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Journée Mondiale du Capoeiriste – 3 août

Journée Mondiale du Capoeiriste
A priori, on ne voit pas bien de quoi il ‘agit… et si on vous dit que le capoeiriste est l’athlète qui pratique la capoeira, cela vous aide ? Moi, pas vraiment.

Hommage à la culture lusophone

La Capoeira est une « danse-lutte » typique du Nordeste Brésilien et plus particulièrement de Salvador de Bahia. La capoeira est avant tout connue comme etant l’art martial brésilien.

L’origine du 3 août

Cette journée a été choisie car c’est à cette date que le gouvernement de l’état de Sao Paulo a créé la loi 4649 en 1985 et a institué le 3 août comme Journée du Capoeiriste. Au départ, il s’agissait donc d’une initiative purement brésilo-brésilienne.

C’était sans compter sans la puissance de diffusion de la diaspora car aujourd’hui, la capoeira existe dans presque tous les pays du monde et, dans de nombreuses villes, elle est devenue le premier vecteur de la pratique de langue portugaise.

Un site à visiter : gingacapoeira.wordpress.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Un rêve… le mont Olympe

Ils ont vaincu le mont Olympe; le pari réussi de Marios et Eleftheria

Un athlète grec a grimpé le mont Olympe, point culminant de Grèce, en compagnie d’une amie handicapée qu’il a portée sur son dos. Une sacrée équipée pour un projet humain de taille.

C’est une belle amitié qui s’est nouée entre eux, scellée peut-être par une mythique ascension : celle du mont Olympe. Marios Giannakou, un coureur de fond grec de 28 ans, a non seulement du cran mais aussi du cœur. Le 5 octobre dernier, il a réalisé cette course un peu particulière en binôme avec Eleftheria Tosiou, une étudiante en fauteuil roulant de 22 ans rencontrée en septembre. Elle lui avait alors fait part de son rêve : réaliser l’ascension du mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, qui culmine à 2.918 mètres. Si l’athlète, qui a roulé sa bosse aussi bien dans le désert d’Al Marmoum (Dubai) qu’en Antarctique, avait déjà accompli 50 fois cet exploit, la 51e a été très différente.

C’est en effet armé d’un sac à dos adapté qu’il a grimpé, portant la jeune femme dans son dos. Il leur a fallu plus de dix heures, ainsi que le concours d’une équipe de soutien, pour atteindre le sommet du Mytikas, le point culminant du « domaine des dieux ». « Toutes les courses internationales, les médailles et les distinctions que j’ai reçues à ce jour sont peu de choses par rapport à ce que nous avons accompli », a publié le sportif sur son compte Instagram qui compte plus de 33.000 abonnés. « Je remercie Eleftheria de m’avoir donné l’opportunité de devenir meilleur et de me rappeler ce que nous oublions souvent : nous devons vivre la vie sans peur ».

Source: Texte: Domitille Farret d’Astiès Image: ellines.com