  farwestcourier.com,  parablesblog,blogspot.com

6th Sunday of the Year, A

Have you ever notice how people answer when they must give an account of something… negative that has happened. You will hear:

“The cup fell and got broken.”
“This thing got lost.”
“So-and-so made me do that…”

All these statements have one thing in common: they ‘free’ someone from the responsibility of having done something.
He did not break the cup, she did not lose something, and if they did something wrong, well… it was the fault of somebody else!

This reflection came to me as I read the very first line of the first reading of this Sunday (6th Sunday of Year A – Si.15:15-20):
“If you wish, you can keep the commandments,
To behave faithfully is in your power.”

Being free, yes, from having to look for excuses, free from feeling obliged to find a scapegoat.
Being able to say:

“I did it.”
“It is my mistake.”
“It is my fault, I am sorry.”

What a liberating experience!
And the way to… human and Christian maturity!

Source: Image: www.nikkenu.com