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Journée mondiale de prévention du suicide – 10 septembre 2024

À l’échelle mondiale, on estime qu’un suicide a lieu toutes les 40 secondes et une tentative toutes les 3 secondes, ce qui correspond à un million de suicides chaque année, un million de vies perdues…Les chiffres sont cruels : c’est plus que l’ensemble des personnes tuées par les guerres et les catastrophes naturelles. Si on ajoute à ce total les entourages directs des personnes suicidées, on arrive à 10 millions de personnes endeuillées.La Journée du 10 septembre vise à sensibiliser le grand public à l’ampleur du problème et l’informer sur les actions de prévention à sa portée.
Source: Texte & Image: Journée mondiale

Pourquoi souligner la Journée mondiale de la prévention du suicide?

Cette journée est l’occasion de :

  • M’engager personnellement à prendre soin de ma santé mentale pour prévenir la détresse ;
  • Témoigner mon ouverture à parler du suicide avec mon entourage ;
  • Réfléchir à la prévention du suicide ;
  • Démontrer du soutien envers les gens qui ont des idées suicidaires ;
  • Offrir de la compassion à ceux qui ont perdu un proche par suicide.

Nous pouvons tous jouer un rôle en prévention du suicide.

Ravivons notre flamme

Le 10 septembre de chaque année, partout dans le monde, nous soulignons la Journée mondiale de la prévention du suicide. Agir en prévention du suicide, c’est aussi un engagement à prendre soin de soi-même. C’est pourquoi nous vous interpellons avec l’invitation « Ravive ta flamme ». Vous êtes convié·es à raviver votre flamme intérieure pour garder l’espoir vivant.

Source: Texte & Image: https://aqps.info/

Le thème de la Journée mondiale de prévention du suicide 2024-2026 est « Changer le discours » et vise à inspirer les individus, les communautés, les organisations et les gouvernements à s’engager dans des conversations ouvertes et honnêtes sur le suicide et les comportements suicidaires.

Source: Texte: Google

Les SARS, ce qu’ils sont… ce qu’ils offrent…

Connaissez-vous les SARs? Non, pas les STARS mais bien les SARs – l’acronyme qu’utilise le monde anglo-saxon pour présenter les Socially Assistive Robots.

Nous les nommerions sans doute: Assitants Sociaux Robotiques, ou simplement: Robots Assistants Sociaux.

Évidemment, leur origine se trouve dans… vous l’avez deviné: l’intelligence artificielle – la IA dont on parle abondamment de nos jours.
(Certains vous diront, non sans une bonne dose de fierté, que la ville de Montréal est une pionnière en la matière!)

Déjà en 2019 s’est tenue à Rome une rencontre dont le thème était: “Roboethics: Humans, Machines and Health”“L’éthique des robots (la roboéthique): Les humains, les machines et la santé.”

Les participants et présentateurs étaient des scientifiques en cybernétique, des spécialistes de l’éthique, des ingénieurs de la robotique et des théologiens.
Ces derniers ont souligné l’emphase traditionnelle de l’enseignement chrétien sur la dignité humaine.
Il faut pourtant ajouter, affirme le Professeur Haldane, que sans une analyse rigoureuse qui la défende, la ‘dignité humaine’ est en danger de devenir tout simplement un cliché.

Mais la ‘dignité humaine’, c’est quoi au juste?
Un attribut de la nature humaine?
Un imperatif qui vise tout un chacun?
Une valeur évangélique?
C’est à ce niveau que vous et moi sommes concernés ou devrions l’être!

Les questions débattues sur ce sujet demandent précisément:  

    • Ces ‘hominoïdes’ savamment et artistiquement conçus seront-ils perçus comme des ‘proches’?
    • Ces assistants robotiques seront-ils empreints de compassion, d’empathie?
    • Auront-ils la ‘touche humaine’ qui sait réconforter?
    • Pourront-ils (ou, elles !) susciter la confiance, la sensation d’être compris/e? 
    • Sauront-ils reconnaître nos besoins, nos peurs?

Ces questions ne sont pas purement théoriques en cette période où le manque de personnel pour donner les soins requis aux personnes âgées se fait sentir très fortement…

Et nous tous et toutes, qui nous voulons vraiment ‘humains’, sommes-nous empreint/es de compassion et d’empathie?
Avons-nous la ‘touche humaine’ qui transmet le réconfort et le sens d’être compris?
Savons-nous discerner les besoins et les peurs de ceux et celles que nous approchons et y répondre?

Les ‘hominoïdes’ surpasseront-ils les aidants naturels? Nous feront-ils honte dans ce domaine?…
La réponse nous appartient…

Source: inspired by The Tablet, 9 March 2019, ‘Is there anybody there?’ by John Haldane, philosophe et membre de The Pontifical Academy for Life. 
Images: iStock   teachablaze.com
Note: The Pontifical Academy for Life a été créé par le Pape François pour étudier des sujets tels que ceux mentionnés ici.

Il y a quelques mois, en juin 2024, le pape François a assisté à la rencontre des pays du G7 à Borgo Egnazia, Italie.

Il a pris la parole justement sur le sujet de l’Intelligence Artificielle.

Il a souligné qu’il s’agit là d’un outil extrêmement puissant, aussi «fascinant» que «redoutable».

Il a affirmé qu’il ne faut surtout pas condamner l’humanité à s’en remettre aux choix que les machines feraient à la place des humains. 

Il a insité en disant: «La dignité humaine en dépend».

 

Source: Texte & Image: https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2024-06/pape-francois-discours-g7-pouilles-ia-paix-diplomatie

 

 

16è dimanche de l’année B -2024

L’être humain est doué de qualités et de capacités multiples.
Ayant prononcé ces mots, on pense immédiatement à l’intelligence et à la liberté qui le caractérisent.
Mais une autre faculté fait aussi partie de ses dons, c’est l’imagination!
Quels prodiges elle opère cette aptitude qui nous fait littéralement voir – en esprit – tant de réalités.

Un lion ou un chat, un vélo ou un train, les arbres ou les étoiles, un enfant ou un vieillard: chaque fois l’image évoquée surgit à l’esprit!
Mais si le mot prononcé est… DIEU… quelle image vous apparaît soudainement?….

Pour plusieurs personnes, il semble qu’il y ait un délai… l’image ne se présentement pas subitement comme cela se produit quand d’autres termes sont prononcés.
L’évocation reste parfois… dans le domaine de l’abstrait…
C’est que justement DIEU défit l’imagination!
Et pourtant… il est bien RÉEL!…

La meilleure manière de le percevoir – sans le voir – c’est de retrouver les ‘images’ de lui que nous offre la Bible.
Les lectures de ce dimanche nous donnent l’une de ces images qui nous aident à le reconnaître: c’est celle du berger –
le pasteur qui a compassion de son troupeau.

Le texte de l’évangile commence avec une scène bien humaine (Marc 6:30-34).
Jésus réalise que ses apôtres sont las et ont besoin de repos, il suggère que le groupe se retire à l’écart pour un peu de répit.
Mais voilà que les gens qui désirent entendre son enseignement devinent l’endroit où Jésus et les apôtres se dirigent et les rejoignent sans délai.

Le texte continue avec une phrase qui caractérise Jésus:
« Il fut saisi de compassion envers eux,
parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger ».

DIEU incarné en Jésus est un Dieu de COMPASSION.
Notre imagination fait erreur si elle nous présente une autre image de lui quelle qu’elle soit!

Il nous connaît, comme le pasteur reconnaît chacune de ses brebis.
Il comprend les difficultés auxquelles nous faisons face.
Il est conscient des situations compliquées que nous nous créons parfois…
Il sait que notre faiblesse nous empêche souvent de faire ce qu’il attend de nous.

Comme les brebis dont parle le prophète Jérémie dans la 1ère lecture (Jérémie 23:1-6),
« apeurées, effrayées, perdues »,
nous connaissons souvent la crainte, l’anxiété, et il nous semble avoir perdu le chemin.
Le Dieu de compassion vient à notre secours et nous donne salut et sécurité.

Il réprimande même avec force ceux qui auraient dû être de bons bergers pour son peuple
mais ont « dispersé et chassé les brebis ».

Le Psaume 23, que notre célébration utilise comme répons à la 1ère lecture, est une description juste et tellement inspirante du Pasteur compatissant toujours à notre recherche…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: 

 

Source: Image: Monastère de Saint Charles de Foucauld https://viecontemplative.vidareligiosa.org/ (Texte ajouté)

5è dimanche de Pâques, année B -2024

Pour attirer l’attention, informer, et convaincre les gens, il y a une méthode qui a fait ses preuves.
Les parents la connaissent, les professeurs également, et les dirigeants de l’industrie et du ‘marketing’ l’utilisent aussi.
Il s’agit de la répétition!

Les enfants et les élèves peuvent tarder à prêter attention, les clients peuvent mettre du temps à accepter une offre, mais la répétition atteint très souvent son but!

Il semble que Jésus lui-même ait cru à son efficacité, car il a utilisé cette technique.
Le texte de l’évangile de ce dimanche nous est présenté dans 8 versets (Jean 15:1-8).
Dans les 5 derniers de ces versets on retrouve 8 fois le mot ‘demeurer’!
La répétition est pour le moins… persistante!

C’est qu’elle concerne quelque chose de très important pour Jésus.
Les paroles qu’il prononce dans ce texte sont adressées à ses apôtres lors du dernier repas qu’il prit avec eux.
Mais Jésus ne pensait pas uniquement à eux mais aussi à nous tous et toutes qui allions devenir ses disciples.

« Demeurez en moi, comme moi en vous…

Le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même
s’il ne demeure pas sur la vigne,
de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi…

Celui qui demeure en moi et en qui je demeure,
celui-là porte beaucoup de fruit…

Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous,
demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous ».

Ces quelques lignes résument, en fait, ce que l’aventure chrétienne nous propose.
Ces paroles de Jésus sont à la fois son testament et son invitation.
Ce qu’il veut avant tout c’est une vie de proximité, d’intimité, avec lui.

Il ne faut évidemment pas penser en termes de lieu, de location physique, de cette demeure.
Il ne faut pas tenter de découvrir la logistique d’une telle présence.

Ce que le Christ attend de nous, il me semble, c’est
– de recevoir son message,
– d’accepter ses valeurs,
– de vivre selon son enseignement
– de le suivre au fil des jours dans les différents situations qui sont nôtres.

Il ne s’agit pas de ‘mimer’, ou de copier, les gestes de l’Homme de Nazareth,
mais plutôt de permettre au Seigneur ressuscité de reproduire en nous l’expression de sa compassion pour tous et toutes.
Il ajustera l’expression de sa présence à la personnalité de chacun/e de nous.

Tout est là!

 

Note: Dans la courte vidéo qui suit, Judith Poulin nous livre sa réflexion sur ce texte de l’évangile à: https://youtu.be/U0xaR-e5zL4?si=TXDBv6Xyxn56S62s

Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/5th-sunday-of-easter-year-b-2024/

 

Source: Image (texte ajouté) unsplash.com (Moritz Knoringer)

The Alphabet of Lent – Letter Y

Y for Yeast

Some people dream of doing great things in life.
Many want to achieve some worthwhile goal.
Others try to distinguish themselves with important achievements.

There is nothing wrong with this – on the contrary, it is important to have some ideal in life.
But this should not make us forget the importance of… small things.
Do you remember the slogan of some years ago: “Small is beautiful”?
It is even the title of a well-known book in some circles. *

What is interesting to remember is that Jesus thought along those lines!
Two sentences of what he said have been made into a parable –
only two sentences to describe God’s kingdom!

“Again he asked, “What shall I compare the kingdom of God to?
It is like yeast that a woman took and mixed into about sixty pounds of flour
until it worked all through the dough” (Luke 13:20-21).

Women know it, and chefs do also: it takes a tiny bit of yeast to have a large amount of dough rise.
Jesus compares the kingdom of God to this process!

The kingdom of God – an amazing reality that includes so much… coming from very little, if we think of it…
God’s life-giving presence, God’s saving action… reaching people through:

– a little good-will to recognize someone’s need…
– a small amount of generosity…
– a bit of true compassion…
– a little thoughtfulness for people around…
– a small gesture of forgiveness to someone…
– a bit of readiness to give help…
– a tiny bit of self-forgetfulness…
– a small amount of empathy…

Every ounce of each one’s contribution – the personal ‘yeast’ of you and me –
this builds and spreads God’s kingdom since God himself makes use it!

 

* Note: SMALL IS BEAUTIFUL, A study of Economics as if People Mattered, E.F. Schumacher

 

Source: Image: www.pexels.com (Felicity Tai)

3è dimanche du Carême, année B – 2024

Un jour, avec sa bonhomie caractéristique et un sens de l’humour assez particulier, quelqu’un a dit:
« Avec Jésus, Dieu est venu nous déranger… pour nous arranger! »

En entendant cette expression, on peut sourire, on peut même rire franchement mais…
On se ravise en réalisant combien ces paroles expriment une sagesse vraie.

Jésus est venu ‘nous arranger’…
En lui, Dieu est venu nous associer intimement à lui-même:

  • il nous ajuste à sa justice
  • il nous initie à sa compassion
  • il nous ramène de nos errances
  • il nous libère de nos dépendances
  • il nous ouvre à une vie en abondance
  • il nous invite à devenir comme lui – rien de moins!

Étonnamment, c’est ce que Jésus fait dans la scène de l’évangile de ce dimanche.
Elle peut susciter des réactions diverses chez ceux/celles qui entendent ce récit.
Il peut choquer et provoquer de l’indignation… à tout le moins de l’incompréhension.

« Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs,
de brebis et de colombes, et les changeurs.
Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple,
ainsi que les brebis et les bœufs;
il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs,
et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici.
Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. »

L‘attitude de Jésus ne manifeste pas une impatience incontrôlée ou une colère injustifiée.
Elle révèle plutôt le sens des valeurs qui doit nous habiter.
Quand le sacré est bafoué, on ne peut rester indifférent.
Il faut prendre position et démontrer ses convictions.

‘Arranger’ une situation… en intervenant…
‘Arranger’ une relation… en s’impliquant…
‘Arranger’ ce qui doit l’être… en étant, à notre mesure, comme Il était, Lui…

 
Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-lent-year-b-2024/

 

Source: Image: The Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints

 

 

L’alphabet du Carême – Lettre E

E pour Ennemis 

Il y a des choses qui ne sont pas faciles à faire…
Il y en a d’autres que nous trouvons vraiment difficiles à réaliser…
Il y en a d’autres que nous considérons absolument impossibles à accomplir!…

Si on demandait à chaque chrétien/ne ce qu’il, ou elle, trouve le plus difficile pour être fidèle au message du Christ,
je crois que chacun/e répondrait sans hésitation: Pardonner ses ennemies.
J’imagine plusieurs lecteurs et lectrices de ce texte approuver intérieurement…

Les paroles de Jésus sont pourtant sans équivoque.
Elles nous rejognent chaun/e personnellement (Matthieu 5:43-45):

« Moi, je vous dis: Aimez vos ennemis,
Priez pour vos persécuteurs. »
 
Il nous semble que cela est vraiment… impossible.
Ceux qui nous persécutent
les traiter à l’opposé de la manière dont eux se comportent envers nous!

Tout notre être se révolte, on ne veut même pas y penser.
Qui peut agir ainsi?

Mais Jésus ajoute :

« Afin que vous soyez fils (filles) de votre Père qui est dans les cieux;
car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons,
et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ».

Voilà la motivation qui peut nous aider: devenir comme notre Père des cieux…
Il sait aussi bien que nous – encore mieux que nous – que laissé/es à nous-même nous ne pouvons pas être comme lui.

S’il nous demande cela, nous pouvons à notre tour lui demander de nous en rendre capables!
Nous en rendre capables en nous donnant son Esprit qui nous rendra comme lui: compatissant et miséricordieux.

 

Note: Dans la vidéo qui suit, Diane Conte nous aide à poursuivre cette réflexion:https://youtu.be/JJQ6-D5w548?si=HQ0aN0xgDlsNIsy3

 

Source: Image: Doyenné Pau-périphérie

L’alphabet du Carême – Lettre D

D pour Disciples 

L’expression nous est familière: ‘Les DISCIPLES de Jésus’.
Outre les douze apôtres dont nous connaissons les noms, l’évangile nous parle aussi de soixante-douze disciples (Luc 10:1-24).

Nous les imaginons à l’écoute de Jésus et le suivant sur les chemins qu’il emprunte.
Notre imagination ne nous induits pas en erreur: être à l’écoute de Jésus et le suivre, c’est essentiellement le sens d’être un disciple.

Un autre élément est pourtant requis pour être un disciple authentique du Christ.
Ayant entendu son message et marchant sur ses traces, il faut alors vivre selon son enseignement.

Mais alors quelque chose de merveilleux se produit.
L’évangéliste Luc en parle en ces termes:

« Il se tourna vers ses disciples et leur dit en particulier:
« Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
Car, je vous le déclare:
beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez, et ne l’ont pas vu,
entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu » (Luc 10:1-24).

Être chrétien, n’est-ce pas être disciple du Christ? Évidemment!
Pourrions-nous dire que notre expérience à la suite du Maître, nous permet de voir ce dont Jésus parle?

Avons-nous reconnu en lui l’image de Dieu incarné?
Avons-nous reçu les paroles qu’il adresse à chacun/e de nous?
Avons-nous fait l’expérience de l’amour et de la compassion qu’il a pour nous personnellement?

Alors, oui vraiment, heureux sommes-nous!

 

Source: Image: The Church of Jesus Christ of Latter Saints

The Alphabet of Lent – Letter D

D for DISCIPLES

The expression: ‘The DISCIPLES of Jesus’ is familiar to us.
Apart from the twelve apostles whose names we know, the gospel speaks also of seventy-two disciples (Luke 10:1-24).

We imagine them listening to Jesus and following him on the roads where he walks.
Our imagination does not lead us astray: to listen to Jesus and to follow him, this is the true meaning of being a disciple.  

However, there is another aspect that is required to be an authentic disciple of Christ.
Having listened to his message and walking in his steps, we then need to live according to his teaching.

But then, something wonderful takes place.
The gospel writer, Luke, speaks about it in these terms:

“He turned to his disciples and said privately, 
“Blessed are the eyes that see what you see. 
For I tell you that many prophets and kings wanted to see what you see but did not see it,
and to hear what you hear but did not hear it” (Luke 10:1-24).

To be a Christian, is it not to be a disciple of Christ? Of course, it is!
Could we say that our experience following the Master allows us to see what Jesus speaks about?

Have we recognized in him the image of God made flesh?
Have we received the words that he addresses to each one of us?
Have we experienced the love and compassion that he has for us personally?

If so, then we are indeed happy!!

 

Source: Image: The Wandering Shepherd

 

 

 

Journée mondiale des malades – 11 février 2024

Thème: Il n’est pas bon que l’homme soit seul

La Journée mondiale des malades (JMM) nous invite à la solidarité avec les personnes qui, autour de nous, expérimentent la dure réalité de la maladie et de la souffrance. Sous l’inspiration de Jean-Paul II, cette journée rappelle la dignité de toute personne, malade ou âgée.

Source: Texte & Image: https://www.saint-joseph.org/fr/evenement/journee-mondiale-des-malades-2024/

Au début de l’année, le Vatican a publié le message du pape François pour la 32e Journée mondiale du malade, célébrée chaque année le 11 février. Le message du Saint-Père pour cette année s’intitule : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul » – Soigner le malade en soignant les relations.

La Journée mondiale du malade nous offre une fois de plus l’occasion de prier pour toutes les personnes qui souffrent et de réfléchir à notre engagement envers elles. La CECC invite tous les fidèles à adopter le regard compatissant de Jésus envers ceux qui souffrent, sont seuls, marginalisés, ou rejetés. En coopérant pour contrer la culture de l’individualisme et de l’indifférence, nous pouvons faire croître la culture de la tendresse et de la compassion au sein de notre société. La CECC (Conférence des évêques catholiques du Canada) encourage tous les membres de la communauté à prendre des mesures concrètes pour accompagner ceux qui sont malades et isolés, que ce soit par la prière, la visite à un proche, l’offre de reconnaissance aux professionnels de la santé et aux bénévoles, ou d’autres actes de solidarité.

Source: Texte & Image:  https://www.diocesegatineau.org/fr/message-du-pape-francois-pour-la-32eme-journee-mondiale-du-malade-11-fevrier-2024