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Journée Mondiale sans tabac – 31 mai 2022

Journée Mondiale sans tabac

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’en 2020, le tabac était la principale cause de décès et d’incapacité, avec plus de 10 millions de victimes par an. Le tabagisme entraine plus de décès à travers le monde que le Sida, la turberculose, la mortalité maternelle, les accidents de voiture, les suicides et les homicides combinés…

C’est décidé : j’arrête !

La Journée mondiale sans tabac vise à mettre l’accent sur le rôle décisif joué par les professionnels de la santé dans la lutte antitabac. Ces derniers sont en effet en contact avec un pourcentage élevé de la population cible et ils ont l’occasion d’aider les fumeurs à modifier leur comportement. Ils peuvent aussi donner des conseils et des réponses aux questions relatives aux conséquences du tabagisme et donner l’exemple en s’abstenant de fumer.

Des alternatives ?

S’arrêter de fumer est parfois un véritable parcours du combattant et des alternatives au sevrage total de tabac font régulièrement leur apparition. Acupuncture, homéopathie, sophrologie, médecines douces voire cigarette électronique, les méthodes sont nombreuses et proposent une aide à ceux qui souhaitent arrêter de fumer. Leur efficacité est dans la plupart des cas encore à valider et au final et c’est votre médecin qui vous apportera le conseil adapté. Le dossier réalisé par Doctissimo permettra de se faire une idée générale.

Un thème écologique pour 2022

Le thème pour la Journée mondiale sans tabac de cette année est court et percutant : « Le tabac : une menace pour notre environnement ». Peu de mots, des actes. Espérons que les moyens suivront.

Un site à visiter : www.who.int    Source: Texte & Image:  Journée Mondiale   2è image: 123RF

Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques. Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Dégâts collatéraux
Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

L’environnement est protégé en temps de guerre par un certain nombre d’instruments juridiques, notamment la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (1976), la Convention sur les armes chimiques et la Convention sur la prohibition des mines antipersonnel (1997). En outre, le Protocole additionnel I aux Conventions de Genève interdit l’utilisation de  » méthodes ou moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu’ils causeront, des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel  » et dispose que  » la guerre sera conduite en veillant à protéger l’environnement naturel contre des dommages étendus, durables et graves « . Mais ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes voulus pour assurer l’application de ces conventions. De fait, il faudra peut-être que nous renforcions le chapitre  » vert  » des règles du droit humanitaire international.

(…)

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org        Source : Texte (abrégé) & Images: Journée mondiale

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition – 23 August

The United Nations’ (UN) International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition is annually observed on August 23 to remind people of the tragedy of the transatlantic slave trade. It gives people a chance to think about the historic causes, the methods, and the consequences of slave trade.

Background
In late August 1791, an uprising began in Santo Domingo (today Haiti and the Dominican Republic) that would have a major effect on abolishing the transatlantic slave trade. The slave rebellion in the area weakened the Caribbean colonial system, sparking an uprising that led to abolishing slavery and giving the island its independence. It marked the beginning of the destruction of the slavery system, the slave trade and colonialism.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition was first celebrated in many countries, in particular in Haiti, on August 23, 1998, and in Senegal on August 23, 1999. Each year the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) reminds the international community about the importance of commemorating this day. This date also pays tribute to those who worked hard to abolish slave trade and slavery throughout the world. This commitment and the actions used to fight against the system of slavery had an impact on the human rights movement.

Source : Text : timeandate.com Image : Breaking Buzz

 

Journée mondiale de l’altruisme – 26 mai

1 ère JOURNÉE MONDIALE DE L’ALTRUISME

Qui sont les organisateurs ?
Les membres de Mouvement Altruiste se composent d’hommes et de femmes, mais aussi d’enfants et de familles, soucieux, à leur niveau, d’apporter une pierre à l’édifice d’un monde plus altruiste. Ils opèrent des choix qui, à court ou à long terme, ont des conséquences profitables à tous.

A qui s’adresse cette journée ?
À toute personne soucieuse de créer le monde de demain, en y apportant davantage d’humanité. Aux consommateurs, soucieux de leurs choix, qui ne veulent plus participer au travers de leurs actes à la destruction de la planète et à la souffrance d’autrui.

Source : Texte & Image : www.bernieshoot.fr

 

Journée Mondiale de la Terre – 22 avril

Cet évènement a été célébré pour la première fois le 22 avril 1970. le Jour de la Terre est aujourd’hui reconnu comme l’événement environnemental populaire le plus important au monde.

Le fondateur de cet événement est le sénateur américain Gaylord Nelson. Il encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l’environnement dans leurs communautés. Aujourd’hui, le Jour de la Terre est célébré, à travers le monde, par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays.

Notre planète en danger
Le 30 mars 2005, l’Unesco publiait la première évaluation des écosystèmes pour le millénaire, un rapport accablant sur l’impact de l’homme sur la planète. Au cours des dernières années, les activités humaines ont modifié les écosystèmes pour satisfaire une demande croissante de nourriture, d’eau douce, de bois, de fibre et d’énergie…

Une dégradation irréversible aux conséquences désastreuses puisque le bien-être de l’homme est menacé d’ici à quarante ans.

Un site à visiter : www.earthday.net   Source : Texte : Journée Mondiale   Image : fotolia
Journée de la Terre : les chiffres hors norme des déchets plastiques

– Le cachalot retrouvé mort en Espagne en février dernier sur une plage de Cabo de Palos, avait avalé 29 kg de plastique, selon les autorités de la région de Murcia le 4 avril. « Les experts estiment que ces matériaux ont pu provoquer la mort de l’animal, par péritonite ou par compactage de l’estomac ».–

– Il faut 1 seconde pour fabriquer un sac plastique, qui mettra ensuite jusqu’à 400 ans pour se désagréger.

– Plus de 150 millions de tonnes de déchets plastiques flottent désormais sur les océans, alerte la fondation Ellen MacArthur.

Dans l’Océan Pacifique s’étend une mer de déchets plastiques grande comme trois fois la France, selon une étude américaine publiée en mars 2018 dans la revue scientifique Scientific Reports

Depuis 1950, l’homme a produit 8,3 milliards de tonnes de plastiques, selon une étude publiée en 2017 dans la revue Science Advances suite au travail de scientifiques américains. Ce qui fait désormais du plastique le 3e matériau le plus fabriqué par l’homme après le ciment et l’acier.

Pour vous faire une identité de la quantité, 8,3 milliards de tonnes, c’est l’équivalent de 822 000 tours Eiffel ou 80 millions de baleines, dixit Le Monde…

Source: Texte: www.linternaute.com  ,

 

32è dimanche de l’année, A

Jésus avait l’art de décrire, dans un récit, une situation qui permettait à ses auditeurs de voir vraiment la scène.
En fait, Jésus les conduisait à SE voir dans telle ou telle circonstance.
Les paroles de Jésus les aidaient à percevoir le message qu’il voulait leur communiquer.

C’est le cas du texte de l’évangile de ce dimanche (32è de l’Année A – Mt.25 :1-13).
Cette parabole des Vierges sages et des vierges folles, ou des Dix jeunes filles, nous est bien familière.
La sagesse des premières et l’étourderie des autres fait partie du répertoire de textes qui nous sont bien connus.

Le texte débute ainsi :
« Le royaume des Cieux sera comparable
à dix jeunes filles invitées à des noces ».

 
De quoi est-il question au juste?
On y voit, dans un contraste évident, l’insouciance et la prévoyance.
L’insouciance qui ne se préoccupe pas des conséquences, une certaine dose de ‘je-m’en-foutisme’!
Il arrivera ce qui arrivera – tant mieux? Tant pis?
Je ne m’en soucie guère.

L’évangile dit :
« Cinq d’entre elles étaient insouciantes…
Les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile ».
 
La prévoyance, elle, évalue d’avance les résultats jugeant de l’aspect positif ou négatif d’une certaine attitude.
Au début de cette réflexion, les mots en caractères gras soulignent les attitudes de : voir, SE voir, percevoir.
Et nous en venons à : prévoir.
 
Jésus invite ses auditeurs à anticiper ce qui est à venir…
Il les incite à envisager… la fin – la fin du monde, diront certains commentaires, peut-être.
Mais certainement la fin… de leur existence personnelle.
Leur vie parviendra un jour à son terme et… où en seront-ils de leur pèlerinage sur cette terre?

Auront-ils marché avec Dieu au long des jours?
Auront-elles été familières avec lui dans tout ce qu’elles ont vécu?
Ou les uns et les autres entendront-ils ces paroles que l’on aurait dû… prévoir:
« ‘Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas’.»

Source: Image: Pinterest

Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques.

Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte (résumé) & Image: Journée Mondiale

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition – 23 August

The night of 22 to 23 August 1791, in Santo Domingo (today Haiti and the Dominican Republic) saw the beginning of the uprising that would play a crucial role in the abolition of the transatlantic slave trade.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition is intended to inscribe the tragedy of the slave trade in the memory of all peoples. In accordance with the goals of the intercultural project « The Slave Route », it should offer an opportunity for collective consideration of the historic causes, the methods and the consequences of this tragedy, and for an analysis of the interactions to which it has given rise between Africa, Europe, the Americas and the Caribbean.

The Director-General of UNESCO invites the Ministers of Culture of all Member States to organize events every year on that date, involving the entire population of their country and in particular young people, educators, artists and intellectuals.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition was first celebrated in a number of countries, in particular in Haiti (23 August 1998) and Goree in Senegal (23 August 1999). Cultural events and debates too were organized. The year 2001 saw the participation of the Mulhouse Textile Museum in France in the form of a workshop for fabrics called « Indiennes de Traite » (a type of calico) which served as currency for the exchange of slaves in the seventeenth and eighteenth centuries.

Circular CL/3494 of 29 July 1998 from the Director-General to Ministers of Culture invites all the Member States to organize events to mark 23 August each year. The UNESCO Executive Board adopted Resolution 29 C/40 at its 29th session

Source: Texte: UN Image: commoditizedidentity.wordpress.com