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World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development – 21 May

World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development is annually held on May 21 to help people learn about the importance of cultural diversity and harmony.

Background

The General Conference of the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) adopted the Universal Declaration on Cultural Diversity in Paris, France, on November 2, 2001. It was the 249th resolution adopted at the 57th session of the United Nations General Conference. Although the declaration was the culmination of years of work, it was adopted in the wake of the terrorist attacks on September 11, 2001. This reaffirmed the need for intercultural dialogue to prevent segregation and fundamentalism.

The year 2002 was the United Nations Year for Cultural Heritage. At the end of that year, on December 20, 2002, the General Assembly of the United Nations declared May 21 to be the World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development. The General Assembly emphasized links between the protection of cultural diversity and the importance of dialogue between civilizations in the modern world. The World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development was first observed in 2003.

Source: Text: www.timeanddate.com  Image: Twitter

Journée Mondiale de La Croix Rouge – 8 mai

Le choix du 8 mai pour la journée mondiale de la croix rouge est dû à l’anniversaire de la naissance d’Henry Dunant, fondateur en 1863 de la Croix-Rouge internationale et des Conventions de Genève.

Naissance d’un mouvement
A Solferino (dans la Province de Mantoue, au nord de l’Italie). L’Empereur Napoléon III, à la tête d’une armée franco-piémontaise, écrase les Autrichiens dans une bataille extrêmement meurtrière. Des milliers de blessés agonisent faute de soins. Des appels aux secours restent sans réponse. Témoin de cette tragédie, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. Il assiste sans discrimination les soldats des deux camps. Fortement ébranlé par ce qu’il vient de voir, Henry Dunant publiera à son retour l’un des premiers reportages de guerre : « Un Souvenir de Solférino » dans lequel il dénonce les horreurs des combats.

A partir de ce jour, des milliers d’hommes, de civils, de soldats, de prisonniers auront droit à ces gestes fraternels qui rendent moins cruelles les heures d’épreuve et de souffrance. 5 ans après Solférino, l’idée d’Henry Dunant a fait son chemin. Un comité de 5 personnes s’est constitué à Genève afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger les blessés sur les champs de bataille.

Une conférence internationale se réunit à Genève. Seize nations y participent, dont la France. Ils décident de créer, dans chaque pays, des comités de secours et choisissent un emblème : une croix rouge sur fond blanc. Les Etats adoptent des règles internationales définissant le sort des personnes aux mains de l’ennemi et qui ne participent pas au combat : ce sont les Conventions de Genève dont la première vit le jour le 22 août 1864.

La croix rouge de nos jours
Regroupant 97 millions d’hommes et de femmes, On compte maintenant des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans 176 pays du monde.

Le Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge contribue à l’extension et à la promotion du Droit International Humanitaire (DIH). En assurant sa diffusion, en exerçant une action constante auprès des Etats, il s’efforce d’en faire respecter les principes et l’application lors des conflits. Il met également tout en œuvre pour favoriser l’adoption de règles toujours plus protectrices. Ainsi, la Croix-Rouge, en témoignant de son action constante en faveur des victimes, et en diffusant son éthique de tolérance et de dialogue contribue à la prévention des conflits et des tensions.

Source : Texte (abrégé): Journée Mondiale Images : www.croix-rouge.fr www.calendeo.com

 

World Day for Safety and Health at Work – 28 April

This year, the World Day for Safety and Health at Work (SafeDay) and the World Day Against Child Labour (WDACL) are coming together in a joint campaign to improve the safety and health of young workers and end child labour.

The campaign aims to accelerate action to achieve Sustainable Development Goal (SDG) target 8.8 of safe and secure working environments for all workers by 2030 and SDG target 8.7 of ending all forms of child labour by 2025. Achieving these goals for the benefit of the next generation of the global workforce requires a concerted and integrated approach to eliminating child labour and promoting a culture of prevention on occupational safety health (OSH).

The 541 million young workers (15-24 years old) – which includes 37 million children in hazardous child labour – account for more than 15 per cent of the world’s labour force and suffer up to a 40 per cent higher rate of non-fatal occupational injuries than adult workers older than 25.

Many factors can increase youth vulnerability to OSH risks, such as their physical and psychological stage of development, lack of work experience and lack of training, limited awareness of work-related hazards and a lack of bargaining power that can lead young workers to accept dangerous tasks or jobs with poor working conditions.

The 2018 SafeDay campaign highlights the critical importance of addressing these challenges and improving safety and health for young workers, not only to promote decent youth employment, but also to link these efforts to combat hazardous – and all other forms of – child labour.

 SafeDay History
Since 2003, the ILO observes the World Day on Safety and Health at Work on April 28 capitalizing on its traditional strengths of tripartism and social dialogue.

Source: Text: www.ilo.org Image: whatcanido.blog
 

Journée Internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – 21mars

La Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est célébrée chaque année le 21 mars, pour commémorer ce jour de 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police a ouvert le feu et tué 69 personnes lors d’une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l’apartheid.

En proclamant la Journée internationale en 1966, l’Assemblée a engagé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)].

A l’occasion de la journée 2004, Kofi Annan, secrétaire général des Nations unies, a eu l’occasion de diffuser le message suivant:

Le 21 mars 1960, une manifestation non violente de protestation contre la loi sur les laissez-passer – une des institutions les plus honnies de l’apartheid – eut lieu à Sharpville, en Afrique du Sud. Bilan : 69 morts parmi les manifestants. Le massacre de Sharpville fut un moment décisif dans la lutte contre l’apartheid. Il amena aussi l’Assemblée générale [des Nations unies] à instituer cette journée annuelle, dont l’objet est d’appeler l’attention sur la lutte contre le racisme, où qu’il se manifeste et quelle que soit l’époque.

Cette année (2004) est celle du dixième anniversaire du génocide rwandais, ce qui nous rappelle les horreurs que peut entraîner la haine ethnique et raciale. C’est aussi celle du bicentenaire de la révolution à Haïti, grâce à laquelle les peuples des Caraïbes et d’Amérique latine furent libérés de l’esclavage. Et 2004 est enfin, comme l’a décidé l’Assemblée générale, l’Année internationale de commémoration de la lutte contre l’esclavage et de son abolition. A travers ces trois événements, nous devons non seulement honorer la mémoire des victimes de tragédies passées, mais aussi manifester notre ferme volonté d’éviter que d’autres ne subissent un sort semblable à l’avenir.

Cela veut dire que nous devons mettre fin aux conséquences, qui persistent à ce jour, de l’esclavage et du commerce des esclaves. Ces injustices historiques sont parmi les causes de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation, de l’exclusion sociale, des disparités économiques, de l’instabilité et de l’insécurité dont beaucoup souffrent aujourd’hui dans différentes parties du monde, en particulier dans les pays en développement.

Le racisme est aussi une des racines du génocide. Les pratiques racistes, les idéologies racistes, et les discours déshumanisants qui nient la dignité et les droits de groupes entiers doivent être condamnés. La tolérance, le dialogue interculturel et le respect de la diversité sont plus indispensables que jamais dans un monde où les peuples sont plus interconnectés que jamais.

Un site à visiter : www.stop-discrimination.info     Source: Texte, résumé & Image: : http://www.journee-mondiale.com       Nations unies, New York, 17 mars 2004

 

Des hackers… au Vatican!

Au Vatican, 120 hackers vont  se mettre au service de l’Homme
120 hackers venus du monde entier sont au Vatican du 8 au 11 mars pour participer à un « Hackathon » baptisé « VHacks ».

Objectif ?
Trouver des solutions aux problèmes de l’inclusion sociale, du dialogue interreligieux et de la crise des réfugiés. Une initiative spectaculaire soutenue par le pape François.

Organisé par Optic, un think-tank sur l’éthique des nouvelles technologies, le premier hackathon jamais organisé par le Vatican démarre ce jeudi 8 mars. Baptisé « VHacks », ce rendez-vous collaboratif soutenu vivement par le pape François vise à développer des programmes dédiés à des projets solidaires.

Le soutien du pape François
Les organisateurs se sont inspirés de cette interrogation du Pape François : « Ne serait-il pas merveilleux si les innovations scientifiques et technologiques contribuaient à plus d’égalité et d’insertion sociale ? »

Source : Texte (abrégé) : John Burger/Marzena Devoud | 08 mars 2018 Image : tours-italy.com

Jeux Olympiques PyeongChang 2018

PyeongChang 2018: la Corée du sud remercie le pape

Un seul drapeau pour la Corée du sud et du nord.
Le gouvernement sud-coréen a remercié le pape François pour ses encouragements à la trêve olympique et à l’unité de la Corée, dans le cadre des XXIIIe Jeux olympiques d’hiver qui se sont ouverts le 9 février 2018 dans la ville de PyeongChang, en Corée du sud.

Le 8 février, le porte-parole de la présidence, Kim Eui-kyeom, a estimé que les paroles du pape sur les délégations des deux Corée qui défileront sous un unique drapeau, « apporteront grande joie à l’équipe qui fait d’elles des guerrières de la paix ». Il a aussi assuré, d’après un communiqué de Cheong Wa Dae, que la Corée « cultivera la paix » à Pyeongchang, qui se situe près de la frontière avec la Corée du nord.

A l’audience générale du mercredi 7 février, dans la salle Paul VI du Vatican, le pape s’est réjoui de la participation conjointe des délégations sportives du Nord et du Sud de la péninsule coréenne: « La traditionnelle trêve olympique, cette année, acquiert une importance particulière : des délégation des deux Corée défileront ensemble sous un même drapeau et participeront aux compétitions dans une unique équipe. »

Le pape a vu dans ce fruit de l’engagement sportif une espérance pour la paix dans le monde: « Cela fait espérer dans un monde où les conflits se résoudront pacifiquement par le dialogue et dans le respect réciproque, comme le sport enseigne à le faire. »

Source: Anne Kurian, PAPE FRANÇOIS,10 FÉVRIER 2018 Images: Euronews;  Dernièeres Nouvelles – ddns.net

 

Journée Internationale de la tolérance – 16 novembre

Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité les états membres à célébrer la Journée internationale de la tolérance le 16 novembre de chaque année.

L’UNESCO propose dix pistes d’actions pour lutter contre l’intolérance :

    1. La diversité au sein de votre communauté

Où que vous habitiez, vous seriez probablement surpris de l’extrême diversité qui règne au sein de votre communauté. Quelqu’un a dit que chaque culture est un ensemble d’influences subies. Livrez-vous à une enquête sur la diversité culturelle au sein de votre ville ou communauté. Qui sont les habitants ? Comment vivent-ils ? Des articles, des interviews, des affiches ou des expositions peuvent servir à mettre en lumière la diversité des identités et des cultures. Comment cette diversité s’exprime-t-elle en musique ? Pensez à la multiplicité des danses et musiques traditionnelles que vous connaissez et à tout ce que celles-ci dénotent d’influences mutuelles. Organisez un concert ou un festival réunissant toute une gamme de ces traditions culturelles.

      1. Les droits de l’homme

De quelle manière les droits des membres de minorités nationales, ethniques, religieuses, linguistiques ou autres sont-ils garantis au sein de votre communauté, de votre nation, de votre région ? Qu’en est-il des peuples autochtones, des travailleurs migrants, des demandeurs d’asile et des réfugiés, des handicapés ? Leurs droits sont-ils promus et protégés ? Pensez-vous que les responsables du maintien de l’ordre de votre communauté soient suffisamment informés des droits de l’homme ? Que pouvez-vous faire pour améliorer les attitudes ou les comportements envers les minorités ?

      1. Programmer son action en faveur de la tolérance

Rédigez vous-même un projet ou programme d’activités en faveur de la tolérance. Cela implique de déterminer pour vous-même ce qu’est la tolérance et quel est le meilleur moyen de transmettre les valeurs qui s’y attachent. Passez au crible vos manuels scolaires, les émissions de télévision et les articles de presse pour débusquer les stéréotypes (concernant notamment les sexes) et les préjugés sur les nationalités et les groupes ethniques. Quelles priorités assigneriez-vous, en matière de tolérance, à votre ville, pays ou région ?

      1. Dire non à la violence

Comment naît la violence dans une communauté, une école ou un foyer et comment peut-on l’enrayer ? Reproduisez la dynamique de la tolérance et de l’intolérance par des jeux de rôle, des dialogues, des exercices de résolution de malentendus. Organisez des débats publics où vous vous entraînerez à défendre alternativement deux points de vue opposés. Comment imaginez-vous la coexistence pacifique d’individus et de groupes différents ? Qu’est-ce qui fait qu’elle fonctionne et qu’est-ce qui peut la saper ?

      1. Diversité écologique et diversité humaine

Toute communauté est fondée sur l’interdépendance. Pas plus que les végétaux ou les animaux, nous ne pourrions survivre si nous étions tous semblables. Trouvez des exemples de cette vérité puisés dans la vie quotidienne de votre localité. Montrez par des exemples concrets comment une culture de paix et de tolérance peut promouvoir la sauvegarde de l’environnement. Lancez un projet dans votre école ou votre voisinage.

      1. La tolérance religieuse

Organisez une rencontre de représentants de divers groupes religieux et non confessionnels de votre communauté pour examiner comment chacun enseigne la tolérance. Comment enseigne-t-on la tolérance dans les différentes religions du monde, y compris celles des peuples autochtones ? Toutes les religions étant plus ou moins fondées sur des valeurs d’amour et de justice, aucune ne saurait être invoquée pour justifier la violence ou la guerre. Le dialogue et la discussion entre les représentants des diverses religions sont une tradition séculaire qui n’a en rien perdu sa valeur.

      1. Actualité de la tolérance

Organisez des débats sur les événements de l’actualité analysés en termes de tolérance et d’intolérance. Réfléchissez aux conflits du passé et à ceux d’aujourd’hui. Comment auraient-ils pu être résolus ou évités ? Qu’en est-il de la question des droits de l’homme dans l’actualité aujourd’hui ? Quels sont les droits et libertés fondamentaux reconnus par la communauté internationale ? Comment fonctionnent les pays pluriculturels et multilingues ? Quels sont les intérêts communs aux peuples dans leur diversité ?

      1. La tolérance et le sport

Quelles manifestations sportives ont une envergure internationale ? Quel en est le but ? Quels sont les liens possibles entre le sport et l’intolérance (exclusion des plus faibles, esprit de clocher, violence dans les stades) et comment y remédier ? Organisez une rencontre athlétique sur le thème de la diversité et de la tolérance.

      1. La créativité à l’œuvre

Le message d’une œuvre d’art est inépuisable. Interrogez l’oeuvre d’un artiste d’une autre région du monde et demandez-vous ce qu’elle vous apporte. Concevez des récits, des pièces, des poèmes, des chansons, des articles, des peintures, des affiches, des photographies ou des vidéos illustrant les thèmes liés à la tolérance et publiez-les ou diffusez-les. Ecrivez à des personnalités connues pour leur poser des questions et leur communiquer vos idées sur le sujet de la tolérance.

      1. Créer des liens internationaux

Amorcez un dialogue international ou lancez un projet de jumelage scolaire par lettre ou courrier électronique. Dialoguez avec des correspondants étrangers sur les questions et les problèmes de votre vie quotidienne. Echangez des cassettes ou des photos. Etudiez la possibilité de participer à des stages d’été internationaux ou à un programme d’échange scolaire. Demandez à votre école d’adhérer au Système des écoles associées de l’UNESCO.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

World Sea Day – 28 September 2023

The World Sea Day has been marked since 1978 by decision of the 38th session of the International Marine Organization of November 1977, initially celebrated on March 17. Since 1980 it’s been celebrated on one of the days of the last week of September. The goal of the World Sea Day is drawing the community’s attention to problems, connected with the pollution of water basins, global warming and illegal fishing.

The sea always fascinated people. Many poets and artists worship the sea in their works while people of all walks of life annually dream about a holiday at the seaside.

At the same time, according to the UN, annually about 21 million barrels of oil leak into the ocean causing death of tens of thousands of seabirds and mammals.

Over the last 100 years 90% of the world reserves of tuna and codfish have been fished out.
The global warming has led to the rise of the world ocean water level by 10-25 cm. The myth that the global water resources are inexhaustible has seriously affected the biodiversity of the world ocean, Alexei Knizhnikov, the coordinator of the World Wildlife Fund’s department for the environmental policy in oil and gas sector, says.

« Just two examples. Whale fishery has almost killed some species of whales. The classical example for Russia is the gray whale in the Okhotsk Sea. It had been considered to be extinct way back in 20th century. But in the end of the 20th century a hundred of these whales was detected and now we are doing our best to preserve the population of these whales. The second example is the extinction of sturgeon because of very aggressive fishing. »

The disaster in the Gulf of Mexico in April when an explosion of an oil rig led caused a huge oil spill showed how terrible the negative impact of human beings on the environment can be, the expert says.

« That oil spill has halted the industrial fishing in the water area which size is equal to the size of Greece. The environment disasters are now getting country-scale and the next step is a continent-scale. »

Source: Text: IDEA International Dialogue for Environmental Action Image: dissolve.com

 

 

 

Journée Mondiale de La Croix Rouge – 8 mai

Le choix du 8 mai pour la journée mondiale de la croix rouge est dû à l’anniversaire de la naissance d’Henry Dunant, fondateur en 1863 de la Croix-Rouge internationale et des Conventions de Genève.

Naissance d’un mouvement
A Solferino (dans la Province de Mantoue, au nord de l’Italie). L’Empereur Napoléon III, à la tête d’une armée franco-piémontaise, écrase les Autrichiens dans une bataille extrêmement meurtrière. Des milliers de blessés agonisent faute de soins. Des appels aux secours restent sans réponse. Témoin de cette tragédie, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. Il assiste sans discrimination les soldats des deux camps. Fortement ébranlé par ce qu’il vient de voir, Henry Dunant publiera à son retour l’un des premiers reportages de guerre : « Un Souvenir de Solférino » dans lequel il dénonce les horreurs des combats.

A partir de ce jour, des milliers d’hommes, de civils, de soldats, de prisonniers auront droit à ces gestes fraternels qui rendent moins cruelles les heures d’épreuve et de souffrance. 5 ans après Solférino, l’idée d’Henry Dunant a fait son chemin. Un comité de 5 personnes s’est constitué à Genève afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger les blessés sur les champs de bataille.

Une conférence internationale se réunit à Genève. Seize nations y participent, dont la France. Ils décident de créer, dans chaque pays, des comités de secours et choisissent un emblème : une croix rouge sur fond blanc. Les Etats adoptent des règles internationales définissant le sort des personnes aux mains de l’ennemi et qui ne participent pas au combat : ce sont les Conventions de Genève dont la première vit le jour le 22 août 1864.

La croix rouge de nos jour
Regroupant 97 millions d’hommes et de femmes, On compte maintenant des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans 176 pays du monde.

Le Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge contribue à l’extension et à la promotion du Droit International Humanitaire (DIH). En assurant sa diffusion, en exerçant une action constante auprès des Etats, il s’efforce d’en faire respecter les principes et l’application lors des conflits. Il met également tout en œuvre pour favoriser l’adoption de règles toujours plus protectrices. Ainsi, la Croix-Rouge, en témoignant de son action constante en faveur des victimes, et en diffusant son éthique de tolérance et de dialogue contribue à la prévention des conflits et des tensions.

Source: Texte: Journée Mondiale  Image: museums.ch

 

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