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Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques.

Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte (résumé) & Image: Journée Mondiale

Message du Pape au G20 de Hambourg

 

Le Pape François a envoyé un message aux participants du G20 réunis à Hambourg. Dans son message, il fait appel à la communauté internationale pour «la situation tragique du Soudan du Sud, du bassin du lac Tchad, de la Corne de l’Afrique et du Yémen, où il y a 30 millions de personnes qui n’ont pas de nourriture et d’eau pour survivre. L’engagement pour venir de façon à la rencontre de ces situations et donner un soutien immédiat à ces populations sera un signe du sérieux et de la sincérité de l’engagement à moyen-terme pour réformer l’économie mondiale et une garantie de son développement efficace», précise le Saint-Père.

 Il ajoute: «Je prie Dieu pour que le sommet de Hambourg soit illuminé par l’exemple des leaders européens ou mondiaux qui ont toujours privilégié le dialogue et la recherche de solutions communes : Schuman, De Gasperi, Adenauer, Monnet et tant d’autres».

Source: Images: Clean Energy Wire,  baden-baden.de

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté – 1er juillet

A l’occasion de la journée mondiale du bandeau blanc, vendredi 1er juillet, la coalition « 2005 : plus d’excuses ! » vous invite à porter un bracelet blanc à votre poignet la semaine précédent le 1er juillet et le jour même, en signe de soutien à l’action mondiale contre la pauvreté. Le Secours Catholique et le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD) sont membres de l’opération.

Cette coalition mondiale a pour objectif d’interpeller les Etats, qui ont signé les Objectifs du Millénaire en 2000, pour qu’ils respectent leurs engagements et prennent dès maintenant des mesures concrètes pour réduire de moitié la pauvreté dans le monde d’ici 2015.

Le Secours Catholique / Caritas France est fortement engagé dans cette campagne. Il est une des 6 organisations du comité de pilotage, avec Agir Ici, le CCFD, le CRID, Coordination Sud et la CFDT. En France, ce sont plus de soixante organisations et syndicats réunis au sein de « 2005 : plus d’excuses ! » qui portent cette campagne.

Le bandeau blanc est le symbole de l’Action Mondiale contre la pauvreté qui regroupe des centaines d’organisations et de citoyens à travers le monde.

Un site à visiter : www.inxl6.org      Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de l’environnement – 5 juin

 

Cette journée a été promulguée par le PNUE, comprenez le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Elle est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l’environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et la survie de notre planète.

Le PNUE a établi une liste de points noirs sur lesquels un effort important doit être entrepris de toute urgence :
lutte contre la destruction de la couche d’ozone
lutte contre la déforestation
préservation de la qualité des réserves d’eau
lutte contre la désertification et la sécheresse

Le constat du PNUE est sévère car peu de ces objectifs ont été atteints et le cri d’alarme lancé à l’occasion de la conférence RIO + 20 paraît désespéré !

Economie verte, en faisons-nous partie ?
Le développement économique est souvent pointé du doigt par les instances internationales qui tentent de promouvoir un développement raisonné respectueux de la planète. Notre fameux développement durable…

Le décalage entre les pays dits développés et les pays en voie de développement est criant. Si les économies européennes prennent de plus en plus en compte ces problématiques dans leur développement, que dire d’une économie US encore très en retrait sur toutes ces questions et celle de certains pays du sud-est asiatique où ces recommandations sont surtout l’expression de l’égoïsme des pays riches.

Message d’espoir
Le message envoyée par Irina Bokova, la directrice générale de l’UNESCO, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement 2012, est riche de promesses : 
« Nous voulons un avenir où nous pourrons vivre dans un environnement sain en entretenant des liens solides avec la nature et des relations sociales riches et diversifiées. Pour cela, nous devons créer un environnement florissant. Nous devons créer des économies vertes ».     

Un site à visiter : www.unesco.org  Source: Texte: Journée Mondiale  Image: ONU

« L’esprit de collaboration qui habite les Canadiens est l’une des raisons qui font du Canada l’hôte tout désigné pour accueillir la Journée mondiale de l’environnement. Cette journée sera un volet important des célébrations du 150e du Canada. Le 5 juin 2017, nous allons réunir notre fierté de Canadiens pour notre environnement et notre détermination en vue de trouver des solutions aux défis des changements climatiques. Nous sommes heureux de présenter au monde les approches canadiennes qui nous permettront de créer un pays écologique et concurrentiel pour nos entreprises. »
– Catherine McKenna, ministre de l’Environnement et du Changement climatique

« La Journée mondiale de l’environnement est le jour où la planète entière célèbre notre amour commun et notre dépendance à l’égard de la nature. Cette journée nous incite à protéger notre environnement et à cultiver une grande appréciation de la nature. Étant donné les défis environnementaux majeurs que nous devons relever, nous avons plus que jamais besoin de leadership en environnement. Je suis heureux que le Canada, qui a fait preuve d’un engagement empathique à l’égard des questions environnementales, accueille la Journée mondiale de l’environnement en 2017. À titre de pays hôte, le Canada a l’occasion de montrer encore plus son engagement et d’élargir son leadership à l’échelle internationale. »
– Erik Solheim, directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement

Source: Texte: Communiqué de Presse, Gouvernement du Canada, 21 sept.2016

 

5è dimanche du Carême, année A

Des questions! La vie en est remplie, elles défilent sans arrêt au quotidien…

Où est-il? Quand viendra-t-elle?
Qui a fait cela? Pourquoi ne pas le dire?
Et la liste peut s’allonger indéfiniment…

Questions banales ou… lourdes de conséquence…
Dépendamment de ce sur quoi porte la question et…
De qui pose la question…  Et si c’est Dieu qui pose la question…

Oui, Dieu-l’un-de-nous qui demande : « Crois-tu? »
Il ne dit pas : « Connais-tu le credo? »
Il ne demande pas: « Acceptes-tu les dogmes? »
Il ne s’enquiert pas si j’adhère à la foi traditionnelle – non, rien de cela.

Il dit simplement :
« Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais.
Crois-tu cela ? »

 C’est la question qu’il pose à Marthe dans l’évangile de ce 5è dimanche du Carême (année A, Jn.11 :1-45).

Elle et sa sœur, Marie, pleurent le décès de leur frère, Lazare, l’ami de Jésus.
Oui, c’était connu, Lazare était l’ami de Jésus mais lui, Jésus, n’est pas venu à temps.
Il est là maintenant et il pose cette question, une question qui va au cœur de la réalité humaine –
C’est vraiment une question de vie et… de mort.
Et plus encore !…

Je suis consciente que la question s’adresse à moi également.
J’ai souvent prononcé – plus ou moins consciemment : « Je crois à la résurrection des morts… »
Mais est-ce que je crois – VRAIMENT – en LUI ?

Lui qui dit à Marthe :
« Moi, je suis la résurrection et la vie,
Celui qui croit en moi ne mourra jamais. »
 
Et croire en Lui… ça veut dire quoi ?
Ça engage à quoi ?
Et… ça donne quoi ?… La vie pour toujours !
Vraiment ?…

Il faut risquer… le croire… pour le savoir…


On peut aussi voir la vidéo sur ce thème à: http://image-i-nations.com/marthe-de-bethanie-pleure-mort-de-frere/

Source: Image: Fr. Ed Brown OMV

Journée mondiale de l’aide humanitaire – 19 août

aide-humanitaireDans de nombreuses régions du globe, les humanitaires travaillent, parfois au péril de leur vie, souvent dans l’anonymat le plus total. Même s’ils accomplissent un travail de fourmi, leurs interventions sont indispensables et permettent souvent à des populations de retrouver un minimum de dignité.

L’ONU a promulgué le 19 août, Journée Mondiale de l’aide humanitaire en espérant sensibiliser l’opinion publique à l’assistance humanitaire et à la nécessité de soutenir ces actions partout dans le monde. Un don même minime peut représenter beaucoup s’il est bien utilisé sur le terrain.

« Les travailleurs humanitaires sont ceux que nous dépêchons sur place pour montrer notre solidarité avec ceux qui souffrent. Ils représentent ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine mais leur travail est dangereux… »     M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, Journée mondiale de l’aide humanitaire 2010

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte: Journée Mondiale; Image: photo © ONU

L’aide humanitaire est basé sur un certain nombre de principes fondateurs, y compris l’humanité, impartialité, la neutralité et l’indépendance. Les travailleurs humanitaires visent à fournir une assistance vitale et aider les communautés touchées par la catastrophe à récupérer, indépendamment  du lieu géographique et sans discrimination fondée sur la nationalité, le groupe social, la religion, le sexe, la race et/ou tout autre facteur. Contrairement à ce que beaucoup pourraient croire, la plupart des travailleurs humanitaires viennent du pays dans lequel ils travaillent. En générale, les gens touchés par des crises humanitaires sont souvent les premiers à aider leurs propres communautés après une catastrophe.

Fournir des secours dans les situations d’urgence, qui peuvent aller de catastrophes naturelles à celles crées par les hommes, est souvent dangereux pour les travailleurs humanitaire. Le Aid Worker Security Database fournit des informations sur le nombre d’attaques perpétrer contre des travailleurs humanitaires entre les années 2003 et 2013. Le nombre d’incidents a augmenté de 63 à 238 et le nombre total de travailleurs humanitaires soit tués, soit blessés ou enlevés est passé de 143 à 442.

En 2013, les Nation Unis et ses partenaires humanitaires se sont rejoints par les personnalités célèbres comme Beyoncé et de grandes marques telles que Gucci, Barclays Bank, Western Union et Intel pour lancer une campagne qui vise à transformer les paroles des gens en véritable engagement de soutien pour les communautés touchées par les crises humanitaires.

Source: Texte: Coalition humanitaire