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Journée mondiale de la Vie – 30 octobre

Si il y a bien une journée mondiale qui se fait tout doucement une place dans le calendrier, c’est celle de la Vie. Elle remonte à 2008 et son origine est à rechercher en Côte d’Ivoire.

Célebrer la Vie

A cette occasion sont organisées différentes manifestations ayant toutes un rapport avec la défense et le promotion des valeurs de Vie :

  • conférences sur les droits de l’homme, la santé mentale, la nutrition, la sécurité routière.
  • organisation d’un don du sang géant.
  • consultations médicales et soins gratuits dans plus de 10 disciplines médicales.
  • défilé des vivants, sur le thème de la préservation de la vie,  notre bien le plus précieux.
  • concerto de la Vie avec de nombreux artistes locaux de tous horizons.

C’est l’ONG locale « Les amis de la Vie » qui l’a mise en place et elle est désormais célébrée dans plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire, le Bénin, la France, la Norvège, Haïti et Hawaï aux Etats-Unis.

Leçon africaine

Avec cette journée, le sens de l’histoire s’inverse et ce sont les pays africains qui nous montrent l’exemple. Formons le voeu que leur « culture de vie » nous permettra de chasser la « culture de mort » trop souvent mise en avant dans les pays dits « avancés »…

La minute d’acclamation

Une chaine planétaire a été lancée depuis quelques années, elle consiste à organiser partout dans le monde une minute mondiale d’acclamation.

De quoi s’agit-il ? Chaque 30 octobre, à 13 h 00 GMT précises, l’humanité tout entière est appelée à observer 1 minute d’acclamation en l’honneur de la Vie. Et ce vaste mouvement laisse libre cours à de nombreuses formes d’expression selon les cultures locales. Cette minute a fait son chemin et a déjà été observée jusquà Hawaï aux U.S.A. Elle permet à chacun de se rendre compte qu’être en vie est un privilège et que cela se fête.

Un site à visiter : news.abidjan.net    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la Vie – 30 octobre 2023

Si il y a bien une journée mondiale qui se fait tout doucement une place dans le calendrier, c’est celle de la Vie. En 2023, nous célébrons la seizième édition. Elle remonte donc à 2008 et son origine est à rechercher en Côte d’Ivoire.

Célebrer la Vie

A cette occasion sont organisées différentes manifestations ayant toutes un rapport avec la défense et le promotion des valeurs de Vie :

  • conférences sur les droits de l’homme, la santé mentale, la nutrition, la sécurité routière.
  • organisation d’un don du sang géant.
  • consultations médicales et soins gratuits dans plus de 10 disciplines médicales.
  • défilé des vivants, sur le thème de la préservation de la vie,  notre bien le plus précieux.
  • concerto de la Vie avec de nombreux artistes locaux de tous horizons.

C’est l’ONG locale « Les amis de la Vie » qui l’a mise en place et elle est désormais célébrée dans plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire, le Bénin, la France, la Norvège, Haïti et Hawaï aux Etats-Unis.

Leçon africaine

Avec cette journée, le sens de l’histoire s’inverse et ce sont les pays africains qui nous montrent l’exemple. Formons le voeu que leur « culture de vie » nous permettra de chasser la « culture de mort » trop souvent mise en avant dans les pays dits « avancés »…

La minute d’acclamation

Une chaine planétaire a été lancée depuis quelques années, elle consiste à organiser partout dans le monde une minute mondiale d’acclamation.

De quoi s’agit-il ? Chaque 30 octobre, à 13 h 00 GMT précises, l’humanité tout entière est appelée à observer 1 minute d’acclamation en l’honneur de la Vie. Et ce vaste mouvement laisse libre cours à de nombreuses formes d’expression selon les cultures locales. Cette minute a fait son chemin et a déjà été observée jusquà Hawaï aux U.S.A. Elle permet à chacun de se rendre compte qu’être en vie est un privilège et que cela se fête.

Un site à visiter : news.abidjan.net    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la Vie – 30 octobre 2022

Journée mondiale de la Vie

Si il y a bien une journée mondiale qui se fait tout doucement une place dans le calendrier, c’est celle de la Vie. En 2022, nous célébrons la quinzième édition. Elle remonte donc à 2008 et son origine est à rechercher en Côte d’Ivoire.

Célebrer la Vie

A cette occasion sont organisées différentes manifestations ayant toutes un rapport avec la défense et le promotion des valeurs de Vie :

  • conférences sur les droits de l’homme, la santé mentale, la nutrition, la sécurité routière.
  • organisation d’un don du sang géant.
  • consultations médicales et soins gratuits dans plus de 10 disciplines médicales.
  • défilé des vivants, sur le thème de la préservation de la vie,  notre bien le plus précieux.
  • concerto de la Vie avec de nombreux artistes locaux de tous horizons.

C’est l’ONG locale « Les amis de la Vie » qui l’a mise en place et elle est désormais célébrée dans plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire, le Bénin, la France, la Norvège, Haïti et Hawaï aux Etats-Unis.

Leçon africaine

Avec cette journée, le sens de l’histoire s’inverse et ce sont les pays africains qui nous montrent l’exemple. Formons le voeu que leur « culture de vie » nous permettra de chasser la « culture de mort » trop souvent mise en avant dans les pays dits « avancés »…

La minute d’acclamation

Une chaine planétaire a été lancée depuis quelques années, elle consiste à organiser partout dans le monde une minute mondiale d’acclamation.

De quoi s’agit-il ? Chaque 30 octobre, à 13 h 00 GMT précises, l’humanité tout entière est appelée à observer 1 minute d’acclamation en l’honneur de la Vie. Et ce vaste mouvement laisse libre cours à de nombreuses formes d’expression selon les cultures locales. Cette minute a fait son chemin et a déjà été observée jusquà Hawaï aux U.S.A. Elle permet à chacun de se rendre compte qu’être en vie est un privilège et que cela se fête.

 

Un site à visiter : news.abidjan.net     Source: Texte & Image: Journée mondiale       2è Image: Dreamstime.com
   

Journée internationale contre les mutilations génitales – 6 février

 Selon les estimations de l’OMS , entre 130 et 140 millions de femmes ont subi une forme quelconque de mutilation génitale. La Côte d’Ivoire est un des pays d’Afrique les plus touchés par la pratique de l’excision et on estime à 36% le nombre de femmes excisées dans le pays. Dire que la pratique persiste relève donc de l’euphémisme.

Les mutilation génitales féminines, dont l’excision, recouvrent un ensemble de pratiques aboutissant à l’ablation partielle ou totale ou à l’altération des organes génitaux féminins externes pour des raisons non médicales.

3 millions de filles mutilées chaque année

L’opération est généralement pratiquée sur les petites filles et parfois sur des femmes sur le point de se marier, enceintes de leur premier enfant ou qui viennent de donner naissance.

Souvent pratiquée par des praticiens traditionnels comme les exciseuses et les accoucheuses, l’opération se fait sans anesthésie avec des ciseaux, des lames de rasoir ou des couteaux. L’intervention est toujours traumatisante et peut entrainer des complications telles que les douleurs, l’état de choc et même parfois la mort.

« L’excision est une violation fondamentale des droits humains. En l’absence de toute nécessité médicale, elle expose les filles et les femmes à des risques pour leur santé et à des conséquences qui mettent leur vie et leur bien-être en danger. » déclare Sylvie Dossou, la représentante de l’UNICEF en Côte d’Ivoire.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Une bonne nouvelle!

Pour la 5e édition du Global teacher prize, le prix du meilleur enseignant du monde qui se déroulait à Dubaï, dimanche 24 mars, c’est un religieux kényan qui a été récompensé. Il s’est distingué parmi 10 000 candidats de 179 pays.

Les résultats des filles améliorés
Dans la zone de la vallée du Rift où se trouve le village de Pwani, la grande majorité des élèves sont issus de familles pauvres. Plusieurs sont orphelins, exposés à la toxicomanie, aux grossesses précoces, à l’abandon scolaire etc. Certains d’entre eux parcourir 7 km à pieds pour se rendre à l’école.

Pour améliorer le niveau de l’école, le frère Tabichi et quatre de ses collègues dispensent des cours à domicile aux élèves ayant des difficultés en mathématiques et en sciences. Pour ce faire, ils rencontrent les parents et identifient les causes exactes de difficultés scolaires. Dans cette école, le nombre d’inscriptions a doublé en trois ans, passant à 400. Les résultats des filles ont notamment été améliorés.

« Les pays africains sont arrivés à la parité dans le primaire »  Un enseignant dynamique et compétent
« Son dévouement, son travail et sa foi dans le talent de ses élèves ont permis à son école, dans une zone rurale reculée et avec peu de ressources, de remporter le prix de la meilleure école aux concours nationaux interscolaires de sciences », a commenté la fondation Varkey organisatrice du Global teacher prize qui a remis au frère Tabichi un prix d’un million de dollars.

Bien qu’il ait un seul ordinateur portable et une mauvaise connexion Internet, le religieux a créé un « club de développement des talents ». Il a également élargi le club des sciences de l’école, aidant ainsi les élèves à concevoir des projets de recherche d’une telle qualité que beaucoup se qualifient désormais pour le programme national.

Mieux, ses élèves ont participé à des compétitions scientifiques internationales et ont remporté un prix de la Royal Society of Chemistry – Une société savante de Royaume-Uni dont le but est l’avancement des sciences chimiques – après avoir exploité la vie des plantes locales pour produire de l’électricité.

« Je suis ici uniquement grâce à ce qu’ont accompli mes élèves », a modestement déclaré le frère Peter Tabichi en recevant son prix à Dubaï. « Ce prix leur donne une chance. Il dit au monde qu’ils peuvent tout faire ».

Dans un message vidéo diffusé lors de cette cérémonie présentée, cette année, par l’acteur australien Hugh Jackman, le président du Kenya Uhuru Kenyatta a félicité le jeune religieux. « Votre histoire est celle de l’Afrique, un jeune continent plein de talents ».

Source : Texte & Image : La Croix, Lucie Sarr, 25/03/2019
La photo illustre la présentation du trophée (qui inclut une récompense de 1 million de dollars US) par  l’acteur Australien Hugh Jackman (L) en présence du Prince héritier Hamdan bin Mohammed Al-Maktoum (« AFP PHOTO / GLOBAL EDUCATION AND SKILLS FORUM »)

 

Journée Internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition – 23 août

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C’est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu’a commencé à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République dominicaine) l’insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.

La route des esclaves

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition vise à inscrire la tragédie de la traite dans la mémoire de tous les peuples. Conformément aux objectifs du projet interculturel « ‘La route de l’esclave », elle doit offrir l’occasion d’une réflexion commune sur les causes historiques, les modalités et les conséquences de cette tragédie, ainsi que d’une analyse des interactions qu’elle a générées entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques et les Caraïbes.

Le Directeur général de l’UNESCO invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l’ensemble des populations de leurs pays et en particulier les jeunes, les éducateurs, les artistes et les intellectuels.

Un site à visiter : portal.unesco.org       Source: Texte : Journée Mondiale : Image : Ask naij.com ?

 

Journée Mondiale des donneurs de sang – 14 juin

Tantôt appelée Journée Mondiale des donneurs de sang, tantôt Journée mondiale du don de sang, elle a pour objectif de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang. Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès à la sécurité transfusionnelle.

Le monde a besoin de sang neuf
Grâce aux dons de sang anonymes et sécurisés de millions de personnes, des milliers de vies sont sauvées chaque jour. Mais la possibilité de recevoir une transfusion de sang, qu’elle soit sécurisée ou non, varie énormément d’un pays à l’autre. Les besoins de 18 % de la population mondiale monopolisent 60 % de l’offre mondiale, ce qui laisse les 82 % restant sans couverture satisfaisante.

Comme le reconnaît le Dr LEE Jong-wook, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : « La sécurité transfusionnelle est un besoin fondamental dans les systèmes de santé de tous les pays. Les 192 États Membres ont récemment convenu de célébrer officiellement chaque année la Journée mondiale du don de sang. On contribuera ainsi à sensibiliser les populations au besoin permanent d’avoir du sang sécurisé et des donneurs sûrs. »

L’OMS et d’autres organisations ont préconisé des stratégies claires pour développer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle. Celles-ci reposent sur la promotion du don de sang régulier, volontaire et non rémunéré et sur la coordination nationale des services de transfusion sanguine.

Des dons volontaires, non rémunérés et sécurisés
Des progrés ont été enregistrés sur la question de la sécurité. Pourtant, il reste encore bien des efforts à accomplir à l’échelle mondiale. Jusqu’à présent, seuls 40 pays ont mis en place un système basé exclusivement sur le don de sang volontaire. Malgré certaines améliorations récentes dans ce domaine important, moins de 30 % des pays ont un service de transfusion coordonné au niveau national. Trop de pays, y compris parmi les pays émergents, continuent de dépendre des dons de compensation (c’est-à-dire des dons faits par la famille du malade) ou des dons rémunérés.

Le sang contaminé par le VIH continue d’être à l’origine d’environ 5 % des infections à VIH en Afrique. Alors que dans de nombreux pays, on pratique de plus en plus de tests pour sécuriser le sang, la plupart des pays en développement ne recherchent ni le VIH, ni l’hépatite B ou C. Chaque année, six millions de recherches d’infections qui auraient dû être pratiquées ne sont pas effectuées.

La Journée mondiale du don de sang rend hommage à tous ceux qui ont permis directement de sauver ou d’améliorer la vie de millions de patients en donnant régulièrement et volontairement leur sang. C’est aussi une demande pressante faite à tous les pays du monde pour qu’ils valorisent les donneurs sûrs et ne ménagent aucun effort pour garantir la sécurité transfusionnelle et ainsi sauvegarder la vie des patients.

Quatre organisations internationales travaillant à promouvoir les dons de sang volontaires et non rémunérés pour assurer la sécurité transfusionnelle, parrainent la Journée mondiale du don de sang : l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Fédération internationale des organisations de donneurs de sang et la Société internationale de transfusion sanguine. Cette année, les principaux événements sont organisés par le service national de transfusion d’Angleterre et du pays de Galles.

Source: Texte: Journée Mondiale  Image: Askideas.com

 

Journée internationale du fonio – 27 juillet

fonioVoulue par un certain nombre d’états africains, la journée internationale du fonio existe depuis 2010 et est célébrée tous les ans en juillet.

Une céréale méconnue, le fonio…
Considéré dans les pays riches comme une « céréale mineure », le fonio blanc est une graminée de la famille des poaceae cultivée pour ses graines dans certaines régions d’Afrique.

Les quantités produits restent modestes, mais cette plante présente malgré tout de nombreuses qualités. Elle est utilisé dans l’alimentation humaine et entre dans la préparation de nombreuses recettes traditionnelles africaines comme le couscous, la bouillie, les boulettes, les beignets et même le pain.

Sa valeur nutritionnelle est à comparer à celle du riz. Elle présente le gros avantage de se contenter de sols pauvres pour pousser.

Gagner la bataille de l’eau ?

Le fonio présente une particularité remarquable et cela d’autant plus à une époque où la ressource en eau se réréfie : la culture de cette céréale n’exige que très peu d’eau. Pour le moment le fonio est cultivé essentiellement en Afrique, mais demain, verra-t-on du fonio européen ?

 

Un site à visiter : www.ladepeche.fr          Source: Texte & Image: Journée Mondiale
       

Journée internationale Nelson Mandela – 18 juillet

mandela-dayElle est plus connue sous son nom anglais, Mandela day, et existe depuis 2010. En novembre 2009, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que le 18 juillet serait une « Journée internationale Nelson Mandela » en l’honneur du travail effectué par l’ancien président sud-africain en faveur de la paix et de la liberté.

67 minutes…
Le 18 juillet de chaque année, jour de la naissance de Nelson Mandela, l’ONU se joint à la Fondation Nelson Mandela pour exhorter le monde à consacrer 67 minutes de son temps à aider les autres, afin de commémorer la Journée internationale qui lui est consacrée. 67 minutes de son temps à passer pour servir les autres et le bien public, en souvenir des 67 années de militantisme du vieux leader Sud Africain, aujourd’hui décédé.

Célebration post-mortem ?
De nombreux internautes se sont étonnés de trouver encore cette journée dans le site… bien que le vieux sage se soit aujourd’hui éteint, les Nations Unies la maintiennent effectivement toujours dans leur calendrier. Le monde aime les anniversaires et les célébrations, laissons aujourd’hui le monde célébrer l’Afrique !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale