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Journée de commémoration en hommage aux victimes de la COVID-19 – 11 mars 2021

J’allume une étoile…

J’allume une étoile… le 11 mars 2021 J’allume une étoile … pour toi
qui nous as quittés la dernière année…

J’allume une étoile … pour vous
qui avez été sur la première ligne pour nous soigner et pour assurer les essentiels…

J’allume une étoile … pour nous
qui avons collectivement redécouvert, développé, imaginé…

J’allume une étoile … pour moi
car j’ai redécouvert en moi des forces, des valeurs, des essentiels…

Campagne: J’allume une étoile… le 11 mars 2021
Sur les étoiles de cette feuille ou sur d’autres étoiles que j’ajoute moi-même, j’inscris :

  •   les noms des personnes qui me sont chères et qui sont décédées depuis le début de la pandémie,
  •   les noms des personnes de mon entourage de la première ligne et des services essentiels à quije veux rendre hommage,
  •   les valeurs redécouvertes, les essentiels mis à jour durant cette période. Ensuite, je peux partager le tout
  •   de vive voix avec mon entourage, l’afficher à ma fenêtre, le partager par courriel, le publier sur mes réseaux sociaux ou ailleurs.
  •   en me joignant à cet élan d’étoiles en partageant sur www.facebook.com/DARD.Rituel

 

Renseignements:  www.facebook.com/DARD.Rituel dard.rituel@gmail.com 438-405-2439
Document créé par le DARD : dard.rituel@gmail.com   Image: clipart-library.com

Journée internationale des femmes – 8 mars 2021

Thème de la Journée internationale des femmes de 2021 : #RelanceFéministe

Le 8 mars marque la Journée internationale des femmes, un moment visant à célébrer les contributions des femmes et des filles du monde entier, à reconnaître les femmes qui nous inspirent tous et à reprendre la discussion sur l’importance de l’égalité des genres au Canada et dans le monde. 

Répercussions de la COVID-19 sur les femmes 

Des lacunes fondamentales ont été décelées dans notre société; ces dernières ont eu un impact disproportionné sur les personnes déjà marginalisées, vulnérables ou en difficulté. Sur tous les fronts, la pandémie de COVID-19 a érodé les acquis difficilement obtenus en matière d’égalité des genres. Des licenciements au manque de garde d’enfants en passant par l’augmentation du travail non rémunéré et la montée de la violence familiale, les femmes ont été les plus profondément touchées par la crise sanitaire et économique.

Le gouvernement du Canada travaille à la création d’un plan d’action pour les femmes dans l’économie, afin d’aider les femmes à réintégrer le marché du travail et d’inscrire la réponse à cette pandémie et à cette relance dans une optique féministe et intersectionnelle. Ce plan sera dirigé par un groupe de travail diversifié d’expertes et d’experts et guidera une approche pangouvernementale.ment du Canada.

Source: Texte & Image: Gouvernement du Canada
Journée internationale des femmes

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitale. A découvrir !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & image: Journée mondiale

L’actualité: Covid-19, tempête de neige, et…

L’actualité, c’est un sujet qui couvre bien des choses: des événements importants, des faits divers et quoi encore?
Bien souvent, ce qu’on nous présente sous ce titre n’a rien pour nous encourager ou nous stimuler.
Mais il arrive que, parmi bien d’autres informations, une nouvelle a de quoi nous inspirer, littéralement.
C’est ce qui s’est produit avec le bulletin de nouvelle à l’antenne de TVA hier.
Le texte qui suit vous donne plus de détails.

Le cadran montre 6 h 30. Après une première journée éreintante, Donald Hargray est de retour dans le stationnement des employés de l’hôpital de Saint-Jérôme avec tout son équipement. Sa mission? Déneiger le plus de véhicules possibles pour remercier les travailleurs de la santé de leurs sacrifices en ces temps difficiles.

Le retraité de 65 ans avait déneigé plus de 200 véhicules dimanche en milieu d’après-midi. Une besogne amorcée la veille qui lui a valu toutes sortes de remerciements de la part des employés, comme des pourboires ou des cartes-cadeaux.

«Je ne les accepte pas parce que ce n’est pas le but du tout, dit-il. Ce qui fait mon bonheur, c’est quand ils me disent merci avec un petit sourire.»

Il encourage maintenant tous ceux qui, comme lui, sont en bonne forme et ont un peu de temps libre, à trouver une façon de remercier le personnel de la santé. 

«On ne sait jamais, c’est peut-être à eux qu’on va laisser le soin de nous traiter», rappelle-t-il.

Note: Un blogue sur le même thème a aussi de quoi inspirer et encourager à penser aux autres. On le retrouve à: https://image-i-nations.com/je-suis-atteinte/

 

Source: Texte: TVA Nouvelles, publié le 17 janvier 2021 à 15:02 Image: tvanouvelles.ca
 

Fête de Noël, année B – 2020

Enfin, une bonne nouvelle : le vaccin contre la Covid-19 est arrivé chez nous;
on a commencé à vacciner les personnes les plus à risque.
On affirme qu’il y a maintenant de la lumière au bout du tunnel mais…
on ajoute que le tunnel est long.

C’est cette information qui me restait présente à l’esprit en lisant les textes de la Fête de Noël.
Je m’étonne – et je m’émerveille aussi – de voir comment ce thème illumine, littéralement, le sens de cette célébration.

« Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière;
et sur les habitants du pays de l’ombre, une lumière a resplendi. » (1ère lecture, messe de la nuit)

 
« La gloire du Seigneur enveloppa les bergers de sa lumière. » (Évangile, messe de la nuit)
 
« La lumière aujourd’hui a resplendi sur nous:
un Sauveur nous est né ! » (répons du Psaume, messe de l’aurore

« Aujourd’hui la lumière a brillé sur la terre.
Peuples de l’univers, entrez dans la clarté de Dieu. » (verset de l’Alleluia,
messe du jour)

 
« En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes;
la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée. »

 
« Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. » (Évangile, messe du jour)
 
Pour moi, la vraie lumière au bout du tunnel, c’est celle-là –
Celle de Dieu qui ne veut pas nous aider… à distance!
Il vient parmi nous, mais plus encore il se fait l’un de nous.

C’est cette réalité lumineuse qui donne une signification à ce que nous vivons en cette période de pandémie qui nous paraît parfois bien ténébreuse!

Cette lumière, elle n’est pas réservée à un petit groupe de gens –
les privilégiés, les choisis, les élus, ceux qui la méritent.
Non, « tout homme, toute personne, venant en ce monde » peut en être illuminée.

Il nous suffit « d’entrer dans la clarté de Dieu » en l’accueillant chez nous.
C’est aussi simple que cela!
 
 Note: Une vidéo sur le thème de Noël… en pandémie est disponible à: https://youtu.be/p-cbP5MQtWU

Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/feast-of-christmas-year-b-2020/

 

Source: Images: Insurance Age   Passionistes de polynésie

Journée Mondiale de la science au service de la paix et du développement – 10 novembre 2020

Journée Mondiale de la science au service de la paix et du développement
Les représentants des communautés scientifiques à travers le monde animent de nombreuses manifestations et discussions à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement.Décidée par la Conférence générale de l’UNESCO à sa 31ème session, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement est un événement annuel célébré pour rappeler l’engagement pris à Budapest à l’occasion de la Conférence mondiale sur la science, organisée par l’UNESCO en coopération avec l’ICSU en 1999. La Journée a pour objectif de sensibiliser l’opinion publique à l’importance de la science et de combler le fossé entre la science et la société.

Science pour et avec la société

En 2020, au moment où la pandémie mondiale de la COVID-19 illustre le rôle essentiel de la science dans la résolution des défis mondiaux, la Journée mondiale de la science est centrée sur La science pour et avec la société. Pour célébrer la Journée mondiale de la science 2020, l’UNESCO organise cette année une table ronde en ligne sur le thème « La science pour et avec la société face au COVID-19 ».

Un site à visiter : fr.unesco.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Une bonne nouvelle: un cessez-le-feu mondial

Communauté de Sant’Egidio : soutien à un « cessez-le-feu mondial » pour 90 jours

La Fleur Contre Les Armes

Pour « garantir l’assistance humanitaire » aux plus vulnérables

La Communauté de Sant’Egidio soutient la résolution approuvée le 1er juillet 2020 par le Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur d’une « cessation immédiate des hostilités dans toutes les situations pendant au moins 90 jours consécutifs », indique un communiqué publié en italien sur le site de Sant’Egidio le lendemain. Cela permettrait de « garantir l’assistance humanitaire aux populations touchées par les conflits et les réfugiés, ainsi que la lutte contre la propagation de Covid-19 ».

Sant’Egidio « s’engage immédiatement à soutenir et à diffuser la résolution » dans tous les pays où, « malgré les difficultés du moment », la communauté poursuit « son engagement à résoudre les conflits et à rechercher une paix durable ».

La résolution est particulièrement axée sur les réfugiés, dont « les conditions de vies se sont aggravées de manière disproportionnée en cette période de pandémie », lit-on dans un communiqué.

Le texte souligne que « la guerre est la mère de toute pauvreté, une réalité dramatique » qui touche surtout « les plus vulnérables ».

La résolution de l’ONU, qui répond à l’appel pour un « cessez-le-feu mondial » lancé le 24 mars dernier par le secrétaire général Antonio Guterres, a été approuvée à l’unanimité le 2 juillet.

 

Source: Texte & Image: https://fr.zenit.org/author/marinadroujinina/

14th Sunday of Year A – 2020

This period we are living – that of the Covid-19 pandemic – has taken us unawares, it is certain.
It has brought in its wake, all kinds of things totally unexpected.

But, when we think about it, our lives are filled with things which are precisely that: unexpected.

  • The promising encounter.
  • The unannounced visitor.
  • The surprise promotion.
  • The welcome help from a friend.
  • The mysterious gift left at the door.
  • The improbable happy event.
  • The unforeseen loss of work.
  • The tragic accident.
  • The sudden death…

And the list could go on of all that we had neither planned nor envisaged as possible.
Things, events, situations, people – all can belong to this category of the unexpected.

And two of the readings of this Sunday (Ze.9:9-10) (Mt.11:28-30)
make me think that the God they describe is also an… UNEXPECTED GOD!

A God who is humble, riding a donkey – not a horse as someone powerful.
A God who is gentle, humble in heart…
This is NOT the kind of God we would expect…

Yet, the story – the REALITY- started long ago…
The birth in a manger in poor surroundings,
the death on a cross condemned by jealous religious leaders and killed by the occupying power.

This has been – this remains – God’s choice… we have yet to understand…
to really meet and come to know… the ‘unexpected’ God.

Then, slowly, we may come to realize that he can also work – unexpectedly – wonderful things in our lives.
 

Note: Another reflection on a different theme in French can be found at: https://image-i-nations.com/14e-dimanche-de-lannee-a-2020/

 

Source: Image: Zoe Ministries

 

 

 

Journée nationale des peuples autochtones – 21 juin 2020

Qu’est-ce que la Journée nationale des peuples autochtones?

Le 21 juin est la Journée nationale des peuples autochtones. C’est une occasion spéciale de souligner, pour tous les Canadiens, le patrimoine unique, la diversité culturelle et les réalisations remarquables des Premières Nations, des Inuitet des Métis. La Constitution canadienne reconnaît ces trois groupes comme peuples autochtones.

Bien qu’il y ait beaucoup de points communs entre ces groupes, chacun d’entre eux a son patrimoine, sa langue, ses pratiques culturelles et ses croyances spirituelles.

En collaboration avec les organisations autochtones nationales, le gouvernement du Canada a choisi le 21 juin, date du solstice d’été, pour célébrer la Journée nationale des Autochtones. Pendant des générations, de nombreux groupes et collectivités autochtones ont célébré leur culture et leur patrimoine à cette date ou à cette période de l’année étant donné la signification que revêt le solstice d’été : le jour le plus long de l’année.

Pourquoi avoir créé la Journée nationale des peuples autochtones?

La Journée nationale des peuples autochtones a été annoncée en 1996 par le gouverneur général de l’époque, Roméo LeBlanc, grâce à la Proclamation désignant le 21 juin de chaque année comme Journée nationale des peuples autochtones. Cette journée a été créée à la suite de consultations auprès de divers groupes autochtones, qui ont fait des déclarations d’appui à cet égard.

  • En 1982, la Fraternité des Indiens du Canada (maintenant l’Assemblée des Premières Nations) a demandé l’établissement de la Journée nationale de la solidarité autochtone
  • En 1995, l’Assemblée spirituelle, conférence nationale d’Autochtones et de non-Autochtones, présidée par Elijah Harper, a proposé la création d’une fête nationale pour souligner la contribution des Autochtones
  • Toujours en 1995, la Commission royale sur les peuples autochtones a recommandé l’adoption d’une journée nationale des Premiers Peuples.

Le 21 juin 2017, le premier ministre a fait une déclaration annonçant son intention de renommer cette journée « National Indigenous Peoples Day »; le nom reste le même en français.

Covid-19

En raison de la gravité de la crise de la COVID-19, le gouvernement du Canada invite les Canadiens à célébrer le Mois national de l’histoire autochtone et la Journée nationale des peuples autochtones à la maison. Assurez votre propre sécurité, ainsi que celle de votre famille et de votre communauté, en suivant les instructions des responsables de la santé et d’autres sources fiables.

Vous pouvez en apprendre davantage sur le patrimoine unique, les cultures diverses et les contributions exceptionnelles des peuples des Premières Nations, des Inuit et des Métis en lisant une copie numérique de l’un des livres de la liste de lecture de #LecturesAutochtones ou en explorant une exposition virtuelle dans votre musée préféré.

Source: Texte & Image: Gouvernement du Canada

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin 2020

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années.
La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes
Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants
Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Le paradoxe COVID19
Quand cela ne va pas, il faut déoncer. Mais quand cela va bien il faut le dire également. La situation très particulière liée au Covid19 a mis en lumière des trésors d’ingéniosité et de dévouement dans les Ephad et dans tous les lieux d’accueils des personnes agées. Les personnels ont fait preuve d’une volonté et d’une abnégation sans égales pour maintenir la qualité d’accueil dans les établissement ainsi que les liens avec les familles. Merci à eux !

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale contre le travail des enfants – 12 juin 2020

COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais !
En 2020, la Journée mondiale contre le travail des enfants se concentrera sur les conséquences de la crise actuelle sur le travail des enfants. La pandémie de COVID-19 et ses chocs socio-économiques ont des conséquences énormes sur la vie et les moyens de subsistance des populations. Malheureusement, les enfants sont souvent les premiers à en souffrir.

La crise peut pousser des millions d’enfants vulnérables au travail des enfants. On estime déjà à 152 millions le nombre d’enfants astreints au travail des enfants, dont 72 millions effectuent des travaux dangereux. Ces enfants courent désormais un risque encore plus grand de faire face à des circonstances encore plus difficiles et à avoir des journées de travail encore plus longues.

Cette année, la Journée mondiale se déroulera comme une campagne virtuelle et est organisée conjointement avec la Marche mondiale contre le travail des enfants et le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l’agriculture (IPCCLA).

Éradiquer le travail des enfants d’ici à 2025
152 millions d’enfants (64 millions de filles et 88 millions de garçons) sont astreints au travail des enfants dans le monde, ce qui représente presque un enfant sur dix à l’échelle mondiale. Il faut redoubler d’efforts pour atteindre la cible 8.7 des objectifs de développement durable (ODD), qui appelle à l’interdiction et à l’élimination immédiates des pires formes de travail des enfants.

 

Source: Texte & Images: OIT (Organisation Internationale du Travail)