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Fête de l’Épiphanie, année C – 2022

   

   

Un signe, une étoile.
Des Mages, des astrologues, en mode ‘recherche’.
Un roi à l’esprit tortueux élaborant un plan malicieux.
Le signe, soudain disparu, cause le désarroi des chercheurs bien intentionnés.
La réapparition du signe-étoile suscite une grande joie.
Et, enfin, la découverte inédite, absolument exceptionnelle, qui dépasse toute attente.

Avez-vous reconnu le texte de l’Évangile de cette fête de l’Épiphanie (Matthieu 2:1-12)?
C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit!

Et il y a davantage: l’offrande de cadeaux princiers, symboliques.
Et un songe, une mise en garde qui met en échec la ruse d’un roi cruel.

Ainsi ‘décodé’, le texte de l’évangile revêt des aspects assez… contemporains!
Des signes, des recherches assidues, des plans sadiques de persécution, des mises en garde –
tout cela, le quotidien en fournit à tant de gens sous toutes les latitudes.

Mais… qu’en est-il de la joie intense de la découverte –
découverte de celui qui nous attend, qui nous rejoint,
s’étant fait l’un-de-nous, Dieu-avec-nous?

Cela aussi devrait devenir contemporain!
Que manque-t-il donc pour que cela devienne réalité pour NOUS?

La lassitude nous gagne-t-elle en route?
La crainte surmonte-t-elle notre courage?
Manquons-nous de suivre NOTRE étoile?

Peut-être suffit-il simplement de nous tourner vers LUI, lui, qui a promis :
“Je t’instruirai, je t’apprendrai la route à suivre,
Les yeux sur toi, je serai ton conseil.” (Psaume 32:8)

Promesse de sa présence, source de joie indicible,
à notre portée sur la route, où que nous mène notre cheminement…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-year-c-2022/

 

Source: Images: istockphotos.com   Church of Jesus Christ

Fête de l’Épiphanie, année B – 2021

« La Fête de Rois, » dit-on et, après un moment de silence une question surgit:
« Est-ce bien vrai, cette histoire-là? 
Est-ce que ce n’est pas une légende, tout simplement?»

Et d’autres questions s’ajoutent à la première:
« Les choses se sont-elles passées vraiment comme on le raconte?
Et, il y avait bien trois Rois, pas quatre?
On dit que c’était ‘des Mages’, des gens qui étudiaient les étoiles, vous croyez à tout cela? »
vous demande-t-on?

Plusieurs affirmeront avec conviction qu’il s’agit là d’un conte pour les enfants,
libre à vous d’y croire si cela a un sens pour vous.

Voilà ce qu’il fallait considérer depuis le début:
le sens de ce que l’on présente comme un événement.

L’apparition d’une étoile,
la recherche,
la quête d’information,
la découverte d’un nouveau-né,
l’offrande de trésors –

tous ces éléments doivent être perçus et reçus comme des symboles –
des symboles dont la signification se manifeste à quiconque est prêt à s’ouvrir à une révélation –
la révélations que:

Dieu éclaire ceux/celles qui le cherchent,
il guide leur marche et leur désir de le connaître,
il se manifeste à eux
il accepte ce qu’ils/elles offrent – pour Lui toute offrande est un trésor
et lui-même se donne alors à chacun/e – quelles que soient leur origine, nationalité, langue ou situation.

Un conte? Il n’y en a pas de plus vrai!
Une légende? Nulle n’est plus signifiante!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-year-b-2021/

 

Source : Image : Vector4free

Fête de l’Épiphanie, année A – 2020

Le 1er janvier, on parlait à la télévision des gens qui prennent une résolution du Nouvel An…
et des autres!
Certains expliquaient ce qu’ils et elles avaient choisi de changer dans leur quotidien.
Tous et toutes désiraient un mieux être.

En les écoutant, je me disais qu’une bonne résolution – une qui justement conduirait à un mieux être –
pourrait être : ‘Suivre son étoile’.
Oui, comme l’ont fait les Mages que nous retrouvons dans l’évangile d’aujourd’hui (Mt.2:1-12).

Cela ne veut évidemment pas dire d’attendre dans le ciel l’apparition d’un astre bien spécial.
Un ciel sans étoiles visibles ne serait pas un obstacle à une poursuite de mieux-être.
L’étoile-guide qui a pour but de rendre notre vie meilleure et riche de sens ne peut pas être observée
par ceux qui scrutent la Voie Lactée.

Elle est quelque chose de très personnel.
Quelque chose qui reflète à la fois notre personnalité et le dessein de Dieu pour nous.

Une inspiration soudaine et insistante qui illumine l’instant présent.
Une intuition persistante qui ouvre des perspectives insoupçonnées.
Un désir confus qui, en se précisant, indique une nouvelle direction.
Un appel discret à oser une aventure enrichissante.

‘Suivre son étoile’, c’est un peu tout cela…
ÉPIPHANIE : Une explosion de sens à la découverte d’une Présence!
 
Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-of-the-lord-year-a-2020/
 

Source : Image : cheristianityisjewish.org

 

 

 

 

 

 

 

Fête de l’Épiphanie, année C

« C’est la fête des Rois » dit-on. C’est ainsi que l’on désigne parfois la célébration d’aujourd’hui – la fête de l’Épiphanie.

Il faut dire que le récit offre quelque chose d’exotique, de féérique, de magique même – ne parle-t’on pas des ‘Mages’ ?!

Sans oublier, évidemment, son aspect biblique et théologique.

Et… le symbolique, alors… au cœur de cette fête si riche en couleur et en splendeur !

La légende qui présente ces nobles personnages affirme qu’ils étaient rois et nous les présente tous les trois les nommant : Gaspar, Melchior et Balthasar.

Ni statut royal, ni nom, ni nombre, n’apparaît dans le texte de l’évangile de Matthieu (Mt.2:1-12).

Qu’est ce donc qui les caractérise ?

Ce sont des gens… en recherche. Ils ont découvert une étoile inconnue jusqu’alors.

Ils l’ont reconnu comme un signe qui leur a servi de guide mais… ce signe a soudain disparu.

Les Mages s’adressent donc à l’autorité qui devrait avoir connaissance et sagesse… et pourtant !

Ils se mettent de nouveau en route et découvrent avec joie leur guide étoilé revenu et les précédant comme à leur départ.

Ayant atteint leur destination ils reconnaissent celui qu’ils cherchaient.

Ils le reconnaissent jusqu’à… l’adoration – peut-on offrir un présent plus précieux ?

Mais ils y ajoutent les autres choses apportées : l’or, l’encens et la myrrhe, choses bien précieuses aux yeux de leurs contemporains.

 
La découverte… la route… le guide… la marche… la recherche… la reconnaissance… l’offrande…

Les repères pour cette nouvelle année qui vient de s’ouvrir devant nous.

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à :

Feast of the Epiphany, Year C

 

Source : Image : shutterstock.com   amazon.co.uk

 

Un conte de NOËL

Légendes et contes sont associés à Noël.

Ils sont de différentes périodes dans l’histoire

et ils ont leur origine dans différentes cultures.

En voici un, « tout nouveau, tout beau » –

texte et chant réalisés ici, au Québec…

pour votre enchantement!

BON VISIONNEMENT !

 

 

 

 

7 nouvelles planètes…

La découverte est fascinante. Des astronomes ont découvert sept exoplanètes à environ 40 années-lumière de la Terre. Une distance raisonnable à l’échelle de l’univers.

Ces planètes gravitent autour d’une petite étoile, baptisée TRAPPIST-1, ce qui permettrait à trois d’entre-elles (TRAPPIST-1e, f et g, les exoplanètes étant désignées par des lettres) d’abriter potentiellement des océans et donc, pourquoi pas, la vie.

C’est le télescope spatial Spitzer de la Nasa qui a révélé ce système, premier système connu de sept planètes de la taille de la Terre autour d’une étoile simple. Il s’agit en effet d’un nouveau record du plus grand nombre de planètes trouvées dans une zone potentiellement habitable, autour d’une seule étoile, en dehors de notre système solaire.

 

Source : Texte & Image Actualités, lintern@ute, 23 février 2017; Photo : NASSA/JPL-Caltech

 

Étoile de Bethléhem

Le saviez-vous? Il y a quelques mois (août 2016) nous avons eu notre… Étoile de Bethléhem!
L’article ci-dessous explique ce qui aurait pu se passer lors de la naissance de Jésus et l’étoile bien spéciale qui apparut à ce moment précis.
Je copie l’article ici pour votre information et intérêt.

L’étoile de Bethléem, quand Jupiter et Vénus ne font qu’un

Les deux planètes s’apprêtent à se rejoindre dans notre ciel jusqu’à ne former qu’une seule et même étoile. En apparence, le phénomène sera similaire à « l’étoile de Bethléem » qui guida les rois mages.

Les deux planètes les plus brillantes de notre ciel étoilé se rejoignent petit à petit depuis le début du mois de juin selon une information transmise par la Nasa: Vénus, la deuxième planète du système solaire, mitoyenne de la Terre et Jupiter, la cinquième de notre système solaire mais aussi la plus grosse vont nous paraître si proches qu’elles vont même sembler entrer en collision. Mais Vénus est à 93 millions de km de la Terrre, tandis que Jupiter est à 909 millions de km de nous : les deux planètes sont tellement éloignées l’une d’elles qu’elles ne sont pas sur le point de s’entrechoquer mais de passer l’une derrière l’autre par rapport à nous. Les deux étoiles vont ainsi se superposer (27 août 2016) et former ce que l’on appelle une super-étoile brillante.

Une sorte d' »étoile de Bethléem » telle que décrite dans la Bible

Le phénomène sera si lumineux que certains astronomes amateurs estiment même que le résultat sera comparable à la fameuse « étoile de Bethléem » décrite dans la Bible. L’observer permettra ainsi d’imaginer ce qui est apparu aux yeux des mages après la naissance du Christ. Un tel événement céleste observé depuis la Terre s’appelle une conjonction : lorsque deux corps ont soit la même ascension droite ou la même longitude écliptique.

Source: Texte: http://www.aleteia.org/fr/science/article/astronomie-quand-jupiter-et-venus-ne-font-quun-  
Image: Marion Alart, Rencontre de Vénus et Jupiter
 

Fête de l’Épiphanie, année A

Les Mages…
Étaient-ils trois? L’évangile ne le dit pas.
Des sages, des sages d’où exactement?
De l’Orient, oui, mais plus précisément?
Nul ne le sait et, à vrai dire peu importe.

Ils venaient de loin, de très loin.
Ils avaient perçu un signe,
Ils suivaient… une étoile – un guide bien particulier;
perdue, ils la recherchaient,
retrouvée, ils se réjouissaient.
On rapporte qu’ils se nommaient : Gaspar, Melchior, Balthazar.
 
Leur visite était-elle historique?
Vous n’en trouverez pas le récit dans les livres d’histoire.
Mais elle est richement symbolique!
C’est ce qui fait que, jusqu’à ce jour,
elle retient notre attention,
suscite notre réflexion,
et inspire notre méditation!
 
Oui, ils étaient des sages,
et ils nous apprennent à l’être aussi –
attentifs aux signes qui nous sont donnés
et habiles à les interpréter.
 
‘Pas facile’, vous direz.
Non, c’est ce qui fait que
cette attention et cette interprétation
doivent nous être ‘insufflées’, oui,
par le ‘Souffle’ même de Dieu – l’Esprit,
Lui qui les a guidés, ces sages, jusqu’à l’Enfant nouveau-né.
 
« Les sages continuent de se laisser guider par l’étoile » dit-on.
Nul doute, cette nouvelle année nous procurera de multiples occasions de le faire…

Source: Image: www.publicdomainpictures.net
 

Épiphanie, C

Il y a plusieurs années, lors de la Fête de l’Épiphanie, le célébrant n’a pas donné d’homélie comme il le faisait d’ordinaire. Il nous a tout simplement raconté une légende. Je n’ai jamais oublié le message de La légende du quatrième Roi Mage. Vous en trouverez le texte ci-dessous et puisse-t-il vous inspirer autant qu’il l’a fait pour moi.

La nuit était froide et le ciel d’Orient éclatait en myriades d’étoiles plus belles les unes que les autres. Balthazar, Gaspard et Melchior étaient sortis sur la terrasse de leur palais, et ils ne se lassaient pas de contempler le firmament. Cette nuit-là, les Rois Mages savaient qu’un astre nouveau devait apparaître, différents de tous les autres… Un sstarlight, answeringenesis.orgigne céleste, qui annoncerait la naissance du Sauveur promis à tous les hommes.Or, voici qu’il apparut sous leurs yeux, sortant de l’infinie profondeur des cieux. Il ressemblait à une flamme immense d’où jaillissaient des milliers de lumières de toutes les couleurs. Les Mages restaient là, émerveillés, n’osant parler en présence du signe de Dieu.

C’est alors que le jeune frère de Balthazar, Artaban, les rejoignit et rompit le silence : – C’est le signe annoncé, c’est la promesse qui se réalise. Vite, il faut partir ! Balthazar, Gaspard et Melchior se préparèrent en toute hâte et, bientôt, une magnifique caravane de Magi b.chameaux, de dromadaires et de chevaux prit le chemin des montagnes et du désert d’Arabie. Les Rois Mages ne quittaient pas des yeux le signe qui les précédait et leur indiquait la route à suivre.

Chacun d’eux avait emporté pour le nouveau-né des cadeaux dignes d’un roi : Balthazar portait un coffret d’or fin, Gaspard un précieux vase d’encens et Melchior un riche flacon de myrrhe. Ils avaient déjà fait une demi-journée de marche lorsque le jeune Artaban s’aperçut que, dans sa précipitation, il avait oublié ses présents. – Continuez sans moi, dit-il, je retourne au palais et je vous rejoindrai plus tard, avec mes serviteurs.

Et c’est ainsi que Balthazar, Gaspard et Melchior suivirent l’étoile mystérieuse jusqu’au lieu où se trouvait le petit Roi du ciel. Les trois Mages se prosternèrent devant l’Enfant pour l’adorer et déposèrent à ses pieds l’or, l’encens et la myrrhe.

Pendant ce temps, Artaban avait pris beaucoup de retard. Lorsqu’il fut enfin prêt à partir avec deux compagnons, les premières lueurs de l’aube frémissaient à l’horizon. LevantMagi, Pinterest les yeux, Artaban ne vit plus le signe céleste mais, confiant, il se mit en route vers les montagnes escarpées. Quand le soleil parvint à son zénith, les voyageurs avaient déjà derrière eux plusieurs heures de route. C’est alors qu’ils aperçurent un homme allongé dans la poussière, un pèlerin épuisé par une longue marche, malade et fiévreux. – Je vais arriver en retard si je m’occupe de lui, pensa Artaban, mais je ne peux le laisser ainsi !

Avec l’aide de ses compagnons, il lui donna à boire, mit de l’huile sur ses plaies, versa de l’eau fraîche sur son front. Puis, installant le voyageur sur sa propre monture, il le transporta avec mille précautions jusqu’à la ville la plus proche et demanda à l’aubergiste de le soigner jusqu’à ce qu’il soit guéri. Pour le payer, il lui offrit un splendide saphir, que l’aubergiste reçut avec une joie non dissimulée.

Alors, Artaban se rendit compte qu’il venait de donner le premier des cadeaux destinés à l’Enfant-Sauveur… Un peu triste, il continua son chemin, qui lui parut long, beaucoup trop long. Ce n’est qu’après de nombreux jours de marche qu’il arriva à Bethléem, où devait naître le petit Roi du ciel. Hélas, Artaban arrivait trop tard ! Il apprit que les parents et l’Enfant venaient de fuir en Egypte pour protéger le petit de la colère du roi Hérode. Car, pour être sûr qu’aucun autre roi ne prendrait sa place, cet homme cruel avait décidé de faire assassiner tous les petits enfants de Bethléem qui avaient moins de deux ans. La ville était quadrillée par les soldats à cheval pendant que d’autres exécutaient leur horrible besogne.

Alors qu’il s’apprêtait à passer la porte de la ville, Artaban vit une jeune femme qui fuyait en pleurant, serrant son bébé dans ses bras. Un soldat à cheval la poursuivait, l’épée déjà tirée du fourreau. Alors Artaban s’interposa, prit la mère et l’enfant sous sa protection et demanda au soldat d’Hérode de les épargner, en échange d’un magnifique rubis. Le soldat n’en revenait pas, il allait être riche ! Après tout, il était mieux payé pour laisser ce bébé en vie que pour l’assassiner… Il accepta le marché et fit demi-tour. Le jeune Roi Mage resta quelque temps à Bethléem en compagnie de bergers qui gardaient leurs troupeaux dans les montagnes environnantes. Les bergers l’avaient accueilli avec beaucoup de joie et lui avaient montré l’étable où l’Enfant était venu au monde.

Puis Artaban se remit en route. Il décida de gagner l’Egypte pour tenter de trouver le Sauveur, afin de lui offrir le dernier présent qui lui restait, une perle d’Orient très rare. Mais les jours passaient, les semaines et les mois défilaient et Artaban errait toujours. Après avoir passé plusieurs années en Égypte, il reprit le chemin de la Palestine, pensant que peut-être le roi tant cherché était revenu dans son pays. Malheureusement, pour entreprendre ce nouveau voyage, il dut vendre sa perle précieuse.

Arrivé en terre de Palestine, voici qu’il entendit parler d’un grand prophète qui parcourait le pays et enseignait les foules. Certains l’appelaient « Maître », d’autres « Rabbi » ou encore « Seigneur ». Artaban voulait connaître cet homme. Il se rendit sur la montagne où se rassemblaient tous ceux qui écoutaient son enseignement. Dès qu’il le vit, Artaban sentit les larmes couler sur ses joues. Jamais encore, il n’avait entendu de telles paroles. Le Maître disait : – Celui qui aura tout quitté, maison, famille, richesses, pour me suivre, celui-là aura en récompense un trésor dans le ciel et la vie éternelle. Il disait aussi ; – Ce que vous aurez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’aurez fait !

La nuit qui suivit, Artaban fit un rêve qui le remplit de joie et d’espérance : il vit le Maître venir vers lui accompagné de Balthazar, de Gaspard et de Melchior, le premier portant un coffret d’or fin, le second un précieux vase d’encens et le troisième un riche flacon de myrrhe. Alors, s’approchant d’Artaban, il le remercia des présents qu’il avait voulu lui offrir le jour de sa naissance.

Et, en disant cela, il ouvrit ses mains et montra au quatrième Roi Mage un saphir d’un bleu très pur, un rubis d’un rouge éclatant et une perle d’Orient très rare…

Martine Bazin http://paroissesaintbenoit.free.fr/bibliotheque/File/Quatrieme_roi_mage.pd
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