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Journée Mondiale des Zones Humides – 2 février 2023

Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne.
Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier. Ce traité intergouvernemental sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

Disparition de 50% des zones humides en 50 ans

Définies comme des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d’eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires […], les zones humides couvrent dans le monde entre 748 et 778 millions d’hectares. Au cours des cinquante dernières années, le drainage, la pollution, l’irrigation, les guerres et le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones humides.

Il est urgent de restaurer les zones humides !

Chaque année, le secrétariat de la convention de Ramsar, propose un thème fédérateur en lien avec l’actualité internationale. En 2023 le thème retenu insiste sur l’urgence à restaurer les zones humides : l’heure n’est plus seulement à la prévention et à la sensibilisation, mais bien à la réparation. N’attendons pas qu’il soit trop tard !

La diversité culturelle et biologique des zones humides constitue une richesse naturelle dont dépend notre bien-être physique et psychologique. Le patrimoine culturel de nos zones humides est le résultat d’une symbiose qui remonte à la nuit des temps entre les populations et les zones humides, une association qui a enrichi les générations passées et qui, avec votre aide, en fera autant pour les générations futures. Cette association s’est développée en raison de l’utilité des zones humides – en bref, la diversité de la vie végétale et animale des zones humides a assuré la subsistance des populations et leur a procuré de nombreux autres avantages.

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte: Journée mondiale      Image: Unsplash

Journée mondiale du rhinocéros – 22 septembre

Les défenseurs des animaux organisent plusieurs journées chaque année pour défendre les animaux en général (le 4 octobre) et certaines éspèces particulièrement menacées (notamment le tigre chaque 19 juillet). C’est aujourd’hui le rhinocéros qui nous occupe et il est vrai que la situation de l’espèce n’est pas brillante.

De multiples convoitises

Le rhinocéros est principalement convoité pour la corne qu’il porte sur le « nez ». On lui prête (à tort) des vertus aphrodisiaques dans plusieurs cultures, ce qui fait qu’il est traqué à outrance par les braconniers.

La chasse au rhinocéros est interdite dans de nombreux pays mais il subsiste quelques zones où elle semble toujours tolérée. Et pourtant…

Une situation alarmante

L’éspèce est menacée partout dans le monde et une réction rapide et ferme des pays concernés doit absolument avoir lieu pour stopper la disparition du rhinocéros.

Il ne reste plus aujourd’hui que 4 rhinocéros blanc du nord vivants sur le planète.

Un site à visiter : www.wwf.fr   Source: Texte: Journée Mondiale   Image: unsplash.com

Fête de l’Ascension, année A – 2020

Nous vivons une période inédite en ce temps de pandémie.
Tous et toutes, nous savons ce qu’elle signifie et ce qu’elle exige de nous.

Quelque temps après le début de ces jours de confinement et de distanciation,
j’ai reçu un courriel d’une personne qui disait:
‘Le bon vieux dicton: “Loin des yeux, loin du coeur”, je l’ai changé pour:
“Loin des yeux, PRÈS du coeur”.

Ces paroles me sont revenues à l’esprit en lisant les textes de cette fête de l’Ascension. (Acts 1:1-11) (Mt.28:16-20)
Pendant trois ans, les apôtres avaient partagé le quotidien de Jésus, leur Maître.
Ils l’avaient vu assoiffé, fatigué, angoissé.
Ils avaient observé ses habitudes et ses manières de faire –

sa façon de marcher, de parler, et même de prier.

Lui, l’homme de Nazareth, avait parcouru avec eux les chemins de Palestine,
et on devine qu’ensemble ils discutaient de sujets divers en Araméen.
Les coutumes juives lui étaient bien connues et les Écritures de son peuple lui étaient familières.

Et voila que tout change soudainement!
Jésus quitte les apôtres – c’est du moins ce qui apparaît à leurs yeux et aux nôtres.
Il s’agit d’une disparition… ou est-ce une transformation?
La transformation d’un mode de présence…

C’est une transformation qui exige… un apprentissage pour en conprendre la signification.
Alors qu’il apparaissait aux gens après sa résurrection, le Jésus de Galilée n’est plus reconnaissable.
Un moment il est là au milieu du groupe et, soudain, il a disparu.
Il se manifeste à certains d’entre eux, puis c’est l’absence de nouveau.

Loin des yeux, mais PLUS PRÈS d’eux…
Sa présence est devenue intangible mais non moins réelle.
Invisible il demeure d’une proximité éternelle.

Il les assure:
Moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde.

Des siècles plus tôt, Dieu avait promis à l’un de ses messagers:
“Prends courage. Ne t’effaie point, ne t’épouvante point,
car l’Éternel ton Dieu est avec toi dans tout ce que tu entreprendras.” (Jos.1:9) 

Jésus de Nazareth, devenu le Christ ressuscité, réalise cette promesse… jusqu’à la fin des temps.
Le reconnaître demande un apprentissage,
un apprentissage de FOI qui doit être le nôtre aussi… au fil du temps…

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-ascension-year-a-2020/

 

Source: Image: Lincoln Cathedral

Journée mondiale des espèces menacées – 11 mai

D’après une étude de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN), ce sont plus de 20 000 espèces de plantes et animaux qui sont en danger de disparition imminente chaque année. La journée internationale a pour but de sensibiliser le monde scientifique et le grand public à ce constat inquiétant.

Au niveau européen, l’IUCN souligne que 7,5 % des espèces marines sont menacées et ont atteindrait 40 % pour la catégorie des requins et des raies. La France a elle seule figure parmi les 10 pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Ce ne sont pas moins de mille espèces menacées au niveau mondial qui sont présentes sur le territoire national (métropole et outre-mer confondus).

Liste rouge
La Liste rouge de l’UICN est l’indicateur par excellence qui permet de suivre l’état (et l’évolution) de la biodiversité dans le monde. Avec cet état des lieux, on sait aujourd’hui qu’une espèce de mammifères sur quatre, un oiseau sur huit et un amphibien sur trois sont menacés. Coté végétal, ce n’est guère plus brillant si on songe qu’une espèce de conifères sur trois est menacée de disparition.

Modifier nos comportements
La nature a été confiée à l’homme non pas pour qu’il la détruise mais pour pour qu’il l’apprivoise (La Bible: Gn.1:26) et ce sont souvent les comportements humains qui sont à la source de toutes ces catastrophes (déchets plastiques dans la mer, émissions polluantes danas l’atmosphère, etc…).

Faudra-t-il atteindre le point de non retour pour que l’homme accepte enfin de modifier ses habitudes de vie et de consommation ?

Note de l’éditrice: Un rapport publié en mai 2019 par les Nations Unies affirmait qu’un million d’espèces sont sur le point de disparaître!...
On nous dit clairement qu’une telle extinction aurait des conséquences alarmantes pour la survie du genre humain…

Un site à visiter: www.uicn.fr  Source: Texte: Journée Mondiale     Image: Daily Advent