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Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement – 10 novembre 2024

Le champ de la science est immense. Chaque année, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement permet de rappeler l’importance et la pertinence de la science dans la vie quotidienne, mais aussi d’insister sur la nécessité de faire participer le public aux débats sur les questions scientifiques émergentes.

En rapprochant la science de la société, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement vise à faire en sorte que les citoyens soient informés des développements scientifiques. Elle met aussi en lumière le rôle que les scientifiques jouent dans notre compréhension de la planète, système remarquable et fragile, et dans la consolidation de nos sociétés. Cette journée offre l’occasion de mobiliser tous les acteurs – des responsables gouvernementaux aux médias, en passant par les étudiants – autour d’un thème scientifique en faveur de la paix et du développement.

Cette Journée offre l’occasion de mobiliser tous les acteurs, des gouvernements aux écoles, en passant par les médias. L’UNESCO encourage vivement la participation de chacun à cette célébration de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement en organisant votre propre événement ou activité.

Thème 2024 : La jeunesse en première ligne

Cette année, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement se déroulera sous l’égide de la Décennie internationale des sciences au service du développement durable (2024-2033). Elle sera l’occasion de faire participer un large public, en particulier les jeunes, à la découverte et à l’exploration du rôle de la science dans notre monde numérisé en rapide évolution. Les jeunes auront l’occasion de poser des questions à d’éminents scientifiques sur la manière dont la science affecte notre vie quotidienne et contribue à trouver des solutions aux défis les plus pressants auxquels le monde est confronté aujourd’hui.

 

Source: Texte: https://www.un.org/fr/observances/world-science-day      Image: UNESCO

Journée mondiale de la normalisation – 14 octobre 2024

Cette année, la Journée mondiale de la normalisation a pour thème « Une vision commune pour un monde meilleur  ». Découvrez le thème retenu dans le message de l’IEC, de l’ISO et de l’UIT. Une vision commune pour un monde meilleur

Les normes au service des ODD

Les Objectifs de développement durable (ODD), qui visent à atténuer les inégalités sociales, à développer une économie durable et à freiner les changements climatiques, sont extrêmement ambitieux. L’atteinte de ces objectifs exigera la coopération de nombreux partenaires des secteurs public et privé, et le recours à l’ensemble des outils disponibles, y compris les Normes internationales et l’évaluation de la conformité.

La lutte intense engagée contre une pandémie mondiale qui ne faiblit pas a mis en lumière l’absolue nécessité d’aborder les ODD de manière inclusive, pour renforcer nos sociétés, les rendre plus résilientes et plus équitables. Aujourd’hui, nous vous invitons à vous joindre à nous pour réaffirmer que les ODD sont essentiels pour rebâtir en mieux. Dans cette optique, les normes sont plus pertinentes que jamais.

Le système de la normalisation dans son ensemble est fondé sur la collaboration. Il témoigne de la puissance de la coopération et de la conviction que nous sommes plus forts que la somme de toutes nos parties. En travaillant main dans la main, nous donnons aux individus les moyens d’aborder de front les défis de la durabilité avec des solutions concrètes.

C’est dans cet esprit que nous nous engageons à inscrire la Journée mondiale de la normalisation dans une entreprise de plusieurs années afin de faire découvrir les multiples façons dont les Normes internationales contribuent à la réalisation des ODD.

Nous faisons front commun pour œuvrer ensemble à accélérer la réalisation du Programme mondial à l’horizon 2030, en mettant les normes au service des ODD, avec une « vision commune pour un monde meilleur ».

Source: Texte: https://www.iso.org/fr/world-standards-day    Image: Standards Council of Canada

Journée internationale des tropiques – 29 juin

L’avenir appartient aux tropiques

La Journée internationale des tropiques est une occasion de célébrer l’extraordinaire diversité biologique, culturelle et linguistique de cette région et de reconnaître le rôle important que les pays des tropiques joueront dans la réalisation des objectifs de développement durable. Cette journée nous permet de souligner et de faire le point sur les progrès, les enjeux et les défis auxquels cette région et sa population font face.

Écosystème

Les tropiques sont définis comme étant la région sur Terre qui se trouve près de l’Équateur et qui s’étend approximativement entre le tropique du Cancer et le tropique du Capricorne. Quoique plusieurs facteurs topographiques et géographiques contribuent aux variations climatiques à l’intérieur même des tropiques, de façon simplifiée, le climat est généralement marqué par la chaleur et des températures relativement stables ou variant très peu d’une saison à l’autre. Les tropiques sont caractérisés par des précipitations dans les régions intérieures humides situées près de l’équateur; ces précipitations tendent à devenir saisonnières à mesure que l’on s’éloigne de la ligne équatoriale. La région tropicale est confrontée à plusieurs défis tels que les changements climatiques, la déforestation, l’exploitation forestière, l’urbanisation et les changements démographiques.

Populations

Les nations tropicales ont fait des progrès significatifs mais sont confrontées à une variété de défis qui nécessitent une attention ciblée à travers une gamme d’indicateurs de développement et de données afin de réaliser le développement durable.

  • On estime qu’en 2050, les tropiques seront la région la plus peuplée au monde, accueillant près des deux-tiers de la populations âgées de moins de 18 ans.
  • Avec un taux de pauvreté des plus élevés, plus de personnes souffrent de malnutrition dans les tropiques que partout ailleurs dans le monde.
  • La proportion de la population urbaine vivant dans des taudis ou bidonvilles est plus importante dans les zones tropicales.

Le saviez-vous ?

  • Près de 95 % de la superficie et 99 % des espèces de mangroves se trouvent sous les tropiques.
  • Les tropiques possèdent un peu plus de la moitié des ressources en eau renouvelables du monde, soit 54 %, mais près de la moitié de leur population est considérée comme vulnérable au stress hydrique.
  • La biodiversité est plus grande sous les tropiques – cependant, la perte de biodiversité est également plus importante sous les tropiques que dans le reste du monde.

 

Source: Texte & Image: https://www.un.org/fr/observances/tropics-day

Journée Internationale des musées – 13 mai 2023

Chaque année depuis 1977 se célèbre une journée internationale des musées, avec un thème particulier chaque année.

Cette journée est l’occasion pour les professionnels des musées d’aller à la rencontre du grand public et de le sensibiliser aux défis auxquels les musées doivent faire face pour être des institutions au service de la société et de son développement. Cette journée internationale se déroule tous les ans, en principe le 18 mai, et porte haut sa devise : « Les musées, moyen important d’échanges culturels, d’enrichissement des cultures, du développement de la compréhension mutuelle, de la coopération et de la paix entre les peuples ».

Nuit européenne des musées

Dans l’esprit du grand public, la nuit des musées a largement détrôné la journée des musées. Rançon du film éponyme ? On ne le sait…

Quoiqu’il en soit, en 2023 on célèbre la 19ème édition de la Nuit des musées et elle a lieu le 13 mai.

Le principe est simple, le musée que vous fréquentez assidument en journée le reste de l’année se trouve ouvert toute la nuit, pour découvrir les oeuvres mais également pour voir des animations, des concerts, et toutes sortes d’autres événements…

La Classe, l’œuvre !

C’est le thème retenu pour 2023 : les enfants seront à l’honneur cette année.

La Nuit des musées verra à nouveau les enfants danser, conter, présenter leurs créations, étonner les visiteurs.

C’est une opération conjointe des ministères de la Culture et de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle s’inscrit totalement dans le parcours d’éducation artistique et culturelle des élèves.

Un site à visiter : icom.museum   Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Unsplash (Dannie Jing)

Une expression qui fait réfléchir…

En cette période de Carême, il se peut que les aspects multiples de notre vécu se révèlent à vous avec plus de précision.
Les différents angles de notre quotidien nous apparaissent d’une manière plus claire nous présentant parfois de nouveaux défis..
Nos pensées, nos paroles, nos actions et réactions sont mises sous la loupe…

Il arrive parfois que l’on discerne certains messages qui nous parviennent – messages parfois surprenants, souvent interpellants…

Des messages, il nous en vient d’un peu partout.
Chaque jour, des voix nous rejoignent, d’ici, de là, qui apportent une vérité, suggèrent un questionnement, invitent à la réflexion.
Il suffit de prêter l’oreille, et de donner… l’attention du cœur!

Récemment, un message m’est parvenu par l’entremise de… ma voisine.
Elle serait surprise de l’apprendre, mais ses paroles ont suscité en moi une réflexion qui se poursuit.
Lors de nos rencontres occasionnelles, souvent je l’entends dire : « Si c’était moi… »
Et ces mots ont encore un écho en moi.

La semaine dernière, elle me racontait une visite qu’elle avait faite à une dame âgée qui se sent bien seule.
Ma voisine me racontait sa sortie et ajoutait : « Tu sais, je n’avais vraiment pas le goût de me préparer, me maquiller, prendre l’autobus et me rendre chez cette dame, mais je me suis dit : ‘Si c’était moi…’ moi qui me sens seule, qui n’ai jamais de visite… si c’était moi… alors, j’ai fait un effort et je suis allée. »

 

 

Ma voisine n’en est pas consciente mais, pendant nos conversations, elle utilise cette expression assez souvent.
Chaque fois, je me sens interpelée et, de retour chez moi, je continue à imaginer des situations en me répétant : ‘Si c’était moi…’

  • Si c’était moi qui suis prisonnier de mon fauteuil roulant et ne peut sortir que rarement…
  • Si c’était moi qui n’ai plus de famille et me sens inutile et souvent ‘déprimée’…
  • Si c’était moi qui me répète toujours les mêmes choses et… qui en oublie tant d’autres…
  • Si c’était moi qui suis lente à comprendre et… gauche pour m’exprimer…
  • Si c’était moi le jeune qui cherche… qui se cherche…
  • Si c’était moi la mère monoparentale encore enceinte sans le vouloir…
  • Si c’était moi le réfugié qui balbutie avec peine les mots d’une langue difficile…
  • Si c’était moi le prisonnier condamné injustement… (ça arrive parfois, vous savez!…)

SI C’ÉTAIT MOI…

Oui, si c’était moi, j’aimerais, oh combien j’aimerais une visite amicale, une parole encourageante, un regard qui dit qu’on comprend, une taquinerie qui me fasse sourire – alors que j’ai presque oublié ce que c’est que de sourire!
J’aimerais tellement qu’on pense un peu à moi, qu’on réalise que je suis là et que j’ai besoin d’un peu de chaleur humaine.

Évidemment, on ne peut pas dire ces choses-là, mendier ouvertement, ça ne se fait pas… mais… peut-être qu’un jour quelqu’un se dira : ‘Si c’était moi…’ et… et fera quelque chose…

Source: Images: dissolve   thegioiamxuc.vn, psst.ph

Amazonie : un Synode pour le monde entier

L’assemblée spéciale du Synode pour l’Amazonie s’ouvre dimanche 6 octobre à Rome pour trois semaines de débats. Sur le thème « Nouveaux chemins pour l’Église et pour une écologie intégrale », les évêques, venus principalement d’Amazonie, discuteront de la meilleure manière de répondre aux défis posés à l’Église dans cette région à l’importance cruciale pour le monde.

Pendant trois semaines, l’Amazonie va donc se retrouver au cœur de l’Église. Ses 7,8 millions de kilomètres carrés, ses milliers de kilomètres de cours d’eau et ses 33,6 millions d’habitants seront en effet au centre des discussions des évêques, prêtres, religieuses et experts rassemblés à Rome pour l’assemblée synodale convoquée par le pape François qui l’ouvrira par une messe, dimanche 6 octobre au matin à Rome…

Le pape de Laudato si’ a donc proposé une double approche au Synode. D’abord se pencher sur la crise écologique dont les graves incendies de cette année ont souligné l’urgence, alors que l’Amazonie concentre 15 % de la biodiversité mondiale et 15 % à 20 % des réserves d’eau douce…

Car, et c’est l’autre demande faite par François au Synode, il s’agit en effet de trouver de « nouveaux chemins » pour que l’Église réponde au mieux aux besoins des peuples qui lui sont confiés en Amazonie. Ici la question principale sera de voir jusqu’où l’Église est capable de s’adapter et de changer pour être crédible.

Source : Texte (abrégé): La Croix, Nicolas Senèze, à Rome, le 03/10/2019 à 16:36 Modifié le 06/10/2019 à 09:17  
Image: Le Pape François (R) salue des membes d’un groupe indigène de la région de l’Amazonie au Colisée Madre de Dios, à Puerto Maldonado, Peru, 19 janvier 2018. (REUTERS/Henry Romero – RC1504E5EC80)

 

Journée mondiale des communications sociales – 2 juin 2019

Nous célébrons la Journée mondiale des communications sociales chaque année le dimanche suivant la fête de l’Ascension. Chaque année également, le 24 janvier-en la fête de Saint François de Sales (patron des journalistes) – le Pape publie un message annonçant le thème de l’année.

Depuis Vatican II
Instituée à l’initiative de l’église catholique, à l’issue du concile Vatican II, la journée des communications sociales manifestait à l’époque la prise de conscience des enjeux de société (moraux et spirituels) que représentaient les moyens de communication de masse. En France, cette journée est connue sous le nom de Journée Chrétienne de la communication et est une occasion de réfléchir aux enjeux d’une communication fidèle à l’enseignement de l’église et respectueuse de la dignité humaine.

Dire que la situation a changé depuis 40 ans relève de l’évidence et le fait que vous lisiez cette notice directement sur votre ordinateur fait rapidement prendre conscience du chemin parcouru. Le thème choisi pour la journée mondiale des communications sociales en 2011 avait d’ailleurs été: « Vérité, annonce et authenticité de vie à l’ère du numérique ».

En 2013, elle s’intéresse aux réseaux sociaux.

En 2014, elle est axée sur « La communication au service d’une authentique culture de la rencontre ».

La journée mondiale des communications sociales du 13 mai 2018 (veut) s’attaquer à la problématique des « fausses nouvelles » souvent dénommées « fake news », c’est-à-dire les informations infondées qui contribuent à générer et à alimenter une forte polarisation de l’opinion. l’Église catholique souhaite offrir sa contribution en proposer une réflexion sur les causes, les logiques et les conséquences de la désinformation dans les médias. Elle souhaite aussi promouvoir un journalisme professionnel, à la recherche de la vérité, et favorisant la compréhension entre les personnes.

Chaque année, le Saint-Siège publie un message à l’occasion de cette journée, à retrouver directement sur le site officiel du Vatican. On peut aussi directement suivre les messages du Saint-Père sur Twitter.

Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Message pour la 53ème Journée Mondiale de la Communication 2019

La prochaine Journée mondiale de la communication, qui se tiendra le dimanche 2 juin 2019,aura pour thème : « Nous sommes membres les uns des autres » (Ép. 4,25). Des communautés de réseaux sociaux à la communauté humaine.

« Chers frères et sœurs,
Depuis l’avènement de l’Internet, l’Église a toujours cherché à en promouvoir l’utilisation au service de la rencontre entre les personnes et de la solidarité entre tous. Avec ce Message, je voudrais vous inviter une fois de plus à réfléchir sur le fondement et l’importance de notre être-en relation et à redécouvrir, dans l’immensité des défis du contexte actuel de la communication, le désir de l’homme qui ne veut pas rester dans sa solitude. »

Source : Texte : https:eglisecatholique.fr/vatican  Publié le 24 mai 2019

 

 

Journée mondiale de la Terre – 22 avril

Qu’est-ce que le Jour de la Terre ?

Coordonné par le « Earth Day Network », le Jour de la Terre consiste à apprécier le caractère unique de notre planète Terre avec son incroyable biodiversité.
Selon l’ONU sur son site officiel, l’ADN de la « Journée internationale de la Terre nourricière » est plus précisément de sensibiliser les gens aux défis auxquels fait face notre planète, à partir de l’idée que la Terre et ses écosystèmes sont ce qui nous nourrit et soutient nos pas tout au long de la vie. Bref, notre seule maison.

Au cours de cette journée, diverses activités nationales et internationales sont menées pour comprendre la biodiversité et savoir comment protéger notre nature, les plantes, les animaux et l’environnement dans son ensemble.
Certaines des actions menées consistent à inciter à l’achat de produits plus écologiques, à la réduction des déchets, au recyclage et à la réutilisation, ou encore à la promotion de la lutte contre le changement climatique.

Earth Day Network, l’organisation à l’origine du mouvement, collabore avec plus de 22 000 partenaires * à travers le monde. Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes participent chaque année aux activités de la Journée mondiale de la Terre pour en faire l’un des plus grands événements mondiaux.

*Note de l’éditrice:  On célèbre le  ‘Jour de la Terre’ pour la 49è année, 180 pays en font partie et cette année (2019) le Senegal et le Togo se joignent au groupe.

Source: Texte: www.linternaute.com/actualité  Images: telerama.fr   lesoufflecestmavie.unblog.fr

 

 

lesoufflecestmavie.fr

Journée internationale de l’alphabétisation – 8 septembre

La Journée internationale de l’alphabétisation est célébrée par le monde entier chaque année le 8 septembre et rassemble les gouvernements, la société civile et l’ensemble des acteurs concernés. Elle donne l’occasion de souligner les réalisations dans le domaine de l’alphabétisation et de réfléchir aux moyens de relever les défis restants.

Ce sujet est au cœur du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de ses objectifs. En 2018, la Journée internationale de l’alphabétisation sera célébrée à travers le monde sous le thème « Alphabétisation et développement des compétences ».

Adoptés en septembre 2015, les objectifs de développement durable promeuvent l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, ainsi que des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie. L’une des cibles de l’objectif 4 est de veiller, d’ici à 2030, « à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d’adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter. »

La Journée est célébrée cette année sous le thème Alphabétisation et développement des compétences. Malgré les progrès réalisés, des problèmes d’alphabétisation persistent et les exigences en termes de compétences requises pour le travail évoluent rapidement. La Journée de l’alphabétisation examine et met en évidence des approches intégrées qui peuvent simultanément soutenir le développement de l’alphabétisation et des compétences, pour améliorer la vie et le travail et contribuer à rendre les sociétés équitables et durable.

Dans le contexte de la Journée 2018, les « compétences » désignent les connaissances et les compétences nécessaires à l’emploi, aux carrières et aux moyens d’existence, en particulier les compétences techniques et professionnelles ainsi que les compétences transférables et les compétences numériques.

Source : Texte : ONU Images : staffingamericalanina.com   CDÉACF

 

Journée Mondiale de la santé mentale – 10 octobre

En 2004, la Journée mondiale de la santé mentale mettait l’accent sur les liens entre santé mentale et santé physique. Les données dont on dispose aujourd’hui indiquent que les personnes atteintes de maladies mentales, et en particulier celles qui sont placées en établissement, présentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale.

Il existe des interventions qui permettent de réduire la détresse physique et mentale des individus et les pertes qu’elle cause à la société. Pourtant, on constate qu’il subsiste une proportion importante de personnes atteintes de troubles mentaux qui ne bénéficient pas du traitement dont elles auraient besoin. Dans la Région européenne de l’OMS, on estime que 50% des personnes dépressives et 20% de celles atteintes de schizophrénie ne reçoivent pas de traitement médical.

« Sans santé mentale et sans bien-être, il n’y a pas de vraie santé« 
C’est en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l’urgence d’améliorer les politiques de prévention et de traitement qu’est organisée la Conférence ministérielle européenne de l’OMS sur la santé mentale.

Cette conférence témoigne de la volonté des pays de s’inspirer des nombreux exemples existants de bonnes pratiques. Ceux-ci prouvent qu’il est possible de promouvoir la santé mentale et de prévenir ou de traiter efficacement la morbidité mentale.

Relever les défis, trouver des solutions
Mettre en place des systèmes de soins complets et efficaces, promouvoir la santé mentale de la population, faire en sorte que le personnel ait les capacités requises, et donner aux utilisateurs de services de santé mentale et à leur famille les moyens de se prendre en charge. Les états devraient adopter un plan d’action, qui soulignerait l’importance fondamentale de la santé mentale pour la qualité de vie.

Un site à visiter : www.santenpdc.org Source : Texte : Journée mondiale  Image: uOttawa