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Remembrance Day – 11 November

The Remembrance Day Ceremony has played a major role in Remembrance for decades. Every year on November 11, millions gather to collectively stand in honour of all who have fallen in the service of their country.

They shall grow not old, as we that are left grow old;dsc00158-370x245
Age shall not weary them, nor the years condemn.
At the going down of the sun and in the morning
We will remember them.
We will remember them.

Remembrance Day is an important day in the Canadian calendar and is an opportunity to give meaning to past sacrifice and acknowledge the courage of those presently serving. Each year, on the eleventh hour of the eleventh day of the eleventh month, we gather in memorial parks, community halls, workplaces, schools and homes to observe a moment of silence and mark the sacrifice of so many.

Source: Text & Image: Legion

 

SEP… Schlérose en plaques?

Je partage avec vous un article inspirant reçu tout récemment.

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Elle est blonde, jolie, malade incurable, mais rien ne l’arrêtera
Malgré la maladie, Marine, 22 ans a choisi de vivre de toutes ses forces.

Marine, une force de la nature malgré sa maladie 
Marine Barnérias est une jeune fille de 22 ans, à peine diplômée d’une école de commerce. Blonde, pétil-lante, une voix grave, du bagout, elle croque la vie à pleine dent. Mais pourtant, quelque chose d’anormal s’est glissé dans sa vie : on vient de découvrir qu’elle est atteinte d’une sclérose en plaque.

Le courage et le goût de la vie, plus forts que la maladie
« Cette maladie est une maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. Elle entraîne des lésions qui provoquent des perturbations motrices, sensitives et cognitives. À plus ou moins loin terme, ces troubles peuvent progresser vers un handicap irréversible » décrit-elle, sur son blog, avec une résignation déconcertante.

Mais cette jolie blonde n’accepte pas de céder au découragement, c’est son mot d’ordre. Et pour s’y tenir, elle a monté un projet fou qu’elle réalise en ce moment, celui de partir sept mois en voyage à l’autre bout de la terre, en suivant un programme unique, concocté personnellement.

Son projet : trois destinations, trois découvertes
Comme elle le dit, sa « SEP » – sclérose en plaque – à elle, c’est une « Super Envie de Partir », équipée d’une arme vaillante, l’optimisme. Elle désire « rencontrer et interviewer des personnalités qui propagent des ondes positives dans la manière de penser ou de vivre », en condensant ces rencontres dans un film qu’elle diffusera en ligne.

Le voyage prévu découle sur trois étapes. La Nouvelle-Zélande, pour se pencher plus précisément sur ce corps, ce fidèle compagnon qui la porte depuis 22 ans, ce corps malade qu’elle doit désormais apprivoiser. Puis la Birmanie afin d’éveiller son esprit, découvrir la force de celui-ci toujours plus puissantes que les marées ravageantes qui peuvent l’ébranler ; elle aura par ailleurs l’occasion de se rendre au sein d’un monastère bouddhiste. Et enfin la Mongolie pour se retrouver face à son âme, dans un dépouillement total permis par la solitude la plus complète.

Vivre ses rêves, pour combler le noir du réel
Cette ascension vers l’essentiel est un pari audacieux pour cette jeune fille, qui a toujours rêvé de tenter l’aventure, mais ne l’a jamais osée. « N’oubliez pas vos rêves, ce sont nos meilleures armes dans ce monde devenu fou ».

Marine peste sur la société dans laquelle elle vit. « Cela fait maintenant plusieurs années que je ne supporte plus la manière dont nous sommes abreuvés d’informations inutiles contre lesquelles nous ne pouvons rien faire… Elles nous formatent, se glissent partout, sur nos écrans, dans tous les lieux, omniprésentes, elles nous consomment… Résultat : nous sommes de plus en plus méfiants. Le lien se dilate et la confiance disparaît (…). Ce voyage sera pour moi une manière d’apprendre à me connaître vraiment et à affronter la vie différemment.»

Pour préparer ce périple, la jeune malade a compté sur l’aide de ceux qui furent touchés par son histoire. Elle a constitué une cagnotte, où chacun a pu l’accompagner par une participation libre et anonyme pendant cette aventure, ce pari de vivre et de voyager quand la maladie voulait l’immobiliser. Grâce à ce soutien, elle est partie fin janvier 2016, et réalise son rêve en ce moment à l’autre bout de la terre malgré la maladie.  Bon, faire le tour de la terre c’est pas toujours une partie de plaisir non plus…

Azur Guirec  | 23 juillet 2016  http://fr.aleteia.org/2016/07/23/seper-hero-une-audacieuse-aventure-contre-la-maladie/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr

20è dimanche de l’année, C

En cette saison, un poste de télévision étrangère fait la publicité d’une série d’émissions avec des expressions qui suscitent l’intérêt. On nous promet la rencontre avec des personnes qui ont réalisé quelque chose de spécial dans leur vie et on nous propose leur exemple comme inspiration en nous disant de ces gens:
Certains relèvent des défis; d’autres surmontent les obstacles, d’autres encore vainquent la peur; nombreux sont ceux et celles qui réussissent des exploits extraordinaires; tous et toutes se surpassent.running-track-athletics-competition-49413938

Notre monde nous offre des exemples frappants d’hommes et de femmes qui excellent dans le domaine de leur compétence : les athlètes qui participent aux Jeux Olympiques ont un but bien défini : obtenir les médailles tant convoitées et monter sur le podium célébrant ainsi leur victoire. Les artistes de cinéma qui se méritent un ‘Oscar’ reçoivent le prix de leurs performance exceptionnelle, la reconnaissance de leurs collègues et l’adulation de leur public.

Les mots entendus à la télévision me sont venus à l’esprit en lisant les lectures de ce 20è dimanche (année C). Chacun des trois textes nous présentent justement des personnes qui ont réalisé une mission spécifique qui exigeait à la fois audace, courage, endurance. La lettre aux Hébreux en parle comme « Une immense nuée de témoins. » Témoins du Christ qui, le premier, a accompli jusqu’au bout la mission qu’il avait assumée – celle « d’allumer un feu sur la terre. »

Et nous, disciples du Christ, où en sommes-nous de notre performance? Il ne s’agit pas, bien sûr, de l’accomplissement d’une tâche dans le but d’épater les gens ou de s’attirer une gloire passagère. Notre quotidien est sans doute assez banal. Les occasions de prouver notre fidélité, au jour le jour, n’ont sans doute rien de bien extraordinaire. Ce qui nous occupe et nous préoccupe est tout à fait prosaïque. Mais le banal, l’ordinaire et le prosaïque peuvent être le lieu d’une fidélité exceptionnelle – et c’est vraiment ce qui compte!

Se distinguer par l’attention aux petites choses, se surpasser dans ce qui semble sans importance, savoir durer alors que tout invite au découragement, n’est-ce pas l’essence même de… l’excellence? N’est-ce pas là aussi la nature même de l’engagement à suivre le Christ à travers tout, malgré tout, jusqu’au bout?

Source: Image : www.dreamstime.com

Logo des Olympiades

C’est la période des Jeux Olympiques d’été à Rio.

C’est LE sujet d’actualité – Tout le monde en parle!640px-Olympic_Rings_svg

Pour ma part, j’en profite pour ‘personnaliser’ le logo classique des Olympiades: les 5 cercles symboliques.

Dans ma ‘course’ à la croissance personnelle je donne à chacun des cercles un titre bien défini qui se veut une attitude:

DÉTERMINATION – AUDACE – COURAGE – ENDURANCE – PERSÉVÉRANCE.

 

L’idéal de la performance, bien sûr, n’est pas de surpasser les autres mais de me surpasser de jour en jour… jusqu’au bout!

Source: Image: en.wikipedia.org

Vendredi-Saint… S’en laver les mains…

washes hsands, jesus-story.netS’en laver les mains
S’esquiver,
se désister,
ne pas oser,
ne pas témoigner,
se soustraire à un devoir,
abdiquer une responsabilité,
éviter de prendre position,
fermer les yeux pour ne pas voir,
rejeter l’option qui demande du courage,
se laisser vaincre par la peur, la honte, l’indifférence –

C’est tout cela: s’en laver les mains…

Source: Image: jesus-story.net

 

Journée Mondiale de la Femme – 8 mars

femmeLa Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire
La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques
1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies
Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

Un site à visiter : www.unwomen.org       Source: Texte & Image: Journée mondiale

Not to be afraid…

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St. Francis de Sales was a ‘master’ of the spiritual life and was keen to help lay people find a simple and genuine way to relate to God in their daily life. He repeats Jesus’ message not to be afraid. He has this to say:

« Do not look forward to the misfortunes of this life in fear, but foresee them with a perfect hope that in the measure they happen, God to whom you belong, will rescue you from them. He has protected you up to the present. Do not think about what will happen tomorrow, for the same eternal Father who has care of you today, will have care of you both tomorrow and always. Either he will give you no evil at all, or if he does give it to you, he will give you and invincible courage to bear it. »