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Journée mondiale pour la vue – 12 octobre 2023

Chaque année, le second jeudi d’octobre, les projecteurs se braquent sur une cause essentielle : la santé visuelle. C’est la Journée mondiale pour la vue, un rendez-vous dédié à la sensibilisation du public face aux défis liés à la cécité et à la déficience visuelle.

Un contexte alarmant

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 1 milliard de personnes souffrent d’une déficience visuelle qui aurait pu être évitée ou reste non corrigée. En d’autres termes, c’est près de 1/7 de la population mondiale qui, avec des interventions appropriées, aurait pu voir le monde autrement.

Par ailleurs, plus de 2,2 milliards de personnes souffrent d’une forme de déficience visuelle. La cataracte demeure l’une des principales causes, comptant pour près de la moitié des cas de cécité dans le monde.

Des inégalités frappantes

Si l’accès aux soins oculaires est pris pour acquis dans de nombreuses régions développées, de vastes pans de populations en Afrique, en Asie ou en Amérique latine restent privés de ce droit fondamental. Le fossé en matière de santé oculaire entre les pays développés et les pays en développement est abyssal, et s’accroît à mesure que les technologies évoluent.

L’importance d’une prise en charge précoce

Les troubles de la vue, souvent insidieux, peuvent s’installer lentement, dérobant à l’individu la clarté de son environnement, parfois sans qu’il ne s’en rende compte. Les campagnes de dépistage, la formation des professionnels de santé, et l’éducation des populations sont donc des maillons cruciaux dans la chaîne de prévention

La Journée mondiale pour la vue du 12 octobre 2023 n’est pas qu’une simple date sur un calendrier. Elle incarne l’espoir de milliards de personnes, celui de voir un monde où la cécité et la déficience visuelle seraient reléguées au rang d’antiques afflictions. Dans cette quête, chaque acteur, qu’il soit un géant de l’industrie, un professionnel de santé ou un citoyen lambda, a un rôle à jouer. Car après tout, quoi de plus précieux que le don de la vue ?

 

Source: Texte (extraits): https://media24.fr/2023/10/11/journee-mondiale-pour-la-vue    Image: https://mairie09.paris.fr/pages/journee-mondiale-de-la-vue-jeudi-12-octobre

Journée internationale du dépistage de la scoliose – 26 juin

Journée internationale du dépistage de la scoliose

Le 26 juin, c’est la Journée internationale de sensibilisation à la scoliose, journée d’origine anglo-saxonne, connue sous le nom de « International Scoliosis Awareness Day » qui évoque plus la sensibilisation à la maladie que son dépistage.

International Scoliosis Awareness Day

La scoliose se manifeste par une déformation de la colonne vertébrale, qui se tord et se courbe sur le côté, affectant l’apparence et la posture. Elle est connue depuis fort longtemps et on retrouve même des traces dans l’antiquité greque qui évoquaient déjà la maladie en 400 avant JC.

Les causes de la scoliose sont encore assez mal connues et il en va malheureusement de même pour son traitement. Les plus efficaces peuvent être prescrits aux jeunes enfants, d’où l’importance du dépistage précoce de la scoliose et l’intérêt même de cette journée internationale !

Dépistage

De nombreux sites parlent du dépistage de la socliose et de son traitement. Nous n’avons pas vocation à choisir quel est le bon, nous vous en indiquons plusieurs qui vous permettront dêtre mieux informés :

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des lépreux – 27-28-29 janvier 2023

Journée Mondiale des lépreux

L’origine de la lèpre se perd dans la nuit des temps. Elle apparaît en Europe dès les premiers siècles de l’ère chrétienne. Tout le bassin méditerranéen est contaminé. Elle disparaît progressivement de France et d’Europe, au cours du XVIIIe siècle. Quelques foyers persistent en Europe et en Amérique du Nord (Louisiane).

Un fléau d’hier… et d’aujourd’hui

Mais en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie, ses victimes se comptent encore par centaines de milliers : une quinzaine de pays comptent encore plus d’un malade de la lèpre pour dix mille habitants, au premier rang desquels, l’Inde, le Brésil, Madagascar, le Myanmar, le Nigéria…

Selon les données récentes de l’Organisation Mondiale de la Santé, il y avait toujours – en 2015 – 175 000 malades enregistrés dans le monde… mais plus de 200 000 nouveaux cas dépistés chaque année, soit un toutes les 5 minutes…

Arrêter la lutte contre la lèpre aujourd’hui sous prétexte des succès remportés aurait tout naturellement comme conséquence le retour progressif à la situation que Raoul Follereau dénonçait encore en 1961 :  » Cela va-t-il durer ? Laisserons-nous mourir, pourrir, quinze millions d’êtres humains, alors que nous savons maintenant qu’on peut les soigner, les sauver, les guérir ? « 

Tout au long du dernier week-end de janvier

La journée mondiale des lépreux est traditionnellement organisée le dernier week-end de janvier, soit pour 2023 les 27, 28 et 29 janvier. Il s’agira de la 70ème édition.

Les sites à visiter : deux associations oeuvrent conjointement pour assurer l’organisation matérielle de la journée mondiale des lépreux, l’association Raoul Follereau et l’Ordre de Malte.

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de l’orthoptique – 5 juin

 Journée mondiale de l'orthoptiqueOn désigne habituellement par orthoptie la discipline médicale dont la vocation est le dépistage et, surtout, la rééducation des troubles de la vision. Comme vous pouvez le voir, rien de louche la-dedans…

International Orthoptic Association

C’est cette association qui est à l’origine de la journée mondiale. Elle est fixée chaque année au premier lundi du mois de juin. Son but, en créant cette journée, est de faire connaître le rôle et les activités de ces professionnels, qui travaillent en collaboration directe avec les ophtalmologistes et les opticiens.

Un site à visiter : www.internationalorthoptics.org      Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de l’orthoptique – 7 juin 2021

Journée mondiale de l'orthoptique

On désigne habituellement par orthoptie la discipline médicale dont la vocation est le dépistage et, surtout, la rééducation des troubles de la vision. Comme vous pouvez le voir, rien de louche la-dedans…

International Orthoptic Association

C’est cette association qui est à l’origine de la journée mondiale. Elle est fixée chaque année au premier lundi du mois de juin. Son but, en créant cette journée, est de faire connaître le rôle et les activités de ces professionnels, qui travaillent en collaboration directe avec les ophtalmologistes et les opticiens.

Un site à visiter : www.internationalorthoptics.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale contre le cancer – 4 février 2023

Le cancer constitue encore aujourd’hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l’intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l’utilité d’un dépistage précoce permettant d’arriver à une guérison.

Le cancer en chiffres

En 2020, on estimait que le nombre de personnes qui vont recevoir un diagnostic de cancer dépasse les 18 millions et que plus de 9 millions en décéderont. Les cancers les plus fréquents seront ceux du sein, de la prostate, du poumon et du côlon.

Une initiative intéressante a été prise par l’ARC récemment, à savoir la création d’un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net

Hémisphère nord vs hemisphère sud

Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l’hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le traitement des cancers, les pays du sud, comme à l’accoutumé ne bénéficient pas de telles attentions.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net   Source: Texte & Image:  Journée mondiale

Les précurseurs

La lutte contre le cancer, aussi bien dans le domaine de la recherche et des thérapeutiques, que de celui des progrès accomplis sur le plan social et humain est une préoccupation relativement récente. Dans un passé encore proche de nous, le cancer était considéré comme une maladie incurable et les malades qui en étaient atteints se voyaient refuser l’accès aux hôpitaux, car on les considérait comme contagieux.

Ce furent des œuvres charitables religieuses, parfois aussi laïques, qui prirent l’initiative de faire quelque chose pour les cancéreux. Elles se contentaient de les héberger, de les nourrir et de les panser, puisqu’il n’existait pratiquement pas de traitement ; mais cela était déjà beaucoup pour ces malheureux abandonnés et rejetés par tous.

En France, c’est le chanoine Jean Godinot, vicaire général de l’Abbaye Saint Nicaise de Reims, qui eut l’idée d’ouvrir en 1740 un établissement spécialisé pour les « cancérés ». Ce fut l’ancêtre des centres anticancéreux modernes. Puis en 1842, Madame Jeanne Garnier-Chabot fonde à Lyon une association mi-laïque, mi-religieuse, composée de veuves et de femmes charitables appelée « Calvaire », pour donner des soins dans un hospice à des cancéreuses avancées. Un « Calvaire » analogue s’est ouvert ensuite à Paris, rue de Lourmel. Des fondations semblables se créent par la suite pour les hommes sous les auspices de Saint Jean de la Croix.

Ces exemples porteront leurs fruits puisqu’en 1846, on admit les cancéreux dans les hôpitaux et les hospices généraux. L’Assistance Publique fit une première tentative dans deux services dits « d’incurables » à la Salpétrière et à Bicêtre. En 1897 l’Assistance publique ouvre un pavillon spécialisé à Brévannes.

Une histoire du cancer

Les traces les plus anciennes du cancer se trouvent dans des fragments de squelettes humains datant de la préhistoire. On le rencontre aussi sur des momies découvertes dans des pyramides égyptiennes. On parle également du cancer sur des tablettes recouvertes de caractères cunéiformes de la bibliothèque de Ninive. On le rencontre encore lors de la découverte de monuments funéraires étrusques ou sur des momies péruviennes.

Le plus ancien texte connu à ce jour semble être le papyrus chirurgical dit de Edwin Smith qui daterait de l’ancien empire égyptien et qui serait attribué à Imouthes, grand prêtre d’ Héliopolis et Premier ministre du roi Djoser vers 2800 avant J-C. Hérodote nous apprend qu’ Atossa, fille de Cyrus et femme de Darius, fit appeler vers 525 (avant J-C) Democedes, le fameux médecin grec, pour une tumeur ulcérée du sein qu’il réussit à guérir sans que le traitement employé ne soit connu.

Quelques temps plus tard, en Grèce, Hippocrate, dans les nombreux écrits qui lui sont attribués, fait plusieurs fois allusions au cancer, dont le nom vient de l’aspect de sa propagation, ressemblant à des pattes de crabe.

Les anciens hindous, 2000 ans avant notre ère , essayèrent de détruire les cancers en y appliquant des cataplasmes de pâte corrosive contenant de l’arsenic. Pour le petite histoire, les personnes qui ne mourraient pas du cancer mourraient empoisonnées par l’arsenic.

Au Moyen-âge, en France, Henri de Mondeville écrivait en 1320 :  » aucun cancer ne guérit, à moins d’être radicalement extirpé tout entier. En effet, si peu qu’il en reste, la malignité augmente dans la racine.  »

Au XVIIè siècle Gendron, médecin du frère de Louis XIV, conçoit le cancer comme une modification tissulaire localisée qui s’étend par prolifération, curable si elle est extirpée dans sa totalité , il jette un pont de deux siècles et demi entre lui et nous. Anne d’Autriche, reine de France et mère des précédents, fut atteinte d’un cancer du sein, elle supporta très courageusement la maladie mais ne put en être guérie.
C’est à Bichat et Laënnec que l’on doit la conception anatomique de la maladie cancéreuse. Puis vient la notion de tissu avec l’allemand Muller en 1826. Rudolph Virchow prouve quant à lui que la cellule cancéreuse naît toujours d’autres cellules. La seconde moitié du XIXè siècle verra s’accélérer les progrès de la médecine.

Chronomogie de la lutte contre le cancer

  • 1885 Roentgen découvre les rayons X
  • 1898 Pierre et Marie Curie découvrent le radium
  • 1918 Le Dr Sonia Fabre, assistante bénévole dans le service du Pr Hartmann de l’Hôtel-Dieu de Paris, est la première à envisager une lutte systématique contre le cancer. Le 14 mars, Justin Godart fonde la LIGUE
  • FRANCO-ANGLO-AMERICAINE CONTRE LE CANCER qui deviendra en 1927 la LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER.
  • 1922 Début de l’action de l’Etat dans la lutte contre le cancer
  • Autour de la Ligue naissent des Associations en Province, en premier lieu à Lyon. Naissance des premiers Comités de la Ligue
  • La Ligue publie la « Revue analytique des travaux sur le cancer » dont le Comité de rédaction était assuré par les professeurs Hartmann, Rigaud, Roussy, Lacassagne.
  • 1923 Une loi fait figurer pour la première fois au budget de la Nation la lutte contre le cancer. La Ligue publie son premier bulletin  » La lutte contre le cancer  » destiné à informer le public et qui deviendra  » Vivre  » au fil des années.
  • 1927 La Ligue Franco-Anglo-Américaine devient la LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER. La « Revue analytique » prend le nom de « Index analyticus cancerologiae ». Sa diffusion était mondiale. Son dernier numéro parut en 1962.
  • 1930 L’Office national d’hygiène sociale et la Ligue organisent la première  » Semaine nationale de défense contre le cancer  » sous le patronage de Monsieur Désiré FERRY Ministre de la Santé Publique (presse, affichage, radio, cinéma…).
  • 1946 L’administration des Postes émet un timbre au profit de la Ligue à l’effigie du Pr. BECQUEREL.
  • 1949 Institution de la première quête nationale.
  • 1950 La Ligue organise à la Sorbonne le 5è Congrès International sur le Cancer, plus de 400 communications de renommées internationales y font le point sur les cancers.
  • 1955 La LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER devient la LIGUE NATIONALE FRANCAISE CONTRE LE CANCER
  • 1957 Reconnaissance officielle des Comités départementaux de la Ligue par une Circulaire de la Direction Générale de la Santé.
  • 1960 Le Comité de la Seine met au point un « service d’hospitalisation à domicile » qui deviendra en 1962 « Santé Service ».
  • 1982 L’Assemblée Générale Extraordinaire établit les statuts-types des Comités.
  • 1989 21 des plus grandes associations caritatives françaises, dont la Ligue, rédigent une Charte de Déontologie des organisations sociales et humanitaires faisant appel à la générosité du public.
  • 1991 La Ligue est agréée par le Comité de la Charte dès cette date, l’ensemble des Comités en 1992.
  • 1992 Cette charte reçoit l’engagement formel de tous les Comités. Chacun des présidents départementaux signe conjointement avec le président national. Ainsi tous les membres de la Ligue s’engagent à respecter les règles éthiques de la Charte : recueil de fonds, transparence financière, affectation des subventions conformément aux statuts, contrôle de l’utilisation des ressources.
  • 1992 une Assemblée générale ordinaire modifie le nom de la Ligue qui devient LIGUE NATIONALE CONTRE LE CANCER.
  • 1998 Premiers états généraux des malades atteints de cancer. La Ligue est reconnue comme le porte parole des malades pour exprimer leurs attentes et leurs besoins auprès des soignants et des responsables de santé.
  • 2000 deuxièmes états généraux des malades. 2000 personnes réunies par la Ligue au CNIT : malades, anciens malades, proches, professionnels de la santé… Tous ont dialogués ensemble et témoigné de leur expérience du cancer pendant cette journée qui a été celle de la détermination des malades.
Un site à visiter : www.ligue-cancer.net  Texte pour semaine du cancer en France 13-19 mars 2023

Journée Mondiale contre le cancer – 4 février 2020

Le cancer constitue encore aujourd’hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l’intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l’utilité d’un dépistage précoce permettant d’arriver à une guérison.

Le cancer en chiffres
En 2020, on estime que le nombre de personnes qui vont recevoir un diagnostic de cancer dépasse les 18 millions et que plus de 9 millions en décéderont. Les cancers les plus fréquents seront ceux du sein, de la prostate, du poumon et du côlon.

Une initiative intéressante a été prise par l’ARC récemment, à savoir la création d’un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net

Hémisphère nord vs hemisphère sud
Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l’hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le traitement des cancers, les pays du sud, comme à l’accoutumé ne bénéficient pas de telles attentions.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net

 

Source : Texte : Journée mondiale Image : Facebook

 

 

 

 

 

 

 

Journée mondiale contre le cancer – 4 février

Journée mondiale contre le cancer: 40% des cancers pourraient être évités en adoptant un mode de vie plus sain!

À l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, célébrée le 4 février, le ministère de la Santé, en collaboration avec la Fondation Cancer, lance une nouvelle campagne d’information et de sensibilisation afin de susciter l’intérêt et la mobilisation de chacun autour de meilleurs comportements au quotidien.

La campagne 2019, parrainée par l’ancien joueur de tennis professionnel Gilles Muller, met un accent fort sur la prévention. À côté du dépistage précoce, la prévention joue un rôle primordial dans la lutte contre le cancer. En adoptant des modes de vie sains – avec en premier lieu, le refus du tabac et la consommation modérée de l’alcool et en favorisant une alimentation saine et activité physique régulière – 40% des cancers pourraient être évités.

De son côté, la Fondation Cancer offre plusieurs services gratuits en termes de prévention comme le Food Lab, Comment devenir non-fumeur ou encore le FiTeam.

La Fondation Cancer mettra également en avant, dans les prochaines semaines, la thématique « Comment réagir face à un collègue atteint du cancer? ».

Face à toutes les émotions provoquées par la maladie et à la complexité de l’approche, la Fondation délivrera des suggestions et des réponses ciblées lors de conférences au sein des entreprises. En effet, le diagnostic de cancer ne concerne pas seulement la personne malade mais l’ensemble de son entourage social. Les effets se ressentent jusqu’au niveau professionnel. Pour répondre à cette problématique, la Fondation Cancer a élaboré un dossier spécial pour mieux appréhender ces relations intra-professionnelles http://bit.ly/collegue_cancer.

Source : Texte (extraits) : https://gouvernemnt.lu/fr   Communiqué 01.02.2019  Image : allevents.in   « Le cancer : espoir et défis – Déjeuner-causerie : projet Leucégène at Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, Montréal »

 

Journée mondiale de la Trisomie-21 – 21 mars

Une résolution de l’ONU en 2011 a institué la date du 21 mars comme Journée mondiale de la Trisomie-21. L’occasion se présente donc pour faire le point sur la situation actuelle de la Trisomie-21 au Québec.

Dans un premier temps, il est utile de se remémorer quelques-uns des grands titres de l’actualité en lien avec la Trisomie-21. «Saint Jude; un homme atteint de Trisomie-21 passe plusieurs jours avec le cadavre de son frère avant de mourir de faim et de soif (2010)», «Utilisation du Taser pour maîtriser un homme de 43 ans atteint de Trisomie-21 (2009)», «Un homme accusé d’avoir agressé sexuellement une dame trisomique de 47 ans (2008)», «Hôpital Sainte-Justine: un garçon de 9 ans trisomique n’est plus le bienvenu (2006)», «L’agresseur d’une jeune trisomique voit sa peine réduite (2004)», «Une fillette trisomique de 7 ans n’est pas la bienvenue dans sa classe (2004)», «Une femme trisomique de 41 ans morte de faim et de soif après le suicide de son frère aîné qui s’occupait d’elle (2004)».

Sans oublier l’actuel gouvernement du Québec qui a mis en place un programme de dépistage prénatal de la Trisomie-21, envoyant ainsi le message à la population que mieux vaut ne pas vivre du tout que de vivre avec une Trisomie-21. À l’égard de celles-ci, ce fut d’ailleurs la seule générosité dont s’est senti capable le gouvernement du Québec. Cette politique du «contentezvous» les a enfoncées brutalement, ainsi que leur famille, dans une situation de repli et dans un grand sentiment d’isolement et d’incompréhension.

Ce petit tour d’horizon nous fait constater à quel point rien n’est facile, même de nos jours, pour les personnes vivant avec une Trisomie-21. Il s’agit bien là d’une grave injustice à leur égard puisqu’elles méritent bien plus que l’abandon général à leur endroit.

En effet, les personnes vivant avec une Trisomie-21, bien qu’aux prises avec un retard sur le plan intellectuel, sont en avance sur nous tous quant à certaines qualités de coeur remarquables comme l’amour inconditionnel et leur capacité de vivre sans préjugés envers les autres. Elles nous invitent, par leur exemple, au dépassement de nos limites personnelles.

Par ailleurs, le rayonnement de la démocratie et de notre Assemblée nationale du Québec doit rejoindre l’ensemble des citoyennes et des citoyens du Québec, y compris les 10 500 Québécoises et Québécois vivant avec une Trisomie-21. Ce rayonnement doit être souligné concrètement et avec fierté à leur endroit. Ces personnes apportent par leur exemple d’aimer inconditionnellement une contribution unique, originale et majeure à la construction du Québec d’aujourd’hui et de demain. Cet exemple n’est maîtrisé que par ceux et celles qui sont sur un chemin trop peu fréquenté. Le rayonnement de la démocratie sait reconnaître l’égalité des chances et sait aussi reconnaître en chacun la capacité de fournir un apport positif à notre collectivité québécoise. Sur le plan humain, les personnes vivant avec une Trisomie-21 ont assurément beaucoup à nous apprendre.

En cette Journée mondiale de la Trisomie-21, je vous invite tous à prendre contact avec une personne ayant une Trisomie-21 de votre entourage. Ce sera son plus grand bonheur. Offrez-lui d’aller prendre une marche, d’aller manger une crème glacée, de jouer au ballon, d’aller aux quilles, etc., puis regardez doucement et attentivement dans ses yeux. Vous y verrez de l’amour à perte de vue…

Source: Texte: Sylvain Fortin, président de la Société québécoise de la Trisomie-21 www.degaulle-trisomie21.org Le Soleil 21 mars 2012 Image : jolpress.com

Journée Mondiale de l’ostéoporose – 20 octobre

Sensibiliser !
Tel est le maître mot de cette journée mondiale, tant il est vrai que l’ostéoporose est une maladie insuffisament connue et trop peu diagnostiquée…

Chaque année en France, plus de 130.000 femmes sont victimes de fractures, généralement sans savoir que c’est parce qu’elles souffrent d’ostéoporose. Près de 80% d’entre elles continueront donc à ignorer la véritable raison de leur fracture. Seules 20% seront orientées vers un dépistage de cette maladie et auront accès à des mesures préventives et à des traitements adaptés…

Quelques chiffres
On estime que 40% des femmes de 50 ans seront victimes d’une fracture ostéoporotique avant la fin de leur vie, et 14% des hommes. Ces chiffres pourraient doubler d’ici une cinquantaine d’années en raison de l’allongement de l’espérance de vie.

A 65 ans, 39% de femmes souffrent d’ostéoporose, elles sont 70% à 80 ans.

Dans le monde, on enregistre une fracture toutes les 20 secondes, soit 1.600.000 fractures du fémur par an !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale