?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Mondiale de la Paix – 1er janvier

Message du Pape François pour la 50è journée mondiale de la paix:

« À cette occasion, je souhaite m’arrêter sur la non-violence comme style d’une politique de paix et je demande à Dieu de nous aider tous à puiser à la non-violence dans les profondeurs de nos sentiments et de nos valeurs personnelles. Que ce soient la charité et la non-violence qui guident la manière dont nous nous traitons les uns les autres dans les relations interpersonnelles, dans les relations sociales et dans les relations internationales.(…)

Lorsqu’elles savent résister à la tentation de la vengeance, les victimes de la violence peuvent être les protagonistes les plus crédibles de processus non-violents de construction de la paix. Depuis le niveau local et quotidien jusqu’à celui de l’ordre mondial, puisse la non-violence devenir le style caractéristique de nos décisions, de nos relations, de nos actions, de la politique sous toutes ses formes! »

Source: Text & Image: Église Catholique en France:

Journée Internationale de La Solidarité Humaine – 20 décembre

L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre.

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale des nations unies en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté.

La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.

Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

Solidarnosc a profondément transformé la Pologne, la solidarité peut aider à transformer le monde.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale des migrants – 18 décembre

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie il y a quatre ans par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Une convention internationale que la France n’a toujours pas ratifiée…
Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui  » vont exercer, exercent et ont exercé  » un travail pendant  » tout le processus de migration « . Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en  » considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles « .

Les migrants dans le monde
L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits
Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Pays signataires par ordre chronologique :
Egypte, Salvador, Maroc en 1993
Seychelles en 1994
Colombie, Philippines, Ouganda en 1995
Sri Lanka, Bosnie-Herzégovine en 1996
Cap Vert en 1997
Azerbaïdjan, Mexique, Sénégal en 1999
Ghana, Guinée Bissau, Bolivie en 2000
Belize, Uruguay en 2001
Equateur, Tadjikistan en 2002
Guatemala, Mali, Burkina Faso, Kirghizstan en 2003
Timor Occidental, Libye, Turquie en 2004.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale des droits de l’homme – 10 décembre

L’éducation aux droits de l’homme est bien plus qu’un sujet de leçon ou que le thème d’une journée: c’est un processus qui vise à ce que chacun soit équipé pour vivre sa vie dans la sécurité et la dignité. En cette Journée internationale des droits de l’homme, continuons ensemble à faire le nécessaire pour que les générations futures aient une culture des droits de l’homme, et à promouvoir la liberté, la sécurité et la paix dans tous les pays.
Kofi Annan, secrétaire général de l’ONU

En 1950, l’Assemblée générale des nations unies a invité tous les états et toutes les organisations internationales concernées à célébrer le 10 décembre de chaque année la Journée des droits de l’homme [résolution 423 (V)]. Cette journée marque l’anniversaire de l’adoption en 1948, par l’Assemblée, de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Pierre angulaire du droit international
Ce texte, qui n’était en 1948 qu’une simple déclaration non contraignante, signée par 58 États-membres des Nations Unies constituant l’Assemblée générale des Nations Unies d’alors, est devenu – suite aux atrocités de la deuxième guerre mondiale – la pierre angulaire du droit international de la personne humaine.

Un site à visiter : www.education.gouv.fr     Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale du climat – 8 décembre

Le climat change à cause de nous
La journée mondiale du climat créée à l’initiative de plusieurs ONG est célébrée le 8 décembre. Cette journée peu connue du grand public est pourtant l’occasion de rappeler la menace bien réelle du réchauffement climatique et la nécessité d’agir pour en limiter les effets.

Aujourd’hui, dans la communauté scientifique, plus personne ne conteste que notre planète se réchauffe. Les « climato-sceptiques » représentent moins de 3% de la communauté des climatologues et contestent uniquement l’origine humaine de ce phénomène. La majorité des spécialistes reconnaissent que le changement climatique est lié aux activités humaines et qu’il est désormais urgent d’agir pour en limiter les conséquences.

Les faits sont éloquents
La journée mondiale du climat est aussi l’occasion de rappeler quelques chiffres et d’alerter l’opinion sur les conséquences prévisibles du réchauffement climatique. Selon Réseau Action Climat – France (http://www.rac-f.org/), depuis 1870, la température mondiale a augmenté de 0,8°C en moyenne. Grâce à des mesures indirectes (étude des calottes glaciaires notamment), nous savons aussi que la dernière décennie a été la plus chaude depuis au moins mille ans.

De nombreux changements concernant le climat mondial ont d’ores et déjà été constatés au cours du XXe siècle : une augmentation des évènements de fortes précipitations sur la planète, des sécheresses plus intenses et plus longues dans les régions tropicales et subtropicales, dans le Sahel, en Méditerranée, en Afrique australe et en Asie du sud.

Les conséquences sont déjà visibles sur les écosystèmes. Non seulement les glaciers du Groenland et d’une partie de l’Antarctique fondent de plus en plus vite, mais les glaciers de montagne et la couverture neigeuse reculent. En conséquence, le niveau moyen de la mer s’est élevé de 17 cm au XXe siècle. De nombreuses espèces animales et végétales se déplacent vers les pôles et vers des altitudes supérieures.

Que peut-on faire ?
Plusieurs décisions politiques ont été prises au niveau international comme au niveau local pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et se préparer aux changements climatiques.

En 1988, le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) a été créé par l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies (PNUE) afin de suivre l’évolution du climat. Depuis 1995, la communauté internationale se réunit chaque année afin de débattre et de décider d’une politique mondiale de lutte contre les changements climatiques.

Cependant, la réduction actuelle des émissions de CO2 est très loin d’être suffisante. Or, chaque citoyen peut agir pour limiter ses propres émissions de gaz à effet de serre au quotidien. Pour découvrir ou redécouvrir les écogestes à adopter, vous pouvez consulter le site de l’ADEME (lien ci-dessous).

http://ecocitoyens.ademe.fr/   Source: Texte & Image: Vacances Vertes

Journée mondiale du bénévolat – 5 décembre

Happy guys and girls expressing happiness by showing thumbs while smilingLa Journée internationale des volontaires (JIV) célèbre le bénévolat à l’échelle mondiale. Elle a lieu chaque année le 5 décembre pour attirer l’attention sur le travail formidable accompli partout dans le monde par des bénévoles.

Les bénévoles sont à l’avant-garde du changement social dans le monde. Cette journée est l’occasion offerte aux organisations et aux bénévoles de promouvoir leur contribution au développement, que ce soit au niveau local, national ou international.

L’Assemblée générale des Nations Unies a établi la JIV avec l’adoption d’une résolution le 17 décembre 1985.

Source: Texte: Réseau canadien des volontaires

Bénévoler ? C’est consacrer son temps libre en mettant au service des autres son énergie et ses compétences. C’est donc bénévolement que je vais vous présenter  cette journée. (si, si je vous le jure)

Valeur républicaine ?
En effet, c’est le 17 décembre 1985 à New York que l’ONU a décidé de créer la journée mondiale du bénévolat afin de promouvoir le travail des bénévoles pour le développement économique et social aussi bien au niveau local, national et international. Mais c’est aussi pour mettre en avant le rôle joué par les structures associatives qui s’efforcent de répondre aux divers besoins de la vie sociale, principalement au près des jeunes, et des quartiers difficiles.

L’ONU souhaiterait voir les sociétés et les gouvernements reconnaître et promouvoir le volontariat comme activité indispensable.

Bénévolat ou volontariat ?
Pour être tout à fait précis, nous nous devons de dire que la résolution des Nations Unies dont il est fait mention (la 40/212) est plus exactement consacrée au volontariat. Et dans ce cas, on parle volontiers de la Journée Internationale du Volontariat. Mais ne nous leurrons pas, il s’agit bien d’une seule et même journée. La nuance n’existe d’ailleurs qu’en France et son origine est plutôt à rechercher dans les méandres du dictionnaire. Ne traduit-on pas « bénévolat » par « Voluntary work »?

Championne d’Europe
La France peut se vanter d’être championne d’Europe du bénévolat et du volontariat (ça fait toujours plaisir). Effectivement 4 associations sur 5 sont exclusivement gérées par des bénévoles.

Soit 190 associations créées par jour (70 000 par an, 1 million d’associations en activité), ainsi que 12 millions de bénévoles (dont 3,5 millions de bénévoles réguliers qui accordent au moins deux heures par semaine à une association) qui sont reconnus au niveau du gouvernement par le ministère chargé de la vie associative. Mais hélas, le nombre de bénévoles ne semble pas augmenter.

Chez certain de nos voisins, le bénévolat est considéré comme une matière éducative, c’est à dire qu’il fait partie dans de nombreux pays du cursus universitaire, mais la France devrait d’ici quelques temps se mettre au niveau de ses voisins.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage – 2 décembre

esclavageSous l’égide du Ministère de la Culture en partenariat avec l’UNESCO, cet événement commémore la date anniversaire de l’adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies, de la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui, le 02 décembre 1949.

Un combat de tous les jours
La célébration de cette journée, tout en s’inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des noirs, actualise le combat permanent contre toutes les autres formes d’esclavage moderne qui privent à de très nombreux êtres humains, leurs libertés et leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement.

Kofi Annam, le Secrétaire Général des Nations Unies, dans son message du 02 décembre 2001, en rappelant l’abolition de l’esclavage, ajoutait ceci:  » Bien des gens pensent sans doute que ce traité n’a plus lieu d’être au XXIe siècle. Or il nous faut bien admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous les noms de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine et traite des êtres humains « , marginalisation, exclusion des groupes sociaux.

L’esclavage actuel
Aujourd’hui, le travail forcé et l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes. Le traitement discriminatoire des travailleurs migrants, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme la détérioration des termes de l’échange, le poids de la dette inique et injuste ont autant de formes de privation de libertés synonymes d’un esclavage de type moderne.

L’ONU et ses organismes affiliés en collaboration avec la communauté internationale ( ONU, syndicats, société civile…), renforcent leurs instruments internationaux pour l’éradication de toutes ces t’ormes modernes d’esclavage. Il s’agit notamment de l’adoption de nouvelles conventions:

La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille;
La Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée;
La Déclaration de la Conférence mondiale contre le racisme etc…
Approfondir la réflexion sur l’ensemble de ces questions, sensibiliser l’opinion sur cette lutte actuelle contre l’esclavage de type moderne, tels sont les enjeux de la célébration de cette Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage du 02 décembre.

Objectifs
Vulgariser et sensibiliser l’opinion sur les graves violations des libertés individuelles en particulier le trafic des enfants et des femmes;
Développer et partager la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société pour combattre ce fléau;
Amener les Etats et les Institutions internationales à faire à appliquer les traités internationaux et les lois nationales.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA – 1er décembre

« Notre stratégie pour l’avenir doit être de donner aux femmes les moyens d’agir dans ce combat. Les véritables héros de cette guerre, c’est parmi elles qu’il faut les chercher, et il nous appartient de leur fournir l’arme de l’espoir. »    Extrait du message de M. Kofi Annan, Secrétaire général de l’ONU

En 1988, l’Assemblée générale avait exprimé sa vive préoccupation devant la pandémie de sida. Notant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi sidala date du 1er décembre 1988 comme Journée mondiale du sida, l’Assemblée a souligné l’importance de cette manifestation (résolution 43/15). Aujourd’hui, plus de 41 millions de personnes sont séropositives et sidéennes. La journée mondiale de lutte contre le SIDA n’est pas la seule occasion de revenir sur ce dossier brûlant, mais en insistant sur le fait que nous devons être tous ensemble contre le SIDA, elle a toute sa place dans le calendrier des journées internationales.

La mobilisation doit rester entière
Cette année encore, la journée a pour thème « Objectif zéro: zéro nouvelle infection due au VIH, zéro discrimination, zéro décès lié au sida ». A cette occasion, la ministre des Affaires sociales et de la Santé française, Marisol Touraine, a rappelé la mobilisation totale du gouvernement pour la lutte contre le virus et l’INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la Santé) a relancé une campagne de sensibilisation pour inciter chacun à se protéger et se faire dépister

De son coté, l’église catholique (audience générale du pape Benoît XVI, le 28 novembre 2012) a précisé que la journée mondiale « est une occasion de rappeler que cette maladie cause la mort de millions de personnes et entraîne de grandes souffrances, aggravées dans les régions du monde les plus pauvres où l’accès des médicaments efficaces est très difficile ». La pensée du Pape va en particulier au grand nombre d’enfants contaminés par leurs mères alors qu’il existe des thérapies pour bloquer cette contagion. Benoit XVI souhaite notamment encourager les initiatives qui (…) incitent à combattre ce fléau.

Combler l’écart
A l’occasion de la journée 2014 l’OMS se fixe un objectif ambitieux: combler l’écart en matière de prévention et de traitement. L’OMS publiera de nouvelles recommandations pour aider les pays à combler les importantes disparités des services disponibles pour prévenir et traiter le VIH.

Un site à visiter : www.inpes.sante.fr   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des enfants des rues – 26 novembre

Chaque année, à la date du 26 novembre, est célébrée à travers le monde entier la Journée mondiale des enfants des rues. C’est une journée qui interpelle toute personne et toute organisation à se pencher sur la situation des enfants de la rue.

Aujourd’hui, des millions d’enfants de tous les coins du monde vivent et travaillent dans la rue : nombre d’entre eux sont abandonnés ou orphelins, certains tentent d’échapper aux abus, tandis que d’autres essaient de gagner de l’argent pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille.

Ces enfants font face à certains des problèmes les plus urgents de notre monde moderne. En effet, les enfants de la rue sont vulnérables à la violence, à l’exploitation, à la toxicomanie, au VIH/sida et à d’autres risques graves pour la santé susceptibles de mettre en péril leur survie.

Source: Texte: C.A.F.É. s.a.

Pour célébrer le 20e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant. (elle a été signée en 1989 !), l’UNESCO organise la journée des enfants des rues.enfant-des-rues

L’UNESCO, en association avec Fondation Air France, organisent à cette occasion un séminaire sur les enfants des rues, avec la participation remarquée de Mme Irene Rizzini, rrofesseur à l’Université Catholique Pontificale de Rio de Janeiro et fondatrice du Centre international de recherche et des politiques sur l’enfance (CIESPI).

Un prix créé pour récompenser des associations reconnues pour leur action en faveur des enfants récompensera le Docteurr Xavier Emmanuelli, fondateur du Samu social en France et président du Samusocial international.

De nombreuses associations luttent en faveur des enfants des rues, que ce soit en Amérique Latine ou en Asie, qu’elles soient ou non confessionnelles. Leur action de terrain permet de réaliser un véritable travail de fourmi en faveur des enfants, de leur éducation, de leur sécurité, allant parfois jusqu’à une véritable reniassance des liens sociaux et familiaux.

Un site à visiter : www.heartshome.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale, photo Points Coeur

Journée internationale de la Bible – 24 novembre

bibleLa journée internationale de la Bible est une initiative originaire des Etats-Unis et plus particulièrement de l’association de la Bible qui a souhaité promouvoir cette journée à partir du 24 novembre 2014.

Il faut bien garder à l’esprit cette origine américaine pour comprendre cette journée dont le but est d’encourager la lecture de la Bible. L’intention affirmée est clairement prosélyte et les organisateurs n’hésitent pas à affirmer qu’il s’agira également d’une occasion de réunir ceux qui aiment Dieu et veulent Le remercier.

De Saint Jérôme à la journée mondiale…
Une autre journée mondiale fait une référence explicite à la bible. Il s’agit de la Journée mondiale de la traduction fêtée le jour de la Saint Jérôme, saint patron des traducteurs et premier traducteur de la bible en latin.

Un site à visiter : www.christianismeaujourdhui.info            Source: Texte & Image: Journée mondiale