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Journée Internationale des Populations autochtones – 9 août

En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire du 9 août la Journée internationale des populations autochtones (résolution 49/214), chaque année pendant la Décennie internationale des populations autochtones. Cette date marque le jour de la première réunion du Groupe de travail sur les populations autochtones de la Sous-Commission de la promotion et de la protection des droits de l’homme en 1982.

Le but de cette Décennie est de renforcer la coopération internationale pour résoudre les problèmes rencontrés par les populations autochtones dans des domaines tels que les droits de l’homme, l’environnement, le développement, l’éducation et la santé. Le coordonnateur de la Décennie est le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

En avril 2000, la Commission des droits de l’homme a adopté une résolution sur l’établissement de l’Instance permanente sur les questions autochtones qui a été approuvée par le Conseil économique et social le 28 juillet 2000. (E/RES/2000/22). L’Instance permanente devra fournir des conseils sur les questions touchant au développement social et économique, aux droits de l’homme, à l’éducation, à la santé et à l’environnement.

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de l’enfant Africain – 16 juin

La Journée de l’enfant africain commémore la marche de 1976 à Soweto, en Afrique du Sud, lorsque des milliers d’élèves africains sont descendus dans la rue pour protester contre la mauvaise qualité de leur éducation et exiger que soit respecté leur droit à recevoir un enseignement dans leur propre langue. Des centaines de jeunes garçons et filles ont été abattus et pendant les quinze jours de manifestation qui ont suivi, plus d’une centaine de personnes ont été tuées et plus d’un millier blessées.

En l’honneur de ceux et celles qui ont été tués et pour rappeler le courage de tous les manifestants, la Journée de l’enfant africain est célébrée le 16 juin de chaque année depuis 1991, année de sa création par l’Organisation de l’unité africaine. Elle attire aussi l’attention sur la vie des jeunes Africains d’aujourd’hui.

En investissant de façon stratégique dans la survie et le bien-être des enfants, même des pays qui disposent de ressources limitées, comme le Malawi par exemple, ont réussi à réduire considérablement leur taux de mortalité infantile.  

Au cours des dernières années, les taux de scolarisation en Afrique subsaharienne ont augmenté bien plus rapidement que dans les années 1990, certains pays comme le Bénin, l’Éthiopie, le Mozambique et la République-unie de Tanzanie enregistrant de rapides progrès. De surcroît, les disparités entre garçons et filles sont en train de se réduire à l’école primaire.

Source : Texte : https://www.unicef.fr  Image: noorinfo.com

Journée Mondiale des océans – 8 juin

La Journée des océans, célébrée le 8 juin, vise à nous rappeler le rôle des océans comme source de vie partout dans le monde. Il s’agit d’une célébration internationale proclamée il y a dix ans à l’occasion du Sommet de la Terre et des Nations Unies tenu à Rio de Janeiro.

Après des débuts timides, cet événement a aujourd’hui une grande ampleur dans le domaine de la sensibilisation à la santé des océans et celui d’une meilleure gestion de l’Océan et de ses ressources.

Un évènement international
Simultanément sur les 5 continents, les Aquariums, Centres de Sciences, Musées, Associations et Institutions d’éducation à l’environnement marin du RESEAU OCEAN MONDIAL proposent à leur public des festivités pleines d’animations ludiques et d’actions concrètes, les petits et grands. Ateliers artistiques et pédagogiques, conférences, nettoyage de plages/de ports, films, contes et concours sont organisés simultanément sur l’ensemble de la semaine ou du week-end autour du 8 juin. Des opérations sont prévues sur les cinq continents, aussi bien en France qu’en Mauritanie, Italie, Etats-Unis Australie ou Danemark.

Ce que nous faisons au sein de notre communauté peut avoir des effets positifs ou négatifs sur nos océans. L’eau passe de nos océans à l’atmosphère puis aux terres avant de retourner dans les océans. Les ressources en eau sont limitées et nous ne disposons que des quantités existantes sur Terre. La protection de nos océans commence par celle de nos bassins hydrographiques, et nous comptons sur vous pour l’assurer !

Quatre objectifs principaux
L’adoption d’une nouvelle perspective en encourageant les individus à réfléchir à ce que l’eau signifie pour eux et aux raisons de lui attacher une grande valeur;

La sensibilisation un grand nombre de gens ne réalisent pas la profusion de créatures vivantes et d’habitats dont la beauté n’a d’égale que la diversité, que renferment nos rivières et nos océans, ni l’impact de nos actions sur ces ressources;

Le changement de nos habitudes les citoyens doivent être encouragés à devenir les gardiens de nos eaux afin de les préserver pour les générations futures;

La célébration, que vous habitiez à l’intérieur des terres ou sur la côte, vous pouvez organiser des événements sur le thème de l’eau ou y participer.

Les océans en quelques chiffres
Plus de 90% des 10 espèces de poissons les plus pêchés sont en voie de disparition et près de 50% des autres espèces commerciales sont menacées par l’industrie de la pêche, par ailleurs 80% de la pollution des océans provient des terres.

Par ailleurs, une pétition a été mise en place conjointement avec THE OCEAN PROJECT pour faire du 8 juin la Journée Mondiale de l’Océan officiellement reconnue par l’ONU. Proposée au Sommet de la Terre de Rio en 1992 par le Canada, la Journée Mondiale de l’Océan a, jusqu’à présent, était peu suivie. Or l’Océan recouvre plus des deux tiers de la Terre. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des climats, la qualité de l’air et de l’eau.

Un site à visiter : www.worldoceannetwork.org   Images : nationofchange.org  www.cybelle-planete.org

Nettoyons nos océans
En 2018, la Journée mondiale de l’océan sera centrée autour du thème: « océans propres », et portera sur des initiatives qui visent à prévenir la pollution par le plastique.

Source: Texte: www.un.org

Journée mondiale pour le vélo – 3 juin

Il y a tant de journées mondiales contre quelque chose que nous sommes très heureux de relayer la création en 2018 de la journée mondiale POUR le vélo. Ce n’est pas une blague, cette journée a été décrétée par L’ONU le 23 avril 2018. C’est la date du 3 juin qui a été retenue pour fêter dignement cet événement.

Par cet acte, l’organisation reconnaît la contribution du vélo aux 17 objectifs fixés par l’ONU en matière de développement durable, « un développement apte à promouvoir la prospérité et les opportunités économiques, un plus grand bien-être social et la protection de l’environnement« .
 
Circulez, y’a le monde à voir…
La déclaration de l’ONU constitue en quelques mots un excellent plaidoyer pour l’utilisation du vélo : « un moyen de transport simple, accessible, fiable, propre, durable et respectueux de l’environnement qui favorise la bonne gestion de l’environnement et entretient la santé« . L’organisation salue également dans le vélo un mode de transport qui « encourage la créativité et la participation sociale et donne à l’utilisateur une conscience immédiate de son environnement« , ainsi qu’un « moyen d’accès à l’éducation, à la médecine et au sport« 

Enfourchez votre petite reine*
Assez de discours sur les mérites de la bicyclette, allez-y, enfourchez votre vélo et partez sur les routes…

*au fait, savez-vous d’où vient l’expression « petite reine » si souvent employée pour désigner le vélo ? C’est à grâce à Wilhelmine, Reine des Pays-Bas en 1890, qui avait pris l’habitude de circuler à vélo dans son royaume… Lors de sa visite en France en 1898, la presse française saluait alors la « Petite Reine à bicyclette ».

Un site à visiter : www.weelz.fr Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de la biodiversité – 22 mai

Alors que plus personne aujourd’hui ne songe à remettre en cause l’importance de la diversité biologique pour le présent et pour les générations futures, certaines activités humaines continuent pourtant à réduire le nombre  d’espèces vivantes : agriculture intensive et épandages massifs de produits phytosanitaires, pêche intensive et élevage industriel, chasse d’éspèces protégées, déforestation, etc…

S’engager pour défendre la biodiversité
Entrée en vigueur en 1993, la Convention sur la diversité biologique (CBD) a été ratifiée jusqu’à présent par 196 états. Cette convention internationale vise à défendre la diversité biologique, l’utilisation durable des ressources naturelles et la protection des ressources génétiques. Nous serions incomplets si nous omettions l’absolue nécessité d’un partage juste et équitable des avantages permis par le maintien de la biodiversité.

Étant donné l’importance de l’éducation du public et de la sensibilisation à la mise en œuvre de la Convention à tous les niveaux, l’Assemblée générale des Nations Unies a choisi la date du 22 mai, anniversaire de l’adoption de la convention, comme Journée internationale de la diversité biologique. [résolution 55/201 du 20 décembre 2000].

25 ans d’engagement autour de la diversité biologique
L’année 2018 marque le 25ème anniversaire de l’entrée en vigueur de la Convention sur la diversité biologique. Appliquée par un certain nombre d’états signataires, elle a également été mise à mal par nombre d’autres semblent-ils peu préoccupés par toutes ces questions ou soucieux d’abord de leur développement économique unilatéral. Autant dire que la mobilisation de tous est plus que jamais nécessaire…

Combien d’espèces connaît-on aujourd’hui dans le Monde ?
La biodiversité englobe l’ensemble des espèces animales et végétales vivantes sur terre (et dans les mers). La biosphère abriterait entre 5 et 30 millions d’espèces (estimation).

Environ 1,7 million d’espèces animales sont répertoriées, et chaque année de nouvelles espèces sont répertoriées. Malheureusement, de nombreuses espèces disparaissent également, souvent à cause des actions irresponsables de la société humaine.

Un site à visiter : www.unenvironment.org Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Internationale de l’infirmière – 12 mai

La Journée internationale de l’infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l’art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d’infirmiers et d’infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

Qui est Florence Nightingale ?
Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l’infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l’importance d’une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu’ « une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d’études, d’enseignement, d’entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients.

“En plus de compétences très pointues, altruisme, compassion sont les qualités humaines requises pour ce métier„  (Le Magfemmes)

Un site à visiter : www.infirmiers.com      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Vendredi-Saint, année B

Par hasard, on rencontre une personne…
Par hasard, on retrouve un objet disparu depuis longtemps…
Par hasard, on entend à la radio une mélodie oubliée…

Par hasard, j’ai reçu un texte qui m’a immédiatement amenée à aujourd’hui, ce jour du Vendredi-Saint.
Je vous le partage, sans réflexion ou commentaire personnel.
Seule une question surgira naturellement…
Puisse ce texte vous être une inspiration, comme il l’a été pour moi.

SAUVÉE

Une petite orpheline vivait avec sa grand-mère et dormait à l’étage. Une nuit, la maison prit feu et la grand-mère mourut en essayant de sauver sa petite-fille. L’incendie se propagea rapidement et le rez-de-chaussée fut vite envahi par les flammes.

Des voisin appelèrent les pompiers, puis attendirent sans pouvoir aider, incapables d’entrer dans la maison à cause des flammes qui bloquaient toutes les entrées. Juste au moment où la rumeur circulait que les pompiers arriveraient avec quelques minutes de retard, parce qu’ils étaient tous occupés à éteindre un autre incendie, la petite fille apparut à une des fenêtres de l’étage, pleurant et criant à l’aide.

Soudain un homme apparut avec une échelle et disparut à l’intérieur. Lorsqu’il réapparut, il tenait dans ses bras la petite fille. Il la remit aux gens qui attendaient en bas de l’échelle et disparut dans la nuit. L’enquête qui fut menée révéla que l’enfant n’avait aucun parent vivant. Quelques semaines plus tard, les autorités municipales tinrent séance pour déterminer qui prendrait charge de l’enfant pour l’élever.

Une enseignante proposa de prendre la petite fille chez elle en disant qu’elle pourrait lui donner une bonne éducation. Puis un fermier offrit d’élever l’enfant sur sa ferme. Il affirma que la vie de ferme était saine et bonne. D’autres encore se proposèrent en expliquant ce qu’ils avaient à offrir à la petite fille.

Finalement, l’homme le plus riche de la ville se leva et dit : « Je peux donner à cette enfant tout ce que vous venez de mentionner, plus de l’argent et tout ce que cet argent peut acheter. »

Durant toute cette discussion la petite fille était demeurée silencieuse, les yeux baissés.

« Y-a-t-il quelqu’un d’autre qui veut prendre la parole », demanda le président de la séance. Du fond de la salle un homme s’approcha. Il marchait lentement et paraissait souffrir. Lorsqu’il arriva en avant, il s’arrêta devant la petite fille et tendit les bras. La foule fut stupéfaite. Ses bras et se mains portaient de terribles cicatrices.

L’enfant s’écria alors : « C’est l’homme qui m’a sauvée! » Spontanément elle sauta dans ses bras, le tenant comme elle l’avait tenu la nuit de l’incendie, comme pour s’accrocher à la vie. Elle enfouit son visage dans le cou de l’homme et sanglota un moment. Puis elle le regarda et lui sourit.

« La séance est levée », annonça le président.  

 

La petit fille reconnut celui qui l’avait sauvée et… elle s’en est remise à lui.
Et nous?…

 

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/good-friday-year-b/

Source : Texte : tiré de Leadership… with a human touch, dans Concentré de Bouillon de Poulet pour l’Âme, Jack Canfield, Mark Victor Hansen, Patty Hensen, p.95-97      Images: freeimages.com   pierrelacroix.com

 

Journée Mondiale du Scoutisme – 22 février

En 2007, la journée mondiale du scoutisme a coïncidé avec le centenaire du scoutisme… une occasion de jeter un oeil neuf sur les « boy scouts » et leur fondateur Lord Robert Baden-Powell…

Un peu d’histoire…
Le fondateur, B.P., convaincu que l’on pouvait apporter énormement à des jeunes en leur proposant de devenir « acteurs » de leur propre éducation, a jeté les bases du scoutisme lors d’un premier camp devenu célèbre dans l’île de Brownsea… faire vivre des jeunes en autonomie, avec un jeune à leur tête, les amener à se prendre en charge dans le respect d’un code commun, la « loi scoute »…

De ce premier camp réunissant au maximum une dizaine de personnes sont nés en quelques années de très nombreux mouvements scouts dans tous les pays (sauf totalitaires…) représentant au niveau mondial plusieurs centaines de milliers de scouts, guides, éclaireurs, louveteaux, etc…

Le scoutisme aujourd’hui
Même si les effectifs ne sont plus ceux de l’immédiat après seconde guerre mondiale, le scoutisme fait toujours vibrer de nombreux jeunes, que ce soit en France, dans toute l’Europe ou dans le reste du monde… Des rassemblements internationaux sont organisés périodiquement (jamborée, eurojam) et chaque été de très nombreux camps s’installent dans les campagnes, généralement en dehors des sentiers battus !

Source : Texte & Image : journee-mondiale.com  

 

World Radio Day – 13 February

February 13 is World Radio Day, which celebrates the radio as a way of educating people, providing information, and promoting freedom of expression across cultures.

Despite being over 100 years old, the radio is one of the most popular ways to exchange information, provide social interchange, and educate people all over the world. It has been used to help people, including youth, to engage in discussions on topics that affect them. It can save lives during natural or human-made disasters, and it gives journalists a platform to report facts and tell their stories. The first World Radio Day was officially celebrated in 2012.

Source: Text: timeanddate.com Image: ebu.ch

 

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

« Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement », a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source : Texte & Image : Journée Mondiale