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28è dimanche de l’année B – 2024

Notre ADN, nous, les humains, semble programmé avec un élément essentiel.
Il se retrouve chez nous tous et toutes.
C’est le besoin constant de… demander quelque chose!

Évidemment, nos besoins sont multiples et de nature diversifiée!
Nous le savons bien, dès qu’il peut parler, l’enfant articule ses désirs.
Et même avant l’usage de la parole, le petit crie de toutes ses forces pour exprimer ses désirs.

Devenu/es adultes, nous exprimons nos demandes d’aide à notre entourage.
Nos requêtes d’assistance paraissent… illimitées.

Il va sans dire qu’elles ne se limitent pas à nos semblables, mais elles s’adressent aussi à Dieu.

Nos besoins immédiats, nos problèmes inattendus, nos situations de crise nous font nous tourner vers lui.
Que de choses nous demandons à Dieu de nous accorder – la liste est longue et elle se prolonge sans cesse.

En terminant la 1ère lecture de cette célébration (Sagesse 7:7-11), je me pose la question:
Ai-je déjà fait à Dieu la demande que le sage exprime dans ce texte?…
Il a supplié que Dieu lui donne présisément la SAGESSE.

Étonnamment, il valorise ce don au-delà du pouvoir et des honneurs, encore plus que richesses et possessions, davantage que santé et beauté!
Il affirme audacieusement:

« Tous les biens me sont venus avec elle
et, par ses mains, une richesse incalculable ».

La SAGESSE… elle nous aide à…
Considérer… Comprendre… Coordonner…

Considérer notre nature humaine… un être créé à l’image de Dieu, intelligent et libre…
Comprendre le but de notre existence sur cette planète et la vie qui nous attend après celle-ci…
Coordonner nos choix selon les valeurs qui permettent notre croissance malgré les embûches inévitables…

La SAGESSE – elle est l’Esprit même de Dieu…
Puisse-t-il nous habiter et nous guider, jour après jour…

Voilà la demande ultime!
Le Psaume de cette célébration l’exprime en ces mots :

« Que nos cœurs pénètrent la sagesse » (Psaume 90:12).

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/28th-sunday-of-year-b-2024/

Source: Images: unsplash.com (I am Nah S40s00c6Ts) (McKenna Phillips-Db-stA8meJY)
https://www.scripture-images.com/bible-verse/lsg/ecclesiastes-7-11-lsg.php

Journée mondiale de la Schizophrénie – 18 mars 2023

En 2023, la journée mondiale de la shizophrénie se déroule pour la 20ème fois.Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! Les « journées » se dérouleront donc du 18 mars au 25 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure.

De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.

La schizophrénie pertube souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut:

  • Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
  • Etre submergée par des idées étranges
  • Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
  • Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
  • Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
  • Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
  • Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.

Mais la Schizophrénie n’est pas:

  • Un dédoublement de la personnalité
  • Causée par des parents négligents ou dominateurs
  • La conséquence d’une exprérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : schizinfo.com    Source: Texte:  Journée mondiale      Image: Passeport santé

Journée internationale de l’épilepsie – 14 février 2022

Journée internationale de l'épilepsie

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2022

« L’épilepsie, parlons-en !« 
pour mieux faire connaître l’épilepsie et ses différentes manifestations
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 
 

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale contre le travail des enfants – 2021

COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais !
En 2020, la Journée mondiale contre le travail des enfants se concentrera sur les conséquences de la crise actuelle sur le travail des enfants. La pandémie de COVID-19 et ses chocs socio-économiques ont des conséquences énormes sur la vie et les moyens de subsistance des populations. Malheureusement, les enfants sont souvent les premiers à en souffrir.

La crise peut pousser des millions d’enfants vulnérables au travail des enfants. On estime déjà à 152 millions le nombre d’enfants astreints au travail des enfants, dont 72 millions effectuent des travaux dangereux. Ces enfants courent désormais un risque encore plus grand de faire face à des circonstances encore plus difficiles et à avoir des journées de travail encore plus longues.

Cette année, la Journée mondiale se déroulera comme une campagne virtuelle et est organisée conjointement avec la Marche mondiale contre le travail des enfants et le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l’agriculture (IPCCLA).

Éradiquer le travail des enfants d’ici à 2025
152 millions d’enfants (64 millions de filles et 88 millions de garçons) sont astreints au travail des enfants dans le monde, ce qui représente presque un enfant sur dix à l’échelle mondiale. Il faut redoubler d’efforts pour atteindre la cible 8.7 des objectifs de développement durable (ODD), qui appelle à l’interdiction et à l’élimination immédiates des pires formes de travail des enfants.

Note de l’éditrice: L’an dernier, alors que le Coronavirus faisait rage depuis déjà trois mois chez nous, ce message nous parvenait. Il demeure tout autant d’actualité alors que la Covid commence à lâcher prise…

Source: Texte & Images: OIT (Organisation Internationale du Travail)

 

Journée mondiale contre le travail des enfants – 12 juin 2020

COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais !
En 2020, la Journée mondiale contre le travail des enfants se concentrera sur les conséquences de la crise actuelle sur le travail des enfants. La pandémie de COVID-19 et ses chocs socio-économiques ont des conséquences énormes sur la vie et les moyens de subsistance des populations. Malheureusement, les enfants sont souvent les premiers à en souffrir.

La crise peut pousser des millions d’enfants vulnérables au travail des enfants. On estime déjà à 152 millions le nombre d’enfants astreints au travail des enfants, dont 72 millions effectuent des travaux dangereux. Ces enfants courent désormais un risque encore plus grand de faire face à des circonstances encore plus difficiles et à avoir des journées de travail encore plus longues.

Cette année, la Journée mondiale se déroulera comme une campagne virtuelle et est organisée conjointement avec la Marche mondiale contre le travail des enfants et le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l’agriculture (IPCCLA).

Éradiquer le travail des enfants d’ici à 2025
152 millions d’enfants (64 millions de filles et 88 millions de garçons) sont astreints au travail des enfants dans le monde, ce qui représente presque un enfant sur dix à l’échelle mondiale. Il faut redoubler d’efforts pour atteindre la cible 8.7 des objectifs de développement durable (ODD), qui appelle à l’interdiction et à l’élimination immédiates des pires formes de travail des enfants.

 

Source: Texte & Images: OIT (Organisation Internationale du Travail)

 

Journée internationale de l’épilepsie – 12 février 2019

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…
L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes
Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace
Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Journée mondiale de la Schizophrénie – 17 mars

En 2018, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 15ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! La « journée » se déroulera donc du 17 mars au 24 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure. De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.
La schizophrénie perturbe souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
Etre submergée par des idées étranges
Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Mais la Schizophrénie n’est pas :

Un dédoublement de la personnalité
Causée par des parents négligents ou dominateurs
La conséquence d’une expérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : www.info-schizophrenie.ch    Source : Texte & Image : http://www.journee-mondiale.com