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Journée internationale de l’épilepsie – 13 février 2023-2024

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays. La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2023

« Épilepsie, lavons les préjugés« 
pour mieux faire disparaitre les idées fausses sur l’épilepsie et ses différentes manifestations, 
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 

 

Note de l’éditrice du site: Pas de thème disponible pour 2024…

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la lutte contre les méningites – 24 avril

Les journées mondiales à thématique médicale sont nombreuses tout au long de l’année, mais ce n’est pas une raison pour négliger la lutte contre la méningite. Cette maladie est une grave infection des fines membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elle peut être foudroyante et est souvent mortelle.

Notons que la journée mondiale contre la méningite, traditionnellemùent célébrée le 24 avril coïncide avec la semaine européenne de la vaccination.

Se faire vacciner contre la méningite

La recherche médicale est en constant progrés et la vaccination contre la méningite est une réalité pour lutter contre les formes bactériennes de la maladie. Se vacciner, un acte citoyen…

Il est important de se souvenir que la méningite est une maladie grave. Elle affecte d’abord les méninges de l’encéphale, mais elle peut ensuite évoluer en septicémie (empoisonnement du sang) et, par conséquent, provoquer la mort du patient. Le taux de létalité de cette maladie est environ de 10 %, ce qui signifie que sur 100 personnes infectées, 10 d’entres elles meurent.

Pour ceux qui en réchappent, le tableau n’est pas plus gai : les séquelles sont importantes. 30 % des enfants ayant souffert d’une méningite présentent ensuite des retards de développement et des convulsions. Dans les cas les plus graves, la perte de certains sens comme la vue ou l’ouïe peuvent être observés.

Source: Texte: Journée Mondiale     Image: https://www.ensemblecontrelesmeningites.fr/

Journée internationale de l’épilepsie – 14 février 2022

Journée internationale de l'épilepsie

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2022

« L’épilepsie, parlons-en !« 
pour mieux faire connaître l’épilepsie et ses différentes manifestations
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 
 

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale des gauchers – 13 août

Journée internationale des gauchers

Qu’ont en commun Jules César, Jimi Hendrix, Bill Gates, Albert Einstein, Léonard de Vinci, Lord Robert Baden-Powell et Ernö Rubik, l’inventeur du Rubik’s cube ? Ils sont tous gauchers

Une journée internationale leur est consacrée, et c’est le 13 août qui a été choisi. Un jour de chance ?Ils « ne » représentent « que » environ 12% de la population, mais les gauchers ont toujours fait l’objet de nombreuses idées reçues. Longtemps considérés comme des anormaux, les écoliers gauchers étaient incités (au siècle dernier) à utiliser leur main droite pour écrire et dessiner.

Avantage ou inconvenient ?

Aujourd’hui, les mentalités ont évolué et être gaucher est même parfois considéré comme un avantage dans certains domaines, comme le sport par exemple.

La différence entre droitiers et gauchers se trouve au niveau du cerveau ou, en termes plus techniques, de la latéralité, c’est-à-dire le fait de préférer un membre double à l’autre, la main gauche à la main droite par exemple.

Un site à visiter : www.lesgauchers.com    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la Schizophrénie – 13 mars 2021

Journée mondiale de la Schizophrénie

En 2021, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 18ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! Les « journées » se dérouleront donc du 13 mars au 20 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure.
De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.

La schizophrénie pertube souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

  • Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
  • Etre submergée par des idées étranges
  • Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
  • Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
  • Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
  • Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
  • Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.

Mais la Schizophrénie n’est pas :

  • Un dédoublement de la personnalité
  • Causée par des parents négligents ou dominateurs
  • La conséquence d’une exprérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : schizinfo.com    Source: Texte: Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la paralysie cérébrale – 6 octobre

La paralysie cérébrale est la déficience motrice la plus courante chez l’enfant. Elle touche 17 millions de personnes dans le monde, dont 125 000 en France ; soit 1 naissance sur 450.

Qu’est-ce que la paralysie cérébrale ?

Ce handicap est causé par des lésions irréversibles sur le cerveau du fœtus ou du nourrisson. Elles résultent de la destruction de certaines cellules du cerveau en développement et provoquent un ensemble de troubles du mouvement ou de la posture, accompagnés de difficultés cognitives ou sensorielles.

La journée mondiale de la paralysie cérébrale

Lancé en 2012 par Cerebral Palzy Alliance (Australie) et United Cerebral Palsy (États-Unis), la journée mondiale de la paralysie cérébrale est organisée tous les ans le 6 octobre. Son but est d’expliquer au grand public en quoi consiste cette maladie, afin de changer le regard porté sur les personnes touchées, de développer des projets et de trouver des financements pour la recherche.

Une amélioration

En France, la paralysie cérébrale recule de 2% par an, et ce depuis 10 ans. Cette amélioration est due à une meilleure prise en charge des nourrissons à risque.

Un site à visiter : www.fondationparalysiecerebrale.org         Source: Texte: Journée mondiale    Image: Hôpital de Montréal pour enfants

Journée internationale de l’épilepsie – 12 février 2019

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…
L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes
Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace
Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Journée Mondiale de la maladie de Parkinson – 11 avril

Cette maladie fut décrite pour la première fois par James Parkinson, (1755-1824), médecin Anglais, en 1817; il décrivit celle-ci sous le nom de « Paralysie agitante ».
Charcot (1825-1893), médecin Français à l’hôpital de la Salpêtrière, donna le nom définitif à cette maladie : « Maladie de Parkinson ».
Le 11 Avril, date anniversaire de la naissance de James Parkinson, est devenue, depuis 1997, la Journée Mondiale du Parkinson, mais suivant les pays, la date varie quelque peu.

L’EPDA (European Parkinson’s Disease Association : Association Européenne du Parkinson) a choisi comme emblème la tulipe, créée par les Néerlandais, de couleur rouge et blanche et baptisée « James Parkinson ». Journée initialement Européenne, elle est devenue, en 1997, Journée Mondiale.

La maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson est une affection dégénérative, rare avant 45 ans, touchant 1,5 % de la population de plus de 65 ans, qui atteint autant les hommes que les femmes. La lésion fondamentale est la dégénérescence d’un certain type de neurones : les neurones dopaminergiques.

Ces neurones produisent de la dopamine, qui est une des substances neurotransmettrices du système nerveux. Elle intervient notamment au niveau de neurones responsables du contrôle des mouvements du corps. Il y a lors de la maladie de Parkinson un déficit en dopamine dans le cerveau et cela se manifeste par des troubles des mouvements.

Causes et facteurs de risque
La cause de la maladie de Parkinson est inconnue. De très rares cas sont héréditaires, et dans ce cas ce sont des maladies de Parkinson survenant chez des sujets très jeunes. De même aucun facteur de risque n’est connu avec certitude, notamment aucun facteur alimentaire ou infectieux n’a été reconnu.

Les signes de la maladie
Le début de la maladie est insidieux : réduction de l’activité, fatigabilité anormale, douleurs mal localisées, difficultés d’écriture, tremblement d’une main, raideur fluctuante, etc. Progressivement, les autres signes de la maladie vont apparaître. Ce sont principalement :

L’akinésie (« lenteur » des mouvements)
L’akinésie est définie par la rareté, la difficulté d’initiation, la lenteur du mouvement. Elle touche notamment la marche : le démarrage est difficile, parfois en piétinant sur place, puis avec de petits pas, les pieds « collés » au sol, les bras immobiles ne se balançant plus, le dos courbé en avant, le cou raide. Le démarrage est parfois paradoxalement facilité par la présence d’un obstacle devant le patient. Parfois, le blocage survient après le démarrage, le patient étant alors brutalement arrêté, tout-à-coup incapable d’avancer, les pieds collés au sol : c’est le phénomène d’enrayage cinétique.

L’akinésie se remarque souvent précocement durant l’écriture, qui devient plus difficile et de taille réduite (on parle de micrographie). Le visage aussi est touché, avec des traits figés, peu expressifs, un regard fixe. La parole est rare, mal articulée, monotone. Tous les gestes sont rares et lents. L’akinésie est donc responsable d’une perte des mouvements automatiques, inconscients : le patient doit commander consciemment la plupart de ses mouvements, même ceux qui s’effectuent sans que l’on y pense en temps normal.

Le tremblement
Le tremblement est fréquent. C’est un tremblement régulier, qui apparaît typiquement au repos, et disparaît lors des mouvements ; il est parfois présent lors du maintien d’une attitude (par exemple lorsque le patient maintient ses bras tendus devant lui). Il disparaît pendant le sommeil et augmente lors des émotions ou d’ efforts de concentration comme le calcul mental. Au niveau des mains, il évoque un mouvement d’émiettement de pain entre les doigts. Il peut toucher le visage, avec un tremblement des lèvres ou du menton.

Source: Texte: Journée Mondiale (résumé) Image: www.pinterest.com

Journée internationale de l’épilepsie – 8 février

La journée « européenne » de l’épilepsie est devenue « internationale » en 2015. Elle est traditionnellement célébrée le 2ème lundi de février. Son but est de promouvoir les droits des malades épileptiques dans le monde entier.

Un site à visiter : www.lfce.fr

Source: Texte: Journée Mondiale  

L’épilepsie touche sept Français sur 1 000 mais mais fait toujours l’objet d’a priori et de fausses idées. L’épilepsie reste encore trop souvent associée à sa manifestation la plus spectaculaire : la crise de « grand mal» marquée par des spasmes brutaux. En réalité, ses symptômes varient selon la zone du cerveau touchée par l’hyperactivité des neurones.

Les différentes formes d’épilepsie ont une cause commune : une décharge anormale et simultanée de nombreux neurones. Des traitements antiépileptiques bloquent les altérations de la transmission entre les synapses (connexions entre les neurones). Mais au quotidien, le patient doit éviter tout élément susceptible de déclencher une crise…

« Les épilepsies nocturnes existent, et une simple privation de sommeil peut déclencher des crises à répétition. L’alcool est également un déclencheur, tout comme les drogues… » Ces recommandations s’appliquent à tous les patients. D’autres formes plus rares demandent des précautions supplémentaires.

Source: Texte & Image:  ?Dr pourquoi docteur?

Journée Mondiale contre l’hypertension – 14 mai

hypertensionLe 14 mai 2005 a été déclaré Journée mondiale de d’hypertension artérielle par la Ligue mondiale contre l’hypertension. Le but de la Journée mondiale de l’hypertension artérielle est de communiquer au public l’importance de l’hypertension et la gravité de ses complications médicales, et de fournir de l’information sur sa prévention, sa détection et son traitement.

Longtemps silencieuse, l’hypertension artérielle peut entraîner des complications très graves : infarctus, attaques cérébrales…Il y a hypertension artérielle lorsque la force du sang contre les parois des vaisseaux sanguins est trop élevée. L’hypertension artérielle peut endommager des organes vitaux comme le coeur, le cerveau ou les reins.

L’hypertension en chiffres
« Un milliard de personnes souffrent d’hypertension dans le monde (40 % dans les pays occidentaux et 60 % dans les pays en voie de développement). Mais dès 2025, à cause du vieillissement de la population et de l’évolution de mode de vie qui favorise l’obésité et la sédentarité nous compterons 1,5 milliards de malades. Et la France n’est pas épargnée par ce phénomène. Selon une étude menée par le CFLHTA et la Sofres, il y aurait 14,4 millions de Français hypertendus et seulement 7,6 millions de malades traités. Une large majorité de ces hypertendus traités (70 %) ont plus de 60 ans. Mais il reste ainsi 6,8 millions de la population de plus de 35 ans qui sont hypertendus mais n’ont pas été dépistés ou ne sont pas suivis !

Et parmi ces malades qui s’ignorent, certaines catégories de personnes sont particulièrement à risque. Parmi les 35-55 ans, 42 % ne connaissent pas leurs chiffres de tension. Par ailleurs, l’hypertension non traitée est plus fréquente chez les hommes. Ainsi, cette affection est une des rares pathologies cardiovasculaires pour laquelle les hommes de moins de 55 ans sont clairement moins bien pris en charge que les femmes.

Dépister l’hypertension de nos jours
Aujourd’hui, la mesure de la tension artérielle est possible en dehors du seul cabinet médical grâce à des appareils d’automesure. A condition d’être validés ces appareils permettent de passer outre le phénomène de l’hypertension blouse blanche (pression élevée au cabinet médical et normale au domicile) et l’hypertension retardée (l’inverse).

Source: Texte & image: Journée mondiale