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International Day of Peace – 21 September 2022

2022 Theme: End racism. Build peace.

Each year the International Day of Peace is observed around the world on 21 September. The UN General Assembly has declared this as a day devoted to strengthening the ideals of peace, through observing 24 hours of non-violence and cease-fire.

But achieving true peace entails much more than laying down arms.  It requires the building of societies where all members feel that they can flourish. It involves creating a world in which people are treated equally, regardless of their race.

As Secretary-General António Guterres has said:

“Racism continues to poison institutions, social structures, and everyday life in every society. It continues to be a driver of persistent inequality. And it continues to deny people their fundamental human rights. It destabilizes societies, undermines democracies, erodes the legitimacy of governments, and… the linkages between racism and gender inequality are unmistakable.”

As conflicts continue to erupt across the globe, causing people to flee, we have seen race-based discrimination at borders. As COVID-19 keeps attacking our communities, we have seen how certain racial groups have been hit much harder than others. As economies suffer, we have seen hate speech and violence directed at racial minorities.

We all have a role to play in fostering peace. And tackling racism is a crucial way to contribute.

We can work to dismantle the structures that entrench racism in our midst. We can support movements for equality and human rights everywhere. We can speak out against hate speech – both offline and online. We can promote anti-racism through education and reparatory justice.

The 2022 theme for the International Day of Peace is “End racism. Build peace.” We invite you to join the efforts of the United Nations as we work towards a world free of racism and racial discrimination. A world where compassion and empathy overcome suspicion and hatred. A world that we can truly be proud of.

 

Source: Text: UN   Image: unmiss.unmissions.org

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2021-2030

Les cancers pédiatriques font de longue date partie intégrante des plans gouvernementeaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, 2500 nouveaux cas dénombrés chaque année

Le cancer chez l’enfant est une maladie rare qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. On dénombre près de 2 500 nouveaux cas chaque année en France. Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant.

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de guérison de 80%. Les efforts se poursuivent.

Une loi pour le droit à l’oubli

Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net    Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Fondation Bomoko

Le pape François visite l’Irak

Pendant ce voyage historique entre la plaine d’Ur, le Kurdistan irakien et la plaine de Ninive, le souverain pontife cherchera à « renforcer la fraternité » et à encourager « la construction d’un avenir de paix ».

Afin de ne pas être contaminé par le découragement, « le Seigneur nous a donné un vaccin efficace » : l’espérance, a déclaré le pape François aux évêques, prêtres, religieuses et séminaristes à la cathédrale de Notre-Dame-du-Salut de Bagdad le 5 mars 2021.

« Je viens comme un pèlerin de paix, au nom du Christ, Prince de la paix», déclare le pontife argentin.

C’est la première fois qu’un successeur de Pierre se rend en Irak. L’enjeu de ce voyage est d’abord de venir consoler une communauté chrétienne exsangue après deux décennies marquées par la peur, la violence et l’humiliation. Les violences, les discriminations et la conjoncture économique ont conduit des centaines de milliers d’Irakiens à quitter leur pays.

 

Source: Texte (abrégé): La rédaction d’Aleteia Images: economictimes.indiatimes.com   The Northwest Arkansas Democratic-Gazette

 

Journée internationale des femmes – 8 mars 2020

La Journée internationale des femmes a lieu le 8 mars de chaque année. La FFQ (Fédération des Femmes du Québec) profite de cette journée pour célébrer le chemin parcouru par les femmes pour l’atteinte de l’égalité.

Le 8 mars est une journée de fierté pour les femmes, mais elle est aussi une occasion pour souligner la pertinence des luttes féministes, ici comme ailleurs. Alors que les femmes ont fait de nombreux gains, les discriminations et les violences que subissent les femmes sont toujours très présentes dans nos sociétés.

Le 8 mars est un moment pour faire entendre des voix féministes sur les enjeux sociaux, politiques, économiques et culturels.

Le Collectif 8 mars, composé de la FFQ et des instances en condition féminines de toutes les centrales syndicales et syndicats, travaille conjointement à promouvoir cette journée au Québec.

 

Source: Texte & Image: FFQ (Fédération des Femmes du Québec

Journée internationale contre l’homophobie – 17 mai

Selon une opinion largement répandue dans les pays occidentaux, l’homosexualité serait aujourd’hui plus libre que jamais : partout présente et visible, dans la rue, dans les journaux, à la télévision, au cinéma, elle serait même tout à fait acceptée.

Pour l’observateur un peu plus attentif, la situation est globalement bien différente : et à vrai dire, le XXème siècle a sans doute été une des périodes les plus violemment homophobes de l’Histoire : déportation dans les camps de concentration sous le régime nazi, goulag en Union soviétique, chantages et persécutions aux Etats-Unis à l’époque de McCarthy… Evidemment, tout cela peut sembler loin. Mais bien souvent, les conditions d’existence dans le monde d’aujourd’hui restent très défavorables.

L’homosexualité est souvent discriminée
Dans 72 états au moins, les actes homosexuels sont condamnés par la loi (Algérie, Sénégal, Cameroun, Ethiopie, Liban, Jordanie, Arménie, Koweït, Porto Rico, Nicaragua, Bosnie…); dans plusieurs pays, cette condamnation peut aller au-delà de dix ans (Nigeria, Libye, Syrie, Inde, Malaisie, Cuba, Jamaïque…); parfois, la loi prévoit la détention à perpétuité (Guyana, Ouganda). Et dans une dizaine de nations, la peine de mort peut être effectivement appliquée (Afghanistan, Iran, Arabie Saoudite…).

En Afrique, récemment, plusieurs présidents de la république ont brutalement réaffirmé leur volonté de lutter personnellement contre ce fléau selon eux « anti-africain « . Dans d’autres pays, les persécutions se multiplient. Au Brésil par exemple, les Escadrons de la mort et les skin heads sèment la terreur : 1960 meurtres homophobes ont pu être recensés officiellement entre 1980 et 2000. Dans ces conditions, il paraît difficile de penser que la « tolérance » gagne du terrain. Au contraire, dans la plupart de ces Etats, l’homophobie semble aujourd’hui plus violente qu’hier. La tendance n’est donc pas à l’amélioration générale, tant s’en faut.

Une journée pour la réflexion et l’action
La Journée Mondiale de Lutte Contre l’Homophobie et la transphobie a pour but d’articuler action et réflexion afin de lutter contre toutes les violences physiques, morales ou symboliques liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre.

Elle entend susciter, soutenir et coordonner toutes initiatives contribuant à l’égalité entre les citoyens en la matière, et cela dans tous les pays où cette démarche est possible.

Un site à visiter : www.homophobie.org   Source: Texte (résumé) & Image: Journée mondiale

 

World Day of the African Child – 16 June

Conflict, poverty and gender bias create toxic environments for children

This year the focus is to ‘Leave No Child Behind for Africa’s Development,’ a theme inspired around the 2030 Agenda for Sustainable Development, including, the Sustainable Development Goals (SDGs). The SDGs put emphasis on targeting those left furthest behind first. Children account for half of Africa’s population, so they must be prioritised, empowered and given a say, if development is to benefit all.

A new report launched by Save the Children on June 1st 2018, The Many Faces of Exclusion, reveals how poverty, conflict and discrimination against girls are putting more than 1.2 billion children – over half of children worldwide – at risk for an early end to their childhood. In East and Southern Africa, (120 million) are at high or extremely high risk of missing out on childhood. Childhood should be a time to play, learn and grow.

Save the Children’s report includes a ranking of 175 countries where childhood is most and least threatened as a result of poor health, malnutrition, exclusion from education, child labour, child marriage, early pregnancy and extreme violence. African countries comprise 19 (10 from Sub-Saharan Africa) out of the bottom 20 in the global index.

It is imperative that African governments and other stakeholders put concerted efforts to improve childhoods for Children as the current state of affairs is appalling. In this region the report found out:

13% of children in Somalia do not live to see their 5th birthday. This is the highest rate in the world.

South Sudan is 5th-worst performing country meaning most children are missing out on childhood. It has the highest rate of children out of school in the world (67%) and the second highest rate of displacement globally (31% forcibly displaced). South Sudan is also in the top five for child marriage at 40%.

In East and Southern Africa, one-fifth of girls aged 15 to 19 are currently married or in union.

One third of children in East and Southern Africa (34.4%) are moderately or severely stunted. In fact, the region claims three of the top 5 countries with the highest stunting rates in the world: Madagascar, Eritrea and Burundi, where about half or more of all children under age 5 are stunted.

Harmful child labour rates increased from 21% to 22%.

David Wright, Save the Children’s Regional Director, said that while progress is being made in many parts of the world—including in East and Southern Africa—it is not happening quickly enough.

“More than half the world’s children are being left behind because they are a girl, because they are poor or because they are growing up in a war-zone. Early marriage, child labour and malnutrition are just some of the life-changing events that can rob children of their childhood. Without urgent action, we’ll never meet the promises made three years ago by every country at the UN in 2015 to ensure that by 2030 every child survives, learns and is protected. Children account for half of Africa’s population, so must be a priority.”

Source : Text : https:reliefweb.int Image : gazettadelsud.it

 

International Albinism Awareness Day – 13 June

June 13 is International Albinism Awareness Day. It is a UN effort to stop the brutalities against people with albinism.

Genetic Condition
Albinism is a genetic condition resulting in little or no pigmentation in the skin, hair, and eyes. In several cultures around the world, and particularly in many African countries, people with albinism live in constant fear of murder. Others experience severe discrimination and bullying.

Murders and Mutilations
Hundreds of albinos have been brutally murdered and mutilated in African countries in the past decades. Local superstitions claim their body parts can bring luck and prosperity. Another widespread rumor is that albinos are evil spirits.

The country with the highest percentage of albinos is believed to be Tanzania. In 2013, an independent documentary called “In the Shadow of the Sun” was released. The film by director Harry Freeland tells the story of Josephat Torner from Tanzania, who has albinism. Together, they spent years traveling around Tanzania to spread information about the widely misunderstood disorder.

The documentary, along with several other films, have been powerful tools in the fight against persecution of people with albinism, which is sometimes abbreviated PWA.

The Right to Dignity
International Albinism Awareness Day was adopted by the UN General Assembly on December 18, 2014. The resolution “encourages UN Member States to continue their efforts to protect and preserve the rights of persons with albinism to life, dignity and security, as well as their right not to be subject to torture and cruel, inhuman or degrading treatment or punishment, and to continue their efforts to ensure equal access for persons with albinism to employment, education, justice and the enjoyment of the highest attainable standard of health.”

Source: Text: timeanddate.com Image: www.albinism.org

 

 

Journée internationale des Roms – 8 avril

Les Roms (parfois écrit Rroms, également désignés en français sous les noms de Tziganes, Gitans, Bohémiens, Manouches ou Romanichels selon les pays d’où ils sont supposés venir notamment, par les appellations d’origine scientifique Kalés ou Sintis, ou encore gens du voyage par confusion ou vision fantasmée, l’immense majorité étant sédentaire) forment un ensemble de populations établies dans divers pays du monde et se considérant comme formant un seul peuple, en raison de leur origine et de leur culture communes.

Source: Text : Wikipedia

C’est le 8 avril 1971, que les Roms, qui représentent la première minorité de l’Union européenne, choisissaient, malgré une situation encore difficile, les symboles de leur communauté ainsi que leur drapeau et leur hymne.

Peuple nomade formé de quatre groupes (Les Kalderash, les Curara, les Lovara; les Boyasa), il fait partie de la famille des tziganes, souvent surnommé Romanichel ( » peuple de Rrom  » en Sinti*).

Le peuple Rom dans l’histoire
C’est vers l’an 1000, que les Roms quittèrent l’Inde et l’Egypte dont ils sont originaires pour se rendre en Perse. Ils atteignirent les Balkans vers le XIVème siècle. Se dispersant à travers l’Europe, ils se christianisèrent au contact de la population chrétienne européenne.

C’est en Europe de l’Ouest, qu’ils connaîtront leur plus grande vague de migration au XVIème siècle, où certain pays n’hésiteront pas à les déporter dans les colonies africaines et Américaines. Jusqu’au XXème siècle, les Roms se retrouveront plus ou moins en bon terme avec les Européens.

Mais, dès 1930, ils seront victimes de la politique raciale des nazis et de leur programme d’extermination et de génocide. On dénombre entre 250 000 et 500 000 déportés et tués sur les 700 000 qui vivaient en Europe. Cette période porte pour les Roms le nom de Samudaripen, c’est à dire « meurtre total » en langue Romani.

Les Roms d’aujourd’hui
On estime qu’il y a entre 7 et 9 millions de Roms qui vivent en Europe. Beaucoup de Roms sont toujours victimes de la tziganophobie. Et celle-ci ne peut être combattue que par la reconnaissance de leur histoire, de leur culture, et de leur contribution au patrimoine européen. Par l’ignorance ou par des idées reçues, ils sont encore victimes à différents degrés du racisme et de la discrimination.

Un devoir de mémoire
De nos jours, l’ampleur du génocide des Roms n’est pas assez reconnue au près d’un large public, et certains ignorent même son existence. Cela est probablement du au fait qu’il aura fallu attendre 1982 pour que l’Allemagne reconnaisse officiellement ses responsabilités et en France seulement 1997, pour qu’un Président de la République y fasse référence, pour la première fois, dans une cérémonie en mémoire des victimes de la déportation.

En 2005, lors du 60ème anniversaire de la libération des camps, un hommage solennel a été rendu à toutes les victimes de cette barbarie, dont les Roms.

La question des droits de l’homme
La situation vécue par les Roms en France amène chacun à se questionner sur le nécessaire respect des droits de l’homme, en France bien entendu, mais aussi et surtout dans les pays d’origine des populations Roms où elles sont constamment discriminées et rejetées. La politique européenne est encore à construire en la matière!

[*Sinti : Langue issue du mélange entre le Roumain et l’Allemand]

Un site à visiter : romove.radio.cz   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

International Day of the Romani people – 8 April

The Romani are an ethnic group found mainly in Europe. They are also known as Roma. In English they are often called Gypsies. Some Roma consider « gypsy » a slur. The Roma are a nomadic people that originally came from the northern Indian subcontinent,[1][2][3] They came from the Rajasthan, Haryana, Punjab and Sindh regions.

A DNA study by Indian and Estonian research lbs shows that the Roma/Romani/Gypsy and Sinti people originate from the Untouchable Dalit community of their ancestral homeland. They migrated northwest into Europe via the Middle East. Today there are populations of Romanis found all over Europe, although the largest populations are in Eastern Europe, and the Religion are: Eastern Christianity, Catholicism and Islam. Baptism by the Christian Roma and Male Circumcision by the Muslim Roma is practise.

There are various groups of Romani: the Roma of East European birth; the Sinti in Germany and Manouches in France and Catalonia; the Kaló in Spain, Ciganos in Portugal and Gitans of southern France; and the Romanichals of Britain.

The Roma language is now an official language in many countries of Europe under the European Charter for Regional or Minority Languages.

History

The 18th-century idea about the Indian birth of the Roma is based on the likeness between Romani and languages spoken in the Indian subcontinent and is now supported by genetic evidence. The origins of the Roms were not known until 1763, when a theology student named Stefan Vali met Indian medical students. He noticed that they were physically similar to the Roms he saw in Hungary. He also noticed that they were using similar words.

It is believed to have been around the 11th century that Roms left India to go northwest, through Persia and the Middle East. Around the 15th century, the Roma reached the Balkans. From there, they dispersed through Europe. The first arrivals were well accepted. European people thought they were Christian pilgrims. The local people of Europe were fascinated by their nomadic way of life and their new sciences. The Roms were often recruited as mercenaries, horse trainers and circus artists. Roms were crossing Europe aboard large caravans which contained their luggage.

Roms also left a great musical heritage. Guitars and violins are part of their traditions. They influenced a lot of musical styles in Europe, such as flamenco, rumba, jazz, etc. During World War II, Roma people suffered from the Nazisdiscriminative policies. Statistics show that about 500,000 Roms died in Nazi concentration camps.

On 8 April 1971, the Roms’ nationality was legally recognised in Europe. Since this day, 8 April is the Roms national day.

Persecutions

Even though they have been recognised, they still suffer from discrimination. Some countries still apply discriminative attitudes towards Roms, especially in workplaces and schools, where they are not accepted. The main reason why they are not accepted is that they kept their nomadic lifestyle, which is against the law in some countries like France. Their squatting communities irritate locals. The Romani created an association in 1978 to defend their rights.

The day was officially declared in 1990 in Serock, Poland, the site of the fourth World Romani Congress of the International Romani Union (IRU), in honour of the first major international meeting of Romani representatives, 7–12 April 1971 in Chelsfield near London.

International reaction

Pope John Paul II exhorted his followers to treat Romanies with compassion and respect.

In 2003, the Dalai Lama lit a candle to commemorate the day.

In 2004, Adam Ereli of the US State Department addressed the continuing human rights abuses faced by Romanies and asked European governments to encourage tolerance.

In 2006, Maud de Boer-Buquicchio, Council of Europe Deputy Secretary General, stated her concerns for growing Antiziganism and encouraged Europe’s Romani populations to act to improve their poor living conditions, the result of longstanding and widespread discrimination.

In 2009,U.S. Secretary of State Hillary Clinton spoke of the U.S. commitment to protecting and promoting the human rights of Romani people throughout Europe.

Source: Text & Image: Wikipedia, the free encyclopedia

 

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.
Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

Les enjeux du Plan cancer 2014-2019
Les cancers pédiatriques font partie intégrante de ce plan gouvernemental, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles.
En France, 1 700 nouveaux cas dénombrés chaque année.

« Les cancers chez l’enfant restent, encore aujourd’hui, souvent synonymes d’isolement et de rupture du lien social et scolaire. Si, la Ligue contre le cancer soutient les orientations prises dans le cadre du Plan cancer 2014-2019, il est de notre devoir d’exiger la mise en œuvre de solutions concrètes pour aider les enfants et leurs familles, avant, pendant et après la maladie ». Pr Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer.

Une loi pour le droit à l’oubli
Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net      Source: Texte: Journée Mondiale       Image: Fondation Bomoko